Julie Garwood

Ce volume fait partie de la série Buchanan. On y retrouve Alec Buchanan, 3e membre de la fratrie et flic à Chicago, chargé d'enquêter et surtout de protéger Regan Madison, une célèbre héritière d'un empire hôtelier. Cette dernière est victime d'un psychopathe aux motivations plutôt troubles. Bien sûr, la proximité forcée entre nos deux protagonistes ne pourra les mener qu'à une relation plus sentimentale.

Dans la plupart de ses romans historiques, J. Garwood garde toujours une place importante à l'humour, qui est moins présent ici. Il n'empêche, "Un amour assassin" est un bon roman de divertissement, avec une intrigue policière classique mais rondement menée, une relation sentimentale convenue (j'ai lu mieux) mais gentillette, et surtout toute une galerie de personnages plutôt bien typés et attachants.

Au final, pas le meilleur de Julie Garwood mais un bon moment de lecture par un après-midi pluvieux...

Livre magnifiquement prenant qui vous entraîne avec humour et passion dans cet univers écossais fabuleux!

Un ravisseur sans scrupules, 2e volet de la série des Fiancés du Laird, fait suite à Sur Ordre du Roi et nous propose de suivre Brenna, une jeune anglaise promise au laird MacNare qu'elle ne connait ni d'Eve ni d'Adam.



Le sort en décide autrement lorsque que Connor décide d'enlever la jeune femme au nez et à la barbe de son ennemi juré pour l'épouser.



Commence ainsi l'histoire de nos deux tourtereaux sur fond de vengeance.



Un ravisseur sans scrupules est un livre agréable qui se lit vite, que j'apprécie toutefois moins que Sur Ordre du Roi. Il était compliqué pour Julie Garwood de prendre la suite d'un de ses romans les plus iconiques. Et passer derrière Jamie et Alec n'était pas une mince affaire.



Au global, tout est sympathique, mais en dessous de son prédécesseur.



Connor est une sorte de caricature d'Alec : bourru, incompétent en matière d'émotions, d'une patience très limitée, qui grogne pour parler et croit dur comme fer qu'une femme se dresse comme un cheval.

Couplé à une Brenna dont la naïveté + la candeur ont été poussées à l'extrême, le livre tourne très vite à la caricature.



Ce qui m'a le plus dérangée pendant la 1ère partie du livre est la facilité confondante avec laquelle Brenna accepte sa situation. Elle se fait enlever par une montagne de muscles peinturlurée comme une voiture volée et la seule chose à laquelle elle pense, c'est comment faire en sorte que son mari l'aime bien (ils se connaissent depuis littéralement 2h).



Bon OK, c'est un Aventures & Passion, mais tout de même, quelques pages supplémentaires pour construire la relation n'auraient pas fait de mal. Brenna est ainsi ravie de sauter dans les bras de son ravisseur lors de leur nuit de noces, désireuse de bien faire les choses, alors que 5h avant, elle était promise à un autre. Hum...



En dehors de ça, à partir de la 2ème moitié du roman, on prend vraiment plaisir à suivre notre petit couple et le panel de personnages secondaires qui nous est présenté.



Pas le meilleur Julie Garwood, mais je le conseille pour ceux qui veulent retrouver Jamie et Alec de Sur Ordre du Roi.

Le résumé du livre n'a aucun, mais alors AUCUN rapport avec l'histoire que nous raconte Prince Charmant.



Peut-être qu'à l'époque de sa sortie, les histoires de mariages forcés avec une grosse brute étaient plus à la mode, mais on ne pourrait pas être plus éloigné de cet ouvrage.



Un résumé plus honnête serait le suivant : Tiffany est orpheline de parents et de soeur et fait partie d'une famille affreuse et maltraitante, en dehors de sa grand-mère qui est sur le point de décéder.

Dans ses dernières heures, Lady Esther (mamie) met en place un plan pour mettre sa petite fille Tiffany, ainsi que son héritage, à l'abri de son horrible fils Malcolm (le tonton).

C'est ainsi que Lucas et Tiffany se retrouvent mariés et partent pour les Amériques, afin de mettre la jeune femme à l'abri tout en renouant avec la seule famille qui lui reste.

Mais bien sûr, Aventures & Passion oblige, ces deux-là vont forcément se rapprocher.



Prince Charmant fait parti des Julie Garwood que j'ai le moins lu : j'en avais donc très peu de souvenirs et cela a été un vrai plaisir de redécouvrir ce roman !



Si l'autrice est plus connue pour ses ouvrages se déroulant dans les Highlands, cette incursion dans l'Amérique de la fin du 19e siècle est un vrai plaisir.



En un peu moins de 400 pages, on retrouve tous les éléments qui ont fait le succès de Julie Garwood : un couple qui se forme de façon incongrue, malgré eux, une attirance incontrôlable, une héroïne naïve au grand coeur mais très courageuse (et très belle, cqfd), un héros bourru au grand coeur (et très beau aussi, cqfd bis), des personnages secondaires attachants, une intrigue de fond convaincante.



J'ai vraiment passé un très bon moment avec Prince Charmant : je n'aurai pas été contre une centaine de pages supplémentaires !



Un petit ouvrage de Julie Garwood plutôt méconnu, mais qui vaut le coup de s'y arrêter si vous aimez ce genre littéraire.

Sur ordre du roi est le 1er Julie Garwood que j'ai lu et sûrement un de mes préférés de l'autrice. Suite à l'annonce du décès de la romancière en 2023, qui m'a accompagnée toute mon adolescence (j'étais une grande consommatrice de romans "Aventures & Passions" et Mme Garwood en est pour moi la papesse), je me suis lancée dans la relecture de tous ses ouvrages, en commençant bien sûr par celui-ci.



Sur ordre de roi exploite un "trope" très classique de l'autrice : une jeune femme plutôt naïve mais incroyablement belle / courageuse / talentueuse / gentille qui se marie de façon plus ou moins voulue avec une sorte d'homme des cavernes au grand coeur.



Ici, nous avons Jamie, jeune femme anglaise aux yeux violets (oui oui) qui doit prendre pour époux Alec Kincaid, écossais laird de son clan. Les rois de leur patrie respective se sont sentis l'âme d'un Cupidon et leur ont donné pour consigne de s'unir pour resserrer les liens entre les deux pays.



Les écossais détestent les anglais, les anglais ont peur des écossais qu'ils voient comme des barbares sanguinaires. Cette histoire est donc mal partie et pourtant... et pourtant... N'est-ce pas l'amour qui vient pointer le petit bout de son nez ?



Clairement, si tu détestes ce genre littéraire, Sur ordre du roi n'est pas fait pour toi. On y retrouve bon nombre de clichés qui sont légions dans la romance mais que voulez-vous, j'ai vraiment un faible pour les histoires de Julie Garwood.



Le rythme est toujours impeccable, entre scènes de disputes (mais jamais trop graves), interactions avec les autres personnages ou intrigues (légères) à la sauce écossaise.



Jamie est une des héroïnes que je préfère de toute la bibliographie de l'autrice : elle est rafraichissante, tête dure mais également tête en l'air, loyale et généreuse.

Elle coche pas mal des clichés qu'on retrouve dans les Aventures & Passion, mais le style léger et fluide de Julie Garwood m'emporte à coup sûr.



Alec est l'highlander dans toute sa splendeur, qu'on pourrait décrire par "avant j'avais des principes, maintenant j'ai une femme (anglaise)"



Ce qui me séduit à chaque fois est l'évolution de leur relation qui, bien que parsemée de petites embrouilles, respire l'amour et la passion.



J'ai beaucoup de mal avec les romances où le couple principal se déchire littéralement tout du long, parfois de façon très cruelle (Shanna de Kathleen E. Woodiwiss en est l'exemple parfait), et qui ne se rabibochent qu'à la toute fin.



Sur ordre du roi reste donc mon chouchou incontesté. J'ai encore ri et soupiré à de nombreuses reprises en le lisant et pourtant, ne lai-je pas lu au moins 10 fois ?.



Je continue ma relecture de toutes les oeuvres de Julie Garwood en enchainant par Un ravisseur sans scrupules.



(Cerise sur le gâteau : je possède les vielles éditions Aventures & Passion, avec les couvertures très très kitsch que j'adore ! Elles ont un style complètement désuet et vintage.)

Difficile de défendre ce roman, tant les aspects positifs tiennent du détail.

Les deux personnages principaux sont insupportables. Caine est un homme possessif, qui tient plus du profil d'un mari violent que d'un "gentleman". J'ai crissé des dents à chaque passage relatant les rapports physiques avec "Jade", tant ça tendait vers des viols... (quand la madame dit non, c'est non... quand elle a mal, n'en parlons pas) ; ajoutons un homme qui considère que les femmes sont à leur place dans une maison, soumises aux maris, sans aucune passion ni liberté. S'il est ainsi évident dans ce roman que les hommes vivent des aventures, on nous rappelle qu'une femme qui chercherait à voyager fait figure de folie ; heureusement que Caine est là pour apprendre à cette pauvre fille qu'elle fait fausse route. Son point de vue transpire dans la narration et donne l'impression que l'auteur.e partage ces clichés, avec cette fausse bienveillance "mais Jade est vraiment une femme unique". Insupportable ! Une ode aux valeurs du patriarcat où les femmes sont bien rangées à côté de la moquette et du mobilier de salon.

Jade n'est pas mieux. La pseudo combattante courageuse, qui commande aux pirates, qui se taille une réputation quasi divine, n'est autre qu'une fillette maigrelette geignarde, neuneue, soumise, bavarde et puérile. Effectivement, à ce compte-là, heureusement que le riche mâle blanc hété... mais je m'égards ; heureusement que Caine intervient dans sa vie , alors qu'elle a laissé son cerveau et sa légende dans la gueule des requins.

Des points positifs, qui font bien pâle figure ; un oncle pirate attachant et qui prête à sourire, un frère (de Caine) humanisé, un majordome aux répliques savoureuses, un couple bien plus intéressants que celui du bouquin (Lyon et sa compagne)...

L'intrigue ne sauve rien du tout. Aucun intérêt.

Les dialogues... en les imaginant dans une série du dimanche, on peut concevoir un bon nanar.

Bref, le genre de récit qui fait s'interroger sur les choix éditoriaux des prestigieuses maisons d'édition.... business is business !

Cela faisait déjà quelques mois que je voulais acheter ce livre , sur Amazon j'avais vu de très bons commentaires sur ce livre et c'est ce qui m'a donné très envie de l'acheter mais moi j'ai été assez déçue par ce roman . J'ai quand même un peu apprécié Johanna comme personnage mais c'était moyen . Et je n'ai pas du tout apprécié Gabriel comme personnage , impossible de m'attacher à lui , je l'ai trouvé très arrogant du début jusqu'à la fin , autoritaire, insipide , rien ne le touche il n'a aucune sensibilité . Il ne laisse pas sa femme faire grand chose à part broder . Il ne semble même pas remarquer le courage de sa femme et l'admirer pour ça . J'ai trouvé qu'il n'y avait pas énormément de passion entre eux par rapport à d'autres romans d'amour que j'ai lu . Et c'est rare dans ce livre qu'il y ait entre eux une vraie discussion . J'aurais aimé aussi qu'il y ait des descriptions de paysages .

Un cadeau empoisonné est le 3ème tome de la série "Regency", après Les roses rouges du passé et Un Ange Diabolique.



On nous présente cette fois-ci Sara, qui est mariée de force (bah oui à 4 ans, on ne se marie pas de son plein grès) à Nathan St. James, fils d'une famille rivale de celle de la petite Sara. Le roi n'a rien trouvé de mieux pour essayer de rabibocher les deux clans que d'unir leurs rejetons.

Un vague air de déjà vu avec un certain "Sur ordre du roi" de la même autrice. Mais ma foi, c'est ce genre de scénario qui a fait le succès de Julie Garwood.



L'histoire commence réellement quand Nathan décide d'aller chercher son épouse manu militari des années après (elle est désormais pubère, ouf), pour consommer le mariage ... Histoire d'être sûr que personne ne puisse invalider le mariage (vu comment les 2 familles se détestent, c'est plausible). Il l'emmène sur son bateau - littéralement - puisqu'il est (pirate) navigateur.

Et c'est parti pour de nombreuses prises de têtes et quiproquos sur fond de mal de mer.



Comme à son habitude, Julie Garwood nous régale avec des dialogues polissons, des malentendus à la pelle et des situations cocasses.

Parce qu'il faut le dire, Sara est un BOULET. Pas le boulet de canon pour se défendre d'une attaque maritime. Non.

Une plaie, un fléau, un châtiment. Bref, un cadeau empoisonné, comme le dit si bien le titre.

A elle seule, elle réussirait avec la meilleure volonté du monde à faire couler le bateau et tous les membres à bord.

Le titre original "The Gift" est limite moins savoureux que sa traduction française, mais reflète plus l'ironie de ce fameux cadeau.



On passe un bon petit moment de lecture, et les joutes entre les 2 personnages font vraiment le sel du roman.

Toutefois, j'ai eu du mal à accrocher au personnage de Sara. J'ai globalement peu d'empathie pour les personnages aussi naïf et empoté, qui ont tendance à beaucoup pleurer et se morfondre. En soit, ce n'est juste pas ma came.

Je préfère nettement des Jamie de Sur Ordre du Roi, voire même des Judith dans Le Secret de Judith, que je trouve plus mesurée.

Les situations ont tendance aussi à beaucoup se répéter : Sara, avec toute sa bonne volonté, décide de mener un projet à bien, elle se foire (dans le genre elle intoxique un équipage entier avec sa bouffe), son mari l'engueule très fort, elle pleure, il se sent coupable, ils se réconcilient sur la couette. Et c'est reparti.



Globalement, "Regency" est aussi la série que j'affectionne le moins, tout simplement parce que l'époque à laquelle elle se déroule me plait moins.



Après, on reste sur du Julie Garwood, et dans son genre, elle reste une référence. Si vous avez envie de savoir si Sara réussit à la fin du roman à ne pas faire couler le bateau de son mari, la lecture d'Un Cadeau Empoisonné est vivement recommandée !

La Fiancée Offerte fait parti de mes romans préférés de Julie Garwood.



Il regroupe tous les éléments que j'aime dans ses romances :

- des personnages caricaturés juste ce qu'il faut, fondamentalement bons

- un joli panel de personnages secondaires

- une histoire basée sur 2 personnes qui n'auraient jamais du se rencontrer, et pourtant ...

- un focus sur une période historique pleine de rebondissements

- une romance vraiment chouette et mignonne (oui, oui, mignonne)



J'aime particulièrement Julie Garwood car rare sont les romans où ses héros se déchirent tout le livre, pour se réconcilier seulement à la fin.

Pour certains, cela passera pour un manque de passion, ou des héros pas assez sombres. Je trouve de mon côté que c'est vraiment rafraichissant, et que cela permet de s'attacher aux personnages.



En comparaison, des romans comme Shanna sont certes plus sombres, mais le jeu du chat et de la souris NON STOP du début à la fin, ça me fatigue.



La fiancée offerte entre donc totalement dans cette lignée.

Nicholaa est une jeune fille qui n'était pas préparée à la vie qu'on va lui offrir. Elle représente l'archétype même des héroïnes conçues par Mme Garwood : une grande beauté éthérée, un air fragile qui cache un fort caractère, un talent secret, une loyauté sans faille envers son mari.

On pourra reprocher ce schéma vu et revu, mais que voulez-vous, moi je l'aime ce schéma ... et j'aime ces héroïnes. Je les trouve attachante, et elles me permettent de me projeter dans l'histoire, sans gueuler toutes les 30 secondes "mais pourquoiiiiii ???? pourquoi tu fais passer ton EGO de M*RDE avant tes sentiments" (vision plutôt fidèle de moi en train de lire un livre comme Shanna).



Royce aussi a la panoplie des héros à la sauce Garwood, il me fait fortement penser à Alec dans Sur Ordre du Roi. Très bourru, pas doué avec les femmes (amoureusement parlant), seigneur de guerre. J'ai trouvé ce héros tellement attachant ! Il fait parti de mon top 3 des personnages masculins de l'univers garwoodesque préféré. J'ai un faible pour lui, que voulez-vous.



Au final, si vous voulez vous lancer dans un livre Aventures & Passion, je vous le conseille chaudement.

L'écriture de Julie Garwood est toujours aussi fluide et agréable.

Un excellent Julie Garwood.

Romance historique à l'ancienne, nous y rencontrons ici un héros bourru au cœur tendre et une héroïne loin d'être naïve, mais à la fois courageuse et innocente. Gillian est une femme d'un grand courage, prête à tout pour protéger un petit garçon écossais, quitte à prendre les coups. Son seul défaut, elle est anglaise. Mais son courage face aux épreuves fera tomber les barrières écossaises à plus d'un titre.

J'ai adoré cette lecture qui fait des étincelles entre les héros. A dévorer sans modération.

1303

Encore une histoire qui se passe en Ecosse mais cette fois-ci, beaucoup plus tôt, en plein Moyen-Âge. On a ici une romance historique assez classique mais qui se démarque des autres avec une réflexion sur la place de la femme et une héroïne moderne et indépendante.





1 thème que j’ai vraiment apprécié dans « un mari féroce » de Julie Garwood : le féminisme.

Assez étonnant vous me direz pour une romance historique traditionnelle. Pourtant ce thème ainsi que celui des violences faites aux femmes est sous-jacent à tout le livre. L’auteur utilise avec intelligence le contexte historique pour montrer à quel point la place inférieure de la femme est une réalité ancrée depuis longtemps dans nos sociétés. L’évolution du personnage principal, Johanna, ainsi que les rapports qu’elle entretient avec son mari, montrent avec finesse les relations complexes hommes/femmes. Ce thème apporte un vrai plus à l’histoire d’amour et rend ce roman terriblement contemporain.

J’ai apprécié découvrir ce récit sous fond d’enquête policière qui permet de redonner un nouveau souffle à l’ensemble de la série. Un univers sombre et plein de suspens qui convient parfaitement pour Cole.
Lien : https://www.sariahlit.com/20..

« Les roses rouges du passé » est une histoire peu commune qui suit un schéma original pour une romance historique. Le premier chapitre du roman donne le ton si particulier à cette histoire. Il a réussi immédiatement à éveiller ma curiosité qui n’a trouvé de repos qu’avec le point final.



Christina n’est pas une riche héritière anglaise comme les autres. Orpheline, elle a passé son enfance aux Amériques, élevée dans la nature et le respect de celle-ci. Chargée d’une mission presque divine, elle traverse l’Atlantique pour rentrer en Angleterre afin d’encaisser son héritage et accomplir la mission sacrée qui lui a été confiée dès sa naissance.

Pour évoluer dans la haute société, elle cultive le mystère autour de ses origines. Ce mystère et sa personnalité singulière attirent le regard du marquis de Lyonwood. Lors de cette rencontre, la lionne reconnaît immédiatement dans Lyonwood le lion qu’elle cherchait.



La grande originalité de ce roman réside dans le prologue qui donne le ton.

Julie Garwood commence son histoire comme un conte et narre une aventure extraordinaire où l’éducation de Christina donne lieu à des scènes plus que savoureuses. Je ne révélerais rien sur les origines de Christina, car ce sont elles qui donnent du piment à la romance.



Christina et Lyon sont deux héros que je ne suis pas près d’oublier, comparer à eux les personnages du second tome sont insipides. Il est impossible de s’ennuyer lorsque ces deux héros sont dans la même pièce. Christina donne l’impression à la société anglaise d’être une princesse éthérée qui a besoin d’être protégée. Cependant, cette image qu’elle donne est à mille lieux de son caractère fougueux.



Julie Garwood mêle l’aventure, la romance et la vengeance à des héros attachants. Les personnages secondaires sont assez plats, mais on pardonne ce petit défaut à cette charmante histoire.
Lien : https://darcybooks.wordpress..

L’ensemble de l’histoire est un peu lent à se construire, l’auteure s’étant attardée sur les liens qui unissent les différents personnages. Pour ma part, cela m’a plu. C’est une belle histoire d'amour, de famille et des liens qui nous unissent.
Lien : https://www.sariahlit.com/20..

Une magnifique histoire que j'ai dévoré d'une traite parce que prise dedans. J'ai beaucoup aimé les héros et les personnages secondaires. Julie Garwood est décidément l'une des mes auteurs historiques préférées. C'est du bonheur de lire de telles histoires!

Cette romance est à l'ancienne, avec des héros au caractère bien trempés, des disputes, de la passion, du drame aussi. L’héroïne est une femme pleine d'espoir que son premier mariage catastrophique n'a pas brisé, et qui va se révéler avec son nouveau mariage, bien différent du premier et pour lequel elle va s'affirmer. Un régal!

une bonne lecture et une jolie découverte, je continuerai avec cette auteure sans problème

moyen

Les quiproquos de cette petite romance historique et classique sont assez sympathiques mais les qualités de cette histoire ne vont pas au-delà. Ils me laisseront quand même de bons souvenirs, tels des sourires spontanés face à des scènes complètement incongrues et improbables ! Dans les relations et ces situations, j’y trouve de la spontanéité et cela n’est pas déplaisant.



Un passé qui lui sauve la mise !

Les réactions de Christina sont, d’après la quatrième de couverture, assez imprévisibles. C’est vrai. Elle possède pourtant de bonnes manières (vite apprises), elle est accompagnée et chaperonnée par sa vieille tante (quelque peu caricaturale), elle fait son entrée dans la « bonne » société aristocratique anglaise. En quelque temps, elle a tout de la belle aristocrate… mais ceci n’est qu’apparences. Dans sa façon de communiquer, elle garde le secret de son passé qui la trahit aux yeux du Marquis : cela a son charme !



Ils communiquent difficilement et ça me fait sourire : tant mieux !

Le marquis de Lyonwood (cynique et séduit) et cette demoiselle (intelligente et déterminée, loin d’être si naïve) peinent à s’accorder sur le même langage. Elle prend tous les dires au « pied de la lettre », il est désarçonné par ses références et ses comparaisons. Sans cette pointe de folie douce dans le récit et les conversations, sans ces incompréhensions bienvenues, je me serais sans doute ennuyée.



Des personnages tels qu’on les imagine dans cette société et tels qu’ils sont…

Lyon est riche, il est veuf, il est amoureux… il en est de même pour elle. La princesse est célibataire, à marier, elle détient un héritage qu’elle pourrait perdre (suspense…). Elle a le portrait et la personnalité d’une anglaise de bonne famille. Elle s’enrichit d’un passé atypique qu’elle transporte comme un atout indéniable aux yeux de ce charmant personnage masculin (à nos yeux aussi : cela met un peu de piment dans cette narration).

Rien n’est vraiment caché, rien ne provoque réellement la surprise ; la narration se dévoile tranquillement, sans ennui mais sans attrait particulier.

Le passé est semé d’embûches. Les assassinats, les attaques, les fuites et les cachettes sont contés : je ne m’y attache pas particulièrement… Dommage !

Le méchant est « un peu » tordu et omniprésent dans les obstacles de la vie de Christina et de sa mère.



Ma conclusion…

En fait, ce récit est improbable mais distrayant. Je lui garde quelques qualités indéniables. Ce fut une lecture détente agréable, sans atouts remarquables, juste correcte.
Lien : https://alapagedeslivres.wor..

Dans cet ouvrage, on retrouve bien le style de Julie Garwood avec un héros fort et bourru, Duncan, ainsi qu’une héroïne courageuse, Madelyne.



Dès les premières lignes, nous sommes plongés directement dans l’action, au cœur du Moyen Age. Le Baron Duncan de Wexton, dit le loup, a été capturé par le Baron de Louddon. Lady Madelyne assiste à toute la scène, et compte bien aider le prisonnière de son demi-frère, du traitement que ce dernier lui prodigue. Mais Duncan a un plan, et à ce moment personne ne le soupçonne.



Madelyne est une jeune fille naïve et maladroite, mais au grand courage. Elle ne se rend pas compte du danger qu’elle court, et rend fou ses compagnons qu’ils la protègent.



Quant à Duncan, il ressemble aux héros highlander typique. Grand, beau, musclé, viril, têtu et protecteur, bref une grande brute au cœur tendre. Et j’y ai succombé !



Un livre coup de cœur, qui m’a fait redécouvrir la plume fidèle de Julie Garwood.
Lien : https://mrsturner6259.wordpr..