Katja Centomo

Un groupe d’amis alpinistes est bloqué dans une cabane par une tempête de neige. Pour passer le temps, ils demandent au juge Max de raconter une affaire originale sur laquelle il a travaillé. Il commence à raconter l’escroquerie de Greta Milton. Greta est à la recherche d’une nouvelle victime. Elle sait déjà vers qui se tourner. Giorgio est un complice et un informateur. Il lui trouve les victimes, puis ils mettent en place le système Ponzi. Emballé, c’est pesé. La victime s’appelle Mario. Il a la quarantaine, un travail ennuyeux, pas de vie amoureuse et une mère aveugle à la maison dépendante de lui, en un mot, une vie de merde. Il ne dira jamais non, il a une chance d’investir et de sortir de cette vie de merde. Greta est confiante. Mais attendez, je ne viens pas de dire qu’elle est l’accusée. Comment s’est-elle retrouvée derrière les barreaux ? Peut-être que sa victime n’est pas si naïve. Que s’est-il passé ?

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Un autre livre sur les 7 crimes (un peu comme les 7 péchés), l’extorsion en fait partie. Ce troisième tome de la série de bandes dessinées sur les 7 crimes fait référence au premier tome « La truffa ou l’arnaque ». En fait, les auteurs prennent le temps nécessaire pour nous expliquer et nous faire comprendre, à nous lecteur (rice) s, la différence entre escroquerie, arnaque et extorsion. La fin est souvent la même, mais la méthode est différente. Expliquer cette différence est l’un des objectifs de l’intrigue, et c’est une réussite. L’extorsion n’est pas comme l’escroquerie ou l’arnaque. L’arnaque ressemble à du théâtre ; les gens se jouent de vous pour vous soutirer de l’argent. L’extorsion est une méthode plus violente et plus intime. Le criminel s’insinue dans votre intimité en utilisant des données personnelles et intimes (photos, preuves) contre sa victime. Il s’attaque à ses biens matériels ou menace la vie de membres de sa famille. Ce faisant, il exerce une pression sur sa victime en échange d’argent ou d’informations comme dans le cas présent. Si vous ne me donnez pas 1 million, je publierai ces photos compromettantes. Si je n’obtiens pas l’information, la prochaine chose que je fais sauter sera votre fille, etc. Ne suffirait-il pas d’aller à la police ? Mais le criminel y a déjà pensé.

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En tant que lectrice dont l'italien n'est pas la langue maternelle, l'expression "associazione a delinquere" me semble déroutante. Mon oncle me questionnait souvent sur ma lecture, et je répondais énigmatiquement, incapable de me souvenir du titre.



L'histoire se déroule avec deux amis journalistes dans une zone dangereuse, victimes d'extorsion par la mafia. Ils anticipent la fermeture de leur journal, contraints par des demandes financières croissantes. Lorsque l'homme chargé de récupérer l'argent meurt accidentellement, les journalistes savent qu'ils seront injustement accusés. Pour échapper à cette menace, ils élaborent un plan complexe impliquant la disparition du cadavre avec la complicité d'une bouchère et d'un informaticien. Le dilemme moral qui en découle m'a profondément captivée.



Je me suis mise à la place des protagonistes, me demandant comment j'aurais réagi. Le récit suscite des questionnements sur la culpabilité, et je m'abstiens de juger leurs choix difficiles. Ce thriller m'a marquée par sa complexité, et même deux mois après, il continue à me troubler. Et vous, comment auriez-vous réagi ? 📚

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En abordant cette série italienne, je croyais un peu retrouver quelque chose de la fameuse série « Sky-Doll ». Je me suis largement trompé. Le dessin est nettement informatisé donnant un aspect manga du plus mauvais effet aux différents protagonistes. La recette d'associer un peu de manga à la sauce Disney ne fonctionne pas toujours à merveille...



Cette série de science-fiction part sur le constat que les hommes ont détruit leur planète à cause de la pollution et de la destruction de la couche d'ozone et du réchauffement climatique. La vie animale a pratiquement disparu en l'an 2050. Il s'agit de protéger les rares animaux survivants qui valent aussi cher qu'un diamant.



Le postulat de départ est certes intéressant et surfe sur une vague écologiste. Rien de nouveau me direz-vous! C'est sans doute l'exploitation un peu fantastique qui m'a déplu. Une jeune fille nommée Lys (comme la fleur belle et sauvage) se change en l'animal de son choix les soirs de pleine lune pour protéger la faune.



Le public visé est celui de jeunes adolescentes (voir l'allure vestimentaire de l'héroïne qui plaira aux jeunes lolitas). C'est clair et net jusque dans les couleurs flashies des albums. Ne faisant pas partie de ce public, il est peut-être normal que je n'ai pas trop accroché. Par contre, je ne déconseille pas la lecture aux enfants pour le message que la série véhicule et dont je suis en parfait accord.

Lys est une bande dessinée futuriste avec un fond très écologique.

Nous sommes en 2050 dans un monde où tous les animaux ont disparus. Notre héroïne se bat pour sauver les derniers animaux survivants, mais pas que : chaque nuit de pleine lune la jeune fille se transforme en animal différent grâce à un pendentif magique.

J'aime beaucoup ce premier tome aux dessins très colorés et aux décors très beaux. Même si l'histoire est assez simple, on se laisse facilement prendre par l'aventure de Lys dont le message est assez beau. C'est le premier tome d'une série de 4 bandes dessinées (il n y a jamais eu de suite hélas).

L’héroïne, Lys, invite son amie à venir manger chez elle,ce qui permet à la blondinette de découvrir la maison et l’univers de Lys : elle fait la chasse aux trafiquants d’animaux. Et c’est loin d’être le seul secret que la jeune fille cache.

Dit comme ça, ça fait un peu vide niveau scénario, ce n’est pourtant pas le cas. Le contexte est vraiment intéressant : les différents changements climatiques ont transformé la face du monde comme les océans ont inondé des villes, les animaux ne vivent pas avec les humains et sont devenus rarissimes, etc. Malheureusement, j’ai trouvé que la trame était mal amenée. D’ailleurs c’est également le cas pour l’intrigue en général. Et puis, les transitions sont maladroites : j’ai dû relire certains passages plusieurs fois parce que je ne comprenais pas comment on en était arrivé là.

Les dessins sont sympas mais m’ont trop fait penser à des dessins animés américains (un mix entre Winx, Totally Spies, Monster Allergy – et pour cause, les auteurs ont travaillé sur cette dernière série).



Ma fille a beaucoup aimé, ce n’ est malheureusement pas mon cas pour toutes les raisons que j’ai précédemment citées. C’est dommage parce que le pitch avait du potentiel.
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Une bonne histoire, remplie de beauté. Une mise en garde aussi pour nos amis les animaux. J'ai trouvé la façon de raconter cette histoire très intéressante j'ai hate d'en découvrir plus sur Lys et sa famille étrange. Ainsi que sur l'histoire générale qui m'a l'air de cacher quelque chose de fort

J’ai enfilé les 6 premiers tomes d’une traite. Les dessins sont agréables et l’histoire originale. Zick (jeune ado à l’allure du chanteur animé des Gorillaz) est allergique à la moitié de la terre et surtout il est capable de voir tous les monstres qui nous entourent (quoi vous n’étiez pas au courant ? par exemple quand dans un endroit il y a une certaine gène par rapport à une odeur nauséabonde et que personne ne se dénonce … c’est parce qu’un monstre a voulu faire sont intéressant tout en embêtant les humains…si si !) . Bref rien ne serais arrivé sans doute si Elena Patate (ne riez pas c’est son vrai nom) n’avait pas tenu absolument à connaître le garçon étrange qu’est Zick. Mais c’est la disparition de Frou-Frou son chat obèse qui accélère tout.



Malgré quelques disputes Elena et Zick deviennent inséparables. Les tomes s’enchaînent et ne se ressemblent pas, tout est bien ficelé, on ne s’embête pas. Je vais me dépêcher de lire les autres...



Et puis les monstres sont assez sympa même très drôles parfois pour des monstres...

J’avais lu ce tome il y a fort longtemps et j’en avais gardé un bon souvenir. Et quand je me replongée dans la bd avec un peu d’appréhension, j’ai été ravie de retrouver ce plaisir de lecture. L’histoire mélange avec justesse amitié, magie, monstre et monde réel. Un ensemble qui peut surprendre mais dosé avec harmonie cela donne un récit d’aventure passionnant. Le premier tome présente les personnages principaux et la particularité de l’univers. Le graphisme et la couleur supervisés par Alessandro Barbucci et Barbara Canepa (série Sky-Doll) sont comme à leur habitude parfait dans la réalisation avec des nuances de teintes assez poussées. On passe très vite d’un espace chaleureux avec du orange, du jaune à des espace plus mystérieux avec du gris et marron et et des couleurs spécifique pour Zick avec le bleu, vert et mauve. L’humour est bien entendu présent. J’ai éclaté de rire quand le chat de Zick met une claque à Frou-Frou. Situation drôle avec un dessin de la tête du chat qui ne s’attendait pas à cela. Quatre cases qui m’ont fait éclater de rire. J’ai dévoré le tome qui m’a donné très envie de relire toute la série. C’est avec hâte que je veux retrouver les monstres de toutes formes, de toutes tailles qui se cachent dans Bigburg. L’année va bien commencer en bande dessinée.
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Monster Allergy est une série de bandes dessinées loufoques à l'histoire et aux traits dynamiques. Les planches sont très colorées ce qui rend la lecture vraiment très agréable. Le scénario est original et prenant, ce qui permet d'enfiler les tomes sans se lasser !

Une série vraiment à conseiller pour tout âge !

Très bonne série ! Originale ! A lire !!

Une bande dessinée intéressante et originale, je ne m'attendais pas vraiment à ça en la lisant mais j'ai été agréablement surprise ! J'ai beaucoup aimé l'intrigue principale, j'ai trouvé les personnages intéressants et profonds, j'espère en apprendre plus dans le prochain tome. Notamment sur les monstres et les pouvoirs du garçon !

Premier point (inutile) : l'héroïne s'appelle Elena Patate. Donc oui, je ne pouvais qu'aimer cette bande dessinée ! Ce premier tome met en scène l'arrivée de la fillette dans un nouveau quartier et surtout la disparition brutale de son chat, Frou-Frou. Entre deux ouvertures de cartons et quelques cookies de bienvenue, Elena découvre que de nombreux chiens se sont également évaporés dans la nature ces derniers temps... Pour enquêter sur ce mystère, Elena peut compter sur Zick, le garçon bizarre qui habite à côté de chez elle, avec lequel elle lie immédiatement une amitié qui est d'ailleurs loin de plaire à tout le voisinage !



Ce premier opus nous livre donc une enquête pleine de rebondissements qui permet d'introduire très agréablement l'univers et les personnages. L'énigme est partiellement résolue, ce qui permet au lecteur de ne pas totalement rester sur sa fin tout en l’hameçonnant pour les prochains tomes. Le fantastique et l'humour sont bien présent tout au long de ces 46 planches que l'on dévore en un instant, portées par le trait et les couleurs énergiques de l'éternel duo Barbucci/Canepa. Les monstres qui accompagnent Zick ne sont pas encore l'élément central de la BD mais l'on entrevoit pourtant une prometteuse galerie d'esprits, de fantômes et de bêtes en tout genre.



L'équipe italienne a décidément le chic pour inventer des univers accrocheurs et plein de pep's, aux personnages immédiatement attachants. J'ai hâte de me plonger dans la suite de cette BD colorée et loufoque qui plaira autant aux petits qu'aux grands pour son côté dynamique et rafraîchissant !
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EXTRAIT "Barbucci et Canepa, les deux auteurs de Skydoll reviennent à leurs premiers amours, la bd jeunesse. Ils interviennent aux côtés d'une scénariste italienne pour cette nouvelle série, qui fait un peu plus peur dans le noir. Ce premier tome pose bien les bases de la série, avec une petite enquête à résoudre grâce au "don" de Zick. Le duo de jeunes héros est bien accompagné d'une belle galerie de seconds rôles, bien campés,..."
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J'ai lu cette BD pour vérifier si elle était "children friendly" avant de la refiler à des enfants. Elle l'est! :)

J'ai beaucoup aimé les illustrations et les couleurs. L'histoire et les personnages sont sympathiques. Une série à découvrir pour les jeunes amateurs d'histoires surnaturelles!

Mon plus petit bout ne faisait que de me parler sans cesse de Monster Allergy qu'il avait sans doute vu comme dessin animée sur Télétoon. Je voulais voir ce que cela donnait en bd car les critiques ne sont pas mauvaises. Je confirme que c'est pas mal. On s'attache très vite aux deux héros dont on suit les aventures un peu fantastiques.



C'est vrai que les situations paraissent très convenues, cette série s'adressant au plus jeunes. Cependant, le dessin me plaît beaucoup car il semble moderne et dynamique avec cette colorisation. Du coup, mon fils m'a arraché des mains les tomes qui composent cette série.



Une oeuvre légère, sympathique et bien réalisée mais sans prétention et qui ne révolutionnera pas le genre.

Quel plaisir de retrouver la fine équipe de Zick et Elena qui a le don de se mettre inlassablement dans des situations périlleuses. Les scénaristes dans ce tome entremêlent plusieurs intrigues. Nous avons la plus importante avec le père tout petit qui pourrait redevenir grand. Pour changer la taille, il y a un moyen de le faire et cela implique des sorcières assez particulières. En parallèle, nous avons la fameuse tante Ermelia qui veut que Zick soit placé. On ne sait pas encore vraiment pourquoi. Quelque chose me dit que l'on ne va pas être déçu du retournement de situation. D'autant plus que cette tante assez lointaine n'est pas une humaine ordinaire. Que veut-elle vraiment? Et enfin, il y a une force maléfique qui vient d'apparaître dans la ville. L'ancien tuteur mène l'enquête et découvre des choses qui font froid dans le dos. Qui est ce monstre tout rouge qui veut semer la colère? De nombreux petits cailloux ont été semés pour taquiner notre curiosité à poursuivre la série. Les scénaristes sont malins car c'est bien efficace. Maintenant, on a très envie de savoir tout ce qui va se passer et nous sommes obligés de lire la suite. 
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Bon, ce n’est pas l’idéal de commencer une série par le tome 10, car j’ai du coup un peu raté la mise en place de l’univers et des personnages de cette série. Je pense toutefois que ce tome peut se lire indépendamment, mais je vais tout de même essayer de tenir compte de cette grosse lacune dans cet avis.



Première constatation renversante : 14 auteurs différents ont participé à l'élaboration de ce tome. Graphiquement, c’est très net, sans trop de fioritures et surtout réussi au niveau de la colorisation qui utilise un nombre impressionnant de couleurs avec justesse. Des couleurs qui donnent envie de se promener dans cet univers scintillant, rempli de personnages loquaces.



Les dialogues sont sympas, frais, jeunes et non dépourvus d’humour. Par contre au niveau scénario, j’ai trouvé cela assez faiblard. L’histoire principale, sensée se dérouler au coeur de l’arbre et parler d’Anguanes, n’avance pas trop. A la place on nous sert des petites histoires parallèles qui ne font pas trop avancer le schmilblick. Bon, c’est clair, on ne s’ennuie pas du tout et c’est plein de rebondissements, mais pour un tome auquel 14 auteurs ont participé, le scénario n’est pas terrible.



Bref, la forêt est intéressante, l’arbre est très beau, mais il contient pas mal de branches inutiles et le contenu est assez creux.

Même si les tomes restent assez courts pour ménager le jeune lecteur et gagner plus d’argent, c’est toujours un plaisir de se plonger dans une aventure. A peine on se plonge dans la première page qu’on les tourne pour arriver à la fin. Les intrigues pourraient être plus complexes mais il faut éviter que le jeune de 9/11 ans se perdent et se fassent des nœuds à la tête. Nous avons un dompteur de monstres qui est ami avec une jeune fille qui le croit même si elle ne peut pas voir les monstres en question. Son aide est toujours précieuse. Seul on ne peut rien faire. C’est toujours grâce aux autres que l’on avance, que l’on se construit. Zick peut compter sur Elena, les fantômes de ces grands parents, du gardien chat, des monstres surveillés et aussi de son père. D’ailleurs, maintenant que ce dernier est redevenu un humain, taille normal, il va y avoir deux dompteurs. Par conséquent, cela va changer la donne face à ce nouveau méchant qui rode. Aucun doute que la suite promet de très nombreux rebondissements en suivant la trame des gentils contre les méchants. Un schéma ultra-classique et très efficace surtout dans le neuvième art jeunesse. On ne change pas une formule gagnante. Toutefois, la série n’est plus récente et devient difficile à trouver maintenant. Elle a su s’inscrire dans la continuité d’un genre qui a toujours la faveur des pré-adolescents. Pour ma part, je vais poursuivre tout de même les aventures jusqu’à ce que je ne puisse plus trouver les albums.
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Dans le tome précédent, nous avions l’information que maintenant il y a deux dompteurs pour affronter la guerre qui approche. Est-ce suffisant pour faire face aux nombres de monstres ? Bien entendu que non. Par chance, Katja Centomo et Francesco Artibani ont de la suite dans les idées pour leur série. C’est pour cela que deux nouveaux dompteurs pointent le bout de leur nez. Bien entendu, rien n’est tout rose et tout gentil dans le monde merveilleux de Monster Allergy. Ces deux nouveaux arrivants ne sont pas vraiment bien vu par le père de Zick. Pourquoi ? Vous vous doutez bien qu’il va falloir attendre encore un ou trois tomes pour avoir la réponse. Toutefois, comme Zick and Co sont les gentils, on peut penser que papa Thaur n’est pas très gentil. Il doit être pour quelque chose dans leur transformation en petits hommes. Le gardien chat de la maison dévoile à Zick et son amie Elena qu’il n’ait pas vraiment humain. C’est en parti un monstre. Est-ce que cela va changer sa façon de voir le monde ? Pour Elena, on se doute bien que non. Qu’importe ce qu’il est, il est avant tout son ami. La vraie amitié c’est plus fort que tout. Quel joli message plein de gentillesse et de bienveillance. Rien de tel qu’un peu de douceur dans ce monde de brut. Et on sait que THE big méchant ne manque pas de ressource et va tout faire pour prendre sa revanche sur les dompteurs et aussi sur les humains. Ça ne va pas tarder à chauffer. Le seul moyen de le savoir est de poursuivre l’aventure.
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