Citations de Jennifer L. Armentrout (1534)
Les mots étaient le plus puissant des instruments. Simple et souvent sous-estimé. Ils avaient la capacité de guérir. De détruire.
La douleur de la perte d'un parent ou d'un membre de la famille dure longtemps après leur disparition. La peine s'estompe, mais ne disparait jamais vraiment. Des années plus tard, on se surprend à penser qu'on ferait n'importe quoi pour qu'ils reviennent.
Parfois, se souvenir de ceux qui sont morts signifie faire face à sa propre mortalité.
- Si tu nous mènes en bateau, je te jure sur...
- Le Bon Dieu, ta mère ou la tête de ton arrière-grand-père que tu me tueras, me coupa-t-il. J'ai compris. Je n'ai pas l'air intimidé, comme ça, mais je le suis. Bon, on y va, ou quoi?
- Tu as vraiment cru que je t'avais oubliée ?
Je baissai la tête. Je pouvais encore sentir la froideur de son regard sur ma peau.
- Je ne savais pas quoi penser. Tu... Tu m'as regardée comme la première fois que tu m'as vue.
- Kat. (Il prononça mon prénom comme une prière, puis déposa un baiser juste derrière mon oreille). J'ai enfreint toutes les règles de mon peuple en te guérissant et en te gardant près de moi. Je t'ai épousée et j'ai mis une ville entière à feu et à sang pour toi. J'ai tuée pour toi. Tu croyais vraiment que j'allais oublier ce que tu représentes pour moi ? Que quelque chose en ce monde, dans cet univers, serait plus fort que mon amour pour toi ?
J'avais la gorge serrée.
- J'en suis certaine, mais tu n'es pas si mal que ça toi non plus.
Il haussa un sourcil.
- Bon, d'accord, tu as tendance à avoir une attitude de connard de première, mais tu n'es pas si mal pour autant. (Je m'interrompis, le coussin toujours serré contre moi.) Tu veux savoir ce que je pense franchement ?
- Je dois avoir peur ?
Je ris.
- Je pense qu'il y a quelqu'un de très gentil sous cette façade de petit con. Je l'ai déjà aperçu. Alors, même si la plupart du temps j'ai envie de te frapper, je ne pense pas que tu sois un mauvais garçon. Tu as beaucoup de choses à gérer, c'est tout.
Daemon pencha la tête en arrière en ricanant.
- Alors, ce n'est pas si mal, tu as raison.
Depuis mon arrivée ici, je n'avais pas pu mettre à jour mon blog littéraire. J'avais l'impression d'avoir été amputée d'un membre.
Beautiful face. Beautiful body. Horrible attitude. Il was the holy trinity of hot boys.
Je souris, puis me mis à rire comme un idiot et ça m'était bien égal. Je la pris dans mes bras et posai sa tête contre mon torse. Nos cœurs battaient la chamade, en tandem. En cet instant, tout ce que nous avions traversé, tout c que nous avions perdu ou abandonné n'avait plus d'importance. Car ce qui importait, ce qui importerait toujours, c'était ce lien qui nous unissait.
- J'ai toujours pensé que tu étais... ("sublime" n'était pas un adjectif assez viril pour le décrire, alors j'en choisis un autre). Très séduisant.
- Tu me trouvais tellement sexy que tu ne pouvais pas t'empêcher de me reluquer, tu veux dire !
- Il faut vraiment qu'on travaille sur ta modestie.
Je fis un pas vers elle, puis mis un genou à terre, dans ma serviette. J'aurais peut-être dû enfiler un caleçon.
Quand l'avenir est incertain, on réfléchit à ce que l'on désire réellement, on a envie de concrétiser nos souhaits, coûte que coûte.
Daemon ouvrit la boîte et plongea la main à l'intérieur. Il en sortit une branche pleine d'aiguilles vertes et me donna un léger coup avec.
- Je crois qu'on a un sapin à décorer. Je sais que la parade est terminée, mais il me semble qu'ils rediffusent l'épisode spécial Thanksgiving de Snoopy. C'est mieux que rien.
Je ne pus rien y faire. La boule réapparut dans ma gorge et cette fois, je fus incapable de la refouler. Sautant du canapé, je courus hors de la pièce. Des larmes jaillirent avant de couler le long de mes joues. L'émotion me serrait la gorge tandis que je m'essuyais les yeux.
Daemon se matérialisa devant moi pour m'empêcher de monter l'escalier. Il avait les yeux écarquillés, les pupilles luisantes. Je tentai de m'échapper, mais il me captura aussitôt entre ses bras puissants.
- Je n'ai pas fait tout ça pour te faire pleurer, Kat.
- Je sais. (Je reniflai.) C'est juste que...
- Juste que quoi ? (Il me prit le visage entre ses mains et essuya mes larmes avec ses pouces. Ses caresses me firent frissonner.) Kitten ?
- Je ne crois pas que tu te rendes compte à quel point... ce genre de chose me touche. (Je tentai de maîtriser ma respiration, mais ces stupides larmes continuaient de couler.) Je n'ai plus fait ça depuis que... Papa est mort. Je suis désolée de pleurer. Je ne suis pas triste. Je ne m'attendais pas à ça, c'est tout.
- Ne t'en fait pas. (Il m'attira à lui. Je n'opposai aucune résistance. Il passa ses bras autour de moi.)
Mon attirance pour lui en était presque douloureuse. Sa proximité embrasait toutes les cellules de mon corps... Mais il restait Daemon.
J'étais debout à présent. Je respirais à peine, mais je la sentais. C'était terrifiant et excitant à la fois. Le pouvoir voulait que je l'utilise.
Franchement ..... J'AI TROP BIEN FAIT DE VENIR ICI et de lire vos critiques ... Merci !!!! J'ai lu ce roman en une soirée disons une nuit .-)
J'ai adoré, je n'es pas pu relever la tête de ma liseuse une seule fois, vraiment !!! Je ne connaissais pas cette auteur mais vraiment super, je suis ravis. Je n'avais pas été autant dévorée un livre comme celui là. Tout t'y est ... souvent dans ce genre de livre, il manque beaucoup de chose à mon goût, ici tout est détaillé. Disons que le lien entre Deamon et Kat est fil conducteur dans le livre et souvent les auteurs sont trop "prude" ou je sais pas mais en tout cas arrivé au moment fatidique et souvent ce qui nous fait saliver faut l'admettre ... la scène est coupée. Genre oups c'est obscène je vous laisse imaginer.
J'espere qu'elle va continuer dans cette lancée, pas pour en faire un livre érotique non bien sure mais au moins il me parait plus adulte et puis disons la vérité on attends pratiquement que ça dans ce bouquin.
Ensuite la relation faite entre eux deux j'adore, cela change vraiment de ce que l'on peut lire dans d'autres œuvres. Ce jeux du chat et la souris moi j'approuve totalement et encore une fois l'auteur y met les forme dans le vocabulaire. Elle a un style d'écriture que j'adore.
Sinon pour l’histoire ouffff j'ai eu peur que cela tombe dans la banalité mais finalement super cela change des vampires, sorciers, et loup garou ou elfes (même si j'adore hein ;-) ) . L'idée est vraiment pas mal.
Bref par contre c'est juste pas POSSIBLE d'attendre 1 AN, c'est délirant non ???? je vais pas pouvoir c'est une horreur franchement, qu'elle idée hein ???
Alors j'attends de vous beaucoup, pouvez vous me conseiller d'alléchant et de passionnant livre à lire ??? je suis à cours !
(bon encore une fois désolé j'ai dû semer des fautes plus grosse que moi pourtant j'ai relus alors je m'en excuse "encore une fois" ;-) )
« Les joues en feu, je m’écartai de Cam. Lui ne semblait nullement gêné quand il m’embrassa sur le front. J’aperçus par-dessus son épaule Steph et l’une de ses copines, bouche bée. Elle ne connaissait sans doute pas non plus la nouvelle… Quand je me retournai vers mes amis, ils me contemplaient tous deux comme si je venais de leur montrer mes seins. Je me penchai pour ramasser mon sac.
- Bon, avant que vous ne vous mettiez à brailler, sachez que c’est tout récent, ça date d’hier, et que je n’ai pas eu le temps de vous prévenir.
Brit croisa les bras.
- Tu n’as pas eut le temps pour appeler ou même, j’en sais rien, envoyer un texto ?
- On es plus ou moins restés ensemble toute la journée d’hier. On est sortis diner, et puis…
- Vous avez couchés ensemble ? m’interrogea Jacob en me secouant par les épaules. Oh, mon Dieu, copine, des détails, il me faut des détails. Est-ce qu’il à une grosse…
- On n’a pas couché ensemble. (je repoussai ses mains sans douceur) Mince on n’est ensemble que depuis hier, laissez-moi un peu de temps.
- Perso, je l’aurais baisé dès le mois d’aout, souligna Jacob.
Je le toisai d’un œil torve. Ils me passèrent sur le grill le temps d’arriver en classe et pendant tout le début du cours… »
Nous-mêmes.
Comme si nous étions un ensemble, une serrure et une clé.
J'étais le feu, et Casteel était l'air qui l'alimentait.
Certaines vérités ne font que détruire et pourrir ce qu’elles n’oblitèrent pas - p. 442