Citations de Jussi Adler-Olsen (1293)
Le mauvais coté des vacances, c'est qu'un jour elles se terminent.
La lune jouait à cache-cache avec de petits nuages cotonneux et denses.
Le chef de la criminelle avait statué.
Qui pisse contre le vent se rince les dents.
Si Gordon avait une ambition dans la police, c'était de trouver le chemin de la petite culotte de Rose.
Carl s'efforça d'ignorer leur conversation. Dans l'état d'esprit qui était le sien, il n'avait nulle envie d'entendre ce genre de badinage.
« Alors, Gordon ! cria-t-il en les voyant passer devant son bureau. Tu vas arriver à rentrer ta charrette dans la grange, oui ? »
- "Celui qui n'a jamais connu le tsunami émotionnel qui vous submerge au moment où vous prenez conscience de la mort d'un être cher n'a jamais perdu personne ou n'a jamais aimé."
— C’est comme les dromadaires. Personne ne comprend jamais pourquoi ils font ce qu’ils font.
— Je ne suis pas sûr d’aimer cette comparaison, Assad.
— C’est parce que vous n’avez pas appris à respecter les dromadaires, chef. Mais souvenez-vous que ce sont eux qui sauvent la vie des gens dans le désert.
« Tu as ton permis de conduire ? » lui demanda Carl en espérant que Marcus avait oublié de prendre ce détail en considération, ce qui lui permettait de discuter la totalité des conditions d'embauche de cet homme.
« Je conduis taxis, voitures normales, camions, et je conduisais T-55 et tank T-62, et aussi voitures blindés et motos avec side-car et aussi sans side-car. »
- Détendez-vous, chef. J'ai parlé avec Allah ce matin. Nous allons avoir une belle journée, le rassura Assad.
Décidément, le petit homme avait des relations haut placées. (p.205)
Elle était visiblement déconcertée, énervée et effrayée en même temps. Un dangereux cocktail de sentiments.
Il est des instants dans l’existence où l’on sait, tout au fond de soi, qu’un froncement de sourcils ou un sourire pourraient avoir de lourdes conséquences.
L’homme, qui avait l’air d’avoir près de soixante-quinze ans au compteur, en bermuda, mit plus d’une minute à arriver jusqu’à eux d’une démarche chaloupée qu’il aurait sans doute qualifiée de pas de course.
« Ton sourire est pur, mais la raison pour laquelle tu souris l’est moins », disait souvent son père quand elle ou un autre de ses enfants avait une idée derrière la tête. L’expérience lui avait appris que certains sourires coûtaient plus cher que d’autres.
– Exactement. À part qu’il n’y avait plus de chambres simples. Mais ce n’est pas grave, je vous ai réservé une chambre double avec lit matrimonial, couette pour deux personnes et tout le confort. Vous allez être comme des coqs en pâte ! »
Salut, dit-il tout en humant les odeurs mélangées qui flottaient dans la maison.
Une note inconnue sous-entendait le conglomérat familier.
Une subtile puanteur de problèmes et de transgression.
"Il ne faut pas vous formaliser, chef, alors. Rose est comme du sable sur le dos d'un chameau. Parfois ça gratte et parfois non. Ca dépend si on a la peau dure ou pas."
Rita respectait la colère parce que la colère avait été le moteur de sa vie. Quand elle volait, quand elle délestait un pauvre imbécile de son portefeuille ou quand elle bousculait les gens qui avaient le malheur de se trouver sur son chemin. Elle savait que la colère ne menait à rien, mais c’était un sentiment qui lui faisait du bien. Porté par la rage, on pouvait déplacer des montagnes.
Il avait tourné le dos à l'innocence
pour grandir avec le diable.
Mais celui qui pique le cul d’un dromadaire doit accepter de prendre un coup de sabot dans les couilles. C’est la loi. »
Jésus, Marie, Joseph !
"Tu veux dire que dans le cas présent, notre dromadaire est une femelle?"
Avec la question de l'infini, le sens de l'humour des femmes devait être le phénomène le plus incompréhensible de l'univers. p.377
La vie est un subtil équilibre au bord du précipice des tentations où l'on risque constamment de tomber au moindre faux pas.