Citations de Jean-Côme Noguès (120)
Il faut toujours croire en ses rêves et ne jamais abandonné .
J'ai choisi cette citation car elle est vrai
Anthony A
Vendredi
-Mets ton chapeau!
-Oui,maman!
Et, pendant que sa mère a le dos tourné, il file sans demander son reste.
***
Samedi.
-Pistou, ton chapeau.
-Mais, m'man, il n'y a pas de soleil!
***
Dimanche.
-Christian! Si je te vois sortir avec un soleil pareil sans chapeau, tu auras de mes nouvelles!
-Oui, m'man...je...je vais voir Nicolas, chez lui. Je reviens tout de suite.
Avec un sourire gentil:
-Je passerai à l' ombre.
***
Lundi.
-Où est ton chapeau?
-Dans le jardin.
-Va le jardin.
Cette fois, il faut un ton suppliant, avec un rien de cajolerie dans la voix.
-J'ai pas le temps...!
-Comment, tu n'a pas le temps?
Une voisine arrive, l'air faussement calme, et si impatiente pourtant de colporter le le dernier commérage qu'elle vient de recevoir, tout chaud, il y a moins de dix minutes.
Le commérage est méchant, c' est à peu près certain, mais il sauve un petit garçon qui, une fois encore, ne peut dire pourquoi il sort toujours sans chapeau.
***
Mardi.
-Tu retrouves ce chapeau ou tu as une claque!
***
Mercredi.
Il pleut.
***
Jeudi.
-Christian! Veux-tu répéter ce que je viens de dire?
Dix mains se lèvent en même temps. Quelques doigts font un claquement très sec pour mieux montrer l'envie qu'on a de répondre.
-M'sieur! M'sieur!
Pistou n'a rien entendu de ce qu'a dit le maître.
Il ne peut rien répondre. Il ne sait pas ce qu'on lui demande.
-A quoi pensais-tu au lieu d'écouter?
-Au temps que ça met pour couver, un rouge-gorge.
Après tout, pourquoi ne pas le dire puisque c'est à cela qu'il pensait.
Et la classe s'esclaffe bêtement.
« J’ai un peu froid, dit Nicolas. Nous serions mieux dedans. » Il avait surtout sommeil. Et Pistou aussi, qui n’en voulait rien laisser paraître mais mourait d’envie de trouver un abri…
Le sommeil surprit les enfants en un instant. Pistou s’endormit tout recroquevillé. Nicolas, à plat ventre, avait posé sa joue sur le dos de sa main pour la protéger du contact des briques fraîches…
Pas plus que les oiseaux et que la mouche, le frottement de la porte qui s’ouvrait ne tira les garçons de leur sommeil.
" Au creux de sa main le grelot d'or était tout ce qui lui restait de son aventure."
J'ai choisi cette citation ,car je trouve qu'elle donne envie de lire le livre.
Merlin.M
La brise souffle, la ramée se balance:
doux sommeil à ceux qui s'entr'aiment.
hé!-ho!Reviens!insista Martin tout en sachant que c'était inutile.Seul de nouveau,il n'aimait plus sa solitude ayant le sentiment d'une rencontre manquée . l'enfant attiré par sa présence et qui, au dernier moment refusait ,lui laissait une sorte de vide
Bonjour ! Je m'appelle Petit Cro-Magnon.
Mes parents et moi, nous habitons avec tous les autres membres de la tribu dans cette belle grotte que tu vois et que mon papa a décorée.
bon livre , j ai pas aimer la fin mais. Il se lit très rapidement
"Pénélope s'élança hors de la pièce. Haletante, tout près de trébucher, elle se précipita le long de la galerie. Lorsqu'elle descendit dans la salle, ses longs voiles volant autour d'elle comme de grands oiseaux d'un augure mauvais, elle aperçut l'étranger appuyé contre la colonne, dans des haillons hâtivement remis, sanglant des coups donnés, des coups reçus, les yeux baissés dans l'attente d'un mot qui viendrait d'elle.
Tout combattit à Vaux pour le plaisir du roi : La musique, les eaux, les lustres, les étoiles.
- Tu es brave, mon faucon !
Martin ne pouvait contenir sa fierté. Lui, le petit serf aux pieds nus, il enlevait son surcot, l'enroulait autour de sa main, ouvrait la cage et recevait sur son poing le rapace docile.
Le garçon avait ainsi plusieurs travaux. Il devait broyer les couleurs, nettoyer les palettes et les pinceaux, faire les courses. Ces tâches ne le rebutaient pas, car il entretenait l’espoir de plaire un jour au maître et de sortir du rang.
Un énorme rat mort tombe à ses pieds. (...)
Tout le monde regarde Adélaïde. Des rires fusent. La malheureuse est debout, point de mire d'une malveillance insupportable. Les larmes lui viennent à gros sanglots, de rage plus que de peur une fois la surprise passée.
- Face de rat ! lance une voix contrefaite.
Les rires reprennent dans un brouhaha. La maîtresse tente de les arrêter. Des cris d'animaux s'y mêlent, qui meurtrissent Adélaïde et l'offensent. (...) Elle pleure, vaincue, et les rires redoublent.
- Adélaïdeuse ! insiste la voix en chantonnant.
Alors la persécutée se laisse emporter par la révolte. Elle court à la porte, quitte la salle, traverse le vestibule, traverse le préau et la cour, traverse la place. Elle court jusqu'au bout du village. (p.94-95)
J'ai adoré ce passage car Martin a peur que le faucon ne revienne pas vers lui. "Reviendra-t-il...? S'il ne revenait pas…? On dit les hobereaux fantasques. Maints d'entre eux ont résisté au dressage. Peu être l'ami va-t-il préférer la liberté."
Aline.S5e2livre3
Martin et le faucon : une histoire d'amitié
Gaelle R 5°3
Tu sais bien que c'est un privilège réservé au seigneur,Martin,et que tu n'as pas le droit de dénicher ces oiseaux !
Matteo5e1
" Tout beau, viens laisse toi faire, murmura le maître des oiseaux. Tu n'auras pas de mal. Le mal, c'est toi qui le donnera!"
Dorian V.
"Mais alors pourquoi le guetteur ne donnait-il pas l'alarme. "
J'ai les choisi car c'est après que Martin sait rendu compte que c'était une armée ennemis qui attaqué et que la garde été traître .
Hugo.s
Je t'ai dit l'autre jour que je te parlerais de papa. C'est lui qui baille au soleil, là-bas, en se grattant la tête. Mauvais signe: ou bien il ne sait pas quoi dessiner, ou bien les chasseurs ne lui ont rien commandé.
Je devrais commencer par le commencement. Voilà. D'habitude, les hommes de la tribu, avant de partir à la chasse, dessinaient sur les parois de la caverne les animaux qu'ils voulaient abattre. Ils les représentaient blessés, ou bien trébuchant, pour mettre de leur côté la bonne fortune des armes, et ainsi ils étaient à peu près sûrs de les atteindre, le moment venu.