Citations de Jennifer L. Armentrout (1534)
Je serai à tes côtés et pas seulement pour te protéger - p. 374
La peur et la bravoure vont souvent main dans la main. Elles font de toi un combattant ou un lâche. La seule différence, c'est la personne que tu es réellement à l'intérieur.
Le crack, c'est de l'arnaque.
- N'abandonne jamais l'espoir, ma chérie. Au bout de la route, le paradis t'attend.
- pas pour ce genre de chose
- je sais.... mais tu es ici et...(c'était la raison pour laquelle je n'avais pas voulu qu'il vienne. Je me tournai vers le docteur et tendis la main.) Il ne laissera personne me toucher. Je vais devoir le faire moi-même.
- Je t'aime, me dit-il avec des yeux incroyablement brillants. Si ta vie est en danger, je ferai tout ce qu est en mon pouvoir pour té protéger. C'est ce qu'on fait quand on est amoureux, non ?
- T'es sérieux, là ? Tu ne crois pas que tu as mieux à faire ? On a des extraterrestres surescités qui nous collent au cul !
- L'embrasser, c'est toujours ce que j'ai de mieux à faire !
- Tu me distrais avec des inepties. Et avant que tu me le demandes, ça veut dire "des trucs débiles".
Il termina sa pizza.
- Je sais ce qu' "inepties" veut dire.
- Incroyable, rétorquai-je.
Un sourire malicieux étira lentement ses lèvres.
- Je dois beaucoup te distraire, alors, parce que tu ne m'as toujours pas dit pourquoi tu étais là.
Et merde. Il avait raison. Pff.
- Très bien ! (Je levai les mains au ciel.) Oui, j'ai des sentiments pour toi. Ce que tu as fait pour moi à Thanksgiving, ça m'a rendue... (Ma voix se brisa.) Ca m'a rendue heureuse. Tu m'as rendue heureuse. Oui, je tiens toujours à toi, OK ? J'ai des sentiments pour toi, mais je ne peux pas mette des mots dessus parce que tout me paraît bien fade en comparaison. Je t'ai toujours désiré, même quand je te détestais. Je te voulais alors que tu me rendais dingue. Je sais que j'ai tout gâché. Pas seulement pour toi et moi. Pour Dee aussi.
Il souriait.
- Tu as conscience que j'adore les défis ?
Riant doucement, je fis volte-face en lui adressant un doigt d'honneur.
- Moi aussi, Daemon. Moi aussi.
- Est-ce que tu... ressens quoi que ce soit quand je suis près de toi ?
- Tu veux dire à part ce que j'ai ressenti ce matin en te voyant avec ce jean qui te va à ravir ?
- Daemon... (Je soupirai, en essayant de calmer la fille à l'intérieur de moi qui sautait dans tous les sens en criant : "Il m'a remarquée !") Je suis sérieuse.
Il été hors de question que je serve de goûter intergalactique.
Dans la vie, on a toujours le choix. C'est la seule chose que l'on ne peut pas nous retirer.
- On ne peut pas se permettre de te perdre, dit-elle après quelques instants de silence. Il faut que tu comprennes que nous n'avons pas fait ça par désintérêt envers Kat. Nous faisons ça parce que nous t'aimons.
- Mais je l'aime, dis-je sans aucune hésitation.
Les yeux de Dee marquèrent son étonnement, probablement parce que c'était la première fois qu'elle m'entendait le dire. Enfin, à propos de quelqu'un qui n'appartenait pas à ma famille. J'aurais voulu le dire plus souvent, surtout à Kat. Marrant comment ce genre de truc tourne toujours mal à la fin.
Quand on est plongé dans quelque chose, on ne dit jamais ou fait ce dont on a besoin. C'est toujours après le fait, quand c'est trop tard qu'on réalise ce que l'on aurait du dire ou faire.
Il ne pouvait pas être trop tard. Je le savais. Le fait que je sois toujours en vie en était la preuve. Comme Dee disait, il y a des choses pire que la mort.
— Et merde…
Quelques secondes après que la porte se fut refermée, un coup résonna dans le couloir et Andrew s’écria :
— Ça ne va pas ? Pourquoi tu me frappes ? !
— Tu as le pire timing de tous les temps ! rétorqua Daemon.
Je me mordis les lèvres. Je pouvais encore entendre mon père m'encourager avec sa devise préférée:
"Allez, Kittycat, ne reste pas sur le bord de la route"
Je redressai les épaules. Mon père, lui, avait toujours été acteur de sa vie...
- Et comment est-ce qu'on doit s'y prendre pour lui faire dépenser de l'énergie ?
De l'autre côté de la pièce, Andrew eut un grand sourire.
- On pourrait l'emmener dans un champ et la courser avec nos voitures. Ce serait drôle !
- Va te faire...
Daemon m'interrompit avec un éclat de rire.
-Je ne pense pas que ce soit une bonne idée. Drôle, mais pas très approprié. Les humains sont fragiles.
-Je vais te mettre mon pied fragile dans le cul et après on verra ! rétorquai-je, énervée.
- C’est pire que du harcèlement sexuel. Est-ce que je dois porter plainte ?
- Dans tes rêves, Kitten. (Il eut un sourire suffisant.) Ah non, j’y suis déjà, pas vrai ?
Je levai les yeux au ciel.
- Dans mes cauchemars, Daemon. Mes cauchemars.
Mon Dieu, le simple fait de l'admettre représentait sans doute un péché capital... mais la vérité, c'était que Jax était un Cam 2.0.
"Je me sentais inexorablement attiré par toi, Calla. Je suis tombé amoureux de toi avant même que tu connaisses mon nom"