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Critiques de Jean-Côme Noguès (176)
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Le faucon déniché

Martin est un jeune homme qui vit avec ses parents. Ils habitent dans un petit village proche d'un château. Un jour Martin escalade un arbre. En secouant sans faire exprès une branche il fait tomber d'un nid un petit faucon. Martin le garde une fois descendu de l'arbre et lui fabrique une cage. A cette époque il faut savoir que seulement la noblesse a le droit d'avoir des faucons.



Maxence L.
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L'été de Silvio

Dans ce livre, nous suivons l'histoire de Silvio passionné de peinture.Son souhait le plus cher? Vivre de sa passion. Mais lorsqu'on est qu'un berger une telle ambition n'est-elle pas une folie?











J'ai apprécié ce livre même si il manque de l'action au début donc il est difficile d'accrocher malgré tout Silvio est un personnage attachant et persévérant pour atteindre son rêve. Je vous le conseil si vous voulez aimez les romans sans trop d'actions.







Eline
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Le faucon déniché

Au temps du Moyen-Age, un jeune garçon s'est pris de passion pour la fauconnerie, sauf qu'il n'a pas le droit, ni l'autorisation de garder sous son aile, un jeune faucon.
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Le faucon déniché

La grande histoire émouvante de Martin



Le faucon déniché de Jean-Côme Noguès. Il a écrit beaucoup de livres comme le Voyage inspiré ...



Le personnage principal s’appelle Martin : il a entre 10 et 14 ans. Il adopte un faucon. L’histoire se passe au Moyen Age, dans un château et dans un village. Martin a trouvé un faucon mais il n’a pas le droit de le posséder car c’est le privilège des fauconniers. C’est un roman d’aventures et d’histoire.



Ce livre m’a plu parce qu’il y a de l’action et du suspense. Cette histoire est intéressante. C’est un roman qui se dévore. Il est facile à comprendre et à lire. Excellent.



Je recommande ce livre aux amateurs d’action et de suspense.

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Le faucon déniché

Notre dernier après-midi lecture m'a permis de découvrir ce livre qui, contrairement à beaucoup, n'a jamais été dans mon programme scolaire. Malheureusement, ce fut vraiment une déception car je ne m'attendais pas du tout à ça. Je me suis beaucoup ennuyée et la fin m'a fait pousser un "tout ça pour ça ?" désespéré...



Premièrement, il vous faudra un bon petit moment pour vous habituer au style très (trop !) moyenâgeux de l'auteur. Les descriptions sont intéressantes et bien écrites, mais dès qu'il est question de dialogues... tous les personnages utilisent un ton vraiment trop exagéré et des tournures de phrases qui m'ont fait sourciller. J'avais très souvent l'impression d'être devant une mauvaise pièce de théâtre sur-jouée.



Puis ce fut l'histoire qui m'a fait soupirer. Si vous vous attendez à une aventure haletante, de la tension face au secret que garde Martin, de l'émotion devant la relation du jeune garçon avec le faucon... et bien il n'en est rien. Après avoir trouvé le faucon, l'auteur ne s'attarde absolument pas sur son dressage et le lien qui se tisse entre l'animal et le garçon et nous amène directement au moment ou le fauconnier du seigneur découvre son secret et l'emmène en prison. Quel intérêt ?!



Ce livre n'est tout simplement pas une aventure, mais plutôt un catalogue de la vie au moyen-âge. Certains passages sont du coup introduits comme un cheveu sur la soupe (je pense notamment au passage avec le fauconnier qui commence, soudainement et sans aucun rapport avec la situation, à débiter avec précision ce qu'il va faire pour sauver le faucon qui s'est blessé) tout ça pour expliquer au lecteur un aspect de la vie au moyen-âge. Et, franchement, c'est d'un ennui !



D'accord, ce livre est vieux, mais ça n'excuse pas tous les problèmes que j'ai cité plus haut. Heureusement, il se lit très vite et l'ennui n'est que de courte durée. Dans tous les cas, la quatrième de couverture m'avait promis tout autre chose. Le résumé dessert vraiment le livre et devrait être changé.
Lien : https://bookshowl.blogspot.f..
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Le faucon déniché

Guilhem





Martin est un des fils du bûcheron Brichot. Il est âgé d’une douzaine d’années. C’est un serf. Il vit pauvrement avec ses parents et son petit frère sur les terres du seigneur Guilhem Arnal de Soupex. Au Moyen Age, les journées sont rythmées pas les travaux des champs et les difficultés pour se nourrir. Martin rêve d’avoir un faucon. Un jour, il va dans la forêt pour les admirer. L’un des oisillons tombe du nid. Martin décide de le garder et c’est le début d’une belle amitié. Il le dresse pour qu’il ne chasse que pour manger et non pour le plaisir de tuer comme les faucons dressés par le fauconnier du seigneur. Il sait bien que posséder un faucon est le privilège du seigneur et que si le fauconnier l’apprend, il le lui confisquera. Et cela arriva. Martin se retrouve alors emprisonné au château jusqu’à ce que le seigneur décide de son sort. Mais quelques jours plus tard, du haut de sa prison, le jeune serf aperçoit une armée ennemie. Il doit trouver le moyen d’alerter tout le monde ; mais comment va-t-il faire ?



C’est un très bon roman historique de Jean-Côme Noguès qui nous montre la vie au Moyen Age et l’organisation de la société à cette époque. Il nous fait vivre une belle histoire d’amitié entre un faucon et un jeune cerf.



Ce roman historique est de très bonne qualité cependant il est un peu triste. Une fin heureuse comme par exemple Martin qui garde le faucon pour lui et le fauconnier qui serait puni aurait été une meilleure fin. Mais j’ai tout de même adoré.
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Le faucon déniché

C'est une histoire intéressante mais je n'aime pas le fait que d'élever un faucon est interdit sous peine de prison même pour les plus jeunes. Ce que j'ai aimé est le fait que Martin puisse retrouver son faucon à la fin de l'histoire.
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Le faucon déniché

Je l'ai lu et j'ai adoré l'histoire! Ce Martin, quelle tête brulée. La fin est trop triste. Je le recommande!
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Le faucon déniché

J'ai pas trop aimée car si on était un "non-passionner" de lire on serais perdu



en se moment dans le livre . Mais se qui aime les livre d'action , je leur



déconseille se livre .
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Au bout des longues neiges

Je dois avouer que prendre un livre appelé Au bout des longues neiges dans ma valise pour le lire à Malte n'a pas été une de mes plus géniales idées. Mais son avantage est qu'il est tout petit - donc facile à glisser dans mon sac de plage! Malgré tout, je pense que je l'aurais mieux apprécié sous ma couette avec une tasse de chocolat chaud entre les mains! Eh oui, je ressors un peu déçu de ma lecture...



Pourtant le petit côté historique du roman me tentait bien : la famine de 1846 qui a touché toute l'Irlande, les conditions de vie désastreuses des Irlandais... Mais cet aspect du roman est très peu exploité, il ne sert que de base à l'auteur pour lancer son histoire. C'est dommage!



La famille O'Connell est obligée de fuir leur pays natal, en espérant trouver au Canada un avenir meilleur. L'émigration est un choc pour la famille, qui ne connaissait jusque-là que l'Irlande. Jean-Côme Noguès nous dépeint avec une écriture fluide et envoûtante, un pays à la fois terrifiant et... terriblement fascinant.



Finnian O'Connell est un jeune garçon de douze ans attachant, mais je ne me suis que peu identifié à lui. Il est pourtant plein de vie et très débrouillard pour son âge. L'inconnu ne lui fait pas peur, et il ne va d'ailleurs pas tarder à faire des rencontres inattendues... qui vont vite changer sa perception du monde.



Ne vous attendez pas à des actions grandiloquentes : il n'y a ni combats épiques ou coups d'éclat, c'est à peine quelques menaces et intimidations entre Indiens et colons! A l'image de la couverture, le roman est avant tout la description d'un voyage vers l'inconnu... Mais il est bien trop court (et jeunesse) pour que l'intrigue puisse être réellement développée.



La fin est ce qui m'a le plus déçu : elle m'a semblé trop enjolivé, tout d'un coup, tout le monde semble bien s'entendre et oublier les rancœurs passées. J'ai eu l'impression que l'auteur bâclait le dénouement de l'histoire...
Lien : http://attrape-mots.blogspot..
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Le faucon déniché

Je n'ai pas du tout aimé ce livre
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Au bout des longues neiges

Finnian O’Connel et sa famille quittent l’Irlande en 1846 poussés par la famine qui sévit dans le pays. Son frère aîné, Shelag, a organisé leur exil vers le Canada. Après une éprouvante traversée sur un vieux voilier, la famille comme les autres migrant,est mise en quarantaine sur une île. Pour le garçon, c’est le début de l’aventure et la découverte de la liberté. Il va entrer en contact avec la fabuleuse nature du nouveau continent et nouer une relation d’amitié avec un jeune indien.

Un récit très bien écrit. Peut-être trop d'ailleurs pour de jeunes lecteurs car la lecture en est parfois un peu complexe dans les tournures de phrases. Un beau roman d’aventure qui n’est pas sans rappeler ceux de J. London
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Au bout des longues neiges

Excellent livre ! L’auteur a su faire de ce thème dur, la famine en Irlande, contraignant ses habitants à l’exil, un roman au rythme haletant et très prenant.

Le style est fluide et l’histoire captivante, entre tristesse et romans du grand nord à la Jack London, le tout à travers les yeux d’un jeune garçon, un peu laissé à lui-même dans ce grand bouleversement.

Il croise dans les terres canadiennes des figures emblématiques, particulièrement un trappeur et un indien qui l’initient à la cette nouvelle vie.

Certains passages sont très durs, sans être choquants (la vente des dernières affaires, la perte des économies...), cassant l’ambiance bucolique.

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Au bout des longues neiges

Jean-Côme Noguès est un auteur qu'on ne présente plus, très connu des collégiens notamment pour son très bon "faucon déniché". Il nous offre ici un roman court et poétique sur la vie des émigrés irlandais au Canada. Nous suivons un jeune garçon, Finnian, et sa famille, au cours de la traversée et des premiers mois d'installation au Canada. Tous les membres de cette famille ne vivent pas les choses de la même manière. Finn, lui, est emballé par cette aventure. Il rencontre notamment un trappeur solitaire qui le captive, et un jeune indien sourd-muet avec qui il découvrira la rudesse de son nouveau pays, et celle de l'amitié.



Au bout des longues neiges, il y a un commencement. Comment, après avoir été déraciné, peut-on recommencer sa vie. Il faut apprivoiser ses craintes, la nouvelle terre, les nouveaux voisins et leurs coutumes. Tout comme les greffes, c'est parfois en blessant l'arbre qu'on obtient une greffe plus profonde, solide et durable.



Jean-Côme Noguès ne s'attarde pas sur l'intrigue. Il s'intéresse au points de vue des personnages, aux images fortes de cette grande traversée et de l'arrivée au Canada. Avec une grande poésie, et un langue riche et savante, il peint un Canada majestueux, inquiétant et envoûtant. Les colons se sentent bien petits dans leur concession, et ils mettrons parfois plusieurs générations pour s'y sentir chez eux.



Cette famille irlandaise est une démonstration de courage et de tolérance. Les indiens qui se sentent parfois agressés sont fiers et pleins de respect pour cette Terre qui est la leur. Ils attendent des arrivants qu'il en soit de même les concernant, sinon, gare aux problèmes!



Une fresque magnifique qui apporte de nombreuses réflexions sur les sujets du déracinement, de l'exil, de la découverte de l'autre et des l'espérance. Pour tous (mais tout de même bons lecteurs car la langue, et surtout la syntaxe, sont assez travaillées), dès 10 ans.
Lien : http://louvrage.canalblog.co..
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Le rêve d'Icare

"Le rêve d'Icare " de Jean-Côme NOGUES et illustré par Hippolyte est un coup de cœur !

Icare est le fils de l'ingénieux Dédale en exil sur l'île de Crète. Il est le témoin de la tension entre les dieux et les rois.

Minos le roi de Cnossos n'a pas respecté Poséidon, le dieu de l'océan: au lieu de sacrifier le taureau blanc comme l'écume offert par le dieu, il l'a conservé; Poséidon se venge alors en apportant à l'animal une attirance dont la femme de Minos n'est pas insensible. De leurs amours défendues nait le Minotaure, homme à la tête de taureau. Le monstre vit, féroce, et devient un instrument de pouvoir de son beau-père.

Icare est un jeune homme mal dans sa peau. Il est beau comme un dieu, a des origines royales et pourtant il est méprisé comme le fils d'un esclave. Son père, Dédale, est reconnu pour son talent mais lui se fait insulter quand, par fougue, il demande un duel de lutte entre gentilshommes au prince Androgée. Ce dernier, athlète accompli, gagnera une des couronnes les plus convoitées aux Panathénées à Athènes, en Grèce. Androgée est tué. Par Egée, le roi d'Athènes? C'est en tous cas ce que croit Minos, son père. Une guerre est déclarée, Minos en sort vainqueur mais souhaite une vengeance plus profonde et demande 14 jeunes athéniens en pâture chaque année pour son monstre, le Minotaure.

C'est avec une rage compréhensive, qu'Icare avait été témoin de l'emprisonnement du Minotaure dans le labyrinthe créé par son père. A l'arrivée de Thésée, prince d'Athènes, venu tué le monstre, il est le confident d'Ariane, princesse nouvellement éprise du héros si populaire de Grèce. Elle lui demande l'aide de Dédale. Et Dédale fournira la solution... le fil déroulé pour sortir du labyrinthe.

Minos est furieux: son instrument de pouvoir, le Minotaure, est tué; son labyrinthe dévoilé; sa succession détruite; sa fille partie dans les bras de Thésée. Il cherche le coupable, Dédale avoue et se retrouve avec son fils emprisonné dans son invention: le labyrinthe.



Ce livre apporte une lecture de la complexité d'un mythe. Icare apparait comme un maillon d'une légende plus forte que lui. Par sa jeunesse, son ambition à être, à devenir quelqu'un, il est fougueux mais seul, délaissé par un père portant un lourd fardeau, par une société codifiée et même par les dieux.

Bien-sûr il sortira du labyrinthe avec des ailes comme son père. Ce dernier souhaitera partir loin, très loin, fuir un roi. Icare, lui, voudra devenir l'égal d'un dieu, partir haut. Ce mythe reprend tout le malaise de la jeunesse, le rapport au corps, le poids de la destinée de ses parents, ce besoin de reconnaissance qui pousse à des actes insensés.



Le texte parle de la parentalité, de la paternité dans les conseils mais aussi dans la façon d'être.



Le texte de Jean-Côme NOGUES est très riche. Il apporte la tension, les étapes d'un malaise et même si la solution semble présente, il marque ce manque d'attention à l'autre. Les hommes semblent en proie aux dieux mais aussi aux actes des autres. Les émotions sont ici magnifiquement présentes et apportent du fond dans les personnages, comme pour le Minotaure ou la description d'un lieu chargé de sens, comme son tombeau.

Au fil des pages, de magnifiques détails sur l'ingéniosité de Dédale, le labyrinthe mais aussi les ailes, apportent encore plus au mythe.



J'aime énormément le travail d'Hippolyte que je découvre. Son ingéniosité dans cette exercice de style sur fond noir ou marron, travailler le crayon, coloré ou non, comme une plaque à gratter.

Ses illustrations donnent de la profondeur au récit et même si le parti-pris est de rester dans une pudeur (nudité des athlètes, et d'un pied, pas présente) les scènes sont fortes et déclenchent l'émotion.

La mythologie apparait alors celle des hommes, des muscles, des colères et des éléments (divins) avec une grande place offerte au ciel par exemple.
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Le faucon déniché

Un court récit, lu en classe de 5e.



Je me souviens que, si le cadre offrait une étendue de savoirs sur la période médiévale et certaines descriptions étaient bien construites, l’histoire en elle-même se révélait très fragile.



Avec une trame plate, sans beaucoup d’action vers le milieu du roman, les personnages ne parviennent pas à se faire apprécier. Martin est un serf qui découvre un jour un jeune faucon orphelin et décide de l’élever pour qu’il devienne « son » oiseau. Or, n’étant pas un seigneur, il en a l’interdiction.



En partant sur cette base-là, même l’intrigue jeunesse aurait pu honorer une relation cachée entre Homme et animal, tout en appuyant sur les lois féodales de l’époque comme Jean-Côme Noguès aime les rappeler. Mais j’ai plutôt eu l’impression d’un personnage simple, plus matérialiste que soucieux du bien-être de son oiseau.



On peut excuser le rendu du fauconnier, antagoniste de l’histoire. C’est l’ennemi de Martin auquel doivent adhérer de jeunes lecteurs. Cependant, lui aussi se montre un peu trop extrémiste avec les rapaces. Les scènes de volerie sont documentées, et relatées, mais pas omniprésentes – compte tenu de la situation qui n’avance pas vraiment.



Et la fin, décevante, paraît sortir de nulle part. On perd le seul personnage auquel je m’étais attachée, au cours d’une tentative maladroite de rédemption de la part du protagoniste.



Ce n’est donc pas la meilleure lecture scolaire que l’on m’ait donnée. Malgré la promesse que fait le faucon hobereau de couverture à son lecteur, ce roman conviendra bien mieux à un manuel sur le Moyen-Âge qu’à un amateur de rapaces.
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Le génie du pousse-pousse

Replonger dans cet album 15 ans (au moins !) après et s’émerveiller de nouveau.



Un conte poétique et humaniste, qui véhicule la sagesse orientale quant au labeur et à la générosité.

L’histoire est presque secondaire cependant ; l’album est agrémenté d’illustrations superbes, tout en finesse, on es transporté dans un voyage initiatique en Chine.
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Le voyage inspiré

J'ai beaucoup aimé ce livre car il m'a permis de découvrir le voyage de Christophe Colomb parti vers l'Ouest pour rejoindre les Indes et prouver que la terre est ronde. Il a découvert l'Amérique et les natifs qu'il a appelé les indiens croyant être aux Indes.

Camille (5ème - 12 ans)
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Le faucon déniché

Tout d'abord, bonjour.

J'ai lu ce livre comme devoir et cela a était un devoir pour moi. Je me suis pas attaché au personnages que cela soit Martin, le faucon ou qui que soit.

J'ai lu ce livre y'a 1 ans et pourtant je me souviens de sa fin tragique, la mort du faucon.

J'étais presque indignée parce que j'ai mis du temps à lire ce livre tout cela pour qu'il meurt.

Un goût amer.

A votre âme et conscience !
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L'été de Silvio

un livre pour la jeunesse qui m'a rappelé les films-télé vus dans mon enfance.

on découvre le monde des peintres à Florence, autant que le monde paysan, une année où la sécheresse rend les pauvres encore plus pauvres.

mais Silvio ne lâche pas son rêve de devenir peintre un jour, même si, pour le moment, il ne fait que préparer les couleurs.

malgré les embûches, la pauvreté, la jalousie, grâce à sa ténacité mais aussi à la générosité de ses deux amis et au regard bienveillant et éclairé du Maître, Silvio trouvera sa place dans l'atelier réputé de Pietro Boretti.
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