La couverture n'illustre pas le contenu de l'histoire car elle laisse supposer que l'on est dans la partie ouest du Canada ( les Rocheuses) et donc que l'on va avoir un récit fort de péripéties en pleine nature, avec une faune variée à découvrir et à affronter, des paysages rudes et splendides à la fois, ... Bref : un récit avec une dimension épique. Ici, on s'ennuie ferme en montant vers le lac Saint Jean puis en s'y installant avec une famille de colons irlandais dont nous allons partager un quotidien bien monotone. Jean-Côme Noguès donne surtout l'impression de n'avoir pris le " Canada" que comme toile de fond, sans réelle recherche documentaire pour donner vie et corps à un récit qui s'agite seulement sur les dernières pages. Les indiens sont des ombres caricaturales... pour moi qui ai vécu au Canada... c'est la grande déception. N'est pas Jack London qui veut!
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J'ai adoré ce livre car il parlait du Moyen-Age et on y apprenait beaucoup sur la vie féodal (paysans, batailles, seigneurs, chevaliers...).
J'ai apprécié cette histoire parce qu'elle parlait d'un garçon nommé Martin qui avait déniché un oiseau. Mais le fauconnier lui a confisqué et l'a domestiqué. Martin a tout fait pour le récupérer mais il a été prisonnier car les serfs (Martin en était un) n'avaient pas le droit d'en avoir un chez eux. Grâce à une bonne action, il a pu le récupérer.
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Bon livre j'ai bien aimé meme si l'histoire se fini mal
Tom 501
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C'est l'histoire d'un jeune garçon, Martin qui apprivoise un faucon. Mais, au Moyen Age, le faucon est réservé à la chasse du seigneur. Celui qui osait s'en approcher finirait au cachot. Mais le jour où le fauconnier découvrit son secret, il finit au cachot. Mais Martin réussit à s'échapper grâce à un exploit qu'il a accompli. Le roi essaye de le retrouver pour le récompenser…
J'ai aimé le début, mais à la fin, je n'ai pas tout compris. Il m'a plu parce que c'est une histoire dans laquelle on peut bien imaginer les scènes. Je conseille ce livre aux lecteurs rêveurs.
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C'est un bon livre on s' atache vite au faucon
La fin est très surprenante !
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C'est l'histoire d'un petit garçon nommé "Martin" , il rêvait d'avoir un faucon mais lui, il n'a pas le droit . Seul les seigneurs le peuvent mais un jour Martin trouve un oisillon sauf que l'impitoyable fauconnier du château veut faire de cette oiseau le plus féroce du château . Mais heureusement, il le remet en liberté et le faucon peut vivre sa vie.
Le faucon déniché est un livre super chouette les illustrations sont magnifiques mais il serait mieux en couleurs .L'auteur Jean -Côme Noguès a eu une idée géniale pour ce livre
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La lecture est assez bien mais parfois ennuyante car il n'y a pas assez d 'action à notre
goût. Un des passages qui est long est quand Martin est emprisonné dans la tour .
On aurait voulu que la guerre soit plus décrite, avec davantage de combats.
Le vocabulaire est parfois un peu compliqué, mais cela permet de connaître des mots.
Par exemple ? nous avons appris ce que signifie l'expression « prendre asile chez les
moines ».
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Un jeune serf (paysan),Martin, vole un faucon dans la nature
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De très belles illustrations pour une jolie histoire de garçon qui essaie de gagner sa vie et de trouver sa place sur la terre
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Ce livre parle d'un enfant qui va dans la forêt de son Roi et voit un faucon par terre, il va le soigner mais il se fait attrapper par les gardes du roi qui décident de le mettre au cachot.
Je trouve l'histoire pas trés bien, car il n'y a pas assez d'action. De plus ils envoient un enfant au cachot est qu il tu le faucon
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J'ai été déçue : je m'attendais à plus d'infos sur Victor Hugo. Par contre, on est baigné dans une époque, dans Paris, ce qui n'est pas inintéressant. On comprend certaines choses sur l'écriture de ce "géant" et des misérables notamment...mais on reste un peu sur sa faim !
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Lecture jeune, n°127 - Paris, 1661 : le jeune Gabriel vit dans une chambre de bonne. Il survit en faisant le mime sur le Pont Neuf. Remarqué par Molière, il devient « moucheur de chandelles » pour sa fameuse troupe installée au théâtre du Palais-Royal. Gabriel finit ainsi par côtoyer les grands personnages de l’époque : Mazarin, Anne d’Autriche, Fouquet et, bien sûr, Louis XIV. Mais il découvre aussi l’ambition, la jalousie et le pouvoir de l’argent. Victime d’une intrigue, il préfère fuir la capitale et choisir la liberté en montant sa propre compagnie.
Ce roman historique permet aux lecteurs de découvrir un Paris vivant, mêlant « petites gens » et personnages de la Cour. En outre, l’ouvrage dépoussière l’image scolaire et parfois figée de Molière dont on découvre ici les différentes facettes : celle de l’artiste pressé par l’urgence de la création, celle du directeur de troupe qui doit composer avec l’humeur de ses comédiens, celle de l’homme amoureux… On soulignera les qualités d’écriture de Noguès, parfaitement maîtrisée, alerte et qui rend compte avec brio d’une vie riche en rebondissements.
Agnès Donon
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