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Citations de Johanne Seymour (105)


Ça prend des chars d’assaut pour éloigner les journalistes quand ils sont en mal de scoop.
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T'es dans une librairie, Simone. Ici, il y a tout ce qu'il faut pour soigner les maux et sustenter le cerveau.
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Pourquoi est-ce si difficile pour l'être humain de s'abandonner au courant de la vie ? On s'abandonne au désir et à la gourmandise - en tout cas moi ! - , mais on cherche à contrôler tous les autres aspects de notre existence. Et si, pour une fois, j'acceptais de vivre dans l'inattendu ?
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La vie ne nous attend pas pour continuer son petit bonhomme de chemin.
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Des mots qui insufflent l'héroïsme et de coeurs qui s'abreuvent à l'humanité.
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Je souhaiterais que mon existence soit mise sur pause et que les mots soient vidés de leur sens. J'ai une envie furieuse logée en permanence au fond de la gorge. Comme une pulsion de bonheur avortée. J'ai le goût de l'élégance.
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Je suis perméable, c'est tout. Depuis toujours, j'entends l'inexprimé. Je vois l'inavouable. Je perçois les faux-fuyants et les non-dits. Bref, je suis poreuse.
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Je suis une ville perpétuellement bombardée et,malgré les murailles que je passe mon temps à ériger autour de moi,en dépit des verrous que j' installe sur mon coeur, je ne parviens jamais me protéger
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Mais quand chaque promesse d’amour s’est transformée en cauchemar ou, dans le meilleur des cas, en rupture civilisée, quand malgré des efforts titanesques vous comprenez que vous n’aurez jamais l’air de Marilyn Monroe, mais davantage de Marilyn Manson, quand vous vous rendez compte que vous n’êtes jamais assez, ou toujours trop, et que chaque jour, avec son lot de petites violences, vient peser dans la balance… les mauvais pressentiments se justifient. Ils deviennent même des vérités de La Palice.
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Le drame des révolutions est que tout doit changer. Et ça fait des victimes au passage.
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Analyser le passé... C'est comme se repasser un film dont on n'aime pas l'issue, dans l'espoir que la fin changera. Ça ne sert à rien de rembobiner la cassette, la fin sera toujours la même. Vaut mieux changer de film.
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— La scène me fait penser à un de mes vieux haïkus.
Elle récita:
Arbres verglacés
Prières muettes dans le noir
Chansons d’agonie.
Desautels et Paradis fixaient Rinzen, la bouche grande ouverte. Elle sourit.
— C’est une forme de poème japonais. Comme un polaroïd poétique. Une épiphanie en mots! C’est très zen. Vous devriez essayer. C’est un excellent passe-temps et ça aide à clarifier l’esprit.
Desautels et Paradis échangèrent un regard qui en disait long sur la «clarté» des haïkus.
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Rinzen détailla l’homme «crucifié». Malgré son état de décomposition, elle pouvait voir que la crasse s’était infiltrée jusque dans les replis de sa peau pendante. Le vieux corps émacié n’avait pas connu d’amour depuis longtemps.
— La victime avait cessé de vivre bien avant sa mort.
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Malheureusement, le souvenir de l’homme trouvé crucifié dans son «salon-cuisine-salle-à-manger-maintenant-cercueil» ne s’effacerait pas de sa mémoire. Il irait rejoindre l’exposition permanente dans son cerveau des quelque six cent cinquante autres tableaux de morts violentes dont il avait été témoin depuis le début de sa carrière.
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Il n’avait que six ans et ne comprenait rien à ce qu’il lui arrivait, mais il était convaincu que si l’Autre continuait d’exister, il finirait par disparaître complètement.
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— Moi, j’ai passé la nuit à soigner un enfant de cinq ans qui avait mal au ventre. C’est quoi ton excuse? Luc sourit.
— Un beau grand roux avec un corps d’enfer. Je t’ai commandé un café.
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La famille parfaite!
Jusqu’à ce que l’Autre, qui dans les premières semaines n’avait été qu’une poubelle à bouffe et une machine à caca, apparaisse au fil du temps dans toute sa splendeur: vif, charmant, toujours souriant et d’une beauté hors du commun. Un soleil autour duquel ses parents orbitaient pendant que, comme une étoile mourante, il dérivait dans le vide sidéral.
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Je consignerai tout dans ce cahier. Si Dieu existe, il me pardonnera. Car s’il est le Créateur de l’Univers, il a aussi créé les monstres.
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-Alors quel mal y a-t-il, l’interrompt Trudel, à mettre « officieusement » le sergent McDougall, qui est probablement la meilleure enquêteuse que la SQ ait jamais connue, en charge de l’enquête? … C’est une ancienne du bureau de Montréal, continue Trudel comme si Brodeur n’avait pas ouvert la bouche, elle a fait ses preuves plus d’une fois par le passé, elle connaît la juridiction où se déroule les crimes et, ce qui n’est pas à négliger, le tueur lui-même la réclame.
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Kate se retrouva la main sur la poignée du réfrigérateur.
Boire.
Anesthésier la douleur, la rendre moins aiguë. Kate lâcha la poignée et décida de ranger la vaisselle du déjeuner, que les enfants Branchini avaient laissée à sécher sur le comptoir. Elle devait résister à l’envie de prendre sa voiture et de se rendre au Thirsty Cowboy. Ce serait si facile…
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