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Critiques de Julian Barnes (533)
Une fille, qui danse

Un roman qui se lit très bien. L'histoire d'une bande de copains prometteurs, qui s'entendent bien et se complètent à merveille. Vient ensuite les 1ers émois amoureux et les complications qui vont avec. La mort d'Adrian va tout changer surtout pour le narrateur qui 40 plus tard devra replonger dans cette époque pour chercher des réponses à cette question: pourquoi Adrian s'est il suicidé ? en est il responsable ? A lire absolument
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Une fille, qui danse

Un très bon roman empreint de nostalgie sur les souvenirs et la mémoire. Le personnage principal est sympathique, attachant, l'écriture est fluide et j'ai passé un excellent moment. Je ne mets toutefois pas 5 étoiles car la fin m'a laissée quelque peu perplexe. Dommage.
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Une fille, qui danse

Un roman imprégné d'une immense nostalgie, celle de la jeunesse passée qui ne reviendra pas, d'une époque, aussi, les swinging sixties. Et puis, sous cette nostalgie, transparaît petit à petit la culpabilité. Tony ne sait pas pourquoi, mais il se sent coupable de ce qui s'est passé des décennies plus tôt. Julian Barnes crée un vrai mystère même si on n'est pas dans un polar et sa dissipation est un coup.
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Une fille, qui danse

L'Histoire n'est pas très prenante
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Une fille, qui danse

Tony, sexagénaire retraité, se souvient de ses années "lycée".

Il a mené une vie plutôt morne. Son ex-petite amie, véronique, vit avec son ex-copain Adrian (celui-ci se suicide à 26 ans). Tony a écrit à Adrian et Véronique, une lettre terrible qui ressort "40 ans" plus tard. Tony raconte sa vie, mais sa mémoire est-elle si parfaite??

le début est opaque, difficile de rentrer dans cette "histoire"
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Une fille, qui danse

Quel est l'impact du passé sur notre vie actuelle ? Ou les petits arrangements que nous passons avec notre mémoire sur la version de notre propre vie,

l'interprétation parfois très personnelle de nos souvenirs et émotions ...



C'est ce qui ressort de cette histoire bien construite, prenante, troublante où l'on retrouve un humour cynique et une élégance très british . Le style est brillant, travaillé ,peut-être un peu trop précieux et philosophique par moments.

Très bon moment de lecture



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Une fille, qui danse

C'est le 1er roman de Julian Barnes que je lis, et l'écriture m'a beaucoup plu. Quand j'ai compris que le roman tournait beaucoup autour de la mémoire, des souvenirs, de ce dont on choisit de se rappeler sur une période lointaine de sa vie au point de réussir à se reconstruire un passé qui nous satisfait, j'ai eu peur de trouver ça fastidieux, un peu trop "intello". Mais l'auteur réussit à nous faire s'identifier à son héros, un type moyen, ni bon ni mauvais, qui n'a ni réussi ni échoué, ni stupide ni brillant. Bref, un homme normal, banal. Ca m'a poussé à me poser des questions sur ma propre vie : est-ce qu'on vit "assez", est-ce qu'on ne se contente pas de faire au mieux et de limiter les dégâts, et est-ce que ça vaut le coup de ne vivre "que" comme ça, est-ce suffisant ? Bien sûr, je n'ai pas trouvé les réponses à toutes ses questions, et en effet, la fin du roman nous laisse un peu nous débrouiller pour comprendre comme on peut. Mais quand même, un roman d'une belle écriture et qui nous pousse à la réflexion, c'est pas mal quand même ! (août 2013)
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Arthur et George

Un peu déçu par ce Julian Barnes que je situe cependant parmi mes auteurs préféré : beaucoup de longueurs, moins d'humour que dans d'autres ouvrages, une construction littéraire monotone.C'est probablement une excellente description de la vie anglaise à l'époque victorienne, une biographie détaillée de Conan Doyle, une belle mise en évidence d'une erreur judiciaire flagrante ...Il n'en reste pas moins qu"Arthur et George" m'est tombé des mains plus d'une fois et ce n'est que par respect de l'auteur que j'ai laborieusement terminé cette lecture. A mon sens, un ouvrage bien en dessous du "perroquet de Flaubert", de "l'histoire du monde en 10 chapitres 1/2" ou du récent "une fille, qui danse".
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Une fille, qui danse

Ce roman me laisse perplexe, j'ai éprouvé quelque ennui à le lire : autant par l'écriture que par la trame du récit, les réflexions sur la vie m'ont semblé surfaites pour aboutir à la conclusion que la vie vaut à peine d'être vécue, c'est au final assez désespérant ; quelque chose a dû m'échapper au vu des critiques élogieuses de la presse et des lecteurs ?
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Quand tout est déjà arrivé

Le chagrin, dit-on, est le prix que vous payez pour l’intimité du bonheur. Le seul moyen d’éviter la douleur – parfois tellement envahissante qu’on souhaite s’exclure entièrement de la vie – est d’éviter l’amour. Alors ne tombez jamais amoureux! Même si cela exige une perte encore plus grande.



Dans son nouveau livre, Levels of Life, Julian Barnes écrit sur son deuil et son chagrin mais aussi sur sa colère envers les proches qui n’ont pas le bon comportement face à la perte, qui agissent comme si son épouse n’avait jamais existé. Il écrit qu’il continue à avoir des conversations avec elle.



Il a envisagé le suicide – un bain chaud, un verre de vin et un couteau bien aiguisé. Mais surtout, il lui manque ce que les deux ont créé entre eux, la tapisserie d’une vie qui ne peut jamais être reproduite, "La perte de vocabulaire commun, tropes, taquineries, raccourcis … notes amoureuses … toutes ces références obscures riches en mémoire, mais sans valeur si expliquées à un étranger…"



C.S Lewis a écrit :

"Personne ne m’avait jamais dit que le chagrin était à ce point semblable à la peur. Je n’ai pas peur, mais ce que j’éprouve est comme la peur. C’est la même sensation au creux de l’estomac, la même nervosité, le même vide [...] A d’autres moments, l’impression ressentie est celle qu’on éprouve dans une légère ivresse ou après un choc. Une sorte de voile invisible s’étend entre le monde et moi. Je trouve difficile de comprendre ce qui se dit."



Et c’est un peu ce que Barnes exprime. Il fait le début d’une évaluation réaliste de sa souffrance, celle qui désactive et paralyse. Et pourtant, les autres ont tendance à éviter d’en parler, laisser les gens y faire face seul, avec une compétence limitée et beaucoup trop de maladresse.



Une critique de ce livre, mélange réussi mi-mémoire, mi-fiction et mi-essai sur la littérature est impossible à faire. (Oui, oui, je sais on ne peut pas avoir trois "mi", mais je suis une rebelle littéraire qui va contre les règles ordinaires de la langue, je suis comme ça!). Je ne veux pas plomber l’ambiance parce que ce n’est pas un livre triste ni déprimant, il est tout simplement sincère, intelligent et délicatement entrecoupé de références historiques et littéraires. Je vais pouvoir briller dans les dîners en société grâce à mon nouveau savoir sur les montgolfières.



Je suis heureuse qu’un auteur aussi talentueux que Barnes ait écrit un livre qui explore son chagrin. Bien sûr, son chagrin est unique, tout comme le mien, tout comme celui des autres. Mais ses éclairs de perspicacité pénétrante et sa pensée si bien articulée font que l’on puisse dire: "c’est exactement ça!" Et de souhaiter vous lisiez tous ce livre merveilleux pour apprendre et comprendre.
Lien : http://www.labayonnaise.com
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Une fille, qui danse

Le début du roman était prometteur, mais on sombre très vite dans l'ennui. Je me suis pourtant accrochée, pour lire ce roman jusqu'au bout... Ce sont les 2 dernières pages qui donnent un peu de "sens" à toute l'histoire... Je suis déçue.
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Une fille, qui danse

En parcourant les critiques de ce livre sur différents sites de lecture, je m'aperçois que ce roman déchaîne les passions ! Il fait partie de ces œuvres que l'on adore ou que l'on déteste. La demie mesure est rarement de mise à son sujet.



En ce qui me concerne, Julian Barnes est parvenu à m'emmener là où il le souhaitait. J'ai été plutôt réceptive à ce travail d'introspection réalisé par Tony, ce sexagénaire à l'existence un peu terne qui se rend compte - un poil trop tard, malheureusement - qu'il a parfois été bourreau lorsque dans sa vie, il s'est cru victime.



J'ai d'abord aimé l'ambiance "so british" de ce roman, cette bande de copains londoniens, délicieusement prétentieux qui, à la veille de leur vie d'adulte, croient déjà tout connaître et font de l'existence un essai philosophique.



J'ai aimé la justesse des sentiments et des émotions. Tantôt admiratif, amoureux, en colère, meurtri ou frustré, j'ai accompagné Tony dans ce voyage intérieur, dans cette quête de lui-même et de sa propre histoire.



J'ai aimé la chute, à laquelle je ne m'étais pas du tout préparée. Je trouve que la chute d'un roman, ou même d'un film, est d'une importance capitale. La dernière pièce du puzzle, l'instant savoureux qui permet de relier toutes les connections entre elles, le feu d'artifice final ! Et dans ce roman, je n'ai pas été déçue !



Pour celles et ceux qui ont le temps de flâner sur le web, rendez-moi visite sur mon blog (en construction) ! Vos Instants Lecture, conseils, avis, encouragements (aussi !) sont les bienvenus !
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Une fille, qui danse

Avertissement : on évite de lire la quatrième de couverture bien trop prolixe !



Angleterre, fin des années 60. Au lycée, ils étaient quatre brillants jeunes hommes enclins aux conversations réfléchies où ils aimaient glisser un mot de philosophie. Une sorte de code entre eux. Un peu arrogants certes, croyant que le monde leur appartenait et qu'il l'avait déjà compris. Adrian avait l’esprit vif et était le plus intelligent des quatre mais aussi le plus calme. La fac les a disséminés dans divers coins du pays mettant leur amitié à distance. On a beau se promettre de rester les meilleurs amis à dix-neuf ans, ces promesses se réalisent le temps de se voir un week-end de temps en temps. C’était le temps où Tony a connu Véronica. Son premier flirt qui l’avait quitté pour Adrian.

Tony a maintenant plus de soixante ans, divorcé, il mène une existence qui lui convient. Il reçoit un courrier d’un notaire car il est dans le testament de la mère de Véronica. Il avait rencontré une fois ses parents et n’a pas revu son ancienne petite amie depuis la fac ayant coupé les ponts avec Adrian.

Pourquoi la mère de Véronica a-t’elle pensé à lui quarante plus tard en lui léguant une petite somme d’argent mais surtout les carnets d’Adrian qui sont en possession de Véronica ?



Avec Tony, nous revisitons ses souvenirs mais surtout les questions surgissent car il est décidé coûte que coûte à récupérer les carnets. Non pas seulement des questions sur le passé, mais également sur l’existence et le temps qui passe. L'histoire et l'Histoire sont sondées, et à travers Tony le puzzle de plusieurs vies prend forme.



la suite sur :

http://fibromaman.blogspot.fr/2013/04/julian-barnes-une-fille-qui-danse.html
Lien : http://fibromaman.blogspot.f..
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Love, etc.

Love, etc est un roman à voix multiples : chacun des protagonistes se confie à un même individu.

Stuart, banquier qui a épousé Gillian, laquelle est convoitée par Oliver, le meilleur ami de Stuart sont les trois voix principales du roman. Ces trois personnages forment un triangle amoureux.



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Une fille, qui danse

Très bien,mais...

Ce roman est avant tout un long monologue:celui d Anthony ,la soixantaine,evoquant amis et amour de jeunesse...( un seul:Veronica)

Le facteur déclenchant de ces souvenirs? La mère de Veronica décède et lui lègue a sa grande surprise,une petite somme d argent(500 livres sterling) et le journal intime d'Adrian( qui lui succéda ds le coeur de Veronica...)pourquoi ce curieux legs?

L auteur s interroge sur le souvenir,la mémoire et même sur L Histoire :peut on remanier,corriger,remasteriser le passé,effacer des d'erreurs de jeunesse,?comment faire pour ne laisser de soi que de bonnes impressions ?

Le remord( étymologiquement:qui mord une deuxième fois d’ après julian barnes) est cruel...



Vous lirez tout cela d un trait( j adore Julian Barnes) jusqu au coup de théâtre final(..était ce nécessaire?)digne d une émission de télé réalité et a mon sens peu crédible...( d ou seulement 4 étoiles)

Peu importe,même sans cette chute , je ne me lasse pas du ton et du style des romans de Barnes.



Bémol et regrets:les personnages ne sont qu esquisses:

d 'Adrian on sait seulement qu il est de grande taille,brillant ,issu d une famille atypique mais néanmoins de la haute société..

de meme,Pourquoi Veronica et Anthony se sont ils sépares?peu d éléments...lassitude,immaturité?...



Ce roman est surtout celui d un homme (Anthony ,le narrateur ),se voyant ,vieillissant,au bout du chemin,n attendant plus grand chose de la vie et se désolant de n avoir été au cours de son existence,que "moyen "dans tous les domaines ...et surtout ne pas avoir été à la hauteur de ses rêves de jeunesse ,plein de fougue et d ambition..( grand lecteur,il voulait vivre "comme dans les romans",passion,amour,aventures palpitantes,panache et tumulte...)

Devenir adulte ,serait -ce accepter la banalité ,la routine,la petitesse,la médiocrité de sa propre existence?

Comme le dit Barnes, être moyen est ,par définition ,le lot du plus grand nombre.

mais l'essentiel n est il pas d essayer d être heureux ,bien dans sa peau ?et peu importe les classements et les honneurs...?









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Une fille, qui danse

Un roman subjacent, insaisissable et obsédant, proprement impénétrable comme l'est la matière humaine elle-même — opaque, intouchable, irréductible dès lors qu'on arrive en de vraies profondeurs
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
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Quelque chose à déclarer

Julian Barnes est un auteur passionnant et érudit mais il a un gros problème.Ce livre n'est pas un roman, c'est un recueil d'articles qu'il a écrit pour différentes revues et rassemblé en un volume dédié à la France, sa terre de coeur qu'il connait et aime depuis l'enfance. C'est drôle et bien documenté, mais avec Barnes, on finit toujours par tomber sur Flaubert, sa véritable passion, et la ça se gatte, car on ne rigole pas avec Flaubert.Ça commençait bien pourtant, avec des bons textes sur Brassens, le tour de France, la cuisine française vue par les anglais... et puis, et puis.Flaubert occupe toute la dernière moitié du recueil, avec sa correspondance, sa maitresse, ses amis écrivains, sa Bovary, son perroquet... non pas ici le perroquet.Bref, un début drôle et original, une fin un peu trop érudite et un peu chiante à dire vrai.9 janvier 2012.
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Love, etc.

Julian Burnes il est britannique, et son sens de l’humeur aussi. C’est très agréable la manière donc tous les monologues et déclarations des caractères ont été construites par Barnes. Pour la plupart du livre il y a beaucoup des situations amusantes pour découvrir comment des points de vue sur les situations ont changé avec les années et les sentiments ne sont pas pour toujours, bien que naturellement quelques gens n’ont pas encore réalisé dans l’ouvre de Barnes ainsi que dans la vie réelle.
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Quand tout est déjà arrivé

On peut voir trois parties dans ce livre. Dans la première moitié du livre, Barnes nous parle de l'histoire de l'aviation, et c'est intéressant. La seconde partie raconte un des nombreux amours de Sarah Bernhardt: c'est agréable à lire. Mais après, quand le livre devient autobiographique, on peut savourer de très belles pages sur le deuil, sur l'amour, sur la vie. Là, c'est de la grande littérature.
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Elizabeth Finch

est-ce le ton? Le coeur du thème? Les dialogues? Il y a quelque chose dans l'oeuvre de Julian Barnes qui résiste à la profondeur malgré ses questionnements qui, eux, la recherche semble-t-il. Je n'ai pas été emballé par ce roman-récit, pourtant la personnalité de Elizabeth Finch, hors norme, aurait dû faire en sorte que je veuille en savoir et en retenir davantage. Le ton, peut-être, toujours à distance, n'aide pas à y aller..
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