Joe Todd-Stanton

Avec "Le secret du rocher noir" nous entrons dans le fantastique pour aborder le sujet de la pollution en mer.

Si les dégâts causés par les hommes sont peu traités, l'album se penche sur la diversité de la faune marine et du sort malheureux dont elle souffre.

Grâce à l'imaginaire cette histoire fait prendre conscience de la richesse sous-marine que les humains ont pillé sans vergogne.

Un conte plein de poésie qui a beaucoup plu à mes petits auditeurs.

Le plus fort n’est pas toujours celui qu’on croit ! Le rusé goupil de l’histoire l’apprend à ses dépens, le jour où croyant attraper le minuscule Jules, il se retrouve la tête coincée dans son terrier. Le souriceau pourrait bien, quant à lui, recevoir aussi une belle leçon de vie, lui qui pensait préférer la solitude à la compagnie…



Comme dans Le secret du rocher noir, le registre est celui de la fable, porté par un joli texte qui parvient en peu de mots à nous toucher, à nous faire (beaucoup) rire, trembler et réfléchir. Le charme de cet album opère dès la couverture aux couleurs chatoyantes et au trait japonisant caractéristique de Joe Todd-Stanton. Comme toujours chez lui, la composition graphique est dynamique, alternant cases, illustrations enchâssées dans le récit et doubles-pages fourmillant de détails. Ces illustrations nous font découvrir un monde fascinant fait de terriers et de galeries cachés sous terre, d’herbes hautes et de fruits appétissants, d’alliés et de prédateurs…



Un album merveilleux qui invite à ne jamais sous-estimer ceux qui semblent plus petits que nous, mais aussi à faire voler en éclats les idées reçues pour trouver le courage d’aller vers l’autre.
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C’est avant tout pour ma fille que j’avais coché ce titre lors de la dernière masse critique. Mais n’étant pas hostile aux ouvrages dédiés à la jeunesse, j’étais ravie de gagner ce « Arthur et la corde d’or ». Le titre et la couverture laissaient présager un récit trépidant et plein de fantaisie. Le résultat est réussi sans être transcendant.



« Arthur et la corde d’or » est à mi-chemin de la B.D et de l’album illustré, ce format particulier permet d’imprimer au récit un rythme original mais qui manque parfois de dynamisme. Du coup, ma fille n’a pas été spécialement emballée et moi-même je suis un peu restée sur ma faim. Dommage parce que l’histoire, puisant dans les légendes nordiques, était pleine de possibilités. Mais celles-ci restent ici à l’état de promesses et ne prennent jamais réellement corps, elles semblent simplement esquissées.



Le dessin est séduisant même s’il manque un brin de personnalité, il est très dans l’air du temps. C’est vraiment le traitement qui empêche cet album d’être une vraie bonne surprise pour moi. J’imagine la même histoire racontée par le duo de « Bergères guerrières », ça aurait été formidable. Je remercie Babelio et Sarbacane de m’avoir permis de lire « Arthur et la corde d’or ». Si je n’ai pas été emballée, j’ai tout de même passé un moment plaisant.

C’est le premier volet des aventures de la famille Vieillepierre, j’ai lu les tomes 3 et 4 d’abord, mais ce n’est pas gênant. Chaque aventure s’attache à une mythologie particulière. Pour commencer, on va découvrir Arthur en Islande aux prises avec Fenrir. Pour le combattre, il va chercher de l’aide auprès de Thor.

Le graphisme est superbe, inventif et coloré, la mise en page oscille entre l’album jeunesse et la bande dessinée, c’est de la grande aventure, un quête initiatique chargée de poésie aussi bien que d’action, elle fait parfois un peu peur, juste ce qu’il faut, et on s’attache vraiment au personnage d’Arthur. Cette série démarre fort bien, la suite est encore mieux.

Il est certes tout petit, mais il a plus d’un tour dans son sac ! Arthur n’a jamais été du genre à faire comme tout le monde, mu par une irrésistible curiosité, une soif d’exploration confinant à la témérité. Lorsqu’une bête terrible s’en prend à son village viking, personne ne compte sur lui. Mais Arthur n’écoute que son courage…



Voilà une perle de bande-dessinée qui va émerveiller petits et grands ! Pour sa première bande-dessinée, le talentueux Joe Todd-Stanton puise son inspiration dans une mythologie nordique dont on découvre tout le charme. Cette Islande de forêts et de glaces, de cavernes et de falaises offre un décor envoûtant aux aventures d’Arthur. Il s’agit-là d’une véritable épopée, avec ce qu’il faut d’épreuves, de territoires à explorer, d’alliances à créer et de monstres à terrasser.



Tout cela est superbement illustré, avec de ravissantes couleurs chaudes et une multitude de petits détails à savourer au fil des lectures (comme toujours, j'ai posté quelques extraits accessibles via le lien ci-dessous). La mise en page est particulièrement dynamique, alternant cases et grandes doubles-pages dans lesquelles Arthur n’est plus qu’une petite silhouette obstinée dans un panorama immense…



Une histoire pour rêver, s’évader dans un univers magique et prendre confiance en soi. Un tome qui se suffit parfaitement à lui-même, mais dont on est ravi d’apprendre qu’il sera suivi d’autres albums. Bravo !
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C'est le deuxième volet des aventures de la famille Vieillepierre. On va suivre Lucie, la fille d'Arthur, aux prises avec Thot, Râ et le Sphinx. Dans cet épisode, nous faisons un détour dans la mythologie égyptienne, avec du mouvement, de l'action, servi par un graphisme inventif, coloré et une mise en page entre album jeunesse et bande dessinée, avec à nouveau un personnage très attachant, et quelques surprises scénaristique, et beaucoup de magie, de fantastique, cette série est vraiment un belle réussite.

Ours fait partie d'une lignée de chien élevés (avec des parents dûment sélectionnés) pour devenir des chiens policiers. Malheureusement pour Ours, il ne passe pas la sélection est devient chien d'aveugle pour Patrick, un homme qui a perdu la vue à l'âge adulte.

Dès le départ il y a une grande complicité entre l'humain et l'animal, et tout bascule le jour où Ours perd la vue lui aussi. Malheureusement pour lui des ratons laveurs farceurs qui se cachaient dans la maison lui proposent une expédition miracle ...au cours de laquelle ils l'abandonne. C'est le début d'une aventure pleine de rencontres et de rebondissements pour cet animal qui devra apprendre à se servir de ses sens et retrouver confiance en lui.



J'ai trouvé cette histoire vraiment très touchante , tant par le scénario que ses illustrations. De nombreux thèmes très universels sont abordés : le regard sur soi, le regard des autres, les sens, les liens d'amitiés, le sens qu'on donne à son existence. Et la bande dessinée, qui se déroule à New York, comporte aussi des éléments culturels spécifiques sur les moyens mis en place pour les aveugles aux Etats-Unis.

J'ai beaucoup aimé l'humour aussi dont ont fait preuve le scénariste et le dessinateur, que ce soit dans la mise en scène où dans les dialogues.

C'est un ouvrage qui invite à l'empathie et à se mettre à voir la vie à travers les yeux des autres (humains et animaux) et pour toutes ces raisons je me demande pourquoi il n'a pas été davantage mis en avant - certes, il est sorti en 2020 mais quand même, il a été primé à Angoulême en 2022 dans la catégorie jeunesse.

L’histoire d’amitié et d’entraide entre cette souris et ce renard est touchante : Jules est une souris solitaire et cela lui convient. Comment se faire des amis quand le monde entier veut vous manger ? C’est d’ailleurs dans ce but qu’un renard part à sa rencontre. Mais la roue va tourner. En aidant ce prédateur, Jules va se faire un nouvel ami...

Cet album qui se lit en bulles comme un BD est drôle , exquis et merveilleusement illustré en version presque cinématographique.

Sa mise en page est parfaitement harmonieuse et joue vraiment dans le rythme de lecture pour jouer sur des ressorts humoristique.

Agrémentée d’aquarelles lumineuses, colorées, pleines de vie et de mouvement qui accompagnent l’intrigue, on a presque envie de se glisser dans ce décor champêtre, qui est parfait pour une lecture automnale.

Et puis, il y a l’art de raconter l’histoire, et ça, l’auteur le maîtrise à la perfection et arrive à nous émouvoir avec simplicité.

La famille Vieillepierre est une famille qui, à travers les âges, s'est évertuée à protéger les créatures mythologiques. Kaï et sa mère vont nous faire découvrir la mythologie chinoise. L'histoire est merveilleuse, pleine de charme, avec une héroïne touchante. le ton est celui du conte et des légendes, mais avec un esprit très positif, adapté à un public jeune. le graphisme est envoûtant, plein de nuances subtiles de couleurs, d'inventions graphiques, la mise en page est dynamique, les grandes illustrations en pleine page sont vraiment impressionnantes. le dessin est magnifique, et l'histoire n'est pas en reste. Cette série britannique vaut vraiment le détour, à découvrir !

Eline habite près de la mer, notamment d’un rocher noir dont on raconte qu’il recèle des secrets et dont il ne faut pas s’approcher. Les adultes parlent même de le détruire. Mais Eline est curieuse et arrive à déjouer les plans des uns et des autres pour plonger près du rocher après avoir sauté du bateau de pêche de sa maman. Je ne vous dis pas ce qu’elle va découvrir, juste que les a priori qu’on a dans la vie ne sont pas toujours justifiés. J’ai bien aimé les illustrations et surtout la diversité de la faune marine représentée par l’auteur.

C’est un album jeunesse fantastique pour les enfants qui rêvent encore et pour les parent qui se souviennent.

C’est une jolie pépite, douce au toucher – la couverture à la douceur d’une peau de pêche – belle à regarder, agréable à feuilleter ; un ticket magique pour un merveilleux voyage onirique.



Il s’agit de l’histoire de Mila et de son papa. Et c’est l’histoire de Figue aussi, la jolie petite chatte rousse qui accompagne Mila partout où elle va.



Au commencement, Mila habitait une jolie maison dans la campagne anglaise, près de la mer.

Non loin de chez elle il y avait de très grands arbres qui poussaient très haut et depuis très longtemps...

Au-dessus de sa maison il y avait des milliers d’étoiles qui luisaient dans la nuit. Quand se levait le soleil, les étoiles n’étaient plus visibles pour Mila mais elles continuaient de veiller elle et sur son petit monde ; ça, Mila le savait.

Tous les jours, son papa allait la chercher à l’école et puis ensemble, ils faisaient la cuisine, dessinaient ou lisaient des histoires merveilleuses…



Mais le papa de Mila a dû commencer un nouveau travail qui les a emmenés loin de leur maison, dans une grande ville ; il a fallu emménager dans un nouvel appartement.



Maintenant, Papa travaille toute la journée. C'est long...

Mila et son papa n’ont plus le temps pour faire la cuisine, ni pour lire des histoires. Mila ne voit plus les beaux arbres dans la campagne environnante ; elle n’entend plus les vagues bercer son sommeil ; elle ne voit d’étoiles, sinon sept à peine qui semblent bien tristes et abandonnées.



Alors Mila guette à sa fenêtre le moment où la magie fera de nouveau une nouvelle apparition - si celle-ci daigne pourfendre la grisaille de la grande ville ce qui ne lui semble plus une évidence.

Mais soudain elle la voit ! La comète ! Une belle comète qui colore de mille feux le monde de Mila !

Mais comment se fait-il que le papa de Mila ne semble-t-il pas la voir !?



Quand soudain…



C’est un vrai bijou que cette comète !

Et moi qui rêve encore, j’adore la dernière double page de cet album qui permet de visiter le bel immeuble où logent Mila et son papa ; on peut tranquillement prendre les escaliers et rendre visite aux voisins ; il y a la jolie voisine du 4ème, celle qui a la « main verte », l’appartement de Mila au 5ème dorénavant tout redécoré, la cuisine de la grand-mère accueillante du 6ème, les joyeux pirates du 7ème, la belle bibliothèque de la dame instruite du 8ème et le toit-terrasse où l’on peut rêver à sa guise…

C’est merveilleux !

Ours est un chien qui n'a qu'un but : protéger Patrick car Patrick est aveugle. Vous aurez donc deviné, en toute logique, qu'Ours est un chien guide d'aveugle. Malheureusement pour lui, il perd soudainement la vue... Et le voilà qui se lance - sur le conseil d'un raton laveur douteux - dans un périple plein de danger pour essayer de la retrouver.



Dans cette oeuvre de Ben Queen et Joe Todd-Stanton, le handicap est au coeur de l'histoire.

On découvre à travers le texte et les sublimes illustrations de Todd-Stanton, le quotidien d'une personne malvoyante, la rencontre avec son chien guide, l'accompagnement que celui-ci lui apporte... mais le vrai point fort de ce roman graphique jeunesse, c'est de se placer à la hauteur du chien guide. Chien guide qui va lui même se retrouver à devoir être aidé mais qui va nous faire découvrir toutes les possibilités des sens et la force de l'attachement. S'ajoute à cela des illustrations ingénieuses qui naviguent entre la réalité et l'imagination d'un non-voyant.

Bon j'avoue, l'histoire part un peu dans tous les sens parfois. Pour autant, il y a de belles valeurs dans ce livre et elles sont bien amenées.



En général, j'aime beaucoup les éditions Kinaye car leurs oeuvres abordent régulièrement des sujets qu'on voit peu. A cette originalité de sujet, s'ajoute également un engagement que j'apprécie beaucoup.

Encore un coup de cœur pour un album de l'auteur !



De la douceur, de l'amitié, des illustrations toutes douces... Que demander de plus ?



L'histoire est bien écrite, les personnages sont attachants et les valeurs transmises par Joe Todd-Stanton sont importantes à mettre en avant en littérature jeunesse.



Les illustrations sont belles, très détaillées, et certaines doubles-pages retiennent l'attention pendant plusieurs minutes.



Un plaisir pour les yeux et le cœur...
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J'ai adoré la lecture de ce oneshot. On y découvre les aventures d'Ours, un chien guide d'aveugle qui va devenir aveugle à son tour. On commence par découvrir sa relation avec son maître, Patrick, et c'est tellement beau de voir la confiance qui les lie tous les deux. A partir du moment où Ours devient aveugle, il (Ours) a peur de perdre son "emploi", alors il cherche le moyen de recouvrer la vue et finit par se perdre... Il va alors chercher à retrouver son maître, mais pas facile quand le monde perd ses couleurs... On va ainsi voir le monde à travers la "vision" d'Ours, ou plutôt à travers ses autres sens (l'odorat, l'ouïe...), ses souvenirs et son imagination. J'ai aimé le message de cette BD, qui nous montre que la perte d'un sens n'est pas vraiment définitive, que notre entourage et nos souvenirs, notre imagination ajoutent de la couleur à notre vision du monde.

J'ai aussi beaucoup aimé les dessins et la mise en couleurs, les textures... Les expressions sont top également, mention spéciale pour le raton laveur qui a une tête bien flippante quand il sourit :V

Une bien jolie BD 💕

Erine habite au bord de l'océan et sa maman pêche sur un bateau. Tout serait super dans le meilleur des mondes s'il n'y avait pas le terrible rocher noir, briseur de navires. A moins qu'il ne soit pas si terrible et que le problème soit ailleurs...



En premier lieu, ce sont les illustrations de Joe Todd-Stanton qui m'ont émerveillée. Les couleurs choisies et les dessins sont foisonnant de détails et de nuances. Tout ce que j'aime.



L'histoire est, quant à elle, un joli moyen de parler de la protection de l'environnement. Les adultes s'opposent et ne voient que le problème. Ils veulent détruire sans comprendre, sans connaître. Et c'est là qu'intervient, accidentellement, cette petite fille.

Certes, l'enfant se pose en petit être moralisateur mais le message est bien amené et représentatif de ce qui se joue actuellement sur le plan environnemental.

Découverte de la famille VieillePierre et de son ancêtre Arthur dans sa première aventure qui l’entraînera chez le Dieu Thor, lui fera découvrir l’oiseau magique et lui permettra de montrer à tous son courage. Car la coupe qui chauffait le village a été renversée par un loup géant et seuls des ingrédients spéciaux et de la magie peuvent aider Arthur à débarrasser ce loup géant du village et restaurer la coupe et sa chaleur.

Très bon, beaux graphismes.

Jules ne trouve pas sa place dans le monde des animaux. Il y a ceux qui veulent le manger et ceux qui l'empêchent de circuler sous terre. Il se contente donc de vivre seul loin des autres. Jusqu'à ce qu'un renard affamé essaye de sauter dans son terrier.



Et si un ennemi devenait un allié ?



Une belle histoire sur l'identité, les liens et la place qu'a chacun dans la société.



Un découpage de pages agréable : soit pleine page, soit 2 ou ou 3 séquences par page.

Magnifique album jeunesse qui combine rêve d'évasion et appel à la tolérance.

Les dessins sont splendides et je ne me lasse pas de le lire à mon fils de 5 ans.

Le talentueux Joe Todd-Stanton est de retour avec une nouvelle aventure d’un membre de la Famille Vieillepierrre. Mais cette fois, le héros ne sera pas un archéologue protecteur des trésors, bien au contraire… puisqu’il s’agira d’une voleuse ne pensant qu’à elle ! A chaque tome un mythe différent est abordé, et cette fois c’est la mythologie aztèque que nous découvrirons aux côtés de Louna. Quant à elle, elle apprendra au travers de son aventure la véritable valeur de l’altruisme, un trésor bien plus précieux que tout l’or du monde !

Entre BD et album, ce livre jeunesse est une pépite visuelle doublé d’un joli scénario qui confirme une nouvelle fois la qualité de cette série ! A ne pas manquer.

Gros coup de cœur pour cette histoire adorable et pleine de belles valeurs !



Ce qui m’a plu en premier, évidemment, c’est le chien sur la couverture. Mais d’autres arguments m’ont poussée à la lecture : le résumé et les illustrations.



L’histoire ne m’a pas déçue d’un poil (il fallait des jeux de mots dans l’univers canin, c’est chose faite, ne me remerciez pas). Le point de vue d’Ours et celui de Patrick rythment le récit, ce qui le rend dynamique et nous permet de nous mettre à la place des deux protagonistes. Leur attachement l’un à l’autre est touchant, on reconnait dès les premières pages que leur amitié est sincère.



Les illustrations sont vraiment belles, et autant travaillées au niveau du tracé que des couleurs. La ribambelle d’animaux qui vont croiser le chemin d’Ours durant son aventure sont bien dessinés et adorables, même quand leurs intentions ne sont pas les meilleures.



Sur une autre note (partons sur un Do), j’ai beaucoup aimé la postface, dans laquelle l’auteur explique avec bienveillance comment il s’est renseigné sur la manière dont les personnes non-voyantes percevaient le monde.
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