Marc Pasteger

Alexandre Dumas

Aussi étrange que cela puisse paraître, le premier personnage traité dans ce livre n’est autre que le grand (et massif) Alexandre Dumas (le seul auteur dont j’aie lu plusieurs fois les mêmes livres).

10 décembre 1851. Alexandre Dumas prend le train. Direction : Bruxelles ! A Paris, c’est la révolution. C’est donc elle qu’il fuit ? Que nenni ! Il fuit ses créanciers car il est couvert de dettes ayant une tendance folle à gagner des fortunes et à en dépenser de plus grandes encore. Une chambre modeste l’attend. Il faut dire qu’il est sans le sou. Aussitôt, il se met à écrire, écrire, écrire encore… Faut bien faire rentrer l’argent ! Et celui-ci arrive. De grosses quantités ! Mais quand on s’appelle Dumas, Alexandre Dumas, l’argent est fait pour être dépensé. Vite ! D’autant que le sieur Dumas a des maîtresses, beaucoup de maîtresses et qu’il sème des petites graines à foison. Ne prétendra-t-il pas avoir engendré plus de cinq cents enfants ?



Van Dijk

Van Dijk est bourré de talent et a pour maître l’illustre Rembrandt. Celui-ci le pousse à faire le voyage d’Italie pour se frotter aux peintres italiens et faire encore croître son talent. Pour se rendre en Italie, le peintre passe par Saventhem (aujourd’hui, Zaventem) qui se situe entre Bruxelles et Louvain. Il y fait la connaissance de la fille du bourgmestre dont il tombe éperdument amoureux. Se pourrait-il que son voyage s’arrête là ?



Le prince de Ligne

Charles-Joseph, prince de Ligne, est riche. Très riche, même. Il adore s’amuser et est d’excellente compagnie, tant à Vienne auprès de l’Empereur, qu’à Paris où Marie-Antoinette lui accorde son amitié. Un jour, à Mons, il voit une splendide jeune fille anglaise et apprend qu’elle doit se retirer dans un couvent de la région sur ordre de son mari. Qu’à cela ne tienne, il viendra l’y quérir… Tout au long de son existence, partagée entre les champs de bataille et de nombreuses réjouissances, il multipliera les conquêtes féminines. Mais pas que…



Guillaume de Normandie

Le point faible de Guillaume de Normandie ? C’est un enfant bâtard. Il est le fruit de la liaison illégitime du duc Robert dit le magnifique avec une demoiselle Herlette, fille d’un croque-mort. Robert ne l’épousa pas mais la considéra comme sa femme.

Guillaume était un fin stratège et il devina tout l’intérêt que pourrait représenter un mariage avec la jolie Mathilde, la fille de son puissant voisin, le comte Baudouin V de Flandre. Celle-ci, en apprenant la nouvelle ne cache pas qu’elle n’a aucune envie d’épouser un bâtard…



Henri IV

Henri IV, alors âgé de cinquante-cinq ans, un grand âge pour l’époque, travaillé par son ardeur sexuelle, séduit des demoiselles qui pourraient être ses filles, voire ses petites filles… Rentes et pensions vident les caisses de l’état. Pour montrer que sa virilité est toujours aussi extraordinaire, il aime à engrosser les jeunes femmes avec lesquelles il badine.

Ces demoiselles discutent d’abord argent, titres et autres menues récompenses avant de passer dans le lit du roi. L’une d’elles, la pulpeuse Charlotte des Essarts, lui donne deux filles… Et le cocufie, n’hésitant pas à faire circuler la rumeur que le roi est plus « vert moulu que Vert Galant » ! Rappelons qu’il est tout de même marié à Marie de Médicis à qui il aurait déclaré : « Je vous aime comme une femme, tandis que les autres je les aime pour mon plaisir… »

Dans ses plus vieux jours, le roi rencontre Charlotte de Montmorency, âgée de quinze ans. Il en tombe follement amoureux et décide de la marier à son neveux, Henri de Condé, plus attiré par la chasse que par les femmes. Les rumeurs circulent affirmant qu’il préfèrerait les hommes. Découvrant ce qu’on rapporte sur lui, de Condé, le cocu, embarque sa femme. Direction : Bruxelles ! A l’époque, cette ville fait partie des Pays-Bas espagnols et est gouvernée par les archiducs Albert et Isabelle… Qui n’apprécient pas la venue de Condé et le prient de dégager, d’aller sous d’autres cieux. Henri IV, très en colère, envisage ni plus ni moins d’envoyer une armée s’emparer de Bruxelles pour lui ramener la belle…



Jean Capart

Alors qu’il est encore élève à Saint-Boniface à Ixelles (Bruxelles), Jean Capart se passionne pour l’égyptologie. Voilà qui déçoit terriblement ses parents : l’égyptologie, ce n’est pas un métier d’avenir ! Ses futurs beaux-parents ne sont pas loin de penser comme ses propres parents. Mais ils finissent tout de même par consentir au mariage de Jean avec leur fille, Alix. Après la naissance de son premier enfant et avant la naissance du deuxième, il met les pieds en Egypte. Il n’en revient pas les mains vides…



Sarah Bernhardt

La jeune Sarah étudie chez les religieuses. Très vite elle exprime le désir de devenir nonette, ce qui ne surprend personne vu le côté mystique de la jeune fille. Sa mère est… Comment dire ? … Une femme entretenue qui a mis au monde trois filles… De trois pères différents…

Quand, à quinze ans, maman estime qu’il est temps qu’elle se débarrasse de cette gamine qu’elle n’a pourtant jamais élevée, le mariage semble être la solution. Pas question pour la jeune fille qui veut « se marier à Jésus ». Le duc de Morny, « ami de la maman » propose qu’elle fasse le conservatoire. Pas question pour la petite d’accepter… Pourtant, elle ne remettra plus les pieds au couvent et va y entrer au conservatoire. Malheureusement, ses prestations au théâtre ne convainquent guère. Alexandre Dumas qui l’avait poussée à embrasser le métier lui conseille de mettre pour un temps de la distance avec Paris. C’est ainsi qu’elle se retrouve à Bruxelles. Elle y rencontre le prince Henri de Ligne au cours d’un bal masqué. Ils deviennent amants… Et la comédienne en herbe se retrouve enceinte après quelques mois ! De retour à Paris, sa mère prend très mal la chose ! (On croit rêver ! Une femme si vertueuse se retrouve avec une fille dévergondée !)

Henri ne fuit pas ses responsabilités et passe aussi souvent que possible à Paris. Il veut reconnaître le petit Maurice en épousant Sarah. Une condition toutefois : elle ne doit plus monter sur les planches… Mais est-ce que cette histoire est bien vraie ?



La reine Louise-Marie

Louise-Marie, fille du roi des Français, Louis-Philippe, a dix-neuf ans. Pour des raisons politiques, son père l’a promise au tout nouveau roi des Belges, Léopold, qui a vingt-deux ans… De plus qu’elle ! Léopold est veuf. Il avait épousé Charlotte d’Angleterre qui aurait dû monter sur le trône de cet empire si elle n’était morte en accouchant d’un bébé, mort lui aussi. Louise-Marie fond en larmes à l’idée d’épouser Léopold qui n’a rien d’un comique…



Marie-Henriette d’Autriche

Quand elle est jeune fille, elle rencontre une bohémienne qui lui prédit que son avenir ne sera pas rose.

Un jour, elle apprend qu’elle doit épouser Léopold, duc de Brabant, fils aîné du roi des Belges et héritier de la couronne. Elle fond en larmes… Non ! Non ! Pas des larmes de bonheur ! Son arrivée en Belgique la rassure quelque peu grâce à l’accueil du peuple, et de la famille royale à l’exception de son époux, le futur Léopold II, qui ne l’aime pas et ne l’aimera jamais…



Critique :



Voilà des articles qui auraient pu figurer dans « Point de vue et images du monde » ou dans « Paris-Match ». C’est de la petite histoire. C’est amusant et on apprend des petites choses.

Dans quelques jours va sortir ce recueil d’histoires vraies de noël. Avec ces histoires on voit que cette période de l’année est magique, où la générosité, des choses surprenantes peuvent arriver. Je vous l’accorde cette année va l’être peut être un peu moins mais qui sait… Vu comment débutait certaines histoires du livre, on aurait pu croire que ça allait être le pire noël et pourtant tout finit bien. 30 histoires, 30 aventures extraordinaires. Un peu de douceur ne peut pas vous faire du mal en cette période… Plaid, chocolat chaud ou thé et hop plongez vous dans votre bulle féérique de l’esprit de noël avec ce livre.

"C'est l'histoire d'un mec qui..." Voilà comment pourrait débuter chacune des 32 petites histoires compilées dans ce livre. Petits et gros mensonges, situations cocasses, basses vengeances et petites erreurs qui entraînent de grosses conséquences toutes nous racontent une manière différente de "s'auto-saboter".



Même si certaines situations sont totalement surréalistes (mais comment diantre les gens ne se rendent-ils pas compte qu'ils vont forcément se retrouver le bec dans l'eau...) et même si j'ai souri à certains moments, je trouve tout de même que le style de l'auteur manque d'humour, de piquant, de cynisme. J'ai eu l'impression de lire de simples faits divers, certes un brin décalés mais c'était à la longue un peu ennuyeux...



L'un dans l'autre, merci à Marc Pasteger d'avoir compilé ces histoires et aux Editions Weyrich et à Babelio de m'en avoir proposé la lecture.

Un recueil d’histoires très différentes les unes des autres sans lien entre elles si ce n’est qu’elles se passent toutes en période de Noël. J’ai apprécié la variété certaines sont drôles, d’autres émouvantes, d’autres totalement incroyables. Des retrouvailles, des vies sauvées, des miraculés , des histoires d’hommes et femmes comme vous et moi .



J’ai été très surprise par certaines d’entre elles, émue par d’autres et aucune ne m’a laissé indifférente. Ce qui est appréciable c’est qu’il y en a des longues, des courtes ce qui permet de les lire quand on veut et de les lire dans l’ordre voulu.



Une bien belle idée , originale et qui remonte le moral.



VERDICT



Un petit cadeau sympa pour voyager autour du monde et dans des univers différents. Un bon moment de lecture que les amateurs d’histoires vraies sauront apprécier.

Une belle lecture qui nous entraîne le long de la côte à la découverte de personnages historiques ou de personnages tirés de légendes locales.

Si le sujet peut paraître rébarbatif, la lecture est agréable grâce aux chapitres assez courts et variés.

Je me suis plongée avec beaucoup de plaisir dans ce recueil de 30 petites histoires vraies se passant à Noël. J'ai lu 3 voir 4 histoires par jours pour faire durer cette sensation de douceur qui m'entourais lorsque j'ouvrais ce livre au maximum.



Comme je le disais se sont des histoires qui se sont réellement passées, seuls les noms on été changés pour, je pense, préserver l'intimité de ces personnes. Parfois j'oubliais que cela c'était réellement passé tellement j'avais l'impression d'assister à des miracles. Et c'est dans ces pages que j'ai retrouvé le veritable but de Noël. Toute cette solidarité, cette bienveillance, cette amour qui nous accompagne durant cette fête qui est magique.



L'auteur a su regrouper et conter ces différentes histoires avec beaucoup de talents.



C'est rempli de joie, d'amour, d'espoir et de fin heureuse.

C'est un recueil qui fait un bien fou et qui nous plonge dans l'esprit de Noël.



J'en dis pas plus car se sont des histoires courtes et elles se lisent vraiment vites donc aucune raison de ne pas craquer sur ce petit recueil de contes de Noël ! Si vous voulez plonger dans l'ambiance des fêtes il est parfait.

Ceci n'est pas une oeuvre de fiction, mais un recueil de nouvelles, toutes basées sur des histoires vraies...

Ces histoires ont un point commun, elles débutent toutes le soir du réveillon de la Saint-Sylvestre, soit à l'aube de la nouvelle année. Dans la plupart de ces histoires, le réveillon ne s'annonce pas sous les meilleurs auspices... Mais la vie réserve de bonnes surprises... et l'année nouvelle débutera pour les personnages principaux de ces histoires d'une manière agréablement surprenante.

Si c'était une oeuvre de fiction, certaines personnes diraient sans doute que les histoires sont mièvres... Mais, non, c'est un régal de pouvoir se dire que quelquefois la vie apporte de bonnes surprises !

Une très agréable lecture pour finir l'année et commencer la suivante !

Dés demain dans toutes les bonnes librairies!

Je t'aime...toi non plus! avec son tître à la Gainsbourg (à une lettre près) est un petit bijou d'humour et d'ironie mordante, sinon cinglante.

Toute en finesse, "cette petite anthologie irrésistible de l'amour vache" dédiée à Sacha Guitry qui " sur les rapports entre les hommes et les femmes,a tout dit mieux que personne", est à offrir (La Saint Valentin approchant) au partenaire qui sait rire et sourire, en effeuillant la marguerite, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie...point du tout (sujets caustiques des têtes de chapitres).

Les anecdotes,réparties,citations,bons mots de personnages ou de couples célèbres de tous temps et de tous les milieux (cinéma,théâtre,littérature,musique,philosophie...) relatées par Marc Pasteger (journaliste et auteur de nombreux ouvrages humoristiques dont Et toque!) tournent autour de l'amour "chose complexe,inexplicable,insaisissable,capable du meilleur,coupable du pire" et du désamour bien sûr.

A lire pour rire de ses propres défauts ou se montrer vrai !!!

Et un gros merci aux Editions Albin Michel pour leur envoi à RCF Méditerranée.

Je t'aime...toi non plus sera chroniqué la semaine prochaine dans l'émission Miroir des Ondes par Mario Nahmias.

La couverture de ce livre, signée James Ensor, a attiré mon oeil à la bibliothèque il y quelques semaines.



J’ai pris plaisir à lire ces récits, tantôt petites anecdotes, tantôt épisodes importants dans l’histoire de personnalités, et toutes véridiques (c’est-à-dire vérifiées par des sources diverses pour les faits historiques, ou rapportées, mises par écrit pour les légendes et autres faits hagiographiques).



Marc Pasteger a choisi de nous promener à la côte avec ordre et méthode, d’Ouest en Est : de La Panne à Knokke, en passant par « la reine des plages », Ostende mais aussi par des stations plus petites, moins célèbres ou moins fréquentées comme Le Coq, Wenduine, Mariakerke ou Damme. Aucune station balnéaire n’est oubliée, mais c’est Ostende et Knokke qui se taillent la part du lion des Flandres dans ce livre de 265 pages environ.



Ce cadre géographique posé, l’auteur se plaît à mêler les époques, les personnages, les anecdotes amusantes ou dramatiques, les légendes, les histoires mettant en scène une personne vraiment liée au lieu comme Godelieve la sainte de Gistel ou de petits épisodes où un personnage célèbre s’est trouvé à la Côte presque par hasard, comme Rimbaud et Verlaine voulant passer en Angleterre au départ d’Ostende dans leur virée de 1872.



Les personnalités de tous pays se retrouvent à la Côte : bien évidemment les premiers rois de Belgique, puisque le premier roi choisi par les Belges, Léopold Ier, arrivant d’Angleterre, pose le pied sur le sol belge à La Panne ; Léopold II est pour toujours lié au développement d’Ostende dont il dessine les plans du Thermae Palace tandis qu’il installe non loin du Chalet royal sa dernière maîtresse, qu’il finira par épouser secrètement après la mort de la reine Marie-Henriette (là, j’ai appris quelque chose qui m’a vraiment surprise !) Mais il n’y a pas que les rois et reines, belges ou étrangers, d’autres célébrités belges ou étrangères, de tous les univers foulent le sol de la côte : des écrivains comme Stefan Zweig, grand admirateur d’Emile Verhaeren, Victor Hugo, Alexandre Dumas, des chanteurs tels que Jacques Brel et Barbara (venus à Blankenberge pour le tournage d’un court métrage signé… Brel), Soeur Sourire, Edith Piaf ou Maurice Chevallier, la future exploratrice Alexandra David-Neel, alors très jeune, les peintres Félicien Rops et bien sûr James Ensor, indéfectiblement lié à Ostende, ou encore le musicien Eugène Ysaye.



D’autres textes racontent les plaisirs et les activités maritimes : les premiers bains de mer (et les costumes de bain si… seyants), la construction du port de Damme, l’expédition du Mercator ramenant de Molokaï les restes du Père Damien… sans oublier les casinos d’Ostende et de Knokke. Roger Nellens, petit-fils du fondateur du Casino de Knokke, compta parmi ses amis Jean Tinguely et Niki de Saint-Phalle, qui créa une maison parfaitement habitable dans le jardin de sa villa !



La Côte belge est sans doute un lieu où Flamands et Wallons se retrouvent, se côtoient, vivent ensemble, même si ce n’est que le temps d’un séjour de vacances et je dois dire que de nombreuses anecdotes m’ont rappelé les lieux des vacances familiales de mon enfance, ce qui a donné un côté à la fois affectif et instructif à ma lecture. Et, petit clin d’oeil, finalement, ce n’est pas qu’une mode contemporaine que d’aimer la Belgique, de nombreuses personnalités étrangères l’ont fait il y a bien longtemps !



Bref, qu’il vente ou qu’il pleuve (comme souvent dans le plat pays), ces récits se dégustent – aussi au grand soleil – comme une babelutte (sorte de caramel originaire de Furnes dans le Westhoek et vendu dans toutes les boutiques de la côte) ou comme une gaufre de Siska (recette secrète transmise de génération en génération à Knokke) et ils sont ma foi fort plaisants !
Lien : http://desmotsetdesnotes.wor..

J’adore ! Ca me rappelle les histoires extraordinaires de Pierre Bellemarre. J’ai vraiment savouré le fait que ce sont des histoires courtes et ça m’a permis de souffler entre deux gros romans. C’est frais , bien raconté et assez diversifié.



La plupart des histoires n’ont pas de chute arrêtée et laisse donc la place à l’imagination.



Une très bonne idée, des histoires qui font frissonner, qui interpellent et emplies de mystères. Mention spéciale pour la dame du parc, une jolie blonde, l’habit fait le moine.



VERDICT



Il n’y a même pas à hésiter, c’est très plaisant, très sympa à lire et peut convenir à un ado.
Lien : http://lilacgrace.wordpress...

Marc Pasteger a collecté et rassemblé 200 réflexions et anecdotes qui feront sourire, réfléchir ou surprendront.

Je ne sais quel "mot d'amour" je préfère, celui de Marylin ou celui de Feydeau tant les petites vacheries sentimentales que l'on trouve dans cet album sont aussi piquantes que délicieuses.

A découvrir pour le plaisir.

Je viens de finir ce premier livre de Noël et j’avoue que je suis restée un peu sur ma faim même si c’est très sympa à découvrir. Un livre rempli de nombreuses histoires qui se passent à Noël et qui montre à quel point ce jour peut rimer avec bonheur.

Les différentes histoires racontées sont belles et montrent à quel point Noël peut révolutionner des vies. Mais j’ai trouvé qu’elles étaient trop courtes à mon goût. Seulement une dizaine de pages pour les plus longues et il m’est difficile de passer d’une histoire à l’autre sans penser à la précédente.

Le point fort de ce livre est la diversité sociale qu’on y retrouve. Cela montre que le bonheur de Noël n’est pas réservé à une classe sociale en particulier et j’ai trouvé cela génial car pour moi Noël rime avec générosité.

C’est un livre qui souligne à merveille la beauté de Noël et les surprises que ce jour peut réserver. Des histoires un peu plus longues auraient été un vrai plus mais cela n’enlève pas le charme de ce premier livre de Noël pour moi.
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Une grand-mère, aussi acariâtre qu’autoritaire, se fâche avec son fils et sa belle-fille. La brouille s’éternise. La fête de Noël approchant, elle fait une tentative de réconciliation en les invitant à dîner… Plum, le chien de la famille Ulrich, se perd dans les bois. Quand il revient à la maison le soir de Noël en tenant dans sa gueule un joli marcassin blessé, tout le monde s’empresse de soigner le petit animal. On lui donne le nom de Noël. Mais un an plus tard, il est temps de le relâcher dans la nature… Cesare embarque dans sa voiture un abbé qui marche le long d’une route déserte. Comme c’est Noël, il l’invite dans sa résidence secondaire à une centaine de kilomètres de Rome. Puis il le raccompagne au château dans lequel il dit habiter. Mais le lendemain, quand Cesare revient sur les lieux, personne n’a entendu parler de cet abbé… À Londres, un soir de Noël, Dick, homme d’affaires pressé, percute avec sa voiture Lindsay, jeune business woman célibataire. Comme Dick est sincèrement désolé d’avoir brisé la jambe de Lindsay, il va la voir à l’hôpital avec un bouquet de fleurs dans l’espoir d’obtenir son pardon. Mais la jeune femme ne veut pas entendre parler de lui…

« Les plus belles histoires du temps de Noël » est un charmant recueil rassemblant trente histoires vraies ayant toutes un rapport avec la grande fête de l’hiver. Toutes sont inspirées d’histoires vraies. Rien à voir avec des contes et pourtant certaines en sont très proches. On donne même dans le fantastique avec celle de l’abbé, mais aussi dans les bons sentiments, les chutes merveilleuses ou quasi magiques. On part souvent de situations difficiles voire dramatiques qui comme par enchantement se dénouent au mieux. Sans doute la magie de Noël, cette grande fête de la joie et de la paix pour les hommes et les femmes de bonne volonté. Une nuit où tous les miracles deviennent possibles. Toutes ces jolies histoires le montrent bien. Agréables, courtes, étonnantes, faciles à lire, elles pourront donner au lecteur l’impression que l’humanité peut se révéler bien meilleure qu’elle ne semble. Une vraie bouffée d’air frais. J’en sélectionnerai quand même trois : « La bague et la vieille dame », « On sera plus forts à trois » et surtout « La promesse », pour le personnage de Naguissy, la jolie Coréenne, qui montre que l’amour se joue de tout, du temps, de la distance, des frontières et des races. Un bouquin qui fait tellement de bien en ces temps de grisaille qu’il devrait être remboursé par la Sécurité Sociale !
Lien : http://www.bernardviallet.fr

Ces séries d'histoires qui tiennent plus du fait divers que des palpitantes aventures que nous fait miroiter le synopsis ne présentent pas grand intérêt. Leur banalité et la médiocrité de la narration les rendent inintéressantes voire ennuyeuses.

Je remercie Babelio et les éditons Weyrich pour l'envoi de ce livre lors de la masse critique.

C'est un recueil de 32 petites histoires rocambolesques mais vraies, arrivées en Belgique. Elles sont assez incroyables pour certaines, plutôt variées, humoristiques mais à tendance humour noir (on parle quand même d'apprenti assassin, de cambrioleur maladroit, de fou légèrement psychopathe sur les bords...).

Racontées sous forme de fait divers, cela souligne davantage le ridicule des situations mais n'aide guère à ressentir un peu d'empathie pour certaines poisseux plutôt gentils au final (ils ne sont pas tous des monstres).

Le petit format de chacune (quelques pages) permet de faire la lecture de quelques unes à la fois et d'y revenir facilement plus tard.

J'ai passé un bon moment de lecture même si je regrette qu'elles datent toutes un peu, couvrant majoritairement une période allant de 1950 à 1990. J'aurais aimé en découvrir de plus actuelles.

50 histoires pour frissonner, 50 histoires inexplicables mais vraies de Marc Pasteger est un livre rempli de récits mystèrieux. Avec ce livre, l'auteur nous emmène dans le monde de l'inexpliqué. Ce genre de lecture est intéressante, surtout si vous êtes curieux de nature !

J'aime lire de temps à autre des nouvelles. Il est toujours difficile de choisir une nouvelle parmi toutes à chaque fois. Cependant, cette fois il y en a deux qui m'ont profondément émue : le petit garçon qui a rédigé une lettre spéciale pour sa maman et la famille qui se retrouve coincée par une panne...

Quand on sait que ces nouvelles sont tirées de faits réels, on ne peut qu' être touché par ces histoires. De plus, la magie de Noël y est si présente que l'on peut oublier justement que ce sont de vraies histoires.

Un livre pour petits ou grands... à lire d'une traite ou chaque jour (un peu comme un calendrier de l'avent).

J'ai vraiment bien apprécié ce recueil d'histoires de Noël. Tantôt les histoires sont mignonnes, tantôt pleine d'espoirs ou de miracles.

Ce livre est , je trouve, parfait pour la période des fêtes. Il m'a transmis, encore un peu plus d'étoiles et d'emerveillement dans mes yeux de lectrice. Je pense qu'il y a des chances pour que les amoureux.se.s de Noël soient comblés par cette lecture. Je vous le recommande !

Ca n'engage que moi : Je finis l'année 2020 avec ce recueil de nouvelles de Noël. Que ça fait fait du bien toutes ces bonnes ondes, ces bonnes actions, ces bonnes annonces que la magie de Noël peut transmettre.

Que d'émotions, de joie, de bonheur partagés.

Cela m'a réconfortée sur le fait que le Père Noël existe.

A lire pour oublier la dureté de certains moments de vie.

J’ai grapillé les histoires assemblées par Marc Pasteger pendant une quinzaine de jours, lisant certaines nouvelles de ci de là, entre mes autres lectures. Elles ont un dénominateur commun : tous les personnages ont vécu un moment humain qui sort de l’ordinaire entre le 24 et le 25 décembre.



Ce sont des petites histoires de la vie quotidienne, de celles que l’on relate à nos proches mais qui ont cette magie supplémentaire d’avoir eu lieu au moment de Noël. Elles se passent un peu partout dans le monde, pendant plusieurs dizaines d’années. Il y a de tout ! Un homme orphelin qui, à 82 ans, va retrouver la trace de personnes de sa famille. L’histoire d’amour entre un diplomate et une jeune coréenne. Le périple d’une valise pleine d’argent perdue par son propriétaire. Le sauvetage d’un jeune chien par un homme qui refusait à sa famille d’en adopter un. Un accouchement express qui ne doit pas perturber le repas du réveillon ! Un incendie qui aurait pu être catastrophique sans la présence du chien de la famille. Un père Noël secret bien généreux.



Bref, je pourrai vous en lister encore beaucoup mais le mieux est définitivement de le lire. C’est plaisant d’avoir ce genre de titre à la maison, je pourrai le réouvrir chaque année et redécouvrir chaque fois ces jolies histoires de solidarité, générosité, amour, miracle, etc.
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