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Critiques de Julian Barnes (533)
Une fille, qui danse

Avons-nous conscience de l’ampleur de l’incompréhension qui souvent pèse sur notre relation à l’autre ? Mesurons-nous l’influence du temps écoulé sur la perception de notre passé, de nos souvenirs ? Telles sont les questions qui hantent le roman de Julian Barnes.



Tony, le narrateur, est un jeune retraité. Un héritage inattendu l’amène à se replonger dans les événements qui quarante ans auparavant, ont marqué sa jeunesse : la mère d’une de ses petites amies de l’époque, Véronica, lui lègue cinq cent livres et le journal intime d’Adrian, un camarade de lycée. Ce journal étant pour l’heure en possession de Véronica, très réticente à le lui céder, ainsi que l’en informe l’exécutrice testamentaire, il tente de prendre contact avec elle. Tous deux eurent une relation de quelques mois alors qu’ils étaient étudiants, qui s’acheva de manière conflictuelle. Par la suite, Tony apprit par une lettre de son ami Adrian que ce dernier avait une aventure avec la jeune femme.



Mystérieux personnage que cet Adrian, adolescent intelligent et sérieux passionné de philosophie, étudiant porté par une vision très claire de lui-même mais aussi par une douloureuse conscience de la vacuité de l’existence... Tony lui, a toujours été plus "brouillon", comme il le dit lui-même, se contentant de se soumettre aux exigences de la réalité. Il semble d’ailleurs avoir fait de la tranquillité que lui a valu cette passivité placide le centre de sa vie, une vie sans doute peu intéressante, ponctuée de quelques accomplissements et de quelques déceptions, mais menée sans passion. Il s’entend bien avec sa fille et avec son ex-femme, bénéficie d’un confort raisonnable. Mais ce rappel de son passé et des énigmes qu’il a laissées l’amènent à s’interroger avec nostalgie sur son existence dénuée d’émotions fortes. Il n’a jamais vraiment pris sa vie en main, avançant tant bien que mal, se constituant peu à peu une réserve de souvenirs, accumulant plutôt que progressant. Il réalise son manque d’aptitude à prendre des décisions morales et à agir en conséquence, son incapacité à s’examiner soi-même. Il s’est fourvoyé : il a cru être réaliste, responsable, mature ; il n’a été que lâche et en sécurité, évitant les difficultés plutôt que de les affronter.



A la prise de conscience de cette inertie vitale, se superpose une interrogation sur la subjectivité qui préside au regard qu’il porte sur le passé, liée à la fois aux traces inconscientes qu’ont laissé en lui les événements vécus et qui les parent d’une approche intime, unique et individuelle, et au passage du temps qui, en faisant disparaître les témoins de ces événements, réduit la possibilité des corroborations, remettant en cause non seulement la fiabilité de sa perception des choses, mais aussi les certitudes sur lui-même, sur celui qu’il fût.



Un récit empreint d’amertume et de mélancolie, sur le gouffre que notre aveuglement crée parfois entre nous et les autres, sur le courage que nécessite la clairvoyance vis-à-vis de soi-même, qui se conclue d’une manière terrible, en mettant brutalement le héros face au décalage que sa vision tronquée du monde a créé avec la réalité et les autres.


Lien : https://bookin-ingannmic.blo..
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Une fille, qui danse



Ce livre a beaucoup de point communs avec Holyhead. Il est, comme ce un coin perdu dans le North Wales un après-midi pluvieux d’automne, ennuyeux maussade et consternant.

Barnes a du beaucoup se mortifier à écrire cette introspection larmoyante et psychologique à deux sous On l’ aurait préféré psychédélique avec humour anglais à la clé qui met le sourire aux lèvres Las ! que du terne



En fait de quoi parle-t-on ? d’un homme commun ,très commun qui a eu une adolescence commune passée à apprendre la vie commune d’un sujet anglais qui un jour recevant le journal d’un copain d’enfance s’aperçoit qu’il n’est pas celui qu’il imaginait être. Ce petit grain de sable dans sa vie commune bien établie et conforme va le conduire à revisiter son adolescence voire sa misérable vie

Il prend conscience qu’il était ordinaire qu’il l’est resté …et comme le dit Barnes je cite approximativement « … c’est comme un repas terne dont on aurait présenté le dessert en entrée… » encore que l’entrée ne soit pas un riche mezzé oriental à se taper la cloche mais bien une entrée frugale a manger sur le pouce comme un gloubi-boulga; c’est dire l’indigence du repas

Barnes distille sa prose soporifique, page après page avec la régularité du métronome. L’ennui suinte à chaque paragraphe et entraîne le lecteur dans une somnolence inévitable.

Et ce ne sont pas les questions au lecteur pris à témoin, ponctuées tous les deux ou trois pages du style « n’est-il point ? - Non ? » qui vont le réveiller Bien au contraire elles lui rappellent qu’il faut continuer à lire, à replonger dans la torpeur.

Toutefois ce style prosaïque a le mérite il faut bien le reconnaître d’amener le lecteur jusqu’ à la fin

Ensuite on se pose la question

« comment en suis-je arrivé là ? N’est-ce pas ? »

Mystère! c’en est déconcertant! On l'a fait!

Livre pour insomniaque ; évite la prise de barbituriques , benzodiazépines, valium et autres permet de sombrer tout en douceur dans le sommeil

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La seule histoire

Trois parties bien distinctes composent ce roman. J’avais craint d’y entrer difficilement, vu le thème : Paul, un jeune de 19 ans, s’éprend d’une dame de 48 piges, Susan, mariée et mère de deux filles plus âgées que lui. Mais non, la première partie m’a plutôt plu, grâce au talent de Barnes, qui aborde l’histoire sur la pointe des pieds. Paradoxe entre l’amour fou et la façon très cool de décrire ce qui devient une relation à temps partiel. Relation évoquée comme quasi normale : pourquoi pas ? Barnes use ici d’un style original. Paul s’interroge beaucoup sur ses sentiments, prend le lecteur à témoin, à moins que ce ne soit l’auteur qui philosophe…

Mon plaisir s’éteint lors du deuxième set (les amants se sont rencontrés sur un court de tennis, mais le mot amant ne convient sans doute pas car il fait penser au sexe, ce qui ne semble pas le plus important ici). Susan devient alcoolique. Paul s’interroge en permanence sur ce qu’il doit faire : ses sentiments sont toujours là mais son comportement fait de plus en plus songer à une obligation morale. Cette hésitation finit par lasser, d’autant plus que Susan semble le rejeter. Pour le libérer, peut-être, mais Paul ne parvient pas à prendre de décision.

Troisième set : Paul n’a pas réussi à sauver Susan et la « rend » à ses filles. Egoïsme ou pas ? C’est l’objet des longues digressions de Paul (et de l’auteur) sur l’amour. Beaucoup de bavardages surtout, parfois confus, qui ont fait que j’ai atteint la dernière page avec soulagement !

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La seule histoire

Que cette lecture fut poussive ! On m'avait conseillé Julian Barnes pour son style, son emploi des mots, et j'ai été déçue.

L'histoire relate le premier amour vécu par un jeune homme de 19 ans, Paul, du premier au dernier jour de sa relation. La naissance, l'évolution, le déclin de cet amour pour une femme plus agée que lui.

Que de circonlocutions ! Que de retours en arrière sur des anecdotes déjà évoquées ! Que de temps perdu à vouloir terminer cet ouvrage...
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Une fille, qui danse

Bof...
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Quand tout est déjà arrivé

Trois nouvelles s'assemblant en un roman poignant...Un pur roman car les deux premières nouvelles racontent trois voyages en aéronef, celui de Felix Tournachon (pseudo : Nadar), de Frederik Burnaby, anglais dans l'âme donc parfaitement excentrique et celui de Sarah Bernhardt, divinité théâtrale totalement "bohême" puis les amours de Sarah et Frederik....



La légereté, l'érudition amusée, l'amour porté au XIXème siècle français, l'art de nouer l'intrigue qui se teint de progressivement de gravité (Nadar recoiffant sa femme devenue aphasique, Burnaby perdant Sarah, aimée totalement), la qualité de l'imaginaire basculent alors brutalement dans une cantate funèbre, un lamento infiniment mélancolique, une espérance à jamais perdue...celle d'Orphée se retournant sur Eurydice...Julian Barnes parle de son épouse disparue en un texte terrible mouillé de larmes....Un deuil sans fin.



On voit le travail littéraire à l'oeuvre....On tombe de haut, car les aéronefs finissent par chuter...On tombe de tout son long puisque l'Amour est impossible...On tombe dans le Royaume des Morts car l'Immortalité charnelle est un leurre...Le Souvenir se substitue à la Personne car l'Absence impose sa présence (Appelez, criez, hurlez...personne ne vous répondra...La vie déserte).



Quand Ecrire est votre raison d'être, une des plus belles chose qui soit est de donner ou redonner vie.



"Quand déjà tout est arrivé" traduit mal le titre anglais "Levels of life" soit "Différentes hauteurs de vie" . En tout cas un très beau livre.




Lien : https://www.babelio.com
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La seule histoire

ABANDON



Dès le début de cette lecture, j'ai su que ce roman n'était pas fait pour moi.

Après une vingtaine de pages, malheureusement, ce n'est que somnolence et ennui...

Des amies lectrices l'ont beaucoup aimé et c'est donc avec déception, que j'ai abandonné ce livre.

L'écriture serrée, les descriptions, la mélancolie m'auront fait refermer cet ouvrage.

Evidemment, ce n'est que mon ressenti.


Lien : https://leslecturesdeclaudia..
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Une fille, qui danse

Lu jusqu’à la dernière page, mais au prix d’un certain effort... pourtant ce roman n’est pas si long, mais le récit est centré sur le narrateur et à la longue cette sorte d’auto analyse devient ennuyeuse..., enfin pour ma part je ne suis pas fan!
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Une fille, qui danse

La critique de Malaura sur ce livre rejoint tellement mes impressions que je n'éprouve pas le besoin d'y ajouter quelque chose ,je vous conseille donc de la lire !
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La seule histoire

L'écrivain britannique Julian Barnes a reçu mercredi le prix français Jean d'Ormesson pour La seule histoire, roman poignant sur les cicatrices que laissent un premier amour.
Lien : https://www.lapresse.ca/arts..
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Love, etc.

Je me suis penché sur ce livre après avoir lu le début du livre La seule histoire (du même auteur) dans le magazine Lire. La note du livre sur Babelio était plutôt bonne et un prix Femina venait se rajouter à cela. Je n'ai pas pu terminé ce livre, l'exercice de style et l'histoire qui n'avance absolument pas ne m'ont pas du tout passionné. Pourtant, j'ai fini par me plonger dans La seule histoire.
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La seule histoire

Paul a 19 ans lorsqu'il rencontre la femme de toute sa vie. Elle, c'est Suzan, 48 ans, mariée, 2 filles et pratiquant le tennis….en double, avec lui.

Il l'aime, elle aussi et l'auteur le fait parler avec "je".

Ils s'installent et vivent ensemble et la narration passe au pronom pluriel

Ils s'éloignent, prennent de la distance et la 3ème partie le devient grâce au "il".

Paul raconte, analyse cette "histoire" d'amour de toute sa vie où l'alcoolisme, invité révélé au fil du temps, prend une place importante et qui a vraisemblablement changé beaucoup de choses.

Je m'attendais à un roman plus joyeux mais il n'en reste pas moins que c'est dans un style d'écriture où le regard, l'analyse, le questionnement sont omniprésents que cette histoire très romanesque nous est contée. J'ai cependant un peu souffert de trop de tout ça ! Un livre intéressant.

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La seule histoire

L’épigraphe m’avait mis en appétit :

« Roman : une petite histoire, généralement d’amour ».

Cette légèreté ne s’est pas démentie jusqu’aux dernières phrases :

« …de fait, je pense en avoir fini avec le sentiment de culpabilité. Mais le reste de ce qui faisait ma vie, tel qu’il était, et serait ensuite, me rappelait à lui. Alors je me suis levé et j’ai regardé Suzan une dernière fois ; aucune larme ne m’est venue aux yeux. En sortant, je me suis arrêté à la réception et j’ai demandé où se trouvait la station-service la plus proche. L’homme a été serviable. »

L’histoire d’amour entre un jeune homme de dix-neuf ans et Suzan, trente huit ans depuis une partie de tennis en double, tient 260 pages, ironiques et profondes, so british.

« Un premier amour détermine une vie pour toujours : c'est ce que j'ai découvert au fil des ans. Il n'occupe pas forcément un rang supérieur à celui des amours ultérieures, mais elles seront toujours affectées par son existence. Il peut servir de modèle, ou de contre-exemple. Il peut éclipser les amours ultérieures ; d'un autre côté il peut les rendre plus faciles, meilleures. Mais parfois aussi, un premier amour cautérise le cœur, et tout ce qu'on pourra trouver ensuite, c'est une large cicatrice. »

Le narrateur passe au fil des chapitres de la première à la troisième personne, accumule les citations puis les rature, y revient :

« En amour, tout est vrai, tout est faux ; et c'est la seule chose sur laquelle on ne puisse pas dire une absurdité » (Chamfort). Il avait aimé cette remarque depuis qu'il l'avait découverte. Parce que, pour lui, elle ouvrait sur une pensée plus large : celle que l'amour lui-même n'est jamais absurde, ni aucun des participants. »

Cette liaison dans la banlieue aisée de Londres dans les années 60 a des allures de scandale mais à bas bruit. La passion absolue est décrite tout en nuance et même le lecteur qui a pu lire d’autres livres à ce sujet peut apprécier la virtuosité de l’écrivain au service d’une honnêteté revigorante.

Conversation de bar, lieu pas si anecdotique que ça, puisque les amants auraient plutôt tendance à dire la vérité, au moins entre eux, alors que l’alcoolique ment :

« Elle disait qu’elle voulait reposer sur mon épaule aussi légèrement qu’un oiseau. Je trouvai cela poétique […] L’homme inhala la fumée et la souffla dans l‘air parfumé.

« Primo, les oiseaux s’envolent n’est ce pas ? C’est dans leur nature. Et secondo, avant de partir, ils vous chient sur l’épaule. »
Lien : http://blog-de-guy.blogspot...
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La seule histoire

Dans une petite ville anglaise, Paul Casey, jeune homme de la middle class, joue au tennis en double avec Susan, de trente ans son ainé.

Celle-ci est marié et mère de deux filles. Progressivement, il est invité et s'incruste dans cette famille, participant aux repas familiaux, invitant ses copains...

C'est l'époque des seventies, la mode est à la sexualité libre. Paul est tombé amoureux de Susan, ils font l'amour, ils s'aiment... mais le mari de Susan, n'est pas dupe et peut être violent...

Ce couple improbable va s'installer à Londres et vivre ensemble des instants de bonheur mais rapidement Susan présente des troubles dépressifs et sombre dans l'alcool...



Cette descente aux enfers est exprimée dans ce récit, de façon très pudique, du point de vue du concubin, d'abord plein de sollicitude puis peu à peu dépassé, impuissant, désabusé.

C'est avant tout une histoire d'amour; d'ailleurs Paul reste persuadé que l'Amour, le vrai, peut triompher de tout. Sa vie sentimentale sera perturbée à jamais par cette première expérience désastreuse, dont il se remémore quelques pans de façon aléatoire. De ce soliloque introspectif émane une profonde tristesse, voire une mélancolie inextricable.

Un beau roman mais dont la lecture ne me laissera qu'un vague souvenir.











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La seule histoire

Se remet-on d'un premier amour? L'auteur nous dit que non... Il déterminerait même la vie entière. Avec une élégance cruelle, l'auteur suggère qu'on peut aimer à la folie et ne plus aimer du tout. Au risque de renoncer à soi-même...
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La seule histoire

Une petite histoire d’amour et de détresse.

En Angleterre, dans les années soixante, Paul, etudiant de dix-neuf ans, tombe amoureux de Susan, mariée, mère de deux grandes filles, et, de vingt ans , son aînée.

Nos deux héros connaîtront la passion amoureuse, puis, lorsqu’ils s’enfuiront à Londres, seront confrontés au drame et à la solitude.

ce roman, encensé par la critique, m’a profondément déçue.

Paul me semble sympathique mais, sans consistance , et, un peu falot. Susan me paraît évanescente, insipide et superficielle.

Si Julian Barnes sait décrire, avec talent, la société anglaise et l’ angoisse des alcooliques, ses personnages manquent de profondeur et d ‘ épaisseur.
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England, England

Je trouve que l'idée de départ, la constitution d'un parc à thèmes regroupant sur l'Ile de Wight tout ce qui fait la saveur de l'Angleterre (ses monuments, ses personnages célèbres, sa cuisine etc.), en premier lieu, la famille royale, est géniale.

Les personnages sont savoureux chacun dans leur genre, le livre est plein de références et c'est une satire terrible de l'Angleterre et des Anglais. Mais je crois que je me suis parfois un peu ennuyée, j'ai eu un peu de mal à parvenir jusqu'au bout. Ma connaissance des manies des Anglais est probablement trop limitée pour comprendre toutes les subtilités de ce roman. Donc un peu de déception...
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Avant moi

Superbe narrateur, d'une aisance stupéfiante, Julian Barnes est aussi un psychologue des marges; sous sa plume, les schémas mentaux convenus éclatent et c'est ce qui se produit dans ce terrible roman sur la jalousie, conçue comme torture et fatalité, et que le personnage ne pourra extirper de son mental parce qu'elle occupe tout le champ de sa mémoire imaginaire. Un grand roman mais très dur.
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Rien à craindre

Un livre essentiel.
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Un homme dans sa cuisine

Julian Barnes nous raconte son itinéraire gourmand depuis la cuisine de sa mère dans l'Angleterre de son enfance aux restaurants français étoilés en passant par sa cuisine et ses efforts pour reproduire les recettes de ses livres de cuisine.





Ah, ses premières expériences / innovations culinaires comme le maquereau au Martini et à la chapelure qui rendait plus saoul que rassasié !



Ses premiers essais de recettes à partir de livres de recettes en 4 points ... où ne figurait pas le § 3 !



Ou bien quand il évoque la précision des recettes ... "Quelle est la grosseur d'un morceau, le volume d'un doigt ou d'une goutte ?", "quel est le poids d'un oignon moyen ?"



Et la mésaventure de sa voisine qui, pour faire de la confiture, mesura une livre de fruits et une livre de sucre ... dans un pot vide ayant contenu une livre de confiture ... le résultat fut un résidu noirâtre !



Ou comment le plat réalisé ne ressemble jamais à la photo du livre ...





Cela fait bien longtemps que je n'avais pas ri autant à la lecture d'un livre ! ... que j'ai trouvé beaucoup trop court !



Bien évidemment je vous le recommande vivement !
Lien : http://bill.et.marie.over-bl..
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