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Critiques de Koren Shadmi (118)
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Abaddon, tome 1

Cet étrange récit psychologique signé Koren Shadmi, auteur israélien vivant à New-York, est proposé par « Ici Même », une nouvelle maison d’édition nantaise de bandes dessinées.



Le récit invite à suivre les pas d’un homme à la tête bandée qui toque à la porte de l’appartement 262 afin d’y visiter une chambre à louer. Accueilli sans hésiter par les quatre locataires, il décide d’immédiatement conclure l’affaire et de s’installer dans la chambre laissée vacante en colocation. Le voilà piégé, car la porte d’entrée paraît condamnée et les fenêtres sont bloquées…



En enfermant son personnage principal dans une prison dépourvue de toute logique, dont les habitants semblent de surcroît frappés d’amnésie, Koren Shadmi parvient à livrer un huis-clos particulièrement oppressant. Hanté par des bribes d’un passé de plus en plus vague et coincé dans un quotidien surréaliste riche en tensions, l’homme perd très vite pied. Incapable de trouver une issue, ni d’expliquer sa situation, il n’a très vite plus qu’une seule idée en tête : s’enfuir avant de devenir fou !



L’absence d’indices pousse le lecteur à se poser plein de questions et permet à l’auteur d’entretenir une tension permanente. En intégrant des éléments fantastiques à son récit, tel que cette matière rosâtre qui sort des murs ou ce chat qui semble avoir plusieurs vies, Koren Shadmi enlève les derniers repères qui permettent de se rattacher au réel et renforce ainsi la sensation de malaise et de paranoïa. Puis vient ce twist final, proche de la perfection, qui n’offre qu’une très brève sensation de liberté… en attendant le tome suivant.



Le tout est servi dans un élégant format à l’italienne qui met parfaitement en valeur ce graphisme fascinant, pourvu d’une colorisation qui invite à se laisser glisser dans cet univers mystérieux.



Un coup de cœur que vous pouvez retrouver dans mon Top de l’année.
Lien : http://brusselsboy.wordpress..
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The velvet underground : Dans l'effervescen..

J'ai eu la chance de recevoir ce livre grace a Mass Critique de Babelio et je les en remercie.

Retour dans les années 60 à 70, entre New-York et le pays de Galles. Ce graphique retrace l'histoire des Velvet Underground depuis la rencontre entre Lou Reed et John Cale jusqu'aux événements qui ont menés à la fin du groupe.

J'ai vraiment adoré en apprendre plus sur leurs histoires perso, leur aventure aux côtés d'Andy Warhol au sein de la factory.

Les dessins sont magnifiques et les couleurs sombres utilisées collent parfaitement à la vie quasi exclusivement nocturne des artistes.

Un graphique à mettre entre toutes les mains des amateurs du groupe.
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Love Addict : Confessions d'un tombeur en série

Un peu déçue par la fin du livre. Il y avait selon moi mille et une façons de finir aussi bien de manière loufoque que dramatique.

Finalement je suis restée un peu sur ma faim et c'est dommage parce que l'œuvre en avait dans le pantalon.

Les personnages sont archi stéréotypés mais ça les rend vivants en une fraction de seconde.

J'ai eu souvent l'impression d' entendre leurs voix dans ma tête au fil de ma lecture.

Franchement j'ai adoré détester pas mal de perso, j'ai aussi eu de la peine pour tous ces "love addict" en mal d'amour.

Un roman graphique très actuel. Qui fait réfléchir sur la consommation de l'amour et le marché de la rencontre on Line.
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Love Addict : Confessions d'un tombeur en série

J'ai découvert l'auteur avec plusieurs de ses BD (L'Éveil du Maître du Donjon et Le Voyageur) sans noter que c'était le même dessinateur. Ce récit m'intéressait quand même au vu des avis. J'ai eu la chance de le trouver à la bibliothèque et franchement, je pense que je vais essayer de me le trouver plus tard parce que j'ai bien aimé !



C'est du roman graphique, avec un air de déjà vu par rapport à d'autres du genre. Je pense surtout à De mal en pis, sur la jeunesse New-yorkaise dans leurs vies et leurs amours, et "Cute girl network" par rapport aux histoires d'amour et surtout le coloc dragueur obsessionnel (et franchement malsain).

Le récit explore la découverte par un type plutôt banal (il se considère comme un nerd mais franchement, à part travailler dans l'animation ça ne ressort pas vraiment) des applications de rencontre, parodie à peine dissimulée de Tinder. Le récit va ensuite développer les différentes rencontres que ce garçon un peu timide et pas à l'aise avec les relations aux femmes, entre personnalités excentriques voir problématique et plan q qui s'enchainent.



Je trouve personnellement que le récit arrive à éviter l'écueil du "c'est de la merde", puisque finalement cette application va lui permettre de prendre confiance en lui et surtout de se retrouver une relation stable. La fin est ouverte mais heureuse avec une petite pointe de critique de Tinder, bien sur, et une constatation sur le monde qui a évolué. Je trouve personnellement que le récit fait plus la part aux doutes et interrogations sur ces nouvelles technologies qui changent brutalement les relations humaines. Que dire de ces hommes qui draguent comme ils pêchent, à la recherche du plus beau poisson à montrer aux potes ? Ou de ces femmes prêtes à envoyer des photos déjà bien dénudées avant même de rencontrer l'autre personne ?

Ce que je trouve malin c'est que le récit porte une critique de la technologie mal utilisée et de ce qu'elle peut provoquer comme comportement. L'algorithme n'est pas notre amie, ça c'est sur.



Le récit construit quelques petites notes plutôt positives : le mec devient un vrai connard avec cette obsession de la conquête que son coloc cultive, mais il reste avant tout intéressé par quelque chose de plus classique. En soi, j'ai l'impression de voir réalisé le fantasme de plein de mecs (coucher avec des bombes tout les soirs) et montrant que c'est illusoire. Un bon message !



Le dessin se marie à l'ambiance et m'a vraiment fait penser à ce qu'on peut trouver avec De mal en pis. Les couleurs se marient bien à l'ensemble, c'est lisible et clair, mais jamais sexy non plus. On reste sur quelque chose de plus cartoon, même dans les scènes de sexes (assez nombreuses d'ailleurs, à ne pas mettre entre les mains d'enfants !).

J'aime bien ce que le récit dit et montre. Il arrive à comprendre ce que peuvent faire toutes ces applications, pas mauvaises en soi (et il y a des bons côtés dedans) mais qui peuvent transformer n'importe qui en connard dragueur. Une jeunesse peut se retrouver prise au piège de ce genre de réseau facilement, et je ne parle pas de tout les effets secondaires qui peuvent en découler. On parle rapidement des MST mais il y a aussi d'autres conséquences, psychologiques et physiques. Quelques défauts émaillent de ci-de là, comme la photo gênante qui débarque lorsqu'on ne veut pas (j'ai du mal à croire qu'il l'ai intégré sans s'en rendre compte dans une présentation aussi importante) ou encore le colocataire qui reste presque trop monodimensionnel. Mais dans la globalité, j'ai bien aimé. Un rappel qu'il ne faut surtout pas se laisser séduire par les sirènes des machines à algorithme et qu'il est important de garder le pouvoir sur notre propre réalité.
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Le voyageur

Le Voyageur est un homme qui ne peut pas mourir et qu'on suit le long de plusieurs aventures sous forme de road-trip improbable, mélangeant les lieux et les époques. C'est assez futuriste, dystopique même, puis on remonte assez loin dans le temps. A chaque chapitre, on en apprend un peu plus sur ce personnage qui souffre beaucoup d'être immortel, il est devenu froid et possède un détachement extraordinaire sur tout ce qui se passe autour de lui, mais comment ne pas le comprendre, lui qui a vécu un nombre incalculable d'années. Il voyage avec un gros sac dont on apprendra plus tard le contenu. Toutes ses attitudes, ses répliques le rendent très humain. Il s'intéresse bien plus à ceux qu'il rencontre qu'il n'aime l'admettre.

Visuellement, c'est sobre mais beau et élégant, tout comme le titre. J'aime particulièrement la couverture, avec la route qui s'enroule autour de lui.

Ca m'a beaucoup plus car c'est rare de vraiment explorer la psychologie liée à l'immortalité. C'est parfois drôle et touchant, mais ça reste une histoire sombre et qui présente un futur abominable. Ca se lit très vite, c'est une bonne histoire de voyage futuriste avec une structure originale.
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Bela Lugosi : Grandeur et décadence de l'immo..

Koren Shadmi opte pour un dessin réaliste pour donner vie à son récit, avec un effort louable de reconstitution des décors et un travail sur l’expression des personnages. Les nuances de gris que le dessinateur utilise pour narrer la carrière hollywoodienne de Lugosi correspondent parfaitement à l’ambiance du cinéma de l’entre-deux-guerres.
Lien : https://www.avoir-alire.com/..
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L'éveil du maître du donjon

J'ai découvert le jeu de rôle à partir de mes années de Fac, et aujourd'hui je suis fier de dire que je suis aussi bien joueur que Meujeu (le fameux grand Maitre du Jeu abrégé en Meujeu), adorant l'ambiance d'une bande d'amis autour d'une table, jouant tous ensemble à réaliser une histoire commune. La passion de ce jeu, à travers des festivals, journée particulière, organisation diverses (jeu de rôle grandeur nature, peinture de figurines, création de cartes et de documents de jeu, recherche pour plus de réalisme) m'a permis non seulement de rencontrer de nombreuses personnes devenues aujourd'hui des amis, mais aussi de me découvrir, de m'ouvrir et de m'épanouir. J'ai donc voulu découvrir cette BD non pas pour la vie de Gary Gygax dont je ne connaissais pas le nom auparavant, et que j'ai découvert avec cette BD (bien que sa tête me fut connue par sa fréquente utilisation sur l'internet comme gag autour du jeu de rôle), mais surtout pour découvrir l'histoire du jeu de rôle et la création de ce passe-temps qui fut si chronophage dans ma vie.



Et la lecture fut terriblement plaisante. Les auteurs ont réussis à mélanger le jeu de rôle dans la narration, la vie de Gary Gygax et de Dave Arneson, et également le contexte de l'époque jusqu'à l'acceptation du jeu de rôle comme divertissement, mais également comme référence culturelle. Et la progression fut lente et laborieuse, heurtée par les fondamentaliste qui ne peuvent imaginer un jeu sans gagnant, sans règles précises et juste pour s'amuser, une liberté trop grande donnée aux joueurs et la fameuse possibilité d'être ce que l'on veut. J'avais déjà entendu parler de cette chasse aux sorcières qu'avaient vécus les plus vieux joueurs de D&D (bien que de moindre impact en France), lorsqu'un simple jeu fut la cible des familles bien pensantes, des institutions psychologiques (oui, réellement), imputé de corruption d'esprit, satanisme, déviance sexuelle et que sais-je. Et dans la BD, j'ai aimé la façon dont tout l'accent est mis sur ce que le jeu de rôle à apporté et permis à ces personnes qui jouaient. Gary Gygax lui-même se sentira au final fier de ce que ce jeu à apporté, sans même s'attarder sur les critiques qu'il souleva.



Et c'est beau, lorsqu'on sait qu'aujourd'hui le jeu de rôle est utilisé en psychologie, en prison pour aider à rétablir des liens sociaux, avec les enfants et les jeunes pour exciter la curiosité, développer son imaginaire et surtout se découvrir, on ne peut qu'être ému de voir la création de ce jeu, les origines par le wargame, l'idée d'incarner un héros unique, la possibilité de progresser, et progressivement l'extension de ce genre de jeu, aujourd'hui développé dans tout les genres et dans le monde entier. Gary Gygax a lancé bien plus qu'un jeu, et l'image de géant qu'il renvoie dans la communauté est effectivement bien pensée. C'est un monsieur qui a beaucoup apporté à un grand nombre de personne.

Le dessin supporte très bien le récit, fluide et complet dans la représentation des personnages et des environnement de jeux de rôle. C'est très fluide et plaisant à voir !



Bref, je digresse beaucoup sur le jeu de role, mais cette BD est une biographie honnête et avec un point de vue certes orienté en faveur de Gary Gygax (même si elle n'occulte pas les quelques tensions qui ont eu lieu entre lui et Dave Arneson) mais qui est aussi un hommage à ce qui fut le point de départ de toute la communauté du jeu de rôle ! Et pour quiconque à déjà gouté à ce plaisir aurait tout intérêt à lire cette BD, ne serait-ce que pour découvrir l'histoire et le développement de ce jeu.
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L'Homme de La Quatrième dimension

L'homme de la quatrième dimension est une bd plutôt bien tournée racontant l'histoire de Rob Serling. Jeune homme il est parachutiste et envoyé sur le conflit de la deuxième guerre mondiale. Au retour il se trouve une passion et un talent pour l'écriture qui l'amenera aux séries télévisées. Il est précurseur sur de nombreux sujets et crée la quatrième dimension.

Graphiquement assez réussi avec une fin plutôt bien tournée.
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L'Homme de La Quatrième dimension

Dans un noir et blanc très beau et contrasté, Koren Shadmi plonge dans la vie de Rod Sterling. Comme les épisodes de La Quatrième Dimension, c’est une voix, celle du protagoniste qui nous ouvre les portes de sa vie, ses projets, ses doutes et ses tourments. Traumatisé par la guerre et la violence humaine, il se rêvait en narrateur. Affrontant les codes de la société américaine de l’époque et des médias, il a proposé de nouveaux sujets et une narration moderne pour capter la réalité. Détourner le regard, prendre du recul et voir ainsi plus clairement le monde. Le parcours artistique en dents de scie de Rod Sterling est vraiment intéressant grâce au parti pris de l’auteur. En élargissant son propos à l’organisation de la télévision et plus généralement à la création populaire (notamment avec les feuilletons radiophoniques), Koren Shadmi souligne l’ingéniosité de son personnage, sa force créatrice et son ambition. Derrière ce mot se cachent également les échecs, les succès d’un temps et la perte des envies. Il parvient à mettre en perspective toute la pugnacité de l’homme de la Quatrième Dimension. Il ne le caricature jamais en étant au plus proche de la sincérité de Sterling. Ses projets, même avortés, sont détaillés, signes de la vigueur de son imaginaire et les critiques sont également présentes. C’est ainsi toute la dimension de cet homme, tout l’univers, qu’il a voulu créer, qui apparaît dans cette BD.
Lien : https://tourneurdepages.word..
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L'Homme de La Quatrième dimension

Koren Shadmi nous offre une biographie bien rythmée, le découpage efficace, le propos dense. Il nous plonge à l’époque des débuts de la télévision, dans les années 50. La bichromie noir et blanc évoque l’ambiance esthétique de l’émission. Et une illustration à chaque entrée de chapitre fait référence à un épisode de la quatrième dimension, les fans les reconnaîtront sans doute.
Lien : https://www.scifi-universe.c..
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Bionique

(CR 971) Un album qui plaira probablement beaucoup aux collégiens
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L'éveil du maître du donjon

Grâce à une narration façon vous êtes le héros très immersive, incarnez les fondateurs d'un des loisirs les plus emblématiques de la pop culture et partagez les moments clés de sa création. Avec un dessin simple, en noir et blanc, ce comics vous donnera les secrets du premier dungeon master et l'influence de son bébé sur le monde geek actuel.
Lien : http://www.scifi-universe.co..
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Abaddon, tome 1

Le style de dessin est original. J'apprécie le thème particulier des amnésiques très différents qui se trouvent un appartement d'où on ne peut pas ressortir.
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Le voyageur

L’immortalité. Est-ce une malédiction ou un don ? Est-ce une malédiction de voir le monde changer, se modifier… muer ? Est-ce un don d’avoir la mémoire de ce temps révolu où l’homme n’est qu’une brindille, soumis aux aléas du climat… victime de sa propre folie.



Le voyageur cherche la personne qui est à l’origine de sa situation. Il se déplace aux quatre coins des Etats-Unis, avec nonchalance et obstination, depuis des siècles. Sa grande silhouette athlétique, ses yeux vairons, sa veste en cuir noir et son sac de marin en toile, le voyageur ne cesse d’être en mouvement. Nomade. Nonchalant. Pacifique. Il semble être doué de prescience. Il conseille mais n’impose pas. Il observe et refuse de prendre parti. Il mène sa propre quête et refuse d’influencer la vie des gens qu’il croise.

Témoin malheureux du temps qui passe. Spectateur qui regarde ce monde à l’agonie. Religion, guerre, environnement, drogue, fanatisme, sexe, réchauffement climatique, la folie, les manifestations humaines de l’instinct de survie… Tous ces maux qu’il regarde, incapable de les endiguer. Impuissant.

Koren Shadmi observe une nouvelle fois le rapport que l’on peut avoir au temps. Il ne pose aucun marqueur de temps et cette imprécision met nos sens en éveil. On suppose, on cherche, on espère. Une vision cauchemardesque de l’avenir, une société décadente où les humains m’ont fait penser à des pestiférés (...)

L'article complet est ici : https://chezmo.wordpress.com/2017/11/03/le-voyageur-shadmi/


Lien : https://chezmo.wordpress.com..
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Le voyageur

Un récit de science fiction, teinté de fantastique, narré avec une incroyable finesse. C'est très puissant et effrayant. Le lecteur se retrouve prisonnier de l'histoire. Au même titre que le 'voyageur' il cherche quelque chose sans trop savoir quoi. Impossible de reposer la BD une fois commencée. Du grand art, vraiment !



Lire la chronique sur le blog:
Lien : http://bookenstock.blogspot...
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Love Addict : Confessions d'un tombeur en série

Un tout petit peu confus au niveau des personnages féminins. Mais c'est une histoire sympa à lire et on se demande si K va pouvoir se guérir de cette addiction. Le style est agréable et la lecture facile. Au final, une bonne BD qui permet de passer un bon moment.
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Abaddon, tome 1

Quel monde est cette oeuvre ! Saisissant, dérangeant, fascinant. On est plongé dans un monde angoissant. Le graphisme est sublime. La composition est originale. Electrisant.

C'est beau.

L'histoire est celle d'un héros qui erre dans un appartement duquel l'on ne peut apparemment pas sortir. Les colocataires sont dérangés mais qui sont ils vraiment ? Et cet immeuble qu'est ce donc ??
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Love Addict : Confessions d'un tombeur en série

Le texte capte des ambiances bizarres, enfiévrées ou totalement flippantes. On rit beaucoup aussi des expressions de K., obsédé par les culs et les seins jusqu’à la névrose.
Lien : http://www.bodoi.info/love-a..
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Mike's place

Merci Babelio pour cette très belle découverte.



6 chapitres, chacun commençant par une petite citation du Coran pour rappeler que ce texte n'appelle pas au terrorisme.

On découvre Jack, qui vient en Israël avec un projet de film, et qui en réalisera un très différent, sur un lieu de rencontres et de musique, un bar où l'on ne parle pas politique... mais qui sera la cible d'un attentat kamikaze.



J'ai eu quelques difficultés à distinguer certains personnages les uns des autres, certains dessins (les baisers notamment) ne m'ont pas convaincue, mais l'histoire m'a beaucoup intéressée et j'ai été touchée par ce roman graphique, qui raconte l'histoire vraie de ces serveurs, musiciens et de ce videur...

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Mike's place

Le 30 avril 2003, le Mike's place à Tel Aviv est la cible d'un attentat suicide. Parmi les morts, il y a Dom la serveuse française emblématique de l'endroit, il y a également beaucoup de blessés. Il y a aussi sur place Jack Baxter qui réalisait un reportage sur ce bar pour témoigner de la possibilité de vivre ensemble, toutes religions et origines confondues, en Israël. Son reportage est aujourd'hui diffusé chaque année pour l'anniversaire de l'attentat et cette BD reprend cette histoire. Un album dont on ne sort pas indemne.
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