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Critiques de Joël Egloff (204)
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L'étourdissement

Ce livre-ci c'est vraiment un coup de cœur.. j'ai beaucoup beaucoup aimé malgré le côté plutôt glauque du bouquin (et c'est le moins qu'on puisse dire!).



C'est un livre où il n'y a pas vraiment d'intrigue ni de fil conducteur: il raconte simplement le quotidien d'un jeune gars qui franchement n'est pas gâté par la vie : il vit avec sa grand-mère dans une bicoque à moitié délabrée, perdue dans un bled coincé entre une décharge publique, des lignes à haute tension, une station d'épuration, un aéroport et un abattoir où il travaille (comme la plus grande partie des autres villageois).



C'est vraiment un concentré de misère et de noirceur. Et pourtant ça se lit, et ça se lit même très vite. Malgré le contexte, on arrive à sourire et même à rire grâce au style de l'auteur qui est bourré d'humour: de l'humour bien noir, mais aussi une bonne dose d'absurde et de loufoque.



Ça ne ressemble à rien de ce que je lis d'habitude et je trouve que ça en vaut vraiment la peine.



Pour moi, c'est vraiment une belle découverte et j'ai hâte de lire un autre livre de Monsieur Egloff.

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L'homme que l'on prenait pour un autre

Cet homme en a pris son parti : il ressemble à beaucoup d'autres. Il n'est donc guère surpris quand une personne âgée le prend pour le journaliste de la météo à la télé et il annonce alors ses prévisions. Une autre fois, on le rend responsable du mauvais fonctionnement du chauffe-eau : il ressemble au plombier. On le prend aussi pour un ex-tôlard et son soi-disant ancien ami de piaule vient même à sa rescousse en lui demandant de la sauver une fois de plus en l'hébergeant. Il accepte de partager son intimité pendant 3 semaines. Un jour, il se trompe d'étage, et sa voisine est très émue en l'apercevant, persuadée que son mari est revenu. Il vient donc vivre avec cette femme et prend ses enfants comme les siens. Il accepte les lettres d'amour adressées à Simon Pierre car le facteur lui fait avouer qu'il est ce Simon Pierre !

Cela pourrait ainsi ne jamais d'arrêter, d'ailleurs il n'y a pas vraiment de fin. Mais peut-on mettre fin à l'absurdité ???

Dans tous les cas, j'ai parfois pleuré de rire en lisant ce petit roman et en parcourant les péripéties de Simon Pierre ou de Pierre Simon, à vous de choisir...

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Ce que je fais là, assis par terre

enfin un livre original,déroutant,qui sort des sentiers battus,,,ou on ne sait jamais comme a chaqie livre qui est fou,si c'est le lecteur ou les personnages,,,,,un livre à l'atmosphere glauque qui englue,,,un livre comme je les aime,,,,,
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L'étourdissement

Le narrateur nous emmène dans son monde qu'il vit d'une manière presque surréaliste pour supporter l'inacceptable. Le brouillard d'on ne sait quoi présent tout au long du roman accentue ce monde presque irréel. L'humour omniprésent nous rappelle que c'st le seul moyen qu'à le narrateur pour accepter ce mode bien réel.

Très beau roman que j'ai lu avec grand plaisir et que je relirai.
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Pour ce premier roman, Joël Egloff nous invite à découvrir son univers étrange, peuplé de personnages à la fois humains et totalement loufoques .

Le thème : pour l'entreprise de pompes funèbres familiale, les affaires vont mal car personne ne meurt. Mais quand quelqu'un semble enfin s'être décidé à "passer l'arme à gauche", les deux fossoyeurs se retrouvent dans un "road movie" surréaliste où l'humour noir mène la (macabre) danse.

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L'étourdissement

"Quand le vent vient de l’ouest, ça sent plutôt l’œuf pourri. Quand c’est de l’est qu’il souffle, il y a comme une odeur de soufre qui nous prend à la gorge. Quand il vient du nord, ce sont des fumées noires qui nous arrivent droit dessus. Et quand c’est le vent du sud qui se lève, qu’on n’a pas souvent, heureusement, ça sent vraiment la merde, y a pas d’autre mot.

Nous au milieu de tout ça, ça fait bien longtemps qu’on n’y fait plus attention. C’est qu’une question d’habitude finalement. On se fait à tout."

Ainsi s’ouvre le récit et tout me semble déjà dit de l’essentiel du roman - un endroit des plus horribles avec tout ce que le monde industriel a pu imposer parfois: terrain d’aviation, parking de supermarché, décharge municipale, station d’épuration, voies ferrées délaissées, la pollution partout, un grand abattoir comme travail le plus prisé du lieu et tout est à l'avenant.

Un conte de paumés dans un coin perdu de nulle part.

Reste l’humour heureusement! Sinon ce serait insupportable, une telle lecture, basée sur des accumulations de tout ce que je déteste le plus au monde mais, dit le narrateur qui vit là avec une grand-mère désastreuse:

On s’attache même aux pires endroits, c’est comme ça. Comme le graillon au fond des poêles.

Ce qui m'a décidé à choisir ce petit roman? Cette phrase de l'éditeur au dos du livre:

"Un humour irrésistible qu'illumine une réelle poésie."

Il ne m'en a pas fallu plus pour imaginer un chef d'œuvre mais je suis dans une période de malchance car, si j'ai fini cette centaine de pages, j'ai souvent été tentée d'arrêter, sauf que ç'aurait été mon second abandon en deux jours et que celui-ci m'a quand même semblé plus intéressant que le précédent de Sà Moreira.

N'empêche, ce n'est pas une lecture que je peux recommander à mes amis, malgré le prix que ce livre a reçu.
Lien : http://liratouva2.blogspot.f..
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Libellules

Disponible en librairie depuis le 30 août dernier, "Libellules" regroupe 25 textes signés par l'écrivain français Joël Egloff, également auteur des romans "L'Etourdissement" et "L'homme que l'on prenait pour un autre".



Un père en prise avec les questions de son fils au sujet de la mort, un homme guettant depuis 8 ans sa voisine secouant son linge, un écrivain surpris du manque d'intérêt de sa coiffeuse pour son métier, un nostalgique de la carabine à patates ou du clocher de l'église mystérieusement disparu, un futur touriste des îles Hébrides, un aspirant plombier en Antarctique, un homme obsédé par un sablier capricieux, un autre par le trou dans sa boîte aux lettres, deux ados amateurs de magazines érotiques ou encore une collectionneuse de Kinder Surprise.

Tels sont quelques-uns des personnages brossés en quelques pages par un narrateur qui n'est autre qu'un écrivain, homme de l'ombre se glissant à pas feutrés dans leurs existences pour les observer par le trou de la serrure.



Figure toujours en retrait et fonctionnant à son propre rythme, le narrateur prend la mesure du temps et des gens, cédant à la rêverie ("Un grand endroit pour dérouler", "Kate") ou à la nostalgie ("La carabine à patates", "Mon chapeau"), prenant subitement conscience de sa solitude ("Rien à secouer","Seul au monde", "Jour sans") quitte à se fixer sur certains détails, insignifiants pour le commun des mortels, mais qui meublent son quotidien ("L'enlèvement", "Au feu s'il vous plaît", "Disparu") ou encore à développer certaines manies ("La lettre").



"Libellules" évoque ces "non-événements" de l'existence qui participent de notre quotidien et qui, sous la plume bienveillante, familière (tout en étant soignée) de l'auteur, revêtent alors un peu plus de saveur que d'ordinaire.

Aussi souvent invisibles qu'éphémères, ils nourrissent pourtant l'imagination et l'existence solitaire de l'écrivain qui se les réapproprie, les réinvente, les sublime, tantôt avec amertume, tantôt avec humour, mais toujours avec délicatesse.

J'ai beaucoup aimé voir ce père s'empêtrer avec les questions de son fils au sujet de la vie après la mort, de la durée de vie des renards ou encore sur le sens de l'expression "voir la vie en rose".



J'ai moins apprécié des textes (trop) anecdotiques comme "La carabine à patates", "Mon chapeau" voire agaçants de réalisme comme "Jour sans" ou "La lettre" où l'auteur nous détaille par le menu tous les stratagèmes à la Mc Gyver déployés pour récupérer une lettre tombée derrière sa boîte.

Pour résumer mon avis sur ce recueil, je dirais que dans l'ensemble, j'ai davantage apprécié les messages et les idées sous-jacentes aux procédés (certes efficaces mais fastidieux à la lecture).



Un avis mitigé sur ce recueil mais qui ne me détournera toutefois pas de l'auteur dont j'ai déjà "L'homme que l'on prenait pour un autre" sur mes tablettes.
Lien : http://contesdefaits.blogspo..
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L'étourdissement

Excellent! Plein d'humour. Livre décalé avec des personnages attachants.
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Libellules

Une carabine à patates perdue dans les souvenirs d'enfance, une offre d'emploi pour un plombier sur la banquise, un sablier qui se refuse à indiquer deux fois le même laps de temps, un chapeau qui s'enfonce dans l'eau, emmenant avec lui une partie de son propriétaire, des réflexions métaphysiques d'un enfant à propos de Dark Vador...



Voilà ce qui vous attend, entre autres, lors de la lecture de ces Libellules. Des sujets chaque fois originaux, qui apparaissent dans le quotidien sans que l'on ne s'en rende plus compte. Le point positif de ce livre est qu'il force notre regard, après la lecture, à se poser sur des choses auxquelles on ne porte pas ou plus attention. A voir de l'extraordinaire dans l'ordinaire. Malheureusement, beaucoup de ces nouvelles tombent un peu à plat, et l'on aurait voulu que l'auteur aille plus loin, ose plus. Relativement lent, le récit gagnerait parfois à prendre un peu d'ampleur, histoire que le lecteur ne s'endorme pas en route.



Une nouvelle cependant sort du lot. Intitulée simplement La lettre, celle-ci, partant comme toujours d'un évènement en apparence banal, arrive à captiver totalement l'attention du lecteur, qui se met presque à trembler d'excitation pour un courrier perdu. Rien que pour ce récit, la lecture valait le coup !
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Libellules

Un enfant qui tente de comprendre le monde, un homme qui épie ses voisins à la fenêtre, un rendez-vous chez le coiffeur, une carabine à patate, un besoin de s’évader vers d’autres contrées, un sablier imprécis, un magazine convoité, un chapeau à la mer, une lettre égarée, un tatoueur dyslexique… Voilà autant de petits sujets amusants et sympathiques qui constituent « Libellules », le nouvel ouvrage de Joël Egloff. Libellules est un petit recueil de vingt-cinq nouvelles plein de charme et de poésie, dans lequel l’auteur capture et met en mots de petits épisodes du quotidien. C’est avec finesse et douceur qu’il extrait de ces instants ordinaires toute la beauté et la sensibilité dont ils regorgent. L’écriture est simple mais plaisante, et le ton s’avère d’une extrême justesse. L’on s’attache, s’émeut ou s’amuse de ces rencontres qui ne durent que quelques pages et qui pourtant s’offrent à nous avec la plus grande générosité ! Un pur moment de plaisir !
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L'étourdissement

Une ambiance grisâtre, des situations piteuses, tout respire le glauque... mais Le style de l'auteur rend ce roman très agréable à lire. Une véritable ode à l'humour noir!
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L'homme que l'on prenait pour un autre

Avec Joël Egloff on est vite conduit dans l'absurde, dans l'humour cynique, en compagnie de personnages improbables, qui portent en eux des symboles de solitude, de médiocrité, de néant... mais également de réalisme.

Et puis ici, c'est assez dérangeant, il y a comme qui dirait une critique sous-jacente de la perte de nos identités, de l'inutilité de nos noms, patronymes, dans notre société, que personne n'est irremplaçable (comme on le répète souvent dans le monde professionnel surtout....), que l'un peut très bien être l'autre s'il accepte de remplir la fonction...

J'avais beaucoup aimé L'étourdissement, j'ai moins aimé lire L'homme que l'on prenait pour un autre, ce n'est pas aussi emballant, peut-être par l'absence d'empathie que le personnage principal suscite chez le lecteur.
Lien : http://chezlorraine.blogspot..
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Un très court roman, au ton décalé et à l'histoire hautement originale, qui se lit rapidement.

Le début m'a littéralement emballé. La description de ce "patelin" ainsi que de l'entreprise de pompes funèbres est très réussie (mention aux deux employés peu doués)

La suite m'a laissé sur ma faim et ne m'a pas totalement convaincu.

La forme du roman semble se chercher et cela manque un peu de peps à mon goût pour tenir la route jusqu'au bout.

Mais un auteur à suivre car c'était son 1er roman !!!
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Les Ensoleillés

Où étiez-vous le 11 Août 1999 à l’heure du déjeuner?

Si vous pouvez répondre à cette question, inutile de vous demander ce que vous faisiez.

Il y a des dates qui marquent l’inconscient, collectif ou non. Des jours de naissance, de mariage, d’obsèques. Des jours de rencontre. Ceux-ci nous sont personnels. Et puis, il y a les jours qui appartiennent à tout le monde.

Ainsi, ceux qui l’ont vécu se rappellent parfaitement ce qu’ils ont fait le 21 Juillet 1969, le 11 Mai 1981, le 11 Septembre 2001 et, peut-être, à l’avenir nous nous rappellerons parfaitement ce 17 Mars 2020 où il nous était fortement conseillé de ne pas sortir de chez soi.

Dans les « ensoleillés », on ne parle pas directement de l’éclipse, celle du 11 Août 1999, mais de tous ceux qui ont eu la chance de la contempler et l’impossibilité de le faire.

Les ensoleillés, ce sont tous ces gens qui ont raté ce moment unique, pour une raison ou une autre. Galerie de portraits :

On y croise un paresseux hors normes, une famille autour d’une carte postale à rédiger, une jolie jeune femme qui maudit cette absence momentanée de l’astre pour effacer la marque du maillot, une vieille dame trop courbée pour pouvoir lever le regard vers le ciel, un spécialiste de comptoir qui trouve son maitre et comment une réunion improvisée peut se conclure de trois manières différentes. Il y a aussi ce petit garçon ne sachant pas encore bien prononcer les mots compliqués, qui voit sans arrêt des « acrenciels » et qui, le jour où il s’exclame « un éclixe », son père est excédé. Un maniaque de la vérification qui prend une bonne heure à tout débrancher chez lui, à bien fermer les robinets, à mettre les interrupteurs sur « off » (pourtant il n’y a rien qui ressemble plus à un interrupteur en position « off » qu’un interrupteur en position « on »). On croise un allergique à tout, ou presque. Celui qui, dépité de ne pouvoir assister à la prochaine éclipse, en Septembre 2081, refuse tout net d’aller voir celle-ci. Ces parents trop matérialistes qui ruinent les croyances de leur enfant (jubilatoire). On croise cette famille d’agriculteur qui a décidé de quitter la planète le jour J (on se rappelle qu’un célèbre couturier avait prédit la fin du monde). On apprend à relativiser entre, par exemple, la peur de perdre l’être aimée dans un terrible accident et le soulagement de sa découverte en nuisette chez son meilleur ami. Il y a ce couple qui s’engueule pour un rien (typique). Au contraire, il arrive, qu’ayant oublié les obligatoires lunettes de protection, on se retrouve les deux seuls à pouvoir se garder les yeux dans les yeux quand tout le monde a le nez en l’air. On y découvre aussi comment bien se comporter dans les transports en commun (à qui doit-on céder sa place en premier) et les interrogations d’un soldat qui se demande pourquoi il fait la guerre.

Un petit volume qui se laisser déguster. Le temps d’une éclipse.

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L'étourdissement

un sentiment mitigé sur ce livre, le début est surprenant et amusant, mais rapidement l'auteur en fait trop dans la démesure, à la limite de la lourdeur. Le livre est court, 140 pages qui se lisent vite avec heureusement quelques bons passages, sinon je crois que j'aurais laissé tomber.
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L'homme que l'on prenait pour un autre

De l'absurde. Il faut adhérer et cela a été mon cas.

Les épisodes s'enchainent, leurs conséquences prennent de l'ampleur jusqu'à ce que le personnage lui-même s'y perde et nous avec.

Les situations pourraient être drôles (le sont parfois) mais il y a une sorte de fatalisme triste dans la manière qu'a le personnage principal de se conformer aux multiples identités qu'on lui attribue sans rien dire, sans se défendre. Comme si la vie (ou plutôt les vies) lui glissai(en)t dessus. C'est drôle, c'est triste, c'est complètement invraisemblable.

Un très beau passage sur les lacets de chaussure, plein de poésie.

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Quelle est cette entreprise qui porte ce joli nom de Edmond Ganglion et fils ? Eh bien une entreprise de pompes funèbres.

Les héros sont des croque-morts du type pieds nickelés.

Une histoire bien faite et distrayante !
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j'ai acheté ce roman sur la foi du titre, et j'ai espéré de l'humour, mais je suis resté sur ma faim; c'est plutôt du malaise que j'ai ressenti, avec cette histoire qui se passe "nulle part" ( un personnage ne sait pas qu'il habite près de la mer, l'autre a oublié) ; le cafetier tue la clientèle qui ose demander de l'orangeade... (mmmmouais) ; aucune clientèle (ils vivent de la "prune" de Jules???). Ce qui pourrait être déjanté m'a surtout paru complètement invraisemblable mais pas du tout dans le loufoque. je n'ai pas aimé, et pourtant j'étais prête pour :)
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Libellules

Le titre du recueil m'a tout de suite séduite. J'imaginais un univers poétique et une écriture très travaillée. Je dois dire que de ce côté là, je suis plutôt déçue.

L'écriture de l'auteur est à l'image de ses nouvelles : déconcertantes de simplicité. L'auteur capture des moments de vie et les mets sur papier, se contentant parfois d'un seul paragraphe pour toute une histoire. C'est bref, parfois le procédé fonctionne et marque, mais le plus souvent, j'ai trouvé ça bien trop léger.

Un recueil court, vite lu, mais qui ne me laissera pas un souvenir impérissable.
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L'étourdissement

La vie d'un jeune homme entre l'abattoir et le village. Un quotidien banal et long ponctué d'événements drôles et fantaisistes.
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