John-Erich Nielsen

Babelio avait mis cet auteur dans ma liste de suggestions "policier humoristique" et c'est exactement le genre que j'aime! L'inspecteur Sweeney est attachant et sa tante adorable. Je vais assurément continuer la série.

J'ai lu ce tome en version anglaise et j'ai adoré ! L'univers de Sweeney se mettait à peine en place que je me suis déjà fortement attachée à ce personnage atypique avec sa barbe rousse et son club de golf (d'en connaître l'origine fut d'ailleurs sympathique!).

La rencontre de sa Tante fut drôle également et j'adore comment les enquêtes sont ficelées et portées par les personnages.

Hâte de lire la suite !

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Déçue, très mou. L'idée était bonne. Mais déjà connue. Trop de référence à Agatha Christie - le Crime du Golf, l'inspecteur qui se fait aider par sa tante - Miss Marple a un neveu inspecteur de police. Certes on voit comment les gens évoluent dans le milieu du golf. Mais trop de rappel et pas assez de rythme.

C’est gentillet, trop gentillet à mon goût. L’intrigue est intéressante mais le dénouement un peu trop rapide. Pour comprendre l’enchainement des actions le « speech » de la fin de l’Inspecteur Sweeney est très appréciable.

Niveau personnage, l’inspecteur Sweeney est attachant 🙂 mais je conseille tout de même de lire ces aventures dans le bon ordre pour comprendre toutes les blagues ou références.
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Ceci est le second tome des aventures d’Archie, policier écossais au physique improbable, qui s’accorde des vacances avec sa tante – ou plutôt, celle-ci l’a quasiment forcé à enfin se reposer. C’est qu’elle tient à lui, qui ne sait pas se montrer raisonnable ! Tout allait bien, presque trop bien en cette veille de Noël jusqu’à ce que notre enquêteur décide de partir en randonnée sur un volcan. Bien la peine de partir au soleil !

Dire que l’escalade est rude est un euphémisme. Les autres participants ne sont pas forcément non plus des randonneurs aguerris, et le guide pourrait s’arracher les cheveux, s’il avait un peu plus de loisirs. Les incidents humains ne sont pas les seuls en cause, la nature est toujours la plus forte.

Si l’intrigue tarde un peu à se mettre en place, le dénouement est suffisamment surprenant, inscrit dans l’air du temps (malheureusement) pour que la lecture en vaille la peine. La notion de « dommage collatéral » n’est pas un vain mot – et avoir des idées « de génie » peuvent avoir des conséquences que certains se refusent complètement à prévoir.
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Encore un enquêteur qui n’aurait pas dû partir en vacances ! Pourtant, l’année précédente, il avait déjà eu des vacances mouvementées, et pas seulement parce qu’il faisait de la randonnée. Aussi, sa tante a -t-elle pris des précautions : une croisière – et des icebergs. Et des russes, comme si cela ne suffisait pas.

Tout allait pourtant presque bien dans cette croisière, n’étaient les disputes entre russes et ukrainiens dont les activités sont assez douteuses. Tout allait encore mieux quand l’excursion à laquelle notre enquêteur écossais participe tourne mal – une habitude pour lui. Tout enquêteur devrait se souvenir que les seules vacances valables doivent se passer dans leur canapé ou dans leur sofa.

Huis clos particulier, Caviar et nuits blanches évolue dans un univers à la fois fermé et mobile, où les passagers lient connaissance alors que le personnel est dans l’obligation de se supporter, sinon de s’entendre au fil des saisons, tout en rêvant à un avenir qui ne serait pas sur un élément liquide. Pourquoi ce choix, ou plutôt ce non-choix ? Mettre de l’argent de côté, pour son ménage ou son installation, argent qui ne sera jamais suffisant pour mener à bien ses projets – ou dans un avenir très lointain.

Restent les crimes – euh, pardon, les incidents majeures. Tout le monde peut mourir de mort naturelle sur un bateau, il n’est guère qu’un médecin qui se rêve légiste et qu’un enquêteur en vacances pour vouloir découvrir toute la vérité. Non, parce que, rendre la justice, c’est beaucoup plus difficile.

Caviar et nuits blanches est un polar agréable à lire, à condition de ne pas être trop sensible au froid.
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Tout d’abord, je remercie Babelio et Masse Critique qui nous permettent de découvrir de nouveaux auteurs et leurs romans.

Le Pendu de St Andrews de John-Eric NIELSEN nous emmène en Ecosse, plus précisément à Edimbourg dans un milieu universitaire auprès d’étudiants destinés à de futures brillantes carrières. Mais pour l’un d’entre eux, le sort en aura décidé autrement car il sera retrouvé pendu dans la chapelle de l’université, de mystérieux éléments indiquant une origine criminelle et non un suicide.

Parallèlement, au parlement d’Edimbourg, un député indépendantiste sera retrouvé dans son bureau, sans aucun doute, assassiné par un coup porté à l’arrière du crâne, fracassant celui-ci, au moyen d’une pierre, pas n’importe quel caillou, mais un morceau de pavé correspondant à la partie manquante de la pierre du Destin qui était le socle sur lequel les rois d’Ecosse étaient couronnés. Ce crime semble menacer un fragile équilibre politique.

Les services de police d’Edimbourg et notamment le nouveau commissaire Brandon Sales seront chargés des enquêtes. Celui-ci vient d’être nommé au poste et a totalement réorganisé les services, ne recueillant guère l’estime du personnel, changeant les équipes de manière frontale.

L’inspecteur Sweeney a ainsi été séparé de son équipier Ian McTirney, se voyant adjoint un collègue envers lequel il n’éprouve aucune affinité, pas plus d’ailleurs qu’il n’en ressent envers son chef. Il en sera de même de McTirney qui viendra le saluer, lui annonçant qu’il vient d’être chargé de l’enquête du député assassiné. Quant à Sweeney, il lui indiquera qu’il vient d’être convoqué par Sales, ne sachant pas encore qu’il sera chargé de l’enquête du jeune étudiant retrouvé pendu.

L’auteur complètera son roman en plaçant dans la vie de l’inspecteur Sweeney une histoire personnelle quelque peu compliquée, venant le perturber dans son enquête.

JE Nielsen a un style clair, une écriture agréable et simple, les ingrédients sont présents, mais dommage la sauce ne prend pas. Cela manque d’étoffe, de consistance, le lecteur n’arrive pas à s’accrocher aux personnages, à se captiver pour ces enquêtes. De nombreuses références à d’antérieures enquêtes ne sont d’aucune utilité si ce n’est de nous donner envie d’entreprendre leur lecture, mais encore faudrait-il que nous soyons emballés pour cela et ce n’est pas le cas. Je n’ai pas été séduite par ce polar mais ce roman pourrait être un livre de voyage, sans plus.

Allez une seconde chance à cet écrivain, ce n’est peut-être tout simplement pas son meilleur polar.

Si au milieu du roman le jeune commissaire a le déclic qui m' a fait penser à Raymond Souplex "Mais bon sang, mais c'est bien sûr !" dans les cinq dernières minutes, moi le déclic avec ce récit je ne l'ai jamais eu, trop scolaire, pas vraiment de surprises, pas d'action, désolé mais il y a bien l'endroit qui est pittoresque mais pour l'intrigue je n'ai pas accroché...l'histoire de sociétés secrètes est une idée déjà utilisées et on est pas pris par le mystère entourant la mort des personnages, quant à l'enquête policière, elle est vraiment banale et sans intérêt...n'est pas Conan Doyle qui veut ! mais courage le travail paiera un jour...

Malheureusement, je n'ai pas aimé ce livre, pour beaucoup de raisons...

Premièrement, je n'ai vraiment pas accroché au style de l'auteur. On m'en dit TROP, sur tout, les pensées de Sweeney qui s'auto-analyse constamment, on nous décrit absolument toutes les astuces et intuitions du policier ce qui gâche justement les effets sous-entendus, j'ai l'impression d'être une enfant à qui on prend la main et à qui on montre trois fois l'indice pour être sûre qu'elle a bien compris... Les constantes références à ses autres livres m'ont agacées, oui j'ai bien compris qu'il s'agissait d'une série, oui je me doute que si je veux comprendre le fil rouge je devrais lire les précédents et non, je n'ai pas besoin qu'on me le fasse comprendre toutes les 10 pages. Ensuite, ce fil rouge avec ce grand méchant m'a vraiment agacé, ça tombait comme un cheveu au milieu de la soupe dans l'histoire principale... Alors oui, j'imagine que ceux qui ont lu les autres livres doivent être plus intéressés que moi mais sincèrement, ce roman aurait été meilleur sans ces allusions.

Deuxièmement, j'ai mais alors détesté le personnage principal. Parce que plus stéréotypé, j'ai rarement vu. Monsieur l'écossais barbu roux, qui se ballade toujours avec un club de golf, un brin misogyne (je n'en reviens toujours pas de la comparaison d'une femme ronde en uniforme à de la charcuterie...), pas apprécié de sa hiérarchie parce qu'arrogant, qui a perdu sa famille aux mains du très grand méchant.... pas très original. Il est censé être un grand enquêteur et pourtant je ne compte plus le nombre de "hem", "heu...." et " Great Scott" que j'ai pu lire...

Troisièmement, l'intrigue principale aurait pu être intéressante s'il n'y avait pas les points négatifs cités dessus. De plus, il était perturbant qu'un enquêteur écossais ne connaisse pas une partie des "indices" de l'intrigue alors que n'importe quel lecteur avec un minimum de culture générale les aurait relevé....

Non, vraiment, je n'ai pas aimé ma lecture, moi qui rêvait d'un peu d'Écosse et d'un bon polar pour mes soirées d'automne...

Ne partez jamais en vacances avec un policier, jamais ! A croire que la tante de l’inspecteur Sweeney n’a lu ni Les vacances d’Hercule Poirot, ni Maigret en vacances. C’est plus fort qu’eux : il faut que les policiers se mêlent des affaires locales. Et s’ils ne le font pas spontanément, voici que l’on vient les trouver.

« On », c’est ici Mrs Greene, la gérante de l’auberge où Sweeney et sa tante passent de paisibles vacances. Elle s’inquiète des disparitions qui ont lieu dans la région depuis deux ans. Cinq en tout, dont trois de leurs clients ! Il est tout de même des moyens plus traditionnels pour partir sans payer. En furetant un peu, Sweeney découvre d’autres disparitions similaires, jusqu’à ce qu’à son tour, il se retrouve dans une fâcheuse posture.

Moralité :

– il faut peut-être un peu plus prêter l’oreille aux légendes locales.

– les guerres de clans, ce n’est pas seulement dans le passé, mais aussi dans le présent. A se demander même si les héritiers des guerriers de jadis ne sont pas encore plus rancuniers que leurs aïeuls.

– si l’on se donne la peine de chercher, on trouve. Ce que l’on trouve n’est peut-être pas réjouissant, mais alors pas réjouissant du tout, mais au moins l’on a trouvé quelque chose. La paix ? Sans doute pas.
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Être inspecteur et écossais, ce n’est pas de tout repos. Pourquoi ? Parce que jamais l’inspecteur Sweeney n’aurait été chargé de cette enquête s’il n’avait été écossais. Il fallait une « caution » pour seconder l’enquêteur anglais, et pourquoi pas, son ancien élève à l’école de police.

« De la méthode », scande son supérieur. Oui, mais laquelle ? On sait fort peu de choses, finalement, si ce n’est que le célèbre acteur aurait dû être là, avec sa femme et sa fille, et qu’il n’y est pas. En revanche, les taches de sang retrouvées dans la maison ne laissent rien présager de bon.

Sauf que :

– ce sont des acteurs, leur carrière n’est plus vraiment au sommet, et un peu de publicité est toujours bonne à prendre.

– les journalistes ne doivent surtout pas être au courant ! Personne n’a besoin d’eux !

Si vous ajoutez en plus que les acteurs avaient leur petit secret également, vous comprendrez que les enquêteurs doivent manœuvrer avec prudence, un peu comme un capitaine à la tête de son voilier.

Les démons de l’île de Skye est un polar bien construit, qui nous rappelle que les humains sont bien plus à craindre que les êtres de légende.
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Pour l'inspecteur Sweeney, tout va bien en cette belle journée. Certes, il est appelé sur une scène de crime - mais quand on est policier à la criminelle, on ne peut espérer être appelé pour constater l'éclosion des jonquilles, non ? Sweeney est heureux, il est à nouveau en couple avec Ilona, jeune étudiante irlandaise, fatiguée par ses études, imprévisible, mais à ses côtés.

Il doit très vite déchanter, cependant : enquêter sur la mort du ministre de l'éducation, promis qui plus est à un brillant avenir politique, n'est pas de tout repos. Je dis bien "la mort" parce que cet homme à qui tout réussissait, semble avoir mis fin à ses jours. Bien sûr, Sweeney émet tout de suite des doutes, certains faits lui paraissent étranges, au grand dam de son chef, qui ne pense qu'à une chose : sa tranquillité ! A neuf mois de la retraite, ce n'est pas trop demandé, non ?

Malheureusement, cette fameuse tranquillité n'est plus. Ce n'est pas qu'elle appartient au passé, c'est qu'elle n'était déjà pas là dans le passé puisqu'il faut retourner plus de trente ans en arrière pour trouver les origines du crime qui a été commis, et puisqu'il faut aussi revenir sur le passé de notre enquêteur.

Trente ans plus tôt, les parents de Sweeney étaient assassinés, et le meurtrier de Georges Lawless pourrait être celui qui a rendu le futur inspecteur Sweeney orphelin. "Pourrait" - l'Irlande du début des années 80 était secoué par bien des combats, des luttes - des trahisons aussi. Faire la lumière sur ce qui s'est passé est quasiment impossible, le risque d'erreur est grand. Qui conservera le sang-froid nécessaire jusqu'au bout ?

Un dixième opus particulièrement prenant.
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Je ne connais pas l'auteur, mais j'aime le golf.... Que je pratique depuis l'âge de 35 ans.

5 ans à espérer devenir "bon".

Et le reste à se résigner...



Mon handicap : 6....



C'est à dire ne pas dépasser 6 balles dans la flotte !!!! ;)

Mais on oublie trop souvent que le Golf n'est pas le sport d'une élite (on peut jouer en Grande Bretagne pour moins de 20 euros le green fee...)

Et c'est un sport de combat, comme au karaté. 30 secondes ou une minute, pour faire le vide dans son esprit, adopter une bonne posture, et traverser la balle.

Puis 5 à 10 minutes pour la retrouver cette foutue balle....

J'espère trouver cet ouvrage sous forme numérique, car ras le bol du papier (deux déménagements, dans les 1000 kg de livres plus mes sacs avec pas plus de 14 clubs)....

Bon "Par" pour l'auteur ! Et rendez vous au 19°...

Ce livre est le premier roman de John Erich Nielsen, auteur rencontré au salon du livre de Franqueville Saint Pierre.

Le premier mot qui me vient à l’esprit pour le qualifier est "distrayant". Le jeune inspecteur doit faire la liaison entre l’équipe partie en vacances et celle qui en reviendra en septembre – pour la continuité de l’enquête, vous vous repasserez les dossiers. Il a un physique plus qu’atypique, et immédiatement reconnaissable. Une manie : l’usage du dictaphone. De quoi perturber quelques interrogatoires – et quelques suspects.

L’enquête le mènera de l’Écosse à l’Irlande, en passant par les États-Unis, sur les traces du circuit de golf international. Cette enquête nous permet vraiment une immersion dans ce sport, ses enjeux et ses ambitions. Nous en apprenons beaucoup, sans jamais tomber dans un texte didactique.

Même si l’intrigue reste classique, et le mobile sordide, Meurtre au dix-huitième trou reste un roman policier agréable à lire. Je lirai sans doute d’autres romans de cet auteur, si je parviens à les trouver.
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C'est un de mes achats "j'ai pitié de l'auteur et j'achète poliment son livre". J'avais traîné mon mari dans un salon du livre et j'essayais de trouver quelque chose à son goût: j'ai la foi d'y croire encore au bout de 20 ans.



Et on a vu cet auteur qui avait très bien décoré son petit emplacement, qui a gentiment pris le temps de nous parler de son personnage, de l'écriture.... et j'ai acheté l'exemplaire qu'il m'a dédicacé...



C'est pas le chef d'oeuvre de l'année mais ça se lit bien. L'intrigue n'a rien d'extraordinaire, l'immersion dans le monde du golf est plutôt intéressante, le personnage principal est intéressant... S'il est encore là cette année à Saint-Maur en poche, je lui achèterai la suite. Je l'achèterais pas en grand format, mais en poche, il vaut le coup (le coût ;)

Nous voilà donc en plein coeur de l'Ecosse en compagnie de l'inspecteur Sweeney et de sa tante Midge -qui l'a élévé depuis la disparition de ses parents lorsqu'il avait 5 ans. La légende et les paysages sont présents, oppressants. Les habitants pas très causants, voire franchement hostiles.

L'intrigue tient la route du début à la fin, laissant traîner un mystère, subsister une once d'irrationnel. Tout cela donne un roman policier très agréable. Très ancré dans la réalité et dans l'époque moderne par les moyens mis en oeuvre mais en même temps totalement décalé et un brin désuet grâce à des personnages -Sweeney et sa tante notamment- qui semblent ou anachroniques (et qui le seraient probablement dans toutes les époques) ou intemporels, ou un peu des deux, si cela est possible. Les lieux sont tellement empreints de légendes qu'ils servent également cette impression d'intemporalité. Pour ancrer son héros dans notre époque, l'auteur lui fait utiliser un portable ou toute sorte de moyens de communication modernes. Néanmoins, il lui laisse un mystère dans sa manière de résoudre les enquêtes

Cette sensation d'être toujours entre deux époques est un plus, donne un charme indéniable au roman.



Loin des polars hémoglobineux, trash, rapides et violents. A rapprocher plutôt des romans policiers d'Exbrayat, d'Agatha Christie ou, plus récemment, des excellentes enquêtes de Viviane Lancier -ici et là- de Georges Flipo. A mettre donc entre toutes les mains, devant tous les yeux, même ceux des lecteurs occasionnels, voire très occasionnels : j'en ai un specimen à la maison et je vais lui proposer cette lecture de ce pas.



L'écriture de John-Erich Nielsen est sobre, efficace, va droit au but. Non dénuée d'humour, elle concourt bien entendu à la réussite du livre et au plaisir évident du lecteur à suivre les aventures de l'inspecteur à la barbe rousse hirsute et toujours muni de son sand wedge (club de golf).



Si j'ajoute à tout ce que je viens d'écrire encore trois informations importantes, vous ne pourrez que réserver votre prochain voyage -immobile- dans les Highlands :



- premièrement, l'éditeur a un site sur lequel on peut en savoir plus sur l'inspecteur Sweeney et sur ses enquêtes précédentes : Head over Hills



- deuxièmement, les livres sont très abordables, de format poche, à 4.90€ sur le site susnommé (mais 5.45€ sur la quatrième de couverture)



- troisièmement, je me coltinerais bien les aventures précédentes de Sweeney moi, il me plait bien cet inspecteur et sa tante Midge aussi !

Je ne connaissais pas du tout cet auteur et malgré le fait qu'il y a par moment des références aux précédentes enquête de l'inspecteur Sweeney... cela ne m'a pas gêné du tout dans la lecture.





L'écriture de l'auteur est ultra simple, sans fioriture et pourtant très captivante. Il faut avouer que j'ai été séduite par ce jeune policier à l'ouest qui garde un club de golf comme porte bonheur... et ce superintendant, tout aussi à côté qui se veut autoritaire. On ressent bien cette histoire refoulée, car Sweeney (le policier) avait Rolling (le superintendant) comme instructeur; pas évident d'évoluer sans être confronté à l'aspect école !





J'ai également remarqué que le célèbre acteur avait été modelé sur une vedette qui a fait rêver beaucoup de personnes...



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