Martin est un jeune homme qui vit avec ses parents. Ils habitent dans un petit village proche d'un château. Un jour Martin escalade un arbre. En secouant sans faire exprès une branche il fait tomber d'un nid un petit faucon. Martin le garde une fois descendu de l'arbre et lui fabrique une cage. A cette époque il faut savoir que seulement la noblesse a le droit d'avoir des faucons.
Maxence L.
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Dans ce livre, nous suivons l'histoire de Silvio passionné de peinture.Son souhait le plus cher? Vivre de sa passion. Mais lorsqu'on est qu'un berger une telle ambition n'est-elle pas une folie?
J'ai apprécié ce livre même si il manque de l'action au début donc il est difficile d'accrocher malgré tout Silvio est un personnage attachant et persévérant pour atteindre son rêve. Je vous le conseil si vous voulez aimez les romans sans trop d'actions.
Eline
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Au temps du Moyen-Age, un jeune garçon s'est pris de passion pour la fauconnerie, sauf qu'il n'a pas le droit, ni l'autorisation de garder sous son aile, un jeune faucon.
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La grande histoire émouvante de Martin
Le faucon déniché de Jean-Côme Noguès. Il a écrit beaucoup de livres comme le Voyage inspiré ...
Le personnage principal s’appelle Martin : il a entre 10 et 14 ans. Il adopte un faucon. L’histoire se passe au Moyen Age, dans un château et dans un village. Martin a trouvé un faucon mais il n’a pas le droit de le posséder car c’est le privilège des fauconniers. C’est un roman d’aventures et d’histoire.
Ce livre m’a plu parce qu’il y a de l’action et du suspense. Cette histoire est intéressante. C’est un roman qui se dévore. Il est facile à comprendre et à lire. Excellent.
Je recommande ce livre aux amateurs d’action et de suspense.
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Guilhem
Martin est un des fils du bûcheron Brichot. Il est âgé d’une douzaine d’années. C’est un serf. Il vit pauvrement avec ses parents et son petit frère sur les terres du seigneur Guilhem Arnal de Soupex. Au Moyen Age, les journées sont rythmées pas les travaux des champs et les difficultés pour se nourrir. Martin rêve d’avoir un faucon. Un jour, il va dans la forêt pour les admirer. L’un des oisillons tombe du nid. Martin décide de le garder et c’est le début d’une belle amitié. Il le dresse pour qu’il ne chasse que pour manger et non pour le plaisir de tuer comme les faucons dressés par le fauconnier du seigneur. Il sait bien que posséder un faucon est le privilège du seigneur et que si le fauconnier l’apprend, il le lui confisquera. Et cela arriva. Martin se retrouve alors emprisonné au château jusqu’à ce que le seigneur décide de son sort. Mais quelques jours plus tard, du haut de sa prison, le jeune serf aperçoit une armée ennemie. Il doit trouver le moyen d’alerter tout le monde ; mais comment va-t-il faire ?
C’est un très bon roman historique de Jean-Côme Noguès qui nous montre la vie au Moyen Age et l’organisation de la société à cette époque. Il nous fait vivre une belle histoire d’amitié entre un faucon et un jeune cerf.
Ce roman historique est de très bonne qualité cependant il est un peu triste. Une fin heureuse comme par exemple Martin qui garde le faucon pour lui et le fauconnier qui serait puni aurait été une meilleure fin. Mais j’ai tout de même adoré.
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C'est une histoire intéressante mais je n'aime pas le fait que d'élever un faucon est interdit sous peine de prison même pour les plus jeunes. Ce que j'ai aimé est le fait que Martin puisse retrouver son faucon à la fin de l'histoire.
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Je l'ai lu et j'ai adoré l'histoire! Ce Martin, quelle tête brulée. La fin est trop triste. Je le recommande!
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J'ai pas trop aimée car si on était un "non-passionner" de lire on serais perdu
en se moment dans le livre . Mais se qui aime les livre d'action , je leur
déconseille se livre .
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Je n'ai pas du tout aimé ce livre
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Finnian O’Connel et sa famille quittent l’Irlande en 1846 poussés par la famine qui sévit dans le pays. Son frère aîné, Shelag, a organisé leur exil vers le Canada. Après une éprouvante traversée sur un vieux voilier, la famille comme les autres migrant,est mise en quarantaine sur une île. Pour le garçon, c’est le début de l’aventure et la découverte de la liberté. Il va entrer en contact avec la fabuleuse nature du nouveau continent et nouer une relation d’amitié avec un jeune indien.
Un récit très bien écrit. Peut-être trop d'ailleurs pour de jeunes lecteurs car la lecture en est parfois un peu complexe dans les tournures de phrases. Un beau roman d’aventure qui n’est pas sans rappeler ceux de J. London
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Excellent livre ! L’auteur a su faire de ce thème dur, la famine en Irlande, contraignant ses habitants à l’exil, un roman au rythme haletant et très prenant.
Le style est fluide et l’histoire captivante, entre tristesse et romans du grand nord à la Jack London, le tout à travers les yeux d’un jeune garçon, un peu laissé à lui-même dans ce grand bouleversement.
Il croise dans les terres canadiennes des figures emblématiques, particulièrement un trappeur et un indien qui l’initient à la cette nouvelle vie.
Certains passages sont très durs, sans être choquants (la vente des dernières affaires, la perte des économies...), cassant l’ambiance bucolique.
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"Le rêve d'Icare " de Jean-Côme NOGUES et illustré par Hippolyte est un coup de cœur !
Icare est le fils de l'ingénieux Dédale en exil sur l'île de Crète. Il est le témoin de la tension entre les dieux et les rois.
Minos le roi de Cnossos n'a pas respecté Poséidon, le dieu de l'océan: au lieu de sacrifier le taureau blanc comme l'écume offert par le dieu, il l'a conservé; Poséidon se venge alors en apportant à l'animal une attirance dont la femme de Minos n'est pas insensible. De leurs amours défendues nait le Minotaure, homme à la tête de taureau. Le monstre vit, féroce, et devient un instrument de pouvoir de son beau-père.
Icare est un jeune homme mal dans sa peau. Il est beau comme un dieu, a des origines royales et pourtant il est méprisé comme le fils d'un esclave. Son père, Dédale, est reconnu pour son talent mais lui se fait insulter quand, par fougue, il demande un duel de lutte entre gentilshommes au prince Androgée. Ce dernier, athlète accompli, gagnera une des couronnes les plus convoitées aux Panathénées à Athènes, en Grèce. Androgée est tué. Par Egée, le roi d'Athènes? C'est en tous cas ce que croit Minos, son père. Une guerre est déclarée, Minos en sort vainqueur mais souhaite une vengeance plus profonde et demande 14 jeunes athéniens en pâture chaque année pour son monstre, le Minotaure.
C'est avec une rage compréhensive, qu'Icare avait été témoin de l'emprisonnement du Minotaure dans le labyrinthe créé par son père. A l'arrivée de Thésée, prince d'Athènes, venu tué le monstre, il est le confident d'Ariane, princesse nouvellement éprise du héros si populaire de Grèce. Elle lui demande l'aide de Dédale. Et Dédale fournira la solution... le fil déroulé pour sortir du labyrinthe.
Minos est furieux: son instrument de pouvoir, le Minotaure, est tué; son labyrinthe dévoilé; sa succession détruite; sa fille partie dans les bras de Thésée. Il cherche le coupable, Dédale avoue et se retrouve avec son fils emprisonné dans son invention: le labyrinthe.
Ce livre apporte une lecture de la complexité d'un mythe. Icare apparait comme un maillon d'une légende plus forte que lui. Par sa jeunesse, son ambition à être, à devenir quelqu'un, il est fougueux mais seul, délaissé par un père portant un lourd fardeau, par une société codifiée et même par les dieux.
Bien-sûr il sortira du labyrinthe avec des ailes comme son père. Ce dernier souhaitera partir loin, très loin, fuir un roi. Icare, lui, voudra devenir l'égal d'un dieu, partir haut. Ce mythe reprend tout le malaise de la jeunesse, le rapport au corps, le poids de la destinée de ses parents, ce besoin de reconnaissance qui pousse à des actes insensés.
Le texte parle de la parentalité, de la paternité dans les conseils mais aussi dans la façon d'être.
Le texte de Jean-Côme NOGUES est très riche. Il apporte la tension, les étapes d'un malaise et même si la solution semble présente, il marque ce manque d'attention à l'autre. Les hommes semblent en proie aux dieux mais aussi aux actes des autres. Les émotions sont ici magnifiquement présentes et apportent du fond dans les personnages, comme pour le Minotaure ou la description d'un lieu chargé de sens, comme son tombeau.
Au fil des pages, de magnifiques détails sur l'ingéniosité de Dédale, le labyrinthe mais aussi les ailes, apportent encore plus au mythe.
J'aime énormément le travail d'Hippolyte que je découvre. Son ingéniosité dans cette exercice de style sur fond noir ou marron, travailler le crayon, coloré ou non, comme une plaque à gratter.
Ses illustrations donnent de la profondeur au récit et même si le parti-pris est de rester dans une pudeur (nudité des athlètes, et d'un pied, pas présente) les scènes sont fortes et déclenchent l'émotion.
La mythologie apparait alors celle des hommes, des muscles, des colères et des éléments (divins) avec une grande place offerte au ciel par exemple.
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Un court récit, lu en classe de 5e.
Je me souviens que, si le cadre offrait une étendue de savoirs sur la période médiévale et certaines descriptions étaient bien construites, l’histoire en elle-même se révélait très fragile.
Avec une trame plate, sans beaucoup d’action vers le milieu du roman, les personnages ne parviennent pas à se faire apprécier. Martin est un serf qui découvre un jour un jeune faucon orphelin et décide de l’élever pour qu’il devienne « son » oiseau. Or, n’étant pas un seigneur, il en a l’interdiction.
En partant sur cette base-là, même l’intrigue jeunesse aurait pu honorer une relation cachée entre Homme et animal, tout en appuyant sur les lois féodales de l’époque comme Jean-Côme Noguès aime les rappeler. Mais j’ai plutôt eu l’impression d’un personnage simple, plus matérialiste que soucieux du bien-être de son oiseau.
On peut excuser le rendu du fauconnier, antagoniste de l’histoire. C’est l’ennemi de Martin auquel doivent adhérer de jeunes lecteurs. Cependant, lui aussi se montre un peu trop extrémiste avec les rapaces. Les scènes de volerie sont documentées, et relatées, mais pas omniprésentes – compte tenu de la situation qui n’avance pas vraiment.
Et la fin, décevante, paraît sortir de nulle part. On perd le seul personnage auquel je m’étais attachée, au cours d’une tentative maladroite de rédemption de la part du protagoniste.
Ce n’est donc pas la meilleure lecture scolaire que l’on m’ait donnée. Malgré la promesse que fait le faucon hobereau de couverture à son lecteur, ce roman conviendra bien mieux à un manuel sur le Moyen-Âge qu’à un amateur de rapaces.
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Replonger dans cet album 15 ans (au moins !) après et s’émerveiller de nouveau.
Un conte poétique et humaniste, qui véhicule la sagesse orientale quant au labeur et à la générosité.
L’histoire est presque secondaire cependant ; l’album est agrémenté d’illustrations superbes, tout en finesse, on es transporté dans un voyage initiatique en Chine.
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J'ai beaucoup aimé ce livre car il m'a permis de découvrir le voyage de Christophe Colomb parti vers l'Ouest pour rejoindre les Indes et prouver que la terre est ronde. Il a découvert l'Amérique et les natifs qu'il a appelé les indiens croyant être aux Indes.
Camille (5ème - 12 ans)
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Tout d'abord, bonjour.
J'ai lu ce livre comme devoir et cela a était un devoir pour moi. Je me suis pas attaché au personnages que cela soit Martin, le faucon ou qui que soit.
J'ai lu ce livre y'a 1 ans et pourtant je me souviens de sa fin tragique, la mort du faucon.
J'étais presque indignée parce que j'ai mis du temps à lire ce livre tout cela pour qu'il meurt.
Un goût amer.
A votre âme et conscience !
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un livre pour la jeunesse qui m'a rappelé les films-télé vus dans mon enfance.
on découvre le monde des peintres à Florence, autant que le monde paysan, une année où la sécheresse rend les pauvres encore plus pauvres.
mais Silvio ne lâche pas son rêve de devenir peintre un jour, même si, pour le moment, il ne fait que préparer les couleurs.
malgré les embûches, la pauvreté, la jalousie, grâce à sa ténacité mais aussi à la générosité de ses deux amis et au regard bienveillant et éclairé du Maître, Silvio trouvera sa place dans l'atelier réputé de Pietro Boretti.
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