AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de J. Courtney Sullivan (201)


Les gens lisaient des récits de meurtre, de viol, de scandale ou bien ils regardaient la télévision pour se distraire de tout ce qui n'allait pas dans leur propre vie.
Commenter  J’apprécie          20
Finalement, un prêtre était le sex-symbole ultime : toujours constant, gentil, heureux de vous voir et d'écouter vos problèmes. Totalement inoffensif et pourtant vaguement sexuel, son voeu de chasteté produisant finalement l'inverse de l'effet voulu : tout le monde ne pensait qu'au sexe en lui parlant.
Commenter  J’apprécie          20
Pour conserver un mariage ardent
Dont la coupe est remplie d'amour,
Chaque fois que vous avez tort, admettez-le
Et chaque fois que vous avez raison, fermez-là.
Commenter  J’apprécie          20
"Cette culture a engendré un mythe selon lequel une fois qu'une femme devient mère, elle perd ses droits de femme: elle s'interdit tout désir sexuel, toute passion, tout rêve. Et ça, c'est tout simplement faux. Notre âme ne change pas sous prétexte qu'on a des enfants, ça ne produit pas de changement moléculaire." p459/460
Commenter  J’apprécie          20
C’était une malédiction bien particulière d’avoir une mère superbe, alors que vous-même n’étiez que dans la moyenne.
Commenter  J’apprécie          20
L'église était comme une scène pour Alice, l'endroit où elle se tenait bien, où les autres la voyait telle qu'elle voulait être vue.
Commenter  J’apprécie          20
[...] Mais c’était comme ça avec les Kelleher. Personne ne regrettait les paroles blessantes, personne ne s’excusait. Jamais. Ils se contentaient d’étouffer le tout dans de la sauce pour spaghettis, des blagues éculées et des cocktails forts.
Commenter  J’apprécie          20
Sally poussa un soupir. [...] Juste au moment où vous aviez pris la décision de ne pas vous en faire, à ce moment précis, tout partait en vrille. Il était donc bien raisonnable de ne pas narguer le sort et de toujours, toujours, s'attendre au pire.
Commenter  J’apprécie          20
Kathleen, ma belle-soeur.
- Oh! dit Linda une main sur le coeur. Je ne savais pas que vous vous connaissiez. Pendant une minute, j'ai eu peur!
On se connaît, oui, et c'est bien ça qui fait peur, pensa Ann Marie.
Commenter  J’apprécie          20
Les deux jours suivants, elle n’appela pas non plus. Bree trouvait que c’était bizarre et triste, mais elle savait que les choses avaient changé entre elles depuis l’université. Et peut-être que c’était un peu idiot de croire qu’elle était toujours une priorité pour Sally, comme cela avait été le cas à Smith, quand il n’y avait presque rien qui pouvait détourner leur attention. A l’époque, elles disposaient de quantités de temps suffisantes pour pouvoir stocker dans leur mémoire les habitudes quotidiennes, les chansons préférées, les peines de cœur et les plus belles journées des unes et des autres. C’était un peu comme être amoureuse, mais avec en mins le poids d’avoir à choisir un seul cœur auquel se rattacher et la crainte de le perdre.
Commenter  J’apprécie          20
"Te libérer et te livrer au monde ! avait bondi April quand elle avait montré la lettre aux filles. Non mais sans déconner, il croit que tu es quoi, une coccinelle dans un pot de mayonnaise ?
Commenter  J’apprécie          20
C'était les étés de son enfance qui lui manquaient le plus. (...) Ils (Daniel et ses petits-enfants) s'empilaient alors dans la vieille Buick. Sur la rive ils restaient des heures dans l'eau peu profonde, leurs rateaux et leurs pieds nus enfoncés dans le sable mouillé, criant de délice et de peur quand ils touchaient une coquille. Ils remplissaient les seaux de clams, et au coucher du soleil, Daniel lançait l'annonce rituelle : « Ok ramenons ces braves gars pour que grand-mère puisse les cuire ». Puis Maggie, Fiona et Patty se mettaient à huler non ! Les garçons leur répondaient avec un oui ! Tout aussi strident, pendant que le grand-père éclatait de rire. Ils regagnaient toujours le cottage sans un seul clam.
Commenter  J’apprécie          20
Si les choses s'étaient passées différemment, c'est elle qui serait à la place de Carolyn aujourd'hui. Elle ne rêvait pas de ce genre d'existence, mais il y avait quelque chose d'extrêmement rassurant dans le fait de savoir qu'on était finalement arrivé à son but, au lieu de constamment courir après sa vie.
Commenter  J’apprécie          20
Depuis qu'on se connaît, je me réveille chaque matin avec le trac, tellement je suis excité de la revoir. Et je sais bien que je me réveillerai toujours avec le trac quand on aura tous les deux quatre-vingt-treize ans et qu'on aura plus de dents, et que les cheveux bruns de Sally auront blanchi.
Commenter  J’apprécie          20
Les femmes sont tout aussi capables d'être mauvaises et corrompues que les hommes? C'est juste qu'elles n'ont pas eu autant l'occasion de le montrer au cours de l'histoire. p154
Commenter  J’apprécie          10
Les New-Yorkais adoraient se plaindre de la ville.
Commenter  J’apprécie          10
Elle n'avait compris qu'une fois à l'université qu'elle aurait dû penser non pas seulement aux frais de scolarité, mais à ce que coûtait le fait de vivre parmi des gens capables de s'en acquitter sans problème. Ses amies pouvaient décider sur un coup de tête de sortir manger des sushis si le menu du réfectoire n'était pas à leur goût.
Commenter  J’apprécie          10
Il y avait aussi le fait que l'université célébrait la diversité, mais que personne ne mentionnait jamais les femmes, essentiellement de couleur, qui préparaient la nourriture, embellissaient l'espace pour que les étudiantes puissent grandir, apprendre, s'épanouir. Presque toutes les femmes de ménage étaient noires, alors que seulement 4% des étudiantes l'étaient.
Commenter  J’apprécie          10
Tu seras ce qui est bien pour toi quand tu sauras.
Commenter  J’apprécie          10
Pour Elizabeth, le tarif au mot était le même que quand elle avait débuté quinze ans auparavant. Entre-temps, le coût de la vie à New York avait explosé.
Commenter  J’apprécie          10



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de J. Courtney Sullivan (1459)Voir plus

Quiz Voir plus

Aspirez-vous le H ?

Comment prononcer : un hibou ?

ibou
nibou
les 2

12 questions
112 lecteurs ont répondu
Thèmes : langue française , orthographeCréer un quiz sur cet auteur

{* *}