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Citations de Laurent Gounelle (2209)


"A être trop prudent, on ne fait rien."
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Les problèmes, quand t'en as tout le temps, t'appelles plus ça des problèmes. T'appelles ça la VIE. C'est quand ça va bien que c'est louche. Et là, t'as une petite lumière rouge qui se met à clignoter dans ta tête, et tu te dis: Y A UN PROBLÈME.

(Page 176)
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Si tu veux rester jeune toute ta vie, continue d'évoluer, d'apprendre, de découvrir, et ne t'enferme pas dans des habitudes qui sclérosent l'esprit, ni dans le confort engourdissant de ce que tu sais déjà faire.
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Autrefois, dans les villages, on allait toutes les semaines en famille au cimetière, rendre visite aux ancêtres. on s'adressait à eux intérieurement, on leur parlait, et finalement on gardait un lien, quelque chose subsistait entre eux et nous. et pendant que les adultes entretenaient les lieux et les fleurs, les enfants jouaient sur les tombes alentour, et mine de rien, ils apprivoisaient la mort.
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— Les neuropsychiatres savent que la première tâche à laquelle on s'adonne en se levant est interprétée par le cerveau comme étant la plus importante, et donc par la suite il met ses ressources au service des tâches similaires à celle-là, au détriment des autres.
Krakus fronça les sourcils.
— La première chose que je fais le matin, c'est aller pisser.
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La réalité revêt parfois la forme d'un dragon effrayant qui s'évanouit dès qu'on ose le regarder en face.
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Un livre qui m'a fait du bien, il m'a fait réfléchir et me retourner sur moi. Qui m'a fait me poser les bonnes questions, m'a aidé à avancer, à progresser dans ma quête du bien-être et de la sérénité.
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Mais quand, dans la vie, on s'arrange pour se tenir éloigné de tout ce qui nous fait peur, on s'empêche de découvrir que la plupart de nos peurs sont des créations de notre esprit.
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Mais ça apporte quoi de savoir obtenir ce qu'on veut si par ailleurs on se coupe des autres? on ne peut pas vivre que pour sois, sinon la vie n'a pas de sens.
Tout le luxe du monde ne pourra jamais remplacer la beauté d'une relation, le sourire sincère d'un voisin ou d'un passant à qui l'on tient la porte, ou le regard touchant d'un inconnu.
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”Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes”, disait Machiavel. Plus on met les gens dans un état de peur, plus ils acceptent de se soumettre à l'autorité.
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L'être humain a peur du changement, de la nouveauté, et il préfère très souvent demeurer dans son contexte habituel, même s'il est très pénible, plutôt que de le quitter pour une situation nouvelle qu'il connaît mal.
P 123 Anne Carrière
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Vous savez, reprit-il, on ne peut pas être heureux si l'on se voit comme victime des événements ou des autres. Il est important de comprendre que c'est toujours vous qui décidez de votre vie, quelle qu'elle soit.Même si vous êtes le dernier des subalternes sur votre lieu de travail, c'est vous qui êtes le directeur de votre vie.C'est vous qui êtes aux commandes.Vous êtes le maître de votre destin.
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Laurent Gounelle
Je vivrai chaque instant en conscience, en accord avec moi-même et avec mes valeurs. Je resterai altruiste, mais en gardant à l'esprit que le premier cadeau à faire aux autres est mon équilibre
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Beaucoup de gens vivent aujourd'hui dans la caverne de Platon sans s'en rendre compte. Ils ont une peur bleue de l'inconnu et refusent tout changement qui les touche personnellement. Ils ont des idées, des projets, des rêves, mais ne les accomplissent jamais, paralysés par mille peurs injustifiées, les pieds et les poings liés par des menottes dont ils sont pourtant les seuls à avoir la clé. Elle pend autour de leur cou, mais ils ne la saisiront jamais.
Moi, je crois que la vie elle-même est faite de changement permanent, de mouvement. Cela n'aurait aucun sens de s'accrocher au statu quo. Seuls les morts sont immobiles … On a tout intérêt à non seulement accepter, mais initier le changement afin de pouvoir évoluer dans le sens qui nous convienne.
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«  -  Il y a des circonstances où l'on est amené à faire des choix, donc à renoncer à des choses auxquelles ontient, pour aller vers ce que l'on a le plus à cœur.
Je déteste renoncer à quoi que ce soit.
Si vous ne renoncez à rien, vous vous abstenez de choisir. Et quand on s'abstient de choisir, on s'abstient de vivre la vie qu'on voudrait. »
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Les mauvaises nouvelles, les problèmes, les dangers accaparent toute notre attention car ils stimulent notre instinct de survie. C'est plus fort que nous, c'est quasi physiologique.
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-Notre société s'abîme dans le déni de la mort, dit-elle en se rejetant dans son fauteuil. On fait comme si elle n'existait pas. On se réfugie même derrière un vocabulaire métaphorique pour la désigner : quand on perd un vieil oncle, on dit qu'il a disparu, qu'il est parti, qu'il nous a quittés. On dit qu'on l'a perdu, comme si on allait le retrouver au coin de la rue ou au rayon confiseries du supermarché.
-On nie tout ce qui nous rapproche de la mort, reprit Margie. On cache soigneusement les signes de vieillissement dès leur apparition. On ne valorise que la jeunesse et ses atouts, qui sont les seuls que l'on affiche, comme si vieillier était honteux ou effrayant. Même les philosophes se font faire des liftings et cultivent un look jeune !.....
….
-Aujourd'hui le déni de mort se décline partout, reprit Margie. Il explique notamment l'obsession de certains à repousser les limimtes, que ce soit sur le plan physique, financier, sur celui du statut, des relations intimes, du pouvoir,... C'est pour ça qu'à notre époque, on admire à ce points les grands sportifs, qui repoussent les limites du corps, et les célébrités qui, de par leur statut ou leur œuvre, offrent un semblant d'immortalité...
Elle reposa sa tasse.
-Pourtant, vois-tu, c'est paradoxalement la prise de conscience de nos limites qui peut être libératrice. C'est en les acceptant pleinement que l'on peut alors s'épanouir, déployer notre créativité, et même se mettre à réaliser de grandes choses. Et comme la plus grande des limites c'est la mort...notre vie commence véritablement le jour où l'on prend conscience que l'on mourra un jour, et qu'on l'accepte pleinement...

-La conscience de la mort permet de se libérer de ses illusions, dit Margie. On réalise soudain ce qui a vraiment de la valeur dans notre vie. Tout le reste, qui jusqu'alors mobilisait notre attention et notre énergie, devient d'un seul coup secondaire. Notre aveuglement prend fin, nos chimères s'évanouissent. On s'autorise à être soi-même, à exprimer ce que l'on ressent, à vivre ce que l'on veut vivre.
Elle reposa la théière avant d'ajouter :
-Bien vivre, c'est se préparer à mourir sans regrets. (page 278 à 281)
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Un rhume non traité dure une semaine, un rhume traité sept jours.
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La vie, c'est s'ouvrir aux autres, pas se refermer sur soi.
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J'ai tendance à ne donner qu'aux vieux je me dis que s'ils mendient à leur âge, c'est vraiment qu'ils n'ont pas le choix.
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