Citations de Jennifer L. Armentrout (1534)
La mort est comme une vieille amie qui vient te rendre visite. Parfois, tu ne l'attends pas, mais parfois, si.
La mort m avais rendu visite alors que je ne l'attendais pas.
La mort est comme un vieil ami qui rend visite, parfois quand on s'y attend le moins et d'autres fois quand on l'attend. Ce n'est ni la première ni la dernière fois qu'elle rendra visite, mais cela ne rend pas la mort moins dure ou impitoyable.
« Tu vois ce que tu me fais ? demanda-t-il en suivant mes hanches.
— Oui, murmurai-je.
— Tu me tues. »
— J’étais prêt à voir le monde s'embraser tant que j'étais avec toi pour le regarder.
La mort est comme une vieille amie qui vient te rendre visite. Parfois, tu ne l’attends pas, mais parfois, si.
Pourquoi, après toutes ces années, ses paroles pouvaient-elles encore m’atteindre ainsi ? Lorsque j’avais été plus jeune, elles m’avaient blessée au plus profond de mon âme, mais depuis un ou deux ans, je ne ressentais plus que de la résignation. Ces cicatrices n’étaient pas quelque chose que je pouvais changer. Je le savais. Pourtant, il venait de réussir à me heurter comme si j’avais de nouveau 13 ans.
Tu dis que j’ai une lumière en moi, mais c’est toi, ma lumière.
Il se tenait au dessus de moi. Son visage était parsemé de points rouges. "Tu saignes.
- Tu as trois flèches plantées dans le corps.
- Tu es blessée. Où ?" Il s'agenouilla à côté de moi sans relever mon intervention un brin inutile.
"Mais quelqu'un m'a dit un jour que les relations les plus solides sont celles où la passion est la plus forte."
"Je suis tombée amoureuse de toi quand tu étais Hawke et j'ai continué lorsque tu es devenu Casteel."
"Parce que la douleur m'aide à me rappeler et à ne pas reproduire les mêmes erreurs."
"J'étais le feu, et Casteel était l'air qui l'alimentait."
Les trois petits mots n'avaient pas été prononcés, mais chaque geste, chaque gémissement débordait d'amour. Je n'avais pas besoin qu'il me le dise. J'étais enveloppée dans ses sentiments pour moi.
Ça m'a juste fait penser à la façon dont parfois on trouve des choses dont on ne savait pas qu'on en avait besoin quand on cherche quelque chose de complètement opposé.
Je voulais me souvenir de son visage quand le monde deviendrait sombre. Je voulais me souvenir de ce que ça faisait d’être dans ses bras, d’entendre sa voix et de sentir sa bouche contre la mienne. Je voulais me souvenir de la façon dont il souriait quand je le menaçais, et comment ses yeux s’illuminaient et se réchauffaient à chaque fois que je le défiais. Je voulais me souvenir de la fierté que je ressentais chez lui quand je réduisais au silence eux qui m’entouraient avec des mots ou une lame. Je voulais me rappeler la manière dont il touchait mes cicatrices avec révérence, comme s’il n’en était pas digne, comme s’il n’était pas digne de moi.
On ne peut pas reprocher à quelqu’un d’espérer.
À la façon dont elle avait prononcé ce mot, on aurait pu croire que je lui avais suggéré de courtiser un tas de bouse.
Si cette épreuve m'avait appris quelque chose, c'est qu'il fallait profiter de la vie - de tout ce qu'elle avait à offrir : la colère, le deuil et les larmes, mais avant tout les rires et l'amour.
Juste profiter de la vie.
Parce qu'elle était éphémère et imprévisible et que personne, ni moi ni quiconque de ma connaissance, ne disposait d'un jour ni même d'une seule seconde qui lui était acquise.
- Je te déteste.
- Mais non.
- Je vais te poignarder, l'avertis-je. Et j'y prendrai plaisir. »
Il baissa le livre en faisant mine d'être inquiet. « Ça, je veux bien le croire.
J'étais coincée dans cette vie que je ne me rappelais pas, enfermée dans l'enveloppe de cette fille, de cette Samantha Jo Franco, et plus j'en apprenais à son sujet, plus je la détestais.
𝑵𝒐𝒖𝒔 𝒓𝒆𝒏𝒂𝒊̂𝒕𝒓𝒐𝒏𝒔. 𝑫𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒆 𝒔𝒂𝒏𝒈 𝒆𝒕 𝒍𝒂 𝒄𝒆𝒏𝒅𝒓𝒆.
- Je t'ai aimée toute ma vie, répondit il, les yeux au fond des miens. Et je t'aimerai jusqu'à ma mort si tu m'y autorises, Syd.
Je voulais déterminer si elle ressentait une grande douleur, quelque chose qui allait au-delà de la souffrance physique, un mal qui prenait ses racines dans le deuil ou l'amertume. Ce genre de sentiments poussait à commettre des actes terribles pour essayer d'apaiser ses angoisse.