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Citations de J. Courtney Sullivan (201)


Alice ne croyait pas à la chance. Si elle existait, elle n'en avait jamais vu la couleur. En deux ans de mariage, elle avait déjà fait trois fausses couches. Sa mère avait perdu deux enfants en bas âge avant que les autres viennent au monde. Alice n'osait jamais lui en parler.Tout ce que sa mère avait pu dire sur le sujet, c'était que Dieu avait choisi de l'éprouver en lui retirant ce qu'elle aimait le plus. Alice, se demandait si les enfants qu'elle portait avaient choisi de ne pas naître parce qu'ils devinaient qu'ils n'étaient pas désirés ou plus précisément, qu'elle n'avait pas envie d'être mère
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" Les femmes quittent leurs maris quand elles sont au bout du rouleau, avait-elle dit à Sally. Les hommes partent quand ils trouvent une nouvelle femme."
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En dépit de tous les trucs barrés qu'elle avait faits au cours des quatre dernières années - comme se planquer dans des villages africains, voir des petites filles endurer le supplice de la mutilation génitale en Indonésie, se rendre dans le quartier de haute sécurité d'une prison du Mississipi pour l'interview d'un violeur en série - être la demoiselle d'honneur de sa meilleure amie était à deux doigts de la plonger dans la panique totale.
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"Un jour, elle avait dit qu'elle croyait que le mouvement de libération des femmes des années soixante et soixante-dix était en fait un stratagème inventé par les hommes pour rajouter du boulot aux femmes. "Je gagne autant d'argent que ton père et pourtant je fais environ quatre-vingt-dix pour cent des tâches ménagères. Qui de lui ou de moi jouit d'une meilleure qualité de vie du fait que je travaille. Je te donne un indice : ce n'est pas moi.""

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« Est-ce qu’il y’a une chance pour qu’on la retrouve en vie demain ? » demanda-t-elle.
Celia hocha la tête tristement.
« Je crois qu’elle nous a quittés.
- Moi-aussi, dit Bree. Et je ne supporte pas l’idée que la vie continue malgré tout. »
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Parfois, April était inquiète à l’idée qu’elle ait pu être mal assemblée, qu’il lui manquait une pièce essentielle que tous les autres possédaient et qui leur permettait de faire face.
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Patrick tenait un chapelet en cristal dans une main. Elle sut alors avec certitude qu'il était mort.
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« On ne fait pas toujours les choses que nos parents voudraient que nous fassions, mais c'est une erreur de leur part s'ils ne sont pas capables de trouver une façon de nous aimer quand même. »
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Sally avait toujours dit que cela représentait à la fois un bonheur et un fardeau pour la femme moderne que de se voir accorder des choix, des choix infinis. Mais elle n'avait jamais rien dit sur ce qui arriverait si l'une d'entre elles faisaient le mauvais choix.
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« Dan et elle se mettaient en quatre pour l'éducation de leur fille : l'air de la campagne, des fruits et des légumes bio, une école Montessori l'an prochain qui allait leur coûter les yeux de la tête, les jouets les plus neutres qui soient pour ne tomber dans aucun clicés sexiste... Et pourtant, Ava n'avait jamais paru aussi heureuse qu'aujourd'hui avec ses ongles rose vif et ses cheveux laqués. »
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Quand tu es née, j'ai enfin compris pour la première fois pourquoi les gens secouent les bébés jusqu'à la mort », avait-elle dit à Maggie lors d'un de ses longs voyages à New York. « Merci pour cette information », avait répondu Maggie. « Oh, non ! Ce n'est pas ce que je voulais dire. Ce n'était pas contre toi, tu étais le bébé le plus facile que j'aie jamais vu. C'est la maternité en général qui rend une femme folle. Toutes ces hormones te tombent dessus. Tu n'arrives pas à dormir. Tu ne peux pas raisonner cette créature hurlante. Avant d'avoir des enfants, je croyais que les gens qui secouaient les bébés étaient des monstres. Après, je me suis rendu compte que cette pulsion est totalement naturelle. C'est s'en empêcher qui demande des efforts.
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Elisabeth se demandait parfois si elle avait sa place dans sa propre vie - une bien étrange sensation. Elle avait toujours l'impression de ne pas être douée pour ça. Mais elle chérissait à la folie la petite famille qu'elle avait créée. Au fil des années à venir, elle se souviendrait de cette image: son Gil et son Andrew, qui contemplaient un ciel empli d'étoiles.
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La FIV prooque-t-elle le cancer ? Probablement. Peut-être. Qu'est ce qui ne provoque pas le cancer ?
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C'est là [ Brooklyn ] où habitent les gens riches qui veulent rester incognito. Comme les stars de cinéma, mais du genre à emporter leur linge au lavomatique parce qu'ils pensent que ça leur permet de garder contact avec la réalité. C'est le problème dans cette ville. Très peu de gens ont un mode de vie qui correspond à ce qu'ils font. Tu rencontres une poétesse, elle t' invite chez elle, et il s'avére qu'elle posséde une maison. Mais jamais on ne t'expliquera comment c'est possible. Tu es censé faire comme si c' était normal pour une pétesse de vivre dans ce genre d'endroit.
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Nora essayait depuis toujours d'inciter Bridget à être plus féminine, enveloppant le plus souvent ses critiques dans ce qu'elle considérait comme un compliment.
Tu as un si joli visage. Pourquoi ne te maquilles-tu jamais ?
Laisser ces pommettes à nu est un pêché contre Dieu.
Sais comme tu serais belle si...
Si tu t'épilais les sourcils. Te laissais pousser les cheveux. Mets un peu de rouge à lèvres, Bridget, ça ne te tuera pas.
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Nora ne faisait confiance à personne pour les tâches ménagères, comme si cela allait affaiblir son pouvoir. Si elle mourrait demain, personne n'aurait la moindre idée d'où elle rangeait l'aspirateur ni de comment cuire un rôti.
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L'expression sur le visage d'Andrew reflétait ce que ressentait Elisabeth. Elle eut immédiatement envie de l'embrasser. Peut-être que la définition d'un mariage heureux était simplement de ne pas souhaiter être marié à un autre mari que le sien.
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Avec les amies, il n’y a avait pas de comédie, ni de lutte de pouvoir, pas besoin de se fondre dans un moule étroit correspondant aux canons féminins, que ce soit la pom-pom girl passionnée, l’amoureuse alanguie ou la maman qui gronde. Il suffisait d’être soi-même.
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« Je peux toujours retomber amoureuse, mais je n’ai qu’une famille. »

-(Bree)
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Henri abordait le mariage comme un déjeuner du dimanche. Il n'y pensait pas jusqu'à ce qu'on lui apporte un gigot sur un plateau d'argent. Alors l'appétit lui venait. Il en allait de même avec son couple. Elle se disait parfois qu'il l'avait choisie parce qu'elle était simplement sous ses yeux au bon moment.
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