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Citations de J. Courtney Sullivan (201)


Quand la statue de la Liberté se découpa sur l'horizon, le jour de leur arrivée à New York, on aurait dit que tous les gens à bord s'étaient alignés le long du bastingage pour l'apercevoir. Nora se demanda si le bateau n'allait pas chavirer.
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Elle parla aussi du poids de la technologie. Pas une seule novice ces dernières années n’avait passé la porte du couvent sans mentionner à quel point elle serait heureuse de ne plus avoir de messagerie, de téléphone portable. Le mot qu’elles utilisaient toutes était le bruit. Elles pouvaient à peine supporter le bruit. La vie en était devenue trop pleine. Plusieurs moniales dans la hiérarchie de l’abbaye mettaient en doute cette motivation. Certaines pensaient qu’elle démontrait un manque de dévotion, mais mère Cecilia n’était pas d’accord. Chaque génération était arrivée à l’abbaye chargée de ses propres fardeaux. Chaque religieuse était un produit de son époque, comme tout un chacun.
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Aujourd'hui, c'est comme si n'importe quelle créature de moins de vingt-cinq ans avait décidé de maudire tout ce qui faisait le monde des plus de vingt-six ans.
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Peut être que c'était plus difficile de partager sincèrement le bonheur d'une amie que de faire preuve de compassion.
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Je t’aime, dit Lara. Je crois que tu es sans doute le plus grand amour de ma vie. Mais il ne faut pas se voiler la face. Je ne suis pas le tien.
(p. 341)
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p. 35 "Pour garder un mariage ardent
Dont la coupe est remplie d'amour,
Chaque fois que vous avez tort, admettez-le
Et chaque fois que vous avez raison, fermez-la."

p. 134 "Dans les faits, un mariage ne se brisait jamais sans raison. Il y avait toujours un responsable. C'était donc ça l'Amérique d'aujourd'hui ? Chaque fois que le vent tournait, on tirait un trait sur sa vie passée et hop, on en recommençait une nouvelle ? Quel serait le prix à payer pour ses petites filles et tous les autres enfants ?"
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Ce qui faisait vraiment mal dans tout ça, c'était que les mêmes filles qui l'avaient conseillée et soutenue pendant les quatre années de deuil à Smith ne voulaient rien avoir à faire avec sa joie. Peut-être que c'était plus difficile de partager sincèrement le bonheur d'une amie que de faire preuve de compassion.
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Sa belle-soeur était un être humain après tout.
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Avec les amies, il n'y avait pas de comédie, ni de lutte de pouvoir, pas besoin de se fondre dans un moule étroit correspondant aux canons féminis, que ce soit la pom-pom girl passionné, l'amoureuse alanguie ou la maman qui gronde. Il suffisait d'être soi-même.
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En surface, les relations entre hommes et femmes étaient synonymes de baisers doux, robes blanches et mains enlacées. Mais en dessous, ce n'était qu'un chaos terrifiant menaçant d'éclater au grand jour.
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Elle revoyait mentalement les épisodes du début de leur histoire, à la manière d'une séquence dans un film de Meg Ryan - la rencontre dans la file d'attente chez Au bon pain, Jake bafouillant:
- "Je ne suis pas un malade mental, je vous assure, et je n'adresse jamais la parole aux étrangères, mais je vous trouve très belle.
je peux vous inviter à déjeuner?"
ensuite ils étaient sortis ensemble une fois, deux fois, trois fois.
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A Smith, elles avaient toutes essayé de se materner. Mais ce qui, à une époque, était une inquiétude sincère s'était transformé en quelque chose d'abject ; elles ne pouvaient désormais s'empêcher de juger, de comparer. Evidemment, c'était vrai pour toutes les femmes, mères et filles compris. Quelle fille ne se servait pas de sa mère pour sonder ses propres souhaits ou ses craintes ? Quelle mère pouvait regarder sa jeune fille sans désirer retrouver sa propre jeunesse, sa liberté perdue?
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Si d'ici un an tu détestes toujours autant cet endroit, on rentrera, lui dit Andrew dans la voiture. Je ne déteste pas vraiment cet endroit. Et puis j'ai vu Sur la route de Madison. Une fois que la femme s'installe dans la ville où son mari à grandi, elle n'en repart jamais. Sa seule consolation est une liaison passionnée avec Clint Eastwood qui dure le temps d'un weekend. Au moins, ça te laisse quelque chose à espérer.
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L'amour était une stupéfaction. Chaque fois qu'elle regardait son bébé, elle ressentait un choc ahuri en pensant qu'elle avait été à deux doigts de ne jamais connâitre un tel sentiment.
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Isabella avait décroché son stage que parce qu’un ami de son père s’en était mêlé. Quand Lexi leur avait parlé de ses propositions d’emploi et qu’elles l’avaient félicitée, elle avait dit :
- Ma tante est agente littéraire, et pas des moindres. Elle a rendu un service c’est tout.
Tant de camarades de Sam avait fait des stages non rémunérés au cours de l’été pendant qu’elle travaillait pour pouvoir payer ses frais de scolarité.
Pourtant, bizarrement, jusqu’à présent Sam n’avait pas compris que la richesse n’était pas uniquement une question d’argent mais aussi une histoire d’opportunités.
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Sam ne savait pas trop quoi répondre à Elisabeth. Elle se dit qu'ils avaient dépassé les fiches de poste depuis un bon bout de temps.
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Ils n'avaient aucune idée de ce qu'il fallait pour y arriver, à quel point était haute la marche entre un bon joueur et un excellent joueur.
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Bridget resta à l'extérieur du funérarium, dans le froid, pour tenir compagnie à sa tante Kitty qui fumait une cigarette. Il y avait de l'audace dans ce geste, comme si Kitty faisait un doigt d'honneur à la mort. Plus personne ne fumait. Pourtant, elle était là, à fumer dehors, parce qu'elle avait quatre-vingt-deux ans, avait pétuné toute sa vie et était trop vieille maintenant pour changer.
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Il la retrouva et l'embrassa tout de suite, ce qui était de circonstance, et pourtant Sam se sentait timide et mal à l'aise, comme s'ils étaient deux inconnus qui se rencontraient pour la première fois avant de s'engager dans un mariage arrangé.
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« La poésie a quelque chose de la science, vous savez, commença-t-il. Il faut que tous les éléments soient là, exacts et dans l’ordre pour que l’expérience réussisse. »

-Bill Lambert
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