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Critiques de Johanne Seymour (71)
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Rinzen et l'homme perdu

Rinzen Gyatso travaille dans la police. Elle a perdu son mari. Elle et son petit garçon de cinq ans, Sashi, vivent sous le même toit que ses parents, Opame et Sengyé, qui avaient fui le Tibet aux mains des envahisseurs chinois pour se réfugier au Québec.



Rinzen est sur une enquête délicate avec son coéquipier Luc Paradis, sous les ordres du Lieutenant Gerry Desautels.



Un homme de plus de quatre-vingt ans a été retrouvé accroché chez lui à une poutre, crucifié.



Gerry traverse une crise de la cinquantaine. Atteint d'andropause il le vit très mal, déprime et souffre de maux d'estomac. Sa femme est tout son contraire. Positive, dynamique et férue de romans policiers.



Luc a la trentaine comme Rinzen. Il est gay et arpente les lieux chauds à la recherche de partenaires d'une nuit. Il ne veut pas s'engager.



Rinzen, elle, est un petit bout de femme zen, posée et réfléchie. Bouddhiste comme ses parents elle passe son temps libre à méditer ou à s'amuser avec son fils.



Côté enquête, qui a bien pu s'en prendre à un vieillard religieux défroqué?

Tout cela cache il une histoire malsaine de pédophilie?



Au cours du récit nous pouvons lire quelques extraits d'un journal intime ainsi que l'histoire d'un petit garçon qui, à cinq ans, a commencé à se sentir disparaître.

La haine pendant des années contre "l'Autre" va suivre son chemin.



Dans "Rinzen et l'homme perdu" de Johanne Seymour nous découvrons une nouvelle équipe d'enquêteurs.

Les personnages de Luc et Gerry sont les creusés et les plus attachants.



Celui de Rinzen mériterait d'être plus fouillé car elle reste assez sage, en retrait des autres, voire mystérieuse. J'ai eu du mal à la cerner.

On ne sait pas grand chose de sa vie, de ses espoirs, de ses rêves.

Seulement qu'elle a perdu son mari, qu'elle adore son fils et ses parents et qu'elle fait l'impasse sur sa vie sentimentale.



Johanne Seymour avait fait évoluer son héroïne Kate McDougall au fil de la série donc je pense qu'on verra le personnage de Rinzen en faire de même, s'étoffer et se dévoiler dans un prochain opus.



Un polar très bon même si on devine très rapidement qui est le meurtrier. Cependant il est intéressant de suivre l'enquête et le cheminement personnel des protagonistes.



Bizarrement j'ai eu une certaine empathie envers le meurtrier, l'homme dans l'ombre, juste à cause de son passé et de la souffrance qu'il a dû ressentir...



J'attends une suite avec impatience car le final m'a laissé un goût d'inachevé.









































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Le cri du cerf

Personnage complexe qu'est Kate McDougall, mais fort intéressante. On la sent tourmenté, habité de quelques démons, sombre... mais pleine de convictions, d'envie d'élucider et de comprendre. Elle n'hésite pas contourner quelques règles quand elle sent que ça lui est nécessaire. Un beau personnage à qui vient se greffer des personnages secondaire, peut-être un trop cliché à mon goût. L'officier de police parlant un franglais un peu trop scolaire, un chef amoureux d'elle, un autre collègue un peu trop niais et son collègue pas trop rapide sur la déduction. Mais ce n'est qu'un premier roman d'une série de cette enquêtrice, voyons voir si les personnages secondaires se développeront un peu plus en finesse. Une bonne intrigue par contre. Voyons voir ce que Le cercle des pénitents vous fera vivre comme sentiment.
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Le cri du cerf

Québec - Kate Mc Dougall, enquêtrice, tente de se relaxer dans son lac près du chalet où elle habite quand elle découvre le cadavre d'une fillette égorgée qui n'est que le début d'une série.

Pour tenter de résoudre l'affaire, elle va devoir se confronter à un passé qu'elle préfère occulter.

Le moins que l'on puisse dire est que Johanne Seymour, auteure québécoise, sait nous tenir en haleine!

Grâce aux chapitres courts, le rythme est soutenu et le roman se lit à vitesse grand V. Je n'avais qu'une envie, me plonger dans le suivant (va falloir que j'investisse dans l'anti-cernes).

Avec une enquête somme toute classique, l'auteure parvient à en faire un roman captivant, riche en rebondissements, avec des personnages profonds.

Elle nous fait aussi découvrir les rouages de la police canadienne ainsi que des expressions et tournures de phrases très couleur locale (un régal).

Premier d'une série, j'attends la suite avec impatience!
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Le cri du cerf

J'ai bien aimée Le cri du cerf, j'ai accroché dès le début et jamais je n'aurai devinée le tueur. J'ai suspecté presque tout le monde à par le tueur, mais j'aurai aimée plus de description des personnages, lieux etc. Bon petit livre qui ce lit très bien !
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Crimes à la librairie

J'ai bien aimé; ça dépend des auteurs, ça dépend des histoires. Mais cela m'a permis de découvrir une jeune auteur que je ne connaissais pas: Arianne Gélinas. C'est à suivre...
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Le cri du cerf

Beaucoup aimé ! Personnages attachants, surtout ceux qui sont secondaires. Auteure québécoise que je découvre et dont j'ai envie de suivre le parcours !
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Le cri du cerf

J'ai découvert a posteriori que Johanne Seymour évoluait simultanément dans les domaines de la littérature et de la télévision. Je n'en ai absolument pas été surprise.



Effectivement, les romans de Johanne Seymour ont agi sur moi comme une excellente série télévisée.



Chaque fin de chapitre/épisode m'a laissée avec une intense envie de connaître la suite. Et j'ai ainsi dévoré les 5 livres/saisons en une seule et même fin de semaine.



Au début, je souhaitais seulement connaître le dénouement de l'enquête, puis ensuite je voulais savoir ce qui allait advenir de la relation entre Kate et Paul et, au fil du temps, Kate m'a semblé être de plus en plus proche de moi et c'est désormais elle que j'ai avant tout hâte de retrouver.



Son coin de pays est aussi le mien et ce point est une autre force des romans de Johanne Seymour : leur ancrage dans la réalité.



Par les lieux évoqués qui sont ceux de ma région d'adoption, je m'y retrouve.



Par les sujets d'actualité abordés, TOUT LE MONDE s'y retrouve.



Blessures de l'enfance, néo-nazisme, extrémismes religieux, environnement, entre autres.



Les enquêtes de Kate Mac Dougall font partie de ces livres qui semblent n'être au départ qu'une nouvelle «série» parmi les autres et qui ne veulent ensuite plus quitter nos pensées. Ils nous hantent pendant longtemps après leur lecture parce-qu'ils nous ont dévoilé, en ayant l'air de nous offrir un simple divertissement, de cruelles vérités.


Lien : http://austintoutvabien.over..
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Le goût de l'élégance

Si vous aimez voyager dans le noir, dans la tête d’une dépressive suicidaire qui n’arrête pas de s’apitoyer sur son sort, de ruminer son triste passé, ce livre est fait pour vous.

Il y a la librairie qui fait de la thérapie gratuite pour les clients qui viennent y pleurer, ou crier, c'est selon. Les employés clairvoyants, et SI humains, qui vont vous sortir de là. Oh, miracle !

Un petit rappel de shoah au passage, pour faire bonne mesure.

Du sous-Harlequin (de mon point de vue). Un peu maigre comme argument.

Enfin, c’est avec ÇA qu’on fait son bonheur et celui de ses semblables.

Heureusement c’est très court, ouf !
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Noir Montréal

Présenté comme le titre d'« une série qui fait le tour du monde » associant les littératures du crime à plus de 120 villes sur la planète et publiée depuis 2004 par Akashic Books [sept recueils en préparation pour 2023], Noir Montréal regroupe 16 nouvelles noires ou policières par autant d'auteur,es du Québec et du Canada. En fait, il s'agit de la livraison en français par Saint-Jean Éditeur de 12 des 15 textes initialement publiés en anglais (Noir Montreal. – Brooklyn : Akashic Books, 2017. – 288 pages). Dont un de Patrick Senécal, « Heure de pointe », qui faisait partie aussi d'un autre recueil (Montréal Noir. – Montréal : Numéro de série N-0016, 2017. – 152 pages), un projet initié à l'époque par l'écrivain québécois François Barcelo.



Sous la direction de Jacques Filippi et John McFetridge (aussi éditeurs de la version anglaise) qui livrent une brève introduction historique, géographique et littéraire de la ville, Noir Montréal nous plonge dans une variété d'univers glauques d'auteur,es francophes et anglophones campés dans autant de quartiers de la métropole et regroupés sous trois thématiques :



Première partie - Jungle de béton (Concrete Jungle*)

Heure de pointe [Centre-ville] (Rush Hour*) - Patrick Senécal

Une si belle petite fille [Ville-Marie] (Such a Pretty Little Girl*) - Geneviève Lefebvre

La fumerie hantée [Boul. Saint-Laurent] (The Haunted Crack House*) - Michel Basilières

Les chevaux sauvages [Mile End] (Wild Horses*) - Arjun Basu

Le street smart [Griffintown] (nouvelle originale) - Pierre-Yves McSween



Deuxième partie - Liens de sang (Bloodlines*)

Dindon de la farce [Notre-Dame-de-Grâce] (Joke's On You*) - Catherine McKenzie

Coyote [Westmount] (Coyote*) - Brad Smith

La doublure [Hochelaga] (nouvelle originale) - Maureen Martineau

L'aimant à ordures [Île Sainte-Thérèse en Montérégie] (The Crap Magnet*) - Peter Kirby

Juste une image [Centre-Sud] (nouvelle originale) - Guillaume Morrissette

Papa [Petite-Bourgogne] (Poppa*) - Robert Pobi



Troisième partie - Au bord du gouffre (On the Edge*)

Journal d'une obsession [Plateau Mont-Royal] (Journal of an Obsession*) - Johanne Seymour

Dents de lait [Rue Rachel] (Milk Teeth*) - Howard Shrier

Les mange-péchés [Côte-des-Neiges] (The Sin Eaters*) - Melissa Yi

Suitcase Man [Cimetière Notre-Dame-des-Neiges] (Suitcase Man*) - Martin Michaud

Immunité diplomatique [Place d'Youville] (nouvelle originale) - Eric Dupont

____________

* Titre dans la version anglaise de 2017.



De courtes notices biographiques résument la carrière de chaque écrivain,e.



Mes préférées parmi ces courtes histoires :

• Coyote et Papa pour la surprise en finale.

• Juste une image pour la structure à rebours du récit.

• Journal d'une obsession par sa thématique, la création littéraire.

• Suitcase Man pour sa chute imprévisible et la découverte d'un jeune policier qui ne tardera pas à devenir une vedette, Victor Lessard.



À noter un point de contact entre quelques-uns des textes proposés : la présence de « hipsters », ces jeunes citadins branchés omniprésents dans les cafés où se retrouvent certains des personnages .



Bien d'accord avec l'éditeur pour affirmer que ce recueil original nous offre un éventail de nouvelles aussi variées que le style des auteur,es qui le composent : « mystérieux ou flagrant, sanglant ou psychologique, haletant ou étonnant ». Des histoires d'une vingtaine de pages imaginées par des écrivain,es « qui, parfois, sortent de leur zone de confort pour s'encanailler dans les ruelles ou sur les grands boulevards de Montréal », dont « des anglophones, certains traduits ici pour la première fois en français, qui sont de belles découvertes » dans cette littérature de genre.



Merci à Guy Saint-Jean Éditeur pour le service de presse.





Originalité/Choix du sujet : ****



Qualité littéraire : *****



Intrigue : ****



Psychologie des personnages : ****



Intérêt/Émotion ressentie : ****



Appréciation générale : ****


Lien : https://avisdelecturepolarsr..
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Crimes à la librairie

« Crimes à la librairie » est une belle découverte! Un recueil de nouvelles, écrites par 16 auteurs québécois, mettant en vedette une librairie. D’excellentes histoires qui m’ont permis de découvrir des auteurs que je ne connaissais pas, et d’apprécier les œuvres d’auteurs que j’apprécie.



Une belle découverte! Je vais me procurer les autres livres de cette série!
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Ponts

C’est en découvrant les œuvres de l’artiste visuel James Kennedy, à l’atelier voisin de sa maison, à Montréal, que la romancière Chrystine Brouillet a eu l’idée de ce recueil de nouvelles. C’est que ce dernier, fasciné par l’acier, crée des sculptures murales monochromes saisissantes, dont une série consacrée aux ponts, mariant techniques de gravure et de photographie.




Lien : https://www.lapresse.ca/arts..
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Le goût de l'élégance

On traverse ce roman de petits chapitres en suivant Simone. J’avais l’impression d’y retrouver des réflexions similaires au livre Autopsie d’une femme plate.



On découvre Simone à travers son travail, dans une librairie, et son entourage. Plusieurs enjeux sont abordés tels la grossophobie, l’inéquité salariale entre les hommes et les femmes, le racisme, l’homophobie, la non-acceptation des enfants tels qu’ils sont, la santé mentale, les relations toxiques, la violence conjugale, et probablement que j’en oublie.

Puisque le roman est très court, on effleure à peine ces réalités.



Par la suite, le livre prend une deuxième tangeante de recommandation de livres à travers le travail de libraire de Simone. J’ai d’ailleurs ressenti une similarité avec La bibliothèque des cœurs cabossés.



Le goût de l’élégance à quelque chose de philosophique et de cheminement psychologique. Ça se lit vraiment super rapidement. J’ai vraiment rencontré une deuxième facette de cette autrice que j’avais découvert avec Rinzen et l’homme perdu.
Lien : https://youtu.be/UqZX3irr8xM
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Rinzen et l'homme perdu

Très bon! J'aime vraiment cette autrice.
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Le défilé des mirages

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Crimes à la librairie

Le but de ce recueil de nouvelles est de nous faire connaître des auteurs de romans policiers québécois. Certaines nouvelles sont excellentes et d'autres laissent à désirer mais il y en a sûrement pour tous les goûts.
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Eaux fortes

5e tome de la série sur Kate McDougall et son équipe très attachante. Dommage pour nous que ce soit le dernier. La fin nous laisse sur notre faim. À quand cette série en cinéma ou télésérie? Je sais que le tome 1 a déjà été fait mais les autres tomes. À suivre je l'espère!
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Vanités

4e tomes de Kate McDougall. Un peu moins enlevant que les autres mais quand même très bon. Cette fois l'intrigue nous entraîne parfois dans le passé nazie ce qui demeure très intéressant (il ne faut jamais oublier ce passé pour ne pas répéter les mêmes erreurs). Kate semble se stabiliser émotionnellement ce qui est une excellente nouvelle en soi. J'aime bien ce personnage écorché par la vie qui travaille fort pour s'en sortir!
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Wildwood

À lire sur le coin d'un feu! Très bon, c'est l'histoire d'une adolescente qui découvre l'amour et la dureté de la vie.
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Crimes à la librairie

Ce que j’aime de ce genre de recueil, c’est que via ces courtes nouvelles, on a accès à divers auteurs et à leur style d’écriture, on peut ainsi voir si leur style nous conviens ou pas. Pour ma part, je dois avouer que je ne connaissais pas la majorité des auteurs de ce recueil et que j’ai eu droit à de belles surprises. Évidemment, comme tous les recueils, on retrouve aussi quelques nouvelles qui sont très banales, voire décevantes compte-tenu de la notoriété de ces écrivains. Je ne vais pas vous dire lesquels pour que vous puissiez vous en faire votre propre idée. Parce qu’après tout, ce qui est banal pour moi, peut être correct pour vous, chacun son ou ses styles.



Je ne vais pas critiquer les 16 nouvelles, mais je vais quand même vous parler de mon préféré, celui qui s’intitule «Le libraire et l’enfant» de Martine Latulippe. L’action de cette nouvelle se déroule entièrement dans une petite librairie de quartier. Le vieux libraire à la garde d’un jeune enfant et celui-ci vieillit entouré de livres qu’il dévore à grande vitesse. Bien sûr, crime il y aura. La surprise a été presque totale et je suis ravie du dénouement.



Une autre nouvelle que j’ai appréciée est celle de Mario Bolduc intitulée «Mon combat». L’histoire d’un père qui éprouve une haine sans bornes envers son fils, un ancien général des forces croates, acquitté au Tribunal pénal international et qui est revenu en héros dans son pays natal. Un mélange de polar et d’Histoire, j’adore!



Bref, on retrouve de tout dans ce recueil et il est fort probable qu’il va y avoir de ces auteurs dans mes chroniques très bientôt.
Lien : https://leschroniqueslittera..
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Le cri du cerf

Ce livre est tout simplement époustouflant.

Je l’ai dévoré en une après-midi sans aucune coupure. Les pages se tournent dans un rythme effréné qui ne nous laisse aucun répit.

Kate McDougall est une enquêtrice hors pair avec un sixième sens et une analyse des profils des tueurs incroyables. Elle a 45ans, célibataire, elle s’est réfugiée dans un chalet au fin fond d’une forêt près d’un lac afin de se ressourcer et de panser toutes ses blessures. Kate est le genre de personnages que j’affectionne particulièrement, sensible avec une carapace très épaisse qu’il faut briser pour comprendre ce même personnage. Un caractère bien trempé et une force de décision fortement développée, ce qui ne plaira à tous ses collègues de travail. Elle sera cependant soutenue par un homme, qui devra prouver ses réelles intentions envers Kate.

L’enquête est très bien menée, l’intrigue est prenante. Les indices s’imbriquent mais laissent le lecteur s’interroger sur le tueur sans trop dévoiler les réflexions des enquêteurs ce qui nous permet de résoudre, avec eux, ces meurtres horribles. Cette enquête nous mènera dans les méandres du passé de Kate. Elle devra faire remonter à la surface toutes ses blessures et ses souvenirs pour comprendre pourquoi la Bête tue.

Le style littéraire est parfaitement maîtrisé. Chapitres très courts, vocabulaire simple bref un duo gagnant pour faire un thriller fort en émotions.

Je recommande à tous les fans de thriller procédural de mettre ce livre en haut de vos PAL (pile à lire) ou alors de courir l’acheter en vitesse.

Coup de
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