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Critiques de Johanne Seymour (71)
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Crimes à la librairie

Nouvelles



16 nouvelles. 16 écrivain(es) québécois. 16 crimes dans 16 librairies différentes. Ce recueil, publié en 2014, a été conçu par Richard Migneault qui voulait faire connaître le polars écrit au Québec. Il a donc demandé à plusieurs auteur(es) de nous écrire une nouvelle sur un crime, dans leur style propre à eux, qui se déroule dans une librairie.



Je suis québécoise. Je lis énormément et je me laisse tenter plusieurs fois par année par un roman, des nouvelles, de mes concitoyens. Mais ce recueil m’a fait découvrir des auteur(es) qui m'était complètement inconnu(es). Je vais donc m’empresser d'ajouter à ma Pile À Lire quelques livres de ces auteur(es). À vous de les découvrir maintenant …

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Le goût de l'élégance

Une jolie fable de dépression et de bonheur des livres.



Par une journée grise, une femme perd son emploi. Elle s’appelle Simone Vendredi et va aller travailler pour le libraire Crusoé. D’autres employés se nomment Alice Carroll, Verne ou London. On sent qu’il y a là un peu de magie, mais la détresse de Simone est plutôt réaliste. Elle est au bord du suicide, avec un destin bouché avec le vide de sa vie, ses amours toxiques et une estime de soi effritée.



Un bon roman « feel good », où la lumière de la poésie et de l’amitié peuvent redonner le goût de vivre.

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Crimes à la librairie

L'idée derrière ce livre de nouvelles était de faire connaître les auteurs québécois de polars. Dans mon cas, je peux dire mission accomplie. J'ai maintenant le goût de lire plusieurs auteurs que je ne connaissais pas.



Plutôt que de critiquer chacune des 16 nouvelles, je vais vous présenter mes 6 préférées, celles qui m'ont incité à ajouter des livres à ma PAL.





Le thème de ce recueil contient deux aspects : "crimes" et "librairie". J'ai donc fait mon choix en fonction à la fois de la qualité et originalité de l'intrigue mais aussi en fonction des caractéristiques essentielles des librairies et des livres comme véhicule de culture.



FLORENCE MENEY

Dernier chapitre au Bookpalace



Très bonne intrigue. Une très bonne critique des commerces qui vendent des livres comme n'importe quelle autre marchandise.



Ajoutez à cela une fin à la Hercule Poirot qui attribue un titre de livre à chacun des suspects.





MARIO BOLDUC

Mon combat



On nous annonce l'homicide dès le début, alors quel est l'intérêt de lire cette nouvelle? À vous de le découvrir en la lisant.





PATRICK SENÉCAL

Public cible



Un professeur de littérature dénigre les polars et ceux-ci se vengent.

Une histoire où le fantastique côtoie le réel à l'intérieur d'une librairie bien entendu.





JACQUES CÔTÉ

Jungle Jungle



L'implantation d'un syndicat des employés d'une librairie à la Walmart contrôlée par la mafia. Une bonne critique sociale et un crime surprenant.



JOHANNE SEYMOUR

233°C



Une belle histoire d'amour. Amour des beaux livres. Amour de la belle littérature. Amour entre deux personnes qui aiment la littérature et leur véhicule préféré, les livres.



En prime, un crime qui va plaire à beaucoup de babeliotes.





MARTINE LATULIPPE Le libraire et l’enfant



Comment commettre le crime parfait. Le tout grâce aux bienfaits des livres.





SYLVAIN MEUNIER

L’homme qui détestait les livres



Un inspecteur qui semble aussi niais que Colombo et qui coince progressivement le meurtrier.



Bon scénario





ROBERT SOULIÈRES

Un cadavre au Crépuscule



Une intrigue bien menée et une conclusion très surprenante.





CAMILLE BOUCHARD

Rouge tranchant



Je sais que ces deux mots ne vont absolument pas ensemble mais Camille Bouchard nous raconte un crime comique



Oui, je sais, j'avais dit 6 et je suis rendu à 9. J'aurais cependant pu en ajouter encore plusieurs. En le faisant j'aurais porté un sérieux préjudice aux auteurs non choisis.



Je ne le ferai pas par respect pour ces bons auteurs qui ont accepté de participer à cette expérience et qui n'ont pas satisfait MES GOÛTS.

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Le goût de l'élégance

Quel beau roman qui, malgré qu’il traite de dépression, donne envie de vivre !

Retardée par une explosion inexpliquée plus métaphorique qu’il n’y paraît, Simone Vendredi se fait congédier de son travail dans un magasin grande surface. Pour elle qui traîne une dépression et qui vit d’une paye à l’autre, cela pourrait s’avérer catastrophique, jusqu’à ce qu’elle réponde à une petite annonce placée en vitrine d’une librairie. Elle y fera des rencontres qui changeront sa perspective sur elle-même et sur les autres. Un bel hommage aux librairies et à la bonté du monde.
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Le cri du cerf

Premier de la série des enquêtes de Kate McDougall, on a mis la table. On connaît presque tout des personnages et on devine le reste. Le cri du cerf c'est gros, c'est simple et on voit venir de très loin. Donc, sans plus, une petite lecture d'après-midi d'hiver.
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Le cri du cerf

Après avoir fait lire ce polar à ma mère, qui a beaucoup apprécié sa lecture - et qui m'a dévoilé la moitié de l'intrigue -, je me suis lancée à mon tour dans la lecture de ce roman.



Dès le premier chapitre, on découvre Kate McDougall, qui fait partie de la police québécoise, se baignant dans son propre lac. Jusque là, rien de plus banal. Mais il s'avère que Kate va tomber nez à nez avec le corps d'une jeune fillette de 9 ans, morte, avec le cou tranchée. Après avoir averti ses coéquipiers et commencé les recherches, les agents se retrouvent avec le cadavre d'une seconde fillette âgée de 9 ans. Avec toujours les mêmes indices, ce qui prouve que le meurtrier est un tueur en série. Chose plus troublante, tous les indices concordent vers l'inspecteur Kate McDougall. Serait-elle liée aux meurtres ou simple victime du tueur ?



Le suspense est intense. L'écriture de Johanne Seymour, auteure québécoise que je ne connaissais pas, est vraiment captivante. A chaque fin de chapitre, j'avais envie de continuer ma lecture. C'est très prenant, une fois qu'on a débuté cette histoire, on ne peut plus s'arrêter. De plus, l'intrigue est bien ficelée. Je ne me suis pas douté une seule seconde de l'identité du tueur. Pourtant, j'ai soupçonné presque tout le monde, mais alors lui... qui l'eut crût ?! Un grand bravo à l'auteure qui a réussie à me surprendre.



Attention, si j'avais un petit reproche à faire, ce serait aux éditions Eaux Troubles. En effet, j'ai remarqué un petit quelque chose qui m'a gêné dans les dialogues, c'est le fait qu'après beaucoup de dialogues, ils enchaînent avec une narration classique. Mais sans de retour à la ligne ; sur la même lignée que le dialogue. A l'inverse, certains dialogues sont présents, mais insérés dans la narration. Des petites fautes d'inattentions, sans doute, qui peuvent quand même être déstabilisantes.



Laissez-vous tenter par ce polar, à l'écriture presque exotique (c'est un roman policier québécois, avec des expressions et tournures de phrases bien locales) et à la tension permanente. Si après ce livre vous en voulez encore plus, sachez que l'auteure prépare une suite à son oeuvre... du moins, c'est ce que j'ai compris, après avoir lu le dénouement de l'enquête !
Lien : http://addictbooks.skyrock.c..
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Crimes à la librairie

Seize nouvelles littéraires dont le thème est le même: un crime (presque tous des meurtres) dans une librairie. Plusieurs de ces nouvelles sont très intéressantes, d'autres le sont moins. J'ai beaucoup aimé la librairie comme scène de crime, cela donnait des meurtres cocasses, des mobiles intrigants, une atmosphère bien différente des polars habituels.



J'ai été amusée par Public cible de Patrick Senécal, Jungle jungle de Jacques Côté et par un Cadavre au crépuscule de Robert Soulières.

J'ai bien aimé le libraire et l'enfant de Martine Latulippe, même si on voit tout de même venir la fin. J'ai beaucoup apprécié la nouvelle de Mario Bolduc intitulée «Mon combat», car le thème politique et le lieu (Croatie) étaient originaux et fascinants.



Ce que je trouve dommage des recueils, c'est qu'après coup, on ne se souvient plus trop de ce qu'on a lu et même si plusieurs nouvelles m'ont plu, deux jours après je ne me souviens plus des titres ni des intrigues.
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Le cri du cerf

Le cri du Cerf de Johanne Seymour un polar a la saveur d’un roman Harlequin. Des personnages tourmentés et une histoire à dormir debout. Bref ce genre d’écriture n’est pas ma tasse de thé.
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Crimes à la librairie

Comme souvent dans les recueils de nouvelles, la qualité est très inégale en fonction de l'auteur. Donc de belles pépites, suivies d'autres moins bonnes.
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Le cri du cerf

Lorsque le passé ressurgie….



Kate McDougall, sergent de police, fraichement mutée à Perkins, se réveille dans son chalet et va faire quelques brasses dans le lac bordant sa résidence.

En revenant sur le rivage, elle découvre avec horreur, une enfant morte dans le lac.

Quelques jours plus tard une autre fillette est retrouvée morte non loin de là.



C’est par cet incipit que l’auteur, Johanne Seymour, débute son roman, Le cri du cerf. Incipit captivant qui scotche le lecteur à l’histoire dès le début.



L’enquête de police mènera Kate à se replonger dans son passé douloureux. Sous forme d’entretient avec le psychiatre Dr Marquise Létourneau, Kate va révéler au lecteur toute sa réticence à se dévoiler, jusqu’à commettre des actes impensables.



Une double intrigue se dessine à mesure que l’histoire évolue.

L’équipe d’enquête réussira-t-elle à arrêter le tueur avant qu’il ne fasse une nouvelle victime ?

Quelle est le lien entre le passé de Kate et les meurtres des petites fillettes ?



Des personnages bien construits, avec leur propre personnalité. Un meurtrier insoupçonnable jusqu’à la fin ainsi que des chapitres courts donnent une très bonne dynamique à l’histoire et le rend ‘addictif’ du début à la fin.



Petite cerise sur le gâteau, la révélation en fin de chemin du sens du titre du roman. Magnifique lecture.



Le cri du cerf, de Johanne Seymour, édition eaux trouble, mai 2016, 303 pages.

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Le cri du cerf

Ce premier roman s’annonce être le premier d’une longue série (enfin je lui souhaite). L’enquête est plutôt classique finalement mais Johanne Seymour a su immédiatement capter mon attention et distiller des éléments pour la garder. Il nous permet de découvrir le personnage principal Kate McDougall, maintenant, reste à voir si les prochains romans nous offrent des enquêtes un peu plus « riches » en suspenses. Affaire à suivre comme on dit....
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Crimes à la librairie

Entre trois et deux étoiles. Crimes à la librairie est un recueil aux nouvelles de qualité très inégale. En fait, l'ennui est qu'il "tire" dans tous les sens. On a droit à quelques récits de détection classiques, d'autres qui frôlent l’espionnage et certains l'horreur. Trois facettes généralement destinées à trois types de lecteurs.



Si j'ai eu le bonheur de découvrir la plume de Richard Ste-Marie et de Jacques Côté, plusieurs déceptions ont gâché mon plaisir de lecture. Je songe, entre autres, aux textes très banals de Chrystine Brouillet et de Camille Bouchard, deux noms des lettres pourtant reconnus.



Le comble du malaise (involontaire) atteint son paroxysme avec la nouvelle de Ariane Gélinas qui nous offre une version maladroite du roman Le Parfum. N'y voyez pas là un hommage, mais plutôt un emprunt non-avoué qui pêche par excès.



Bref, Crimes à la librairie ne livre pas la marchandise. Dommage. Dommage.
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Wildwood

Un roman qui se passe en 1968, sur les plages de Wildwood durant les vacances d'été. C'est non seulement un roman sur la découverte de l'amour, de la recherche de son identité mais le tout sur fond de la guerre au Vietnam. Et si on ajoute à cela un meurtre on a tous les ingrédients pour un roman très agréable à lire. Un bon livre de vacances à lire durant l'hiver avec un bon chocolat chaud.
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Le goût de l'élégance

Un livre qu fait du bien, qui donne de l'espoir, qui réconcilie avec les humains. Bravo à l'auteur qui a réussi par son écriture à me faire vivre les émotions de Simone, sa dépression puis tranquillement sa délivrance. Une belle écriture, un beau livre, un sourire sur mon cœur et dans ma tête. Un livre qui fait du bien.



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Le goût de l'élégance

Le commentaire de Lynda : COUP DE COEUR!



Un tout petit livre, mais qui a résulté en un gros coup de cœur.

Je connais Johanne Seymour pour l'avoir lu à maintes reprises, mais pour cette lecture, un style complètement différent que les polars qu'elle nous a offert par le passé, et bien, je dois dire que ça été pour moi une excellente et belle lecture.

Dès le départ, on peut ressentir toute la détresse de Simone, elle est fortement palpable à travers les mots de l'auteure. Avec le temps, Simone s'est isolée, pas d'amis, pas d'amour non plus, elle est seule avec elle-même et ça devient lourd de vivre de cette façon. On sent presque à travers ses mots, qu'elle pense même à en finir et ça fait mal, ça fait mal à notre cœur de ressentir ces sentiments et émotions.

Suite à un congédiement pour un travail qu'elle n'aimait pas vraiment, elle se retrouve à la croisée des chemins, une petite annonce dans une vitrine de librairie, viendra ouvrir une brèche dans ce mur de noirceur qui l'entoure.

À travers le quotidien, les livres, la librairie, elle va reprendre goût à la vie et apercevoir de nouveau la lumière, le soleil, le bonheur.

Une fable qui fait du bien au cœur, qui nous fait sentir que tout n'est jamais aussi noir que ça semble l'être.

Je ne peux que vous conseiller cette lecture, et encore davantage pendant cette période qui affecte tout le monde mondialement. C'est une bouffée d'espoir, c'est un arc-en-ciel de bonheur que nous offre Johanne Seymour, à travers ce personnage de Simone Vendredi, une femme que j'ai trouvé attachante et belle. Tout ça à travers des mots empreints d'une poésie qui coule sur nous avec plein de douceur.
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
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Crimes à la librairie

Ce recueil qui comporte 16 courtes nouvelles se veut une vitrine pour les auteurs de polars québécois. À ce titre il remplit bien son rôle en donnant un aperçu de leur style et, en prime, avec une courte biographie dédiée à chacun d'entre eux. Quant aux nouvelles en soi, tous les genres s'y côtoient; humour, mystère, étude de mœurs, fantastique, suspense, etc. Une lecture vite faite, et sans doute vite oubliée, mais qui m'a permis de repérer des auteurs qui feront éventuellement ma joie par leurs œuvres plus substantielles.

J'ai particulièrement apprécié les nouvelles de Benoit Bouthillette pour son inspecteur amérindien atypique, Mario Bolduc pour son contexte de politique étrangère, Camille Bouchard pour sa fin explosive et Richard Ste-Marie pour le raffinement de son intrigue. Cinq autres auteurs m'ont aussi assez plu pour que je cherche également à aller voir du côté de leur production. Pour les curieux(ses) il s'agit d'André Jacques, Jacques Coté, Florence Meney, Johanne Seymour et Geneviève Lefebvre. Bref l'objectif de découverte que j'avais en sélectionnant ce recueil est pleinement atteint!

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Rinzen, tome 2 : La beauté intérieure

Le coté policier de ce roman porte sur des meurtres qui seront éventuellement reliés à un cartel de drogues mexicain et sur une agression homophobe;correct mais rien de transcendant. Par contre les détresses de Paradis et de Desautels et l'anxiété de Rinzen sont au cœur de ce livre qui porte finalement très bien son nom. C'est la dimension humaine qui fait l'intérêt de ce livre. Sans doute que les adeptes de “page turner” seraient déçus mais pour qui s'intéresse, même juste un peu, à la psychologie des personnes tourmentées, c'est vraiment captivant. Comme dans le précédent opus cependant j'aurais souhaité que l'auteure aille encore plus loin dans son exploration de l'âme humaine. Reste que j'ai passé un bon moment.
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Rinzen et l'homme perdu

Un homosexuel mal dans sa peau et une tibétaine bouddhiste forment une bizarre paire d'enquêteurs. L'auteure exploite bien ce filon mais d'une façon plutôt inattendue. L'intrigue policière en soi est correcte avec juste assez de mystère pour soutenir l'attention. Car on dirait que c'est sur la dynamique de ses personnages et le contexte social que Seymour a mis l'accent: philosophie bouddhiste, courant d'homophobie exacerbé par la présidence de Trump, ravages des problèmes de santé mentale etc. Ce dernier aspect m'a accroché même si j'aurais souhaité qu'il soit plus développé, comme si l'auteure mettait des idées fortes sur la table sans les exploiter réellement. La personnalité complexe de Rinzen en est un exemple frappant. Malgré ce zeste d'inachevé ce fut une bonne lecture.
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Le cri du cerf

Ce n'est pas le meilleur thriller que j'ai pu lire , l'intrigue n'est pas particulièrement originale malgré tout cela reste un bon livre, qui se lit bien. Cependant, je trouve que le suspense retombe vite et que l'histoire se résolve trop vite et un peu trop facilement. Mais j'aime assez l'écriture fluide de l'auteure. Le personnage de la flic sexy et efficace, avec une blessure intime, des problèmes avec l'engagement, auquel tout les hommes de son entourage s'attachent, etc.. fonctionne bien. Au final, je pense que je lirai le prochain tome, peut-être les suivants aussi, en espérant toutefois que cet univers gagne en profondeur.
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Rinzen et l'homme perdu

Quel beau cadeau que m’a offert là Johanne Seymour! Depuis quelques semaines, je dois avouer que soit j’étais victime de mes choix littéraires, soit les auteurs me semblaient en panne de bonnes histoires. Bref, le résultat demeurait le même, une espèce d’ennui et de désintérêt lors de mes lectures. Cela en était au point où, lorsque je suis entré en possession de « Rinzen » je me suis demandé si j’aurais le courage d’entreprendre une nouvelle relation avec de nouveaux protagonistes. En bon lecteur que je suis, et malgré ma tournante, je m’y suis lancé… Quelle belle expérience ce fut! Que de belles rencontres y ai-je faites! Les trois nouveaux personnages : Rinzen Gyatso, Luc Paradis et Gerry Desautels m’ont séduit. Autant j’ai pris plaisir à découvrir leur vécu personnel et leur personnalité totalement différente et originale, autant je me suis délecté de la synergie et de la complémentarité qu'ils dégagent dans leur fonction professionnelle. Je suis si heureux d’avoir ces trois nouveaux amis pour partager mes soirées…



L’histoire en elle-même m’a également séduite. Il s’agit d’une intrigue très captivante même si l’histoire demeure simple. Cela tend à prouver, selon moi, qu’il n’est pas toujours nécessaire d’avoir un récit compliqué pour faire un bon roman. J’ai aussi renoué avec le style très efficace de Johanne Seymour : petits paragraphes, petits chapitres qui vont droit au but, directement à l’essentiel.



Bref, j’ai dévoré ce petit bijou en une soirée et c’était très exactement ce que j’avais besoin de lire pour renflouer de mon « passage à vide » littéraire.



Une lecture à ne pas manquer. Merci Johanne
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