Julie Garwood

Voilà, c'est parti, le nouveau challenge Babelio, le multi-défis 2016 et de 1/60.

Pour l'item « Un livre qui vous a marquée », j'ai choisi de relire une fois encore « Le maître-chanteur » de Julie Garwood.

On peut alors me demander pourquoi celui-là, ce n'est clairement pas de la grande littérature ni vraiment un roman historique et pourtant ce roman me bouleverse de rire à chaque fois.

Pour la petite histoire, il faut savoir que j'ai lu ce livre pour la première dans le train en compagnie de mes deux filles aînées il y a plus de 15 ans maintenant. Et pas moyen de ne pas éclater de rire tout au long de ma lecture, à tel point que mes filles étaient un peu gênées d'être assises à côté de moi. Faut dire qu'elles étaient encore bien jeunes et ne pouvaient pas comprendre un tel engouement jusqu'au jour où l'une d'elles a pris ce même livre lors d'un autre de nos voyages. Et là, surprise, elle commence à rire toute seule et voilà comment un roman peut transformer un voyage corvée en douce complicité entre mère et filles :-)

C'est un livre rouge comme je les aime, un peu d'histoire, un brin de romantisme, un zeste d'érotisme, de superbes écossais et surtout une tonne d'humour qui s'égrène tout au long d'un récit riche en aventures et rebondissements.

Pas déçue du tout de cette xième relecture, le fou-rire était bien au rendez-vous !

Rien de tel finalement pour commencer une nouvelle année sous de bons auspices :-)

j'ai adoré ce livre, tout comme j'ai aimé ses autres livres

Julie Garwood, c’est l’auteur grâce à qui j’ai découvert la romance historique, c’est elle qui m’a fait rentrer dans le bain avec Sur ordre du roi (qui va bientôt être réédité)(joie) il y a de cela sept ou huit ans. Celle grâce à qui je vous parle régulièrement de romances historiques, celle à qui je compare un certain nombre de ces romances que je lis. Bref, je vous l’ai déjà dit un certain nombre de fois mais quand on me demande un auteur du genre, c’est toujours elle qui arrive en premier. Donc quand j’entends parler d’un roman inédit en français, faisant parti d’une série que j’ai adoré, vous pouvez être sûrs que je vais me jeter dessus et le dévorer. Ce que j’ai bien évidemment fait avec La musique des sombres passions.



Et je me suis régalée. Du début à la fin, j’ai retrouvé la plume de Mme Garwood que j’aime tant. Son humour, ses héros au fort caractère, ses aventures trépignantes, ses dialogues croustillants, ses méchants méchamment méchants, sa douceur, son amour, tous ces petits éléments qui font que les romans de l’auteur sont vraiment à part. Un roman qui a réussi pendant quelques heures à me faire sourire, à me faire rire alors que le cœur n’y était pas. (suite sur le blog)
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Quand je me suis plongée dans cette histoire, je n’ai pas vu le temps passé. J’avais à peine commencé à lire le début que j’étais déjà à la fin. Cette romance a réussi à m’emporter d'un bout à l'autre sans l’ombre d’une difficulté. Enfin mon seul bémol, qui est souvent le même dans les Garwood, serait que la chute est un peu précipitée. J’aurais aimé qu’elle prenne un peu plus de temps pour approfondir l’intrigue autour du secret de Judith, mais aussi de la place que la jeune femme va prendre au sein du clan de Ian.



Hormis ce bémol, j’ai trouvé la romance réussie. J’ai beaucoup aimé le personnage de Judith, qui possède un sacré caractère où le courage et la volonté font bon ménage. J’ai aussi apprécié sa sensibilité et la manière dont elle se réveille le matin où elle est souvent très à l’Ouest. Pour moi, c’est l’une des héroïnes les plus réussies dans l’univers des romances historiques de Julie Garwood.



Face à Judith, nous retrouvons Ian, chargé de l’escorter avec ses hommes jusqu’à sa meilleure amie afin qu’elle puisse tenir la promesse qu’elle lui a faite jadis. Très vite, Ian va être intrigué par cette demoiselle qu’il va se surprendre à admirer. Pourtant elle est anglaise, et les écossais sont censés les considérer comme des ennemis. Ce ne sera pas le cas de Ian, qui va avoir envie de la secouer parfois, mais qui relativisera bien souvent et qui n’hésitera pas à l’encourager à aller jusqu’au bout de certaines insolences. Il aura du répondant face à certaines remarques de Judith, ce qui offrira des dialogues savoureux entre ces deux-là.



Au final, le Secret de Judith est une des romances historiques les plus réussies de Julie Garwood. Elle parvient à faire passer un très bon moment malgré le défaut habituel de la chute précipitée. Ce sera tout de même un coup de coeur.


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Le plus beau roman policier que j'ai lu jusque là.

Et pourquoi pas une belle histoire d'amour en filigrane d'une enquête policière rondement menée par ces shérifs qui ont fait la gloire de l'ouest américain.

Une bonne et belle plume sur un support bien documenté, beaucoup de cœur et toujours cet humour qui me fait m'esclaffer toute seule dans ma cuisine, mon bureau, le train ou le bus, partout où le livre m'accompagne quoi  :-)

Il est des auteurs dont on ne se lasse pas parce qu'ils procurent juste l'évasion et la détente demandées.

Il est des auteurs chez qui on revient car l'on sait que le moment sera vraiment plaisant.

Il est des auteurs dont les ouvrages sont lus et relus car le plaisir et le rire surtout seront à chaque fois au rendez-vous :-)

Et Julie Garwood en fait partie bien sûr !

Et ma fille a sorti le livre de son sac et m'en a relu quelques passages, et me voilà replongée une fois de plus dans la lecture de ce roman qui continue à me faire rire.

Une histoire travaillée, un vocabulaire chaque jour amélioré ;-), un rythme bien soutenu et un humour dont je ne me lasse pas, voilà un petit roman rouge qui a encore de beaux jours devant lui.

Cette auteure est juste une addiction qui fait un bien fou partout où elle passe mais avant de relire la suite, je vais m'atteler à finir ma lecture Masse Critique de ce mois qui n'est pas mal du tout non plus :-)

Madelyne vit sous le joug de son demi-frère Louddon jusqu'au jour où Duncan, son ennemi juré l'enlève après avoir mis à sac sa forteresse.

Très rapidement, Madelyne se sent en sécurité avec cet homme fort qui semble invincible. Il gouverne son clan d'une main de maître, est à la tête de guerriers redoutables mais mène une existence assez solitaire.

Madelyne rencontre les frères de Duncan, puis sa soeur, Adela qui a gardé un traumatisme important suite aux perversions de Louddon.

Très vite, Madelyne fait sa place dans le château mais aussi dans le coeur de Duncan...



J'ai passé un bon moment avec cette romance historique! Bien sûr, c'est prévisible mais qu'est-ce qu'on s'en fout! J'avais envie de me changer les idées avec une histoire dépaysante, des sentiments, un peu de passion et quelques traits d'humour! Mission accomplie!



Le personnage de Duncan est charismatique de par sa virilité mais aussi sa capacité à accepter le changement et ses sentiments tandis que Madelyne qui n'a au départ aucune confiance en elle, apprendra qu'elle a de la valeur, bien plus qu'elle n'osait l'espérer.



Le contexte historique, la période, les vêtements, ... tout est très bien retranscrit, on s'y croirait!



Je ne peux que conseiller ce livre même si j'ai une préférence pour les romans de Lisa Kleypas :p.

Pour conclure mon voyage au pays de la romance histoire signée Julia Garwood, je me suis penchée sur le Voile et la Vertu. Je dois avouer que je l'ai lu d'une seule traite, sans trop de difficultés, mais avec un plaisir inférieur au précédent tome. Néanmoins, cela reste une lecture plaisante.



Dans ce tome, Alexandra est l'héroïne dont la beauté est un brin agaçante. Autant, je n'avais aucun souci avec la manière dont était louée celle des trois héroïnes précédentes, autant là j'ai eu du mal avec le côté splendide, qui surpasse tout. Elle a aussi un côté demoiselle en détresse nettement plus accentuée qui permet à son prétendant de venir la sauver et démontrer qu'il reste un homme fort malgré son handicap à la jambe. Par contre, j'ai apprécié le fait qu'Alexandra est un cerveau, qu'elle soit douée pour les chiffres, obstinée et surtout qu'elle fasse des listes, beaucoup de listes.



En face d'elle, on peut retrouver son prétendant, Colin, qui est aussi le frère de Caine et le partenaire de Nathan. Je l'avais apprécié dans les tomes précédents, cela ne change pas vraiment dans celui-ci. Il reste égal à lui-même, bien qu'il soit un brin plus possessif, mais surtout très têtu et orgueilleux. Il refuse qu'une femme subvienne à ses besoins, ce qui pousse Alexandra à ruser pour le ménager. Leur opposition offre des joutes verbales appréciables, qui ne manquent pas de faire rire. Après, je dois avouer qu'elles sont moins savoureuses que le premier ou le troisième tome.



En fait, j'ai eu la sensation de sombrer dans une routine. Tous les ingrédients pour faire une bonne romance historique sont réunis. Ils sont efficaces, mais il manque le grain de sel que possède le troisième tome où l'auteur était très en forme, ne serait-ce qu'au niveau de l'humour. Maintenant, il faut reconnaître que l'intrigue parallèle m'a paru plus présente que dans les tomes précédents. Ici, nous avons droit à des disparitions inquiétantes sur lesquelles Alexandra se penche un peu trop au goût de Colin. Il y a aussi des passages où l'on pénètre dans la tête du meurtrier, ce que j'ai vraiment apprécié. Par contre j'ai été déçue par la résolution de l'intrigue, qui manquait de panache.



Au final, le Voile et la Vertu clôt les Espions de la Couronne de manière convenable. Il repose sur des mécanismes classiques, mais efficaces. J'ai passé un bon moment de lecture, mais je risque de l'oublier bien vite à la différence des précédents. Si vous devez pénétrer dans la saga, préférez les Roses Rouges du Passé et Un cadeau Empoisonné, qui sont au-dessus de ce tome et du deuxième.
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Un petit thriller à la mode « rouge », sans prétention aucune, écrit avec la verve habituelle de l'auteure à l'humour toujours présent. Ça fait du bien :-)

Eh oui, je retourne une fois de plus à mes « classiques » quand mon humeur est à la dérive et ce dernier ne m'a clairement pas déçue.

Deux heures de bon temps et de franches rigolades, ça vaut bien le prix d'un bouquin ;-)



Une relecture (terminée le 12/12/2014), dans l'ordre cette fois, car ce tome suit bien « Un cadeau empoisonné ». Une relecture qui confirme mon impression de mauvaise traduction du roman « Un ange diabolique ».

Il faut donc que je me procure le premier tome de cette série, à savoir « Les roses rouges du passé » pour être finalement certaine de ma conviction ;-) Rectification, je ne dois plus me le procurer, il est juste dans le fond de ma PAL :-p Je vous promets de ne pas tous les relire...



D'un autre côté, il faut quand même dire que les romans écossais de l'auteure sont et restent pour moi les meilleurs :-)

Toujours aussi hilarant ! Juste transformée en guimauve pendant la lecture mais retour à la réalité dès la fin du bouquin; fin qui arrive malheureusement beaucoup trop vite! Pour moi, l'auteure est une des meilleurs du genre, à savoir «livre rouge». A lire sans modération, juste pour le fun:-)

Un moyen roman de gare.

Ce livre regroupe en fait 3 histoires courtes ayant chacune pour héros l'un des frères Clayborne, Travis, Douglas et Adam.

Et si on peut noter un manque de développement au niveau des personnages et une action rapide, c'est toujours un plaisir de lire la plume de Julie Garwood. Entre humour, courage et testostérone, ses héros sont des hommes comme on aime en découvrir. Et les héroïnes ne sont pas des oies blanches mais pleines de caractère et de candeur en même temps. Un cocktail gagnant, quoique trop court.

J'aurai plaisir à suivre le dernier tome avec l'histoire de Cole Clayborne, mais aussi du mystérieux Daniel Ryan.

Lecture très agréable et émouvante d'une grande autrice de la romance historique.

Aussi sympathique qu'elle soit, cette romance m'a exaspérée, entre autres choses à cause de ce "méchant" sorti du néant et qui n'arrive à aucun moment à prendre la moindre épaisseur dans le récit. Dommage, parce que l'adversité apporte un vrai plus dans une histoire comme celle-ci. Ce n'est pas une lecture que je recommande, sauf si le livre vous tombe sous la main...

– Souhaitez-vous une part de tarte, mon époux ?

– Si je souhaite, mon épouse ?

– Une part de tarte.

– De tarte ?

– Alors, Kincaid, souhaitez-vous une part de tarte ?

– Vous m'exaspérez, l'Anglaise !

– Pourquoi affichez-vous toujours cette moue contrariée ?

– Parce que vous me contrariez !

– Moi, je vous contrarie, vraiment ?

– Vraiment !



Voilà peu ou prou à quoi ressemble un dialogue dans ce bouquin, et encore, lorsqu'il est cohérent, ce qui est le cas seulement une fois sur deux : les personnages sont cyclothymiques, tout spécialement Jamie qui oscille entre oie blanche, équilibriste équestre et jongleuse de massue, l'intrigue est tirée par les cheveux, les descriptions trop maigres, et l'histoire d'amour navrante.

CECI n'est pas une romance historique, je RÉPÈTE, CECI n'est pas une romance historique ! Il y a peut-être marqué « Écosse, 1100 », au début, mais 1100, c'est sûrement le nombre d'anachronismes que j'ai comptés. Les costumes, la nourriture, les meubles, les mœurs, les lois, tout se passe en réalité en 1980 dans un groupe de reconstituteurs du dimanche qui ont caché leurs inventions modernes dans les coulisses.

Bref, pour résumer, cette histoire n'a absolument aucun intérêt !

Cette relecture historique avec la nouvelle édition a été un grand plaisir. Même si l'histoire m'est revenue très vite en tête, j'ai eu grand plaisir à relire cette romance un peu différente des autres, dans le sens où l'héroïne est à la fois innocente mais courageuse et forte, et décide de prendre son destin en mains dans un nouveau pays. Heureusement à ses côtés un homme bourru au cœur tendre. Et même si tout va très vite, on est sous le charme de l'histoire et des personnages. J'ai vraiment passé un bon moment de lecture.

Voici une romance qui se révèle plus riche qu’elle n’y paraît. Julie GARWOOD nous concocte des personnages bien caractérisés et une intrigue bien ficelée.



Son prologue donne le ton : quelle place Dieu donne-t-il à la femme ? Si une hiérarchie est établie, la femme est-elle vraiment située à la base de la pyramide ?

Si je ne compte absolument pas débattre de religion ici et maintenant, je trouve le clin d’œil assez pertinent, surtout en ce mois de la journée internationale des droits des femmes. En fait, deux positions se révèlent : l’homme (supposé être au sommet de cette hiérarchie) autoritaire et humiliant et l’homme respectueux.

L’héroïne anglaise, Johanna, est confrontée à ces deux profils de personnages : son premier mari, un bourreau, Rauf, mort, tombé accidentellement d’une falaise et le bel écossais, un Highlander, Gabriel MacBain, un ange ou un mari (dit) féroce.

J’admire vraiment la structure du récit, la qualité des dialogues où s’exposent des personnalités différentes, parfois très opposées, qui tiennent leur rôle du début à la fin de l’histoire. J’aime beaucoup l’originalité des quiproquos et des incompréhensions, le choc des cultures et des éducations.

J’aime ce complot, ce mystère introduit dès le premier chapitre autour de la mort du premier mari, avec ce secret que Johanna garde jalousement pour elle. Même si je décèle quelques éléments de réponse, je trouve cette romance intelligente, bien bâtie, avec diverses qualités : elle est composée d’une intrigue « historique », de personnages bien définis, de héros affirmés et tendres.

C’est avec un très grand plaisir que je découvrirai d’autres livres de Julie GARWOOD espérant y retrouver ces ingrédients qui m’ont particulièrement conquise.
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J'ai vraiment était surprise par cette lecture , j'ai vraiment passer un bon moment.

Johanna va épouser un homme , mais quel homme !!

Merci à l'auteur de nous faire rêver.

Ayant bien aimé La splendeur de l'honneur de la même auteur, je me suis mise en tête d'obtenir d'autres de ses ouvrages. J'ai donc lu Un mari féroce, qui est la seconde réédition d'un titre de 1999 (rien que ça). Que dire, sinon que c'est une petit perle et je suis étonnée qu'elle m'ait si longtemps filé entre les doigts.



Nous suivons les mésaventures de Johanna, mariée à un cruel baron qui a l'aval du roi. Celui la frappe et l'humilie de telle sorte que, lorsqu'on lui apprend sa mort (stupide il faut bien l'admettre) elle n'en croit pas un mot, et quand enfin elle accepte la vérité les premiers mots qui lui sortent de la bouche sont "merci mon Dieu". de fait, par sa mort la moitié des terre de son défunt époux lui reviennent, le reste à son frère Nicholas qu'elle adore. Et c'est sur les terres qu'elle récupère que vit un clan, les MacLaurie, qu'un vassal de son époux a tenté d'exterminer. Ceux-ci ont fait appel à un redoutable guerrier, fils illégitime du précédent Laird, puis l'ont nommé Laird. Gabriel se retrouve donc à la tête de deux clans, dont un vivant sur les terres de Johanna. Nicholas, ayant combattu aux côtés de Gabriel, connaît la valeur de cet homme et décide donc d'arranger le mariage entre Johanna et Gabriel. Ce dernier récupère ainsi les terres du clan et celle-ci se retrouve à l'abri du roi et de ses sbires, en écosse.



Gabriel est très amusant à regarder évoluer, et très lucide quant à ce qu'il ressent. Il est obtus et entêté, mais l'avis de sa femme lui est tout de même très important, sauf vis à vis de la santé de Johanna. Il l'a considère comme une petite chose fragile, et comme il tient à elle, il s'inquiète en permanence. le décès de sa mère aussi explique certaines choses, le reste est probablement dû à son manque d'éducation n'ayant pas eu de père et sa mère étant morte jeune. Johanna est pour une fois une héroïne humaine. Pas de puérilité douteuse, de caractère étrange et contradictoire. C'est une jeune femme peureuse mais courageuse, car ayant peur elle agit tout de même, d'ailleurs on en viendrait presque à penser qu'elle n'est peureuse qu'à cause de ses mésaventures avec le baron Raulf puisqu'on apprend que même lorsqu'il la maltraitait, elle osait agir contre lui, pas ouvertement, mais elle l'a bien roulé dans la farine tout de même!



Il faut bien avouer que du côté de l'histoire, il ne se passe presque rien au niveau de l'aventure, quelques lignes au début, quelques lignes à la fin tout au plus. Il s'agit vraiment d'un roman d'amour, on suit l'évolution de ce couple peu commun (un anglaise et un écossais) tandis qu'ils se découvrent et s'apprivoisent. C'est très agréable à lire mais on pourrait être déçus pas le manque d'aventure (ce ne fut pas le cas pour moi) en raison de la catégorie d'édition. (J'ai cependant remarqué que "aventure et passion" chez J'ai Lu pour elle correspondait à "historique" chez Harlequin, et qu'il n'y avait pas toujours d'aventure).



Une histoire émouvante, bien plus portée sur la romance que sur l'aventure donc.






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Premier roman que je lis de Julie Garwood et j'ai plutôt bien aimé sa plume, bien que j'ai eu beaucoup de mal avec le changement de point de vue trop fréquent et trop varié, à plusieurs reprises j'ai dû me sortir du roman pour me demander dans la tête de qui je me trouvais.

Mais en dehors de ça, j'ai adoré les personnages. La naïveté de Madelyne est tout simplement adorable et drôle à l'opposé complet de Duncan, de même que pour le reste d'ailleurs, là où Madelyne est honnête, douce, généreuse, Duncan lui est froid, bourru, un guerrier redoutable qui dirige sa maisonnée d'une main ferme et très masculine, mais que la douce main de Madelyne va faire changer :D

J'ai passé beaucoup de temps à sourire et même à rire avec cette lecture !!!

Je ne me suis pas ennuyée à un seul instant, tout va comme il faut, pas de grande surprise pour un roman de ce genre, mais il est plaisant à lire et j'ai passé un très bon moment avec ses personnages
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