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Citations de Joseph Delaney (603)


Le monde serait bien différent s'il correspondait à nos désirs. Mais, ce qui compte, c'est la façon dont nous menons notre vie.
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La mort change tout.

(Amabramsum, le livre genthai de la sagesse)
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Une humaine ne compte pas. Elle n'est qu'un bien qu'on possède.
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Nous ne sommes pas des magiciens mon garçon. Nos outils de travail se nomment bon sens, courage et mémoire, car nous devons tirer des leçons du passé.
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Que m'était-il arrivé ? Toutes ces années où j'avais vécu en danger, soumis à une peur constante, avaient finalement pris leur revanche, c'était la seule explication.
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Oh, Tom ! Tout le monde change. Si tu te voyais dans les années à venir, tu seras stupéfait de te découvrir si différent de ce que tu es aujourd'hui, empli de pensées et de sentiments inconnus. Nous changeons sans cesse, mais graduellement, de sorte que nous n'en avons pas conscience.
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"Comment peux-tu te sentir seul? Tu as ta propre compagnie, non? Si tu n'es plus satisfait de ta propre compagnie, alors tu seras vraiment seul."
Je comprenais maintenant ce que cela signifiait, que l'intégrité, l'étincelle de bonté en nous, voilà ce qui nous fait être nous-mêmes. Si cela s'éteint, on est perdu, définitivement seul, et notre unique compagnie, c'est l'obscur.
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- Je vous en prie, monsieur Gregory, suppliai-je. Ne renoncez pas…
Levant enfin le regard vers moi, il secoua tristement la tête:
- Tu ne mesures pas la perte que nous venons de subir. Cette bibliothèque en m’appartenait pas, petit. Je n’étais que son dépositaire. C’était à moi de l’enrichir et de la préserver pour
l’avenir. J’ai failli à ma tâche. Je suis fatigué, fatigué pour tout ça. Mes vieux os se refusent à continuer. J’en ai trop vu, j’ai vécu trop longtemps.
- Debout, vieux Gregory! gronda Alice. Ne restez pas planté là, vous allez pourrir sur pied!
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"Un jaboteur apparaît le plus souvent dans la semaine suivant un suicide. C'est ce qui est arrivé ici, nous appris l'homme. La femme de chambre était à mon service depuis plus de deux ans. Une gentille fille, travailleuse et - pour son malheur - jolie comme un coeur (...)
- D'où vient ce nom de jaboteur ? demandais-je.
- C'est à cause des bruits qu'il produit, petit. Il ne cesse de jacasser sur un ton sarcastique, il s'adresse à lui-même dans un babillage incessant. Il émet des sons incompréhensibles, mais dont l'effet est terrifiant."
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Je ne boirais pas le sang de victimes humaines, je ne leur prendrais pas leurs os. Mais j'avais bien l'intention d'apprendre tous les tours qui me protégeraient des autres sorcières et de quiconque tenterait de me faire du mal.
Je survivrai, c'est sûr.
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Par ailleurs, comme le disait Frère Peter, beaucoup de gens aimaient la spectacle du supplice et venaient par plaisir.
A l'instant où cette pensée me traversait l'esprit, les tambours résonnèrent. Brûlez ! Brûlez ! Brûlez ! Sorcières et sorciers, brûlez ! semblaient-ils scander. Une rumeur courut dans la foule. Ce murmure devint un rugissement qui explosa en une cacophonie de huées et de sifflets. L'inquisiteur approchait, dressé de toute sa taille sur son grand étalon blanc. Derrière lui cahotait la charrette transportant les prisonniers. Des cavaliers, l'épée au côté, chevauchaient de part et d'autre. A leur suite, une douzaine de tambours marchaient, bravaches, battant leur instrument d'un geste théâtral.
Brûlez ! Brûlez ! Brûlez ! Sorcières et sorciers, brûlez!

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" Si tu n'es plus satisfait de ta propre compagnie, alors tu seras vraiment seul. "
- Mère de Tom
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...le début de la connaissance est d'accepter son ignorance ....
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"Mon père m'avait dit un jour que les femmes savent des choses que les hommes ignorent. Elles ont parfois un drôle d'éclat dans le regard, et il vaut mieux ne pas leur demander alors à quoi elles pensent. Sinon, elles pourraient faire une réponse que vous n'aimeriez pas entendre."
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La beauté est un piège redoutable : elle ligote plus étroitement un homme qu'une chaîne d'argent, une sorcière.
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"Je suis prête, maintenant. Prête à tuer. À les tuer tous. Je suis la mère de la mort. Elle court sur mes talons, s'accroche à ma jupe avec des ricanements de joie, laissant sur l'herbe verte de fraîches empreintes de sang. Entendez-vous son rire? Écoutez-le résonner dans le croassement des corbeaux qui festoieront de chair humaine!"

Grimalkin.
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Nous avancions dans le noir à une allure rapide quand un brusque éclair, au loin, éclaira la nuit comme en plein jour. Un sourd grondement s'éleva aussitôt. Puis le vent fraîchit. Un orage venait vers nous. Et quel orage! Quelques minutes plus tard, une pluie torrentielle nous obligeait à nous abriter dans un épais bosquet, tandis que le ciel nous offrait un spectacle apocalyptique d'éclairs accompagnés de coups de tonnerre.
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Plus nous descendions, plus je me sentais oppressé. L'impression de danger était palpable.
Soudain, le passage s'élargit, et l'Épouvanteur se redressa, élevant sa lanterne. Une caverne béait devant nous, si vaste que la lumière n'atteignait qu'à peine ses parois.
Les chiens se pressèrent contre nos jambes, peu désireux d'explorer cette zone ouverte. Sans doute éprouvaient-ils, comme nous, l'effroi qu'inspire une complète nouveauté, au-delà de toute expérience connue.
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Le ciel scintillait d'étoiles, et la Voie lactée était une étole d'argent jetée à travers le firmament.
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Grimalkin sortit de leurs fourreaux deux longues lames et sauta par-dessus la table avec la souplesse d'un chat. Elle entama aussitôt autour de l'être en armure une espèce de danse, lente et menaçante, un mince sourire étirant ses lèvres. Elle aimait se battre. Elle aimait exercer ses talents contre un adversaire valeureux, et elle venait d'en trouver un à sa mesure. Grimalkin ne craignait pas la mort. Mais, si elle était vaincue, nous péririons tous.
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