Koyoharu Gotouge

• « 𝘋𝘦𝘮𝘰𝘯 𝘴𝘭𝘢𝘺𝘦𝘳, 𝘵𝘰𝘮𝘦 2 » 𝘥𝘦 𝘒𝘰𝘺𝘰𝘩𝘢𝘳𝘶 𝘎𝘰𝘵𝘰𝘶𝘨𝘦 , 𝘱𝘶𝘣𝘭𝘪é 𝘤𝘩𝘦𝘻 𝘗𝘢𝘯𝘪𝘯𝘪 𝘍𝘳𝘢𝘯𝘤𝘦.



• Je continue à visionner la série animée en parallèle de ma lecture de l'histoire originale en format manga, et je dois avouer que c'est acter, je suis totalement tombé dedans. La série n'a de cesse de s'améliorer, que ce soit sur le plan de la narration ou de l'animation sublime, je n'ai pu qu'y accrocher.



[𝘓𝘦 𝘭𝘪𝘷𝘳𝘦]



• Ce deuxième tome est bien plus entrainant, avec des personnages qui commencent à doucement s'esquisser et des situations plus intéressantes en termes de rythme et d'intérêt. On découvre rapidement le visage du grand démon que recherche Tanjiro et la menace qui l'entoure, ainsi que certains détails intrigants. Un méchant dégageant un certain charisme et qui laisse présager de bonnes choses pour la suite. L'humour est présent dans certains chapitres et offre quelques petits sourire bienvenue.



• Entre les chapitres, la mangaka nous présente quelques petits dessins préliminaires, des projets qui pourrait prendre forme dans le futur (spoiler alert : il me semble que des épisodes spéciaux mettant en scènes nos héros dans un lycée soit bel et bien devenu une réalité ! - à vérifier toutefois, je n'ai vu qu'une image isolée et ne voulais pas me spolier.), ainsi que des anecdotes sur la série et les personnages. Un petit mot de la jeune femme remercie ses lecteurs à la fin du livre.



[𝘜𝘯 𝘱𝘦𝘵𝘪𝘵 𝘮𝘰𝘵 𝘴𝘶𝘳 𝘭'𝘢𝘥𝘢𝘱𝘵𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘦𝘯 𝘴é𝘳𝘪𝘦 𝘢𝘯𝘪𝘮é]



• L'animation de la série ne cesse de nous révéler ses beaux atours, avec des scènes de plus en plus soignées et travaillées. La scène où l'assistant parle du physique de Nezuko, et la réponse furieuse de Tanjiro est encore plus comique que dans le manga, et m'a franchement fait rire ! L'ambiance pesante y est parfaitement transcrite et le rythme un peu lent des premiers épisodes s'efface très rapidement pour offrir une narration plus mouvementée.



Ce deuxième tome est adapté dans les épisodes 5 à 9 de la première saison.



[𝘓𝘢 𝘱𝘦𝘵𝘪𝘵𝘦 𝘷𝘰𝘪𝘹 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘧𝘪𝘯]



• Un deuxième volume qui dynamise les aventures du pourfendeur et qui semble partir dans une bonne direction.



𝔑𝔬𝔫 𝔪𝔞𝔦𝔰 𝔠'𝔢𝔰𝔱 𝔲𝔫 𝔣𝔬𝔲 𝔩𝔲𝔦 ! 𝔅𝔦𝔢𝔫 𝔰û𝔯 𝔮𝔲𝔢 𝔑𝔢𝔷𝔲𝔨𝔬 𝔢𝔰𝔱 𝔧𝔬𝔩𝔦𝔢 !

Vous le savez si vous me lisez souvent sur le blog, je ne suis pas une grande fan de shonen mais j'aime bien en lire de temps en temps. Et comme celui-ci semble revenir en boucle en ce moment sur les réseaux sociaux et que les lecteurs en parlent en bien, j'ai eu envie de lui donner une chance en profitant de la réédition de Panini.



Avec Demon Slayer, je découvre également Koyoharu Gotôge, son auteur dont c'est la première oeuvre. Et malheureusement cela s'en ressent assez vite dans ce premier tome où l'on retrouve un peu tous les poncifs du genre au fur et à mesure.



Pourtant l'histoire avait très bien démarrée, avec un long premier chapitre fort engageant, mettant en avant les point fort du titre : un héros attachant venant d'une famille pauvre, un folklore japonais revisité avec une pointe d'horreur grâce à un vampirisme made in Japon. Honnêtement, je pensais vraiment m'embarquer dans une oeuvre qui avait tout pour me plaire et me surprendre.



Malheureusement très vite, au fur et à mesure que se sont succédés des chapitres bien plus courts, j'ai senti une précipitation dans le récit et une course vers quelque chose que j'avais déjà vu et revu : l'entraînement d'un héros pour devenir un pourfendeur de démon et donc une course à la surpuissance avec la rencontre d'autres personnes comme lui mais également de démons toujours plus puissants à éliminer, mais où son grand coeur va entrer en conflit avec sa mission. Tout cela n'est pas encore arrivé, mais je sens bien le titre aller malheureusement dans cette direction et ce n'était pas ce que je voulais. Ça je connais déjà et je l'ai déjà lu dans d'autres titres. Alors même si l'habillage de la série me séduit, ça ne me donne pas envie d'aller plus loin...



Pour conclure, je sais que la série a tout pour plaire au plus grand nombre. Elle se lit facilement. Les personnages qu'on découvre ici sont attachants. Le héros a une mission qui touche avec cette envie de sauver sa soeur. L'ambiance est plaisante et un brin originale avec son utilisation du folklore Japonais de manière un peu revisitée. Mais je n'ai pas été touchée, je ne suis pas rentrée dans la dynamique du titre et je l'ai trouvé trop classique. Je vais donc passer mon chemin et le laisser aux fans du genre.
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• Je continue à visionner la série animée en parallèle de ma lecture de l'histoire originale en format manga, et je dois avouer que c'est acter, je suis totalement tombé dedans. La série n'a de cesse de s'améliorer, que ce soit sur le plan de la narration ou de l'animation sublime, je n'ai pu qu'y accrocher.



[𝘓𝘦 𝘭𝘪𝘷𝘳𝘦]



• Ayant commencé avec la série animée, je savais inéluctablement que ce moment fatidique allait devoir arriver.. À savoir, l'apparition d'un futur personnage récurrent, en la personne de Zenitsu. Le relou par excellence, qui ne cesse de chouiner, se plaindre, de draguer lourdement les personnages féminins ayant le sacro-saint malheur de croiser son regard.. Oui, j'ai beaucoup de mal avec lui, et je pense qu'il faudra un véritable travail de la mangaka pour me faire totalement changer d'avis. Bien heureusement pour moi, ce troisième tome marque l'arrivée d'un autre personnage culte de la série Demon Slayer dont l'identité est pour le moment inconnue. Ce deuxième personnage est mon préféré de la série animée, et j'espère qu'il sera aussi drôle et attachant dans les mangas qui suivront.



• On en apprend plus sur les démons, leur organisation et les pouvoirs de Kibutsuji. Des objectifs clairs commencent à se dessiner pour notre héros, qui va devoir combattre les plus redoutables soldats du maître des démons pour tenter de sauver sa sœur de la malédiction dont elle est imprégnée. L'empathie de Tanjiro est toujours infaillible jusqu'ici, le héros rendant presque toujours hommage aux ennemis qu'il a vaincu, n'oubliant pas que les démons qu'il combat étaient auparavant des humains.. un parallèle se faisant avec sa situation et celle de sa sœur. Le casting s'étoffe également comme je le mentionnais plus haut.



[𝘜𝘯 𝘱𝘦𝘵𝘪𝘵 𝘮𝘰𝘵 𝘴𝘶𝘳 𝘭'𝘢𝘥𝘢𝘱𝘵𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘦𝘯 𝘴é𝘳𝘪𝘦 𝘢𝘯𝘪𝘮é]



• Le singulier pourfendeur au masque de sanglier est comme je le disais déjà dans mon cœur pour ses côtés décalé, drôle et impulsif, le doublage français du personnage étant prodigué par le talentueux Christophe Lemoine qui a également doublé Jack Black, le Beau Jack (dans les jeux Borderlands) ou encore Cartman dans South Park.. Une voix connue et inégalable dans son style. La personnalité agaçante de Zenitsu devient presque insupportable dans les épisodes où il prend place, ces pleurnicheries et ses plaintes atteignant son paroxysme dans le détestable.. L'action est au top, on ne s'ennuie pas une seule seconde dans ces épisodes, si on oublie les gémissements du blondinet.



Ce deuxième tome est adapté dans les épisodes 10 à 13 de la première saison.



[𝘓𝘢 𝘱𝘦𝘵𝘪𝘵𝘦 𝘷𝘰𝘪𝘹 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘧𝘪𝘯]



• Un tome inégal, très bon mais très lourd à la fois à cause de l'introduction du pourfendeur de la foudre qui peine à convaincre et laisse penser que son introduction dans les aventures de Tanjiro risque de causer plus d'ennuis que d'entrain..



ℭ𝔥𝔞𝔯𝔤𝔢 𝔡𝔲 𝔰𝔞𝔫𝔤𝔩𝔦𝔢𝔯 !!

Ce tome est divisé en 2. La bataille badass avec le pilier de l'amour de Tanjiro se poursuit contre le monstre fusionné. Avec le pilier de brume, on a droit à un échec puis à un éveil qui le rebooste... oh la la, chaque tome a son lot de redondance. Ca reste en général un divertissement sans que je sois une grande fan. Depuis le début, mon idée se confirme à chaque volume que cette série paraît dans une période pour moi, qui ne la met pas en valeur.

Ayant découvert Demon slayer sur le tard et lisant plutôt des seinen que des shonen, j'ai voulu découvrir par curiosité ce manga phénomène.



Bien sur ce premier tome comme souvent, fait office d'introduction pour nous présenter l'univers et les personnages. J'ai tout de suite été conquis par cet univers où l'on évolue dans le folklore avec les démons mais aussi dans les traditions japonaises.



L' histoire met en scène le jeune Tanjiro qui pour sauver sa soeur devenue un démon décide de devenir un pourfendeur de démon.



Dès les premières pages, j'ai trouvé le personnage de Tanjiro très attachant . Possédant un grand coeur et déterminer à sauver sa soeur qui gardera le lien familiale avec son frère, Tanjiro va découvrir toutes les facettes des pourfendeurs de démon où il apprendra vite à manier les techniques de combat mais aussi les caractéristiques des démons.



Le manga expose plusieurs thème comme la persévérance, l'espoir, le courage.

Très rythmé avec de l'action et des rebondissements, ce premier tome ne manque pas d'atouts et se révèle très agréable à lire.

Un vide intersidéral.

Voilà ce que j'ai ressenti après avoir terminé cette saga...



Je suis si triste d'avoir tourné la dernière page de cet ultime tome. Frustrée et déçue aussi je dois bien l'avouer. Je fais partie de celles/ceux qui auraient aimé plus de tomes... Et qui n'a pas tant que ça apprécié l'épilogue.



Démon Slayer est pour moi un bon shonen, qui respecte bien les codes, mais qui est aussi très répétitif. Et parfois peu approfondi. Des personnages auxquels on peut s'attacher, un récit plutôt... Rapide. Des dessins plaisants, de l'émotion, du sang, de la violence... Et donc, seulement 23 tomes. Série accessible pour les personnes ne voulant pas se lancer dans un manga shonen trop long.



Ainsi, même si la rapidité de l'histoire m'a parfois un peu rebutée. Même si, la toute fin je ne l'ai pas vraiment appréciée. J'ai adoré Démon Slayer dans sa globalité, les petites touches d'humour, et je n'oublierai pas certains personnages de la saga. J'ai pour ma part, grandement aimé Tanjiro, sa générosité, sa gentillesse sans arrière pensée, sa persévérance.



J'ai maintenant vraiment hâte de voir tout ça en animé, les combats vont être grandioses!

On est vraiment sur la même veine depuis le début de la série. "Je te tape, tu me tapes, je me blesse gravement mais je deviens plus fort grâce à mon super mental de la mort qui tue". Bon bon bon, on n'enlèvera pas tout de même que la mangaka a beaucoup d'imagination sur les types de vilains qu'elle incorpore dans sa série avec dans ce tome, ces dessins du trio des tordus vs les gentils, naïfs aux grands cœurs.

De nouvelles rencontres pour Tanjiro : Zenitsu, un pourfendeur de démons assez étrange, pétrifié par la peur et un garçon tout aussi étrange à tête de sanglier.

Hélas peu d'avancée dans sa quête d'information sur Kibutsuji mais il peut compter sur Tamayo et ses recherches.

Un univers toujours plaisant.

Entrainée par ma fille dans le monde des mangas, me voici à découvrir Demon slayer ... Renseignements pris, l'auteur est une femme passionnée de la période à laquelle se déroule le manga, l'ère Taishō (« période de grande justice ») est l'ère du Japon qui couvre la période allant du 30 juillet 1912 au 25 décembre 1926 qui correspond au règne de l'empereur Taishō. Merci Wikipédia ;)

Deuxième info : c'est un shonen ... pour les débutants comme moi, c'est un manga dont la cible est les jeunes garçons ... ah zut, c'est mal parti!

Quant à l'histoire : voilà un point très positif. Un jeune garçon, Tanjiro, se retrouve chef de famille (nombreuse) à la mort de son père. C'est au retour d'un trajet au village voisin pour vendre du charbon qu'il découvre sa famille assassinée par des démons. Seule sa sœur Nezuko a survécu mais il s'aperçoit vite qu'elle est devenue un démon elle aussi. En revanche, chose étrange, elle tente de le protéger quand arrive un pourfendeur de démon, Giyu Tomioka. Les deux hommes se rendent compte que Nezuko est spéciale, qu'il y a peut-être une chance de la sauver.

Pour cela Tanjiro doit se rendre chez Sakonji Urodaki au pied du mont Sagiri ... débute alors une quête formidable pour Tanjiro.

Les personnages m'ont beaucoup plu et j'ai aimé ce jeune garçon dévoué à sa famille et aimant sa sœur.

Les dessins des vignettes semblent un peu ternes face à ceux très détaillés des pleines pages mais l'ensemble est plaisant.

A suivre :)

Résumé : Tanjiro découvre un matin que toute sa famille a été assassinée par un démon alors qu’il était absent. Seule sa jeune sœur, Nezuko, a survécu, mais elle semble se transformer en démon à son tour. Alors Tanjiro décide de la sauver, et pour cela, il va s’entraîner pour devenir pourfendeur de démons !



Mon avis : Ce manga mêle légendes japonaises et action, dans une série qui rencontre beaucoup de succès auprès des ados !



Tanjiro va retrouver sa famille quasiment décimée au complet par un démon, sauf sa jeune sœur, Nezuko, qui semble être possédée, mais contrôle cette puissance en elle lorsqu’il s’agit de son frère. Afin de pouvoir sauver sa sœur et lutter contre les démons, Tanjiro va commencer auprès d’un mystérieux maître un entraînement afin de pouvoir devenir pourfendeur de démons. Mais la route est longue, et l’épreuve finale pourrait se solder par la mort !



Je me suis laissée emporter par cette histoire qui permet de plonger dans les légendes japonaises, et qui met face à des mystères qui donnent envie de poursuivre la lecture de cette série. Un bon mélange de peur et d’aventures.
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Alors que les jeunes recrues s'entraînent auprès de fabuleux piliers, les démons attendent patiemment et Muzan cherche inlassablement Nezuko et le maître des piliers. Tanjiro réussit au fur et à mesure ses entraînements difficiles qui nous permettent d'en savoir plus sur le pilier du rocher : le moine aveugle qui pleure. C'était un bon petit volume varié en actions et en émotions. Classique et efficace.

C'est un peu comme un cheveu sur la soupe que Nezuko va avoir droit à un nouveau pouvoir... alors que le combat dans le village des forgerons prend fin au lever du jour. Ce nouvel élément va influencer toute l'organisation des pourfendeurs et ainsi, mettre en avant de nouveaux piliers dont on n'avait jamais entendu parler depuis le début. C'est très..prévisible. Tout dans la série l'est, ça ne la rend pas nulle, non, juste un peu décevante et à lire sans grandes attentes.

J'ai un arrivage conséquent de la série grâce à ma biblio.. 5 tomes d'un coup ! Je poursuis par curiosité et par espoir que la barre se redresse mais bon, on est vraiment dans les gros stéréotypes des shonen nekketsu. Peu d'originalité dans ce volume et peu d'actions marquantes avec Tanjiro qui veut devenir plus fort tout en restant gentil et naïf. Il va s'entraîner avec un automate dans un village masqué chelou. Voilà voilà. J'ai clairement l'impression que ce manga s'est imposé en France au mauvais moment, comme un retard sur la vague des shonen de ce type. Sorti 10 ans plus tôt, il n'aurait sûrement pas eu le même impact dans mon flot de lectures.

: Nous nous intéresserons au manga "Demon slayer" de Koyoharu GOTÔGE .

C'est un Shonen, un récit d'action pour les garçons (comme le manga japonais sait cibler ses lecteurs de la sorte). Il plaira aux amateurs de DragonBall et tutti, des aventures fantastiques rythmées en épisodes par des joutes extraordinaires.

Si le personnage de Sangho Khu devra lutter à chaque épisode, pour gagner en expérience lors de tournois  pour devenir le combattant ultime ou pour lutter à mort sur des projets de dominations diaboliques, Tanjiro lui devra affronter démon sur démon jusqu'à obtenir l'opportunité d'affronter le grand chef des démons.

C'est en effet un peu le principe du jeu vidéo, avec sa progression en expérience, en pouvoirs nouveaux pour le personnage et des changements de décors, ce qui sans doute est le cahier des charges prévues pour plaire sur ce créneau.



Revenons à l'histoire.

Les décors seront mêlé d'un urbanisme année 30 et d'un fond de campagne un peu moyenâgeux. 

Les familles de ces coins n'auront pas comme en ville des petites robes courtes, des chapeaux à cloche et des costumes deux pièces, ils seront encore en kimono, chaussés de claquettes de bois.

Tanjiro est issu d'une famille modeste et nombreuse vivant dans les bois, élevée par une mère veuve. 

Tanjiro est l'aîné qui donnera le coup de main à la place du père, distribuant et vendant le charbon. Il n'aura pas le profil imposant et viril du nouveau chef de famille, c'est encore le frère, doux , aimant, courageux, joueur à l'occasion avec les plus petits par amour et devoir. 

Ce caractère permettra sans doute de rendre la suite très poignante pour les lecteurs.

Cet univers sera aussi peuplé de démons puissants, il ne sera pas bon trainer la nuit en ville ou dans les bois. 

Un jour pourtant, Tanjiro reviendra bien plus tard à la maison et trouvera toute sa famille assassinée par un démon très identifiable. Seule l'une de ses soeurs aura réchappée au massacre. Du moins, elle sera marquée de la signature du démon sadique qui voudra que quelqu'un illustre son pouvoir, pour éprouver ainsi les imaginations et consolider la peur chez les humains. Il l'a transformera à son niveau en lui faisant boire de son sang empoisonnée.



C'est ainsi que commencera l'odyssée de Tanjiro qui passera du simple destin de charbonnier à celui de chasseur de démons, afin de remonter jusqu'au chef des démons et de concevoir grâce à lui un remède pour inverser la malédiction de sa soeur, qu'il portera dans une boite sur son dos durant tout le périple.

La mission sera dure, cruelle, mettant à l'épreuve la motivation et les sentiments de Tanjiro qui demandera à des maitres défenseurs de lui enseigner l'art de défier les démons. Il devra les convaincre eux puis mettre en exercice ce qu'on lui aura appris contre différents démons, qu'il devra chasser de lieux où ils viendront se repaitre sans vergogne.

Plus Tanjiro en chassera, plus ceux qui resteront seront plus difficiles à éliminer.



Les lieux.

Les aventures de Tanjiro seront rythmées en grandes parties, chacune une mission où sévira un ou plusieurs démons: le train d'une gare hantée dont les passagers disparaissent, un quartier populaire avec un démon geisha dirigeant avec poigne un lieu de plaisir... Il fera souvent nuit, le moment où chacun devrait se calfeutrer chez lui et éviter de se promener.



Les personnages.

Heureusement, Tanjiro ne sera pas seul, il pourra compter sur ses "senseï" et ses camarades d'armes, dont nous découvrirons le passé bien évidement.

Ces deux camarades, tout aussi redoutables mais aussi novices que Tanjiro, apporteront un peu d'humour car un peu décalés: Inosuke, un barbare aux manières rustres cachant un visage délicat sous une tête de sanglier et Zenitsu, un geignard devenu pourtant chasseur de démons, qui ne se montrera infaillible que sous un état de somnambulisme.

Le meilleur atout de Tanjiro: sa soeur.

Le personnage donnera l'impression de lutter contre l'influence du démon, n'offrant sa  force et son agressivité que pour défendre son frère à l'occasion. 

Sa nouvelle nature de démon lui permettra aussi d'agir sur son apparence, régressant souvent à l'âge d'une petite fille pour entrer dans la boite de transport de Tanjiro, ne pesant presque rien ainsi.

Le personnage de Tanjiro est attachant, pur, jeune et fidèle. Il  sera hanté par un sentiment d'échecs avec la protection de sa famille exterminée, peiné par la disparition de son père dont il maitrisera les techniques de combat autour de l'eau, une transmission utile.

Nous sentirons un lien très fort entre le frère et la soeur, les deux se ressourçant l'un et l'autre de courage et de soutien à leur manière face à la résistance des démons qui bien évidement ne se laisseront pas détruire jusqu'au dernier.



Le parcours sera redondant de combats certe mais captivant. 

Cependant attention, nous mettrons en garde quand à l'adaptation animée du manga. 

Si le manga (BD) sera conseillé par les spécialistes du genre sur le net pour un lectorat de 12 ans et +, il ne faudra pas compter mettre l'animé devant ce même public. 

Il sera à réserver à un public adolescent plus vieux et plus averti. 

C'est un peu le problème des adaptations, elles suivront des intentions parfois différentes. Si par exemple l'adaptation animé du terrible "Death Note" de Takeshi Obata ou celle du "Monster" de Naoki Urasawa élargira sa popularité à un public plus jeune, censurant ainsi quelques scènes chocs et éprouvantes, l'animé de "Demon slayer" fera tout l'inverse, développant à l'image ce que la version manga française ne nous montrera pas de parties humaines démembrées et de scènes sanguinaires. Nous aurons vraiment droit à un copié coller de la BD avec des scènes explicites bonus, excellentes pour un public plus vieux.

C'est une série à découvrir.

Avec ce deuxième tome, je pense avoir confirmé que la série n'était pas faite pour moi. Je vois très bien ce qui va plaire à pas mal de monde : une histoire dynamique qui avance bien, avec une mythologie sombre et intéressante. Mais il n'y a rien à faire, je vois les grosses ficelles arriver et ça ne prend pas avec moi. Tant pis !



Je reconnais que c'est chouette de voir l'auteur ne pas faire trainer les choses en longueur. Le "pseudo" tournoi de la fin du tome 1 se termine rapidement pour donner le titre de "demon slayer" au héros, ainsi que son épée, qui comme par hasard est très rare... On se tourne ensuite vers le coeur de son nouveau métier, la chasse au démon et en exécutant la première, il va tomber sur celui qu'il cherche et qui sera sûrement sa nemesis tout au long de la série.



C'est classique mais bien mené. Les personnages sont bien caractérisés. Le héros gagne peu à peu en puissance et en charisme tout en s'affirmant. Sa soeur l'aide bien dans son combat et il se trouve en quelque sorte des alliés en chemin Le méchant qu'il va affronter est sombre et dérangeant comme il faut. J'aime bien l'utilisation du fantastique japonais qui est fait ici.



Mais on est vraiment dans un titre jeunesse où l'on retrouve des mécanismes éculés et l'univers ne me parle pas assez pour me donner envie de poursuivre plus. Je cherchais quelque chose de moins prévisible.
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Quel tome riche en émotions avec la perte de certains personnages présents depuis quelques tomes pour leurs grands combats et leurs implications ! Alors que la série approche de sa fin, il était normal qu'on arrive au combat final avec le grand big boss qu'est Muzan avec une plongée dans le passé sur l'ancêtre des pourfendeurs des démons. On s'attend dans les 2 prochains derniers volumes à avoir une plongée dans les mémoires du super-méchant. Cette série n'est pas déplaisante mais elle n'est pas non plus immanquable, j'ai comme un sentiment de manque de profondeur entre les personnages alors que chaque perso a son passé si poignant.

On a compris le rythme des récits et donc la recette magique de l'auteure pour ces derniers combats : du pouvoir, des coups puissants, des blessures atroces et la découverte du passé de ces lunes. Ca les rend plus "humains" sans perdre de vue qu'ils sont avant tout devenus des méchants bien cruels. Un tome bien virevoltant et très dynamique.

Ouf, un tome dédié à la première lune, le combattant samouraï aux 6 yeux. Un tome fort en combats, pouvoirs célestes et une belle plongée dans le passé de ce démon. Un tome que j'ai trouvé bien dosé et intéressant à lire, ce qui aide forcément à lire les prochains et derniers tomes.

Demon slayer"Kimestu No Yaiba" shonen , par Koyoharu Gotouge.

Bonne découverte qui me fait penser à Tokyo goul.



Tanjirō Kamado, jeune charbonnier, rentre un matin chez ses parents et découvre toute sa famille massacrée. Les démons n'ont épargné personne. Sauf sa petite soeur, Nezuko. Celle ci a été transformé en démon.

Le jeune charbonnier n'a plus qu'une idée en tête , rendre l'apparence humaine de sa soeur.

Un long chemin et un dur apprentissage l'attend , afin de devenir un pourfendeurs de démons, et réussir dans sa quête.

On est en plein combat avec des visions sur celui de Shinobu, pilier de l'insecte face au meurtrier de sa sœur, Zenitsu qui retrouve son "frère" devenu démon et Tanjiro contre une lune supérieure qu'on connaît bien. Le tome a été avalé à belle vitesse ! En effet, la mangaka impulse beaucoup de dynamisme en nous faisant naviguer entre les combats, pas le temps de s'ennuyer.