John Lang

Le donjon de Naheulbeuk T1 et T2 | Lang & Poinsot



Depuis le temps que je vois cette BD il était temps que je m'y essaies.



J'ai lu les deux premiers tomes à la suite et en une fois. C'est dire si ça se lit bien !



C'est plutôt fun.



Ça m'a évidemment beaucoup fait penser à l'univers de wow, jeu auquel j'ai pas mal joué avec mon homme, et c'est ce qui m'a sans doute fait apprécié cette bande dessinée ( car ce n' est sûrement pas le graphisme que je trouve pas trop à mon goût).



Certes c'est pas la lecture de l'année mais c'est divertissant !

Le donjon de Naheulbeuk T1 et T2 | Lang & Poinsot



Depuis le temps que je vois cette BD il était temps que je m'y essaies.



J'ai lu les deux premiers tomes à la suite et en une fois. C'est dire si ça se lit bien !



C'est plutôt fun.



Ça m'a évidemment beaucoup fait penser à l'univers de wow, jeu auquel j'ai pas mal joué avec mon homme, et c'est ce qui m'a sans doute fait apprécié cette bande dessinée ( car ce n' est sûrement pas le graphisme que je trouve pas trop à mon goût).



Certes c'est pas la lecture de l'année mais c'est divertissant !

Nous retrouvons la compagnie " les fiers de hache " (bien sûr ils étaient tous d'accord pour ce nom 😂 )

Cette fois ci pas sur terre mais en mer, c'est bien ça change un peu ! Même si leurs attaques restent leurs attaquent "hyper bien pensées...." Bon en même temps on le sait ce n'est pas les meilleurs aventurier en terre de Fangh...

La fin laisse présager une catastrophe a notre groupe ! De plus ils apprennent une chose qui ne va vraiment pas les rassurés !



Les dessins toujours aussi beaux 😍j'adore le travail de Marion Poinsot ! Ce tome ne m'a pas fait rire autant que d'autre ! Mais c'est sympa, une lecture légère et rapide. Ça permet de penser a autre chose sans ce prendre la tête 😉

Et voilà nos aventuriers vont atteindre Boulgourville (non sans mal) et pouvoir recevoir leurs fameuses pièces d'or ! Enfin normalement...

Une fois n'est pas coutume il va encore y avoir des morts sur leur passage mais pas forcément par rapport a leur expérience...



Même quand ils pensent faire une bonne action, cela n'est pas forcément le cas... Nous allons donc repartir pour une nouvelle aventure, avec notre bande rempli d'humour !



La couverture est magique ! Elle retranscrit a la perfection l'amour qu'il règne entre le nain et l'elfe 😂

Chemin de l'oubli passé.. mais toujours dans la forêt de Schilpak vont ils réussirent a arriver à Boulgourville ?!

J'y est retrouvé plus d'humour que dans le tome précédent ☺️

J'ai adoré ce petit moment où le ranger mange un fameux bonbon chiantos..😂

Un nouveau personnage va faire une courte apparition, pour le bien de notre équipe ? Ou plutôt l'inverse ?!

En tout je continue sur ma lancée ! Je suis vraiment fan de nos anti héros ! Les dessins sont sublimes !

Nous retrouvons dans ce dixième tome notre bien-aimée compagnie d'aventuriers qui, après avoir vaincu le sorcier, va se retrouver face à un géant qui bloque l'entrée de la caverne...

Les blagues habituelles sont au rendez-vous !

Le donjon de Naheulbeuk est ma première saga Mp3 et cette bande dessinée est plutôt sympathique, elle respecte les personnages et l'histoire. C'est une bonne adaptation.



L'histoire part de fantasy revisitée avec humour. Nous avons donc une quête pour laquelle vont se lancer plusieurs protagonistes. Un ranger, une magicienne, un voleur, un nain, un barbare, une elfe et un ogre, en soit c'est une équipe étonnante et qui reprend aussi bien les codes et les clichés du genre. Les personnalités sont bien respectées et ça fait plaisir, quant au design des personnages, il est très différent de celui vu pour Reflets d'Acide.



En effet, nous avons un côté SD (super déformé) qui se voit pour des chibis, les traits sont simplifiés, le style des yeux est très particulier. Cependant, j'accroche énormément aux costumes, aux objets et aux décors qui sont dotés d'un travail bien sympathique. Les dessins plaisent ou ne plaisent pas, j'accroche moyennement, même si l'omniprésence de l'humour permet d'expliquer le design.



Du côté des personnages, l'ogre et le nain sont certainement les plus réussis dans leur design, j'adore la manière dont l'illustratrice les a représentés. L'elfe et la magicienne viennent ensuite, car elles sont plutôt fidèles à ce que je m'imaginais en écoutant les épisodes. Le voleur est une belle surprise, je n'aurais jamais pu penser à ce design, on ne voit que ses yeux, le reste du visage se résume à du noir entouré d'une capuche. C'est en soi une belle trouvaille et qui m'aura bien amusée. Le rendu des expressions sonne très manga également et les expressions sont très marquées.



La colorisation est pour ma part réussie, les couleurs sont bien choisies, le rendu des ombres et de la lumière est traité avec soin, on se plonge réellement dans ce début d'aventure au cœur de la Terre de Fangh. Par ailleurs, j'ai apprécié la carte dessinée à l'intérieur des couvertures. Elle est rapidement esquissée, mais je lui trouve un certain charme, je suis réellement fan.



Les répliques cultes, le ton sont eux aussi respectés, mais c'est normal, le scénariste est le créateur de la saga. Par conséquent, chaque page contient son petit rire, voire son fou rire. Même en connaissant l'histoire, on se plait à revoir des scènes importantes comme l'elfe qui tombe dans un piège ou encore la découverte du troll, le pillage du magasin par le nain... C'est amusant de voir en image ces scènes.



Notre équipe est loin d'être idéale, des froussards, des idiots, ils ne s'entendent pas forcément, mais pour notre plus grand plaisir, ces compagnons vont se jeter dans l'aventure. Ce donjon possède une statuette qu'il leur faut récupérer pour l'accomplissement d'une prophétie, toutefois, il va falloir apprendre à déjouer les pièges, déchiffrer les codes, répondre aux énigmes ou combattre les sbires de Zangdar ! C'est donc une belle promenade que nous offre ce premier tome des aventures de la Compagnie.



En conclusion, une bonne adaptation, des dessins sympathiques, une colorisation bien maitrisée, du rire, de l'aventure... Pour moi, ce premier tome est une belle réussite, il introduit parfaitement l'univers de John Lang et je pense que je lirais la suite. Je le conseille aux fans de la saga comme à ceux et celles qui souhaiteraient avoir un premier aperçu de l'univers de Naheulbeuk.
Lien : http://la-citadelle-des-livr..

Cette BD poursuit sur la saison 2 des aventures de la compagnie d'aventuriers bons à rien mais chanceux du Donjon de Naheulbeuk ! Après avoir réussi leur quête et gagné leurs niveaux, les voici partis pour retrouver leur mystérieux commanditaire... et en route, ils vont être plongés dans de nouvelles aventures toujours plus rocambolesques !

Ici, le scénario est parfois légèrement altéré par rapport à la série sonore. Cependant, la BD reste un bon moment de franche rigolade : les répliques fusent, les situations périlleuses ou cocasses s'enchaînent... Sortis du sombre Donjon de Naheulbeuk, on ne pourra que constater que cette bande de bras cassés est aussi ravageuse en intérieur qu'en extérieur !

Pour les amateurs de la série, ou simplement les amateurs de BD et/ou d'héroïc fantasy qui cherchent quelque chose de pas très sérieux pour passer un bon moment.

Comico fantasy délirante !

Adaptation d'une "série" radio où comment le portnawak fantastic devient culte !

A offrir !

Les Fiers de Hache ont un deal avec les nains: tuer un démon pour récupérer une clé essentielle pour leur mission. C'est en effet sur les épaules de la troupe d'hurluberlus que repose le futur du monde civilisé... Rien de moins. Le démon en question occupe les galeries basses des mines naines et en empêche l'exploitation.



Cela sent le passage de niveau pour les survivants, ça.



Pendant ce temps, Zangdar progresse avec ses mercenaires, sans savoir qu'un puissant vampire est à ses trousses.



Un tome mineur quand même du point de vue de l'intrigue qui se traîne un peu et des saillies entre Fiers de Hache, moins inspirés que d'habitude. Moins de dialogues taillés sur mesure. Et finalement, juste de la baston.

Une fin de saison assez emballante. le groupe d'aventuriers, à l'insu de son plein gré, a livré des statuettes au mage Gontran Théogal, lequel projette de provoquer la fin du monde grâce aux statuettes. Heureusement, il lui en manque une pour mettre ses plans à exécution.



Voilà le groupe en chasse, direction les Collines d'Altrouille, et le repaire de Théogal. Mais il faut d'abord échapper aux envoyés de moult cultes qui ne souhaitent qu'une chose: assassiner les aventuriers. Sans compter sur Zangdar, mage à qui les aventuriers ont dérobé les statuettes et qui leur voue une haine férice et inaltérable.



Cela sent le vécu des tables de JdR. Private jokes et références obscures au programme. Vannes pourries et jeux de mots foireux en prime. C'est du JdR qui sent le soda et les chips... A se demander comment les membres de ce groupe ont pu monter niveau 3...



Dessin OK, personnages très expressifs, bien campés, parfois caricaturaux, mais c'est comme cela qu'on les aime.

Amatrice de cet univers et après avoir lu les romans (sauf le dernier), me voilà plongée dans « Le donjon de Naheulbeuk » version BD. On retrouve nos héros favoris complètements décalés, avec leurs caractères bien trempés et même certains passages de texte dans mes souvenirs apparaissent aussi dans le roman associé « À l’aventure compagnons ». Les dessins sont vraiment chouettes, j’aime beaucoup le trait de crayon de la dessinatrice. Ça me donne d’ailleurs envie de découvrir son univers et ses autres oeuvres. Pour ceux qui ne connaissent pas, l’intrigue tourne autour d'un ranger, d'un nain, d'une elfe, d'un voleur, d'une magicienne, d'un ogre et d'un barbare à qui il arrive des évènements improbables et qui relèvent plus d’une équipe de bras cassés que de héros dont on a plus l’habitude. Le tout est écrit avec humour. Pour le reste je vous invite à le découvrir par vous même c’est une lecture agréable après une dure journée de boulot par exemple. 🙂

Le premier tome voyait Shirif, un homme-carotte recruter une elfe noire à gros seins et string rouge, un ranger et un hobbit magicien cuisinier afin de trouver quel monstre mange les hommes-légumes... Shirif dévoile alors un sombre projet ourdi par quelques mages pour voler la recette du pot-au-feu à plusieurs peuples d'hommes-légumes. Couplées, ces recettes ont un pouvoir magique considérable. On ne serait pas loin du chaos universel si le pot-au-feu ultime venait à être cuisiné.



S'ensuit une enquête qui mènent les héros vers une forteresse cachée dans la forêt de Tirlouit. Après avoir été jetés dans un cul-de-basse-fosse, ils font la connaissance d'un elfe sylvain, aveugle, qui a dressé les castors ninjas du tome 1. Le final est épique et me réconcilie quelque peu avec le genre.



On doit reconnaître que le tome est plus homogène et cohérent que le premier. C'est linéaire mais il y a une trame et un récit épique. Le dessin reste rond et propice à un certain érotisme elfique.

Alors... Alors... Je suis un peu moins emballée par ce tome...

Nous continuons de suivre notre bande d'aventuriers, nous savons que bon ce ne sont pas les meilleurs mais ici nous le percevons moins, car moins de bourdes...

Côté humour, pareil ici c'est plus léger que les précédents,... La fin est sympa lorsqu'ils arrivent sur le chemin de l'oubli, a suivre du coup !

J'ai beaucoup aimé la couverture, qui du coup nous fait poser certaines questions 😉

Je continue mon tour de la terre de Fangh en compagnie de nos joyeux aventuriers....

Maintenant qu'ils ont les statuettes, ils se rendent a l'endroit du rdv avec leur employeur pour récupérer les pieds d'or !

Malheureusement il ne peut ce rendre au rdv et leur donne un nouveau lieu...

C'est partie pour des kilomètres de marche... Et pas de tout repos !

Une fois de plus nous allons pouvoir que constater que c'est vraiment une belle bande de bras cassés... Mais tellement attachants !



J'y est trouvé beaucoup d'humour, rien de sérieux qui est fort agréable pour ce changer les idées !

John Lang réussit une fois encore son pari avec un roman situé dans le monde de Naheulbeuk mais sans ses héros habituels. Les veilleurs de Glargh est un savoureux récit mélangeant avec brio suspense et humour. Du polar-fantasy qui captive le lecteur et se lit avec beaucoup de plaisir.



Lire la chronique sur le blog:
Lien : https://www.bookenstock.fr/2..

Le groupe d'aventuriers se rend compte qu'ils ont fait une énorme boulette en livrant la statuette de Gladeulfeurha. La fin du monde se rapproche à grands pas. Ils doivent intervenir avec leur sagacité, leur efficience et leur vaillance habituelles. C'est-à-dire que l'on frôle la catastrophe et l'inertie à chaque page.



Mais il faut récupérer la statuette.



Ils pensaient acquérir la gloire et la richesse, ils sont poursuivis par des dizaines de groupements cultistes qui veulent qu'ils échouent. D'ailleurs, la glorieuse troupe n'a rien à faire, quand deux cultes se rencontrent, cela finit toujours maL Genre: destruction complète d'un village paisible.



Un tome plaisant, rapide, bien envoyé, avec quelques running gags comme les habituelles rivalités nain-elfe, ou le fait de trouver un nom à la fraternité... comme les fiers de hache, même si seul le nain manipule une hache.

Contrairement aux autres tomes de la série déjà lus, celui-ci m'a fait rigoler. Je l'ai trouvé plus rythmé, ce qui n'est pas difficile vu que dans les tomes 1, 3 et 4, il ne se passe quasiment rien, ou cela prend un nombre de pages pas possible.



Ici, on est dans la mécanique PMT, porte-monstre-trésor..., sauf que parfois derrière une porte, il y a un seau et des brosses... Même un mage a besoin d'un placard à balais. Un personnage s'en va, un autre arrive, c'est la magie des Donjons.



Le petit gimmick qui consiste à entendre la voix du MJ annoncer le passage de niveau d'un personnage m'a bien amusé aussi. Les délires du barde sont (malheureusement) très conformes à ce qui est produit par de mauvais jouerus lorsqu'il leur vient l'idée de créer un tel personnage à table. C'est douloureusement délicieux en termes de souvenirs de mes parties de D&D. Idem pour le décolleté de l'elfe qui gagne un bonnet lors du passage de niveau. Cela m'a rappelé des comportements de joueurs incarnant des aventurières... et qui exprimaient leurs fantasmes primaires en caricaturant ce qu'ils pensaient être une femme. Cela dit, les joueuses ne brillent pas toujours par leur savoir-vivre et leurs manières non plus.



Par contre, l'opposition nain-elfe m'a considérablement ennuyé, tant c'est prévisible et plat. Je sais (malheureusement, de nouveau) que cela se passe parfois ainsi autour d'une table de jeu... avec le joueur qui justfie sa stupidité bornée par "ben quoi ! je vais comme il est marqué à la page 54 du Players' Handbook"...



Bref, un tome qui sort un peu du lot par une vraie auto-dérision. Mais sans vraiment aller au bout des choses.



Par contre, côté dessins, j'ai souvent trouvé des expressions identique chez le ranger et le barde, voire le barbare. Idem entre l'elfe et la magicienne.

Bien loin de son univers délirant de fantasy iconoclaste, blindé d’humour et de clins d’œil, John Lang propose ici un récit très sombre contant le combat de deux quidams aidés d’une organisation secrète contre une entité démoniaque surpuissante. C’est en fait le premier roman de John Lang. Paru en 2006 chez Rivière Blanche, le roman a ensuite été réédité aux éditions Physalis en avril 2012 puis il est réédité chez Hélios en septembre 2015.



Le récit a lieu dans une période contemporaine informatisée et équipée d’internet, mais « pré-réseau-sociaux » si l’on peut dire. À vue de nez, je le plaçais même plutôt dans les années 95 que 2005, il est affolant de voir comment certains aspects peuvent sembler déjà obsolètes au niveau informatique. Un peu à la manière d’un Lovecraft, des gens normaux mais quand même un peu érudits ou portés vers l’étrange se retrouvent confrontés à des choses venues d’ailleurs. Subissant totalement la monstruosité dans un premier temps, l’enquête qu’ils vont mener va leur donner des éléments pour répondre à cette chose, avant de l’affronter frontalement.



La lecture est assez plaisante, dans un style simple et digeste. L’auteur arrive à bien nous faire vivre les scènes d’actions. Les protagonistes sont selon moi ce qui pêche un peu dans le roman : le héros principal notamment est trop détaché de la réalité, alors qu’il semble normal au départ. Il ne s’émeut que trop peu de ce qu’il vit, même quand les conséquences de ses actes touchent ses proches. Je lui ai trouvé un certain manque d’humanité qui m’a beaucoup dérangé, son élève étant un peu plus crédible à ce niveau.



D’une manière générale l’intrigue est assez classique, et beaucoup de passages sont assez prévisibles. Mais on passe quand même un bon moment dans l’univers sombre de ce livre, par trop déshumanisé à mon goût. Attention cependant, le thème démon est traité de manière assez rude, violent typé gore et parfois sexuel voire orgiaque. Donc âmes sensibles s’abstenir ! La fin est aussi un peu rapide, avec un héros qui arrive à « oublier » une des entités qui le hante et lui a fait vivre une horreur sans nom. L’ouverture toute prévisible vers une suite ?
Lien : https://aupaysdescavetrolls...

Ils ont les statuettes... youpie ! Il faut les vendre. Et le magicien acheteur leur fait faux-bond. Donc, il faut aller à un nouveau rendez-vous pedibus cum jambis.



Quelques péripéties plus loin, dont la disparition d'un membre de la compagnie, ils finissent dans un mausolée dont le propriétaire "bien vivant" est le vampire hémophile... Mais s'il faut compter sur la rapidité de la magicienne pour répondre au question... autant que le barbare se charge des explications.



Ancien rôliste, je n'arrive pas à accrocher ni même à comprendre ce qui peut attirer mes amis dans cette BD. Je la trouve très lourdingue. Pas spécialement drôle. Avec un graphisme que je trouve assez lassant à la longue. De plus les auteurs ont opté pour un nombre assez limité de (grandes ) cases par planche, ce qui entraîne un manque flagrant d'intensité et de contenu. Pas de réel rebondissement. Bref, un flop en ce qui me concerne.