AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Marcel Rufo (86)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


La vie en désordre : Voyage en adolescence

Je ne connais pas fondamentalement la compétence de Marcel Rufo, mais une chose m'a beaucoup parlé dans ce livre trouvé en boîte à livres : une certaine humilité exprimée. Ici Rufo reconnaît que la psychiatrie, de manière générale mais surtout face à l'adolescence, n'est pas une science exacte. Il parle des errances passées de la discipline, des erreurs qu'il a essayé de corriger avec "La maison de Solenn". Il parle de ses propres doutes, de ses tentatives, certaines couronnées de succès, mais il n'élude absolument pas la dévastation des échecs. J'ai apprécié cette posture intelligente sur les troubles alimentaires, les tentatives de suicide. Rufo ne se pose jamais en sachant, tout juste en homme de quelques expériences et en expérimentateur. Une lecture intéressante et humaine.
Commenter  J’apprécie          00
Tiens bon !

Sept vignettes cliniques pour survoler le metier de pédopsychiatre mais aussi pour donner l'étendue des cas concrets rencontrés avec leurs singularités, l'investissement apporté à tous ces patients et les progrès apportés à cette discipline qui doit se réinventer en permanence.

Le livre date de 2011 et donc on peut se dire que depuis, chaque jour apporte son lot de maladies mais aussi de découverte et d'espoir.
Commenter  J’apprécie          101
Élever son enfant : 0 à 6 ans

On m'a offert ce livre à la naissance de mon aînée en 2016, je l'ai alors lu dans le "bon ordre", au fut et à mesure de son évolution, pour m'enrichir sur le développement d'un enfant et répondre à mes questions de jeune maman. Puis je l'ai consulté au gré de mes interrogations, en fonction d'un thème précis et il m'a aidée, rassurée.

Après la naissance du deuxième je n'en ai plus eu besoin, je me sentais armée.
Commenter  J’apprécie          00
Frères et soeurs, une maladie d'amour

On devient adulte quand on a pardonné à ses parents

Johann Wolfgang Von Goethe.

Il y a des professions qui se dessinent précocement, il en est ainsi pour Marcel Rufo, qui se moque bien de son Œdipe envers sa fille unique, comme il a été lui même un enfant unique profondément aimé par ses parents, issu d'un milieu extrêmement modeste, et cerise sur le gâteau : riche d'une enfance douce et heureuse. Certes, un médecin pédopsychiatre émérite et reconnu, mais avant tout un père totalement investi dans sa vie privé, il se comporte avec ses jeunes patients comme quelqu'un de famillier, sachant allier le dialogue, instaurer la confiance, une certaine tendresse vigilante...sans rien lâcher, à l'écoute de quelque chose qu'il n'aurait peut-être pas saisi dès les premières consultations. Il interroge tout en s'interrogeant sur ses propres fondements ; selon les cas qui lui sont présentés avec la possibilité de résoudre les problèmes

Commenter  J’apprécie          30
Oedipe toi-même ! : Consultations d'un pédopsyc..

Des exemples intéressants.



Loin de tout dogmatisme, Rufo nous expose avec simplicité sa façon de soigner des patients, enfants ou ados. Chaque cas est unique, alors c’est lui qui s’adapte et il le fait de son mieux, avec des résultats souvent bons mais parfois aussi des erreurs qu’il explique honnêtement.

Commenter  J’apprécie          00
Tout ce que vous ne devriez jamais savoir s..

Encore un livre d une boîte à livre c est parti



J avoue je suis dure dans ma note . Mais je vais m expliquer .

Le livre est divisé en plusieurs parties traitant toujours de la sexualité de la naissance à l adolescence .

Marcel rufo va parler de l attirance , du viol et autres attouchement , de l homosexualité, des transgenres et autres sujet sexuel .

Certaines de ces informations et éclaircissements sont véridiques et interressantes mais je trouve qu il fait bien trop de généralités, de clichés et tient des propos que je dirais scandaleux . Après je suis féministes et totalement contre l homophobie .

Maintenant je vais donc vous expliquer pourquoi ce livre m à énerver au plus au point malgres de très bon élément .



L homosexualité : décrit comme perverse ( ce sont ses dires pas les miens ) l homosexualité se diagnostiquerait quand l enfant commencera à vouloir faire de la danse , jouer avec des poupées et autre sport et activité typée « filles » apparement quand le petit garçon voudra une poupée il faut lui dire non ou alors lui en donner une bien masculine tél que ken ou Spiderman . Et c est cette pensée là pendant le long du livre des qu on aborde le sujet .



Les secrets : apparement pour que l adolescent deviennent mature , il faut qu il cache des choses à ses parents sinon c est encore un petit enfant .



Sexe fort : cela n est évoqué qu une fois dans ce roman mais rien que le fait qu il soit présent est une aberration . Le sexe de l homme est fort c est lui qui pénètre et c est lui qui viole et celui de la femme est faible elle est pénétrée et violee



Normalité : il est bien et normal qu un garçon joue au foot , le fait qu il fasse de la danse et bien plus problématique. Idem pour les filles.



Enfin bref que d exemples tél que ceux la . Évidemment il apporte quelque nuances mais bien trop faibles à mon goût .



Un livre non sans intérêt mais que je ne recommanderait pas .

Commenter  J’apprécie          610
La vie en désordre : Voyage en adolescence

Dans cet ouvrage, l'auteur évoque beaucoup "La maison de Solenn" créée surtout pour venir en aide aux adolescentes anorexiques mais qui réserve des lits pour d'autres pathologies.

Ce livre est une étude de cas bien particuliers d'adolescents confrontés à des difficultés psychiques parfois liées à des pathologies (cancer, diabète, ;;;). Le praticien évoque des cas cliniques qu'il a pu rencontrer tout au long de sa carrière, il parle aussi de ses maîtres, professeurs de médecine, dont l'humanisme a su l'interpeller. Marcel Rufo réfléchit aussi au suicide, au passage à l'acte et va jusqu'à mettre en avant sa responsabilité, vivant cela comme un échec personnel.

Beaucoup d'empathie dans ce livre, l'impression que le médecin est très proche de ses patients, pas seulement par l'écoute mais aussi par un lien affectif.

Un médecin qui sait se remettre en cause, et qui ne croit pas que le but est atteint une fois pour toute. Ceci, il l'exprime très bien au tout début de sa "Conclusion provisoire" : Je me souviens de l'un de mes maîtres qui, à un âge avancé, disait toujours : "Au stade où j'en suis de ma formation..." A l'époque, jeune interne pressé de montrer qu'il savait déjà tout, je le trouvais un peu ridicule dans sa posture d'éternel apprenti, et je le soupçonnais de fausse humilité. A présent, je le comprends et je pourrais prendre à mon compte les mots qu'il prononçait. Ma formation est loin d'être terminée. Le sera-t-elle jamais? Je sais qu'on n'en finit jamais d'apprendre.

Oui, on n'en finit jamais d'apprendre... C'est aussi la raison pour laquelle, même si notre adolescence est très loin derrière nous, il est bon de lire de tels ouvrages, qui soulèvent parfois le voile sur un lointain passé ou nous font mieux appréhender les jeunes que nous rencontrons avec leurs doutes, leurs attentes, leurs fragilités...
Commenter  J’apprécie          290
Autoportrait en thérapies

Marcel Rufo parle peu de lui même ou du bout des lèvres... Un gars du Sud pas fanfaron et dont le grand cœur résonne dès qu'il parle de ses patients, de ses rencontres. Il nous ferait presque croire qu'il ne fait rien ou pas grand chose, juste une oreille tendue, un mot par ci par là... Des fois ça leur permet d'aller mieux parfois non, ça ne marche pas toujours. Il semble souvent croire que ses patients en savent plus que lui. Qu'ils sont attachants lui, eux, leurs histoires, leurs fragilités, sa douceur, sa chaleur, son humanité toute empreinte de modestie. Je vous lis beaucoup Monsieur Rufo. Vous avez été un guide pour moi concernant l'éducation de mes enfants. Vous lire est toujours un grand plaisir, continuez à nous parler de vous, à nous parler de vos rencontres. Merci de partager cela avec nous.
Commenter  J’apprécie          11
Oedipe toi-même ! : Consultations d'un pédopsyc..

"J'ai rencontré les psychiatres. Ils croient avoir la science infuse, tandis que moi, j'ai la science confuse". Laurent Seksik.





Marcel Rufo, pédopsychiatre de Marseille, utilise un langage simple pour nous parler d'enfants malades.





De ses doutes, ses succès et ses échecs...

A 12 ans, le petit Marc a passé 3 ans, entre les mains de Marcel Rufo, et le psychiatre a préféré renvoyer son patient, sans pouvoir le "guérir".





Ils se retrouvent à un carrefour, beaucoup plus tard, par hasard.

- "Rufo, ne bouge pas, j'ai un cadeau pour toi."Crie un jeune homme.





Une superbe tarte aux pommes!

-"C'est moi qui l'ai faite, je te la donne, je suis le meilleur pâtissier de France."

Cette tarte, Marc aurait pu me l'envoyer au visage, pour me remercier de "mes bons services passés"...





La rencontre avec un pâtissier a été plus bénéfique pour lui que la rencontre avec un psy... Fait Marcel Rufo, avec humour.





C'est pas fini, peuchère !

Il analyse d'autres cas comme "T'es pas un docteur."

"J'ai tué mon fils" et "Michel, l'enfant malade que j'aurais être."





"Ce psy (il s'agit de Marcel Rufo) m'a encore parlé de ma problématique œdipienne, il ferait mieux de regarder la sienne":)
Commenter  J’apprécie          926
Autoportrait en thérapies

Suivre une thérapie, c'est (entre autre) se livrer entre paroles et silences.

Une thérapie, quelque soit l'âge du patient et du thérapeute, c'est une rencontre.

Et, comme dans toute rencontre, il y a interrelation. S'il est acquis que le thérapeute influe sur le patient, il est plus rare de s'intéresser à ce que la patient fait naitre ou remue chez le thérapeute.

C'est donc cet aspect de la thérapie qu'aborde Marcel Rufo dans ce livre. Au travers de plusieurs cas cliniques, il se livre à son tour sur celui qu'il est, celui qu'il est devenu et sur son parcours.



Merci aux éditions Anne Carrière pour cette lecture passionnante dévorée en quelques heures à peine.



Commenter  J’apprécie          30
Grands-parents : A vous de jouer

J'avoue que pour une fois je reste un peu sur ma faim avec cette lecture dont j'attendais beaucoup. La présentation me gène, ces prétendues lettres que l'auteur rédige à l'attention de ses petits-enfants imaginaires, et aussi le fait que le texte soit largement autobiographique. Je préfère que Marcel Rufo s'en tienne à une forme plus classique, à savoir s'appuyer sur ses rencontres cliniques. Par ailleurs, il me semble qu'il mette en avant un prototype de grands-parents, ceux qui sont ouverts, à l'écoute de leurs petits-enfants, tolérants, ne s'immisçant pas dans l'éducation mais donnant seulement de précieux conseils, ceux aussi qui sont assez intelligents pour ne pas imposer leur volonté et donner aussi leur avis sur les couples parents des dits petits-enfants. Il faut posséder assez de sagesse et aussi d'humilité me semble t-il pour devenir un grand parent acceptable, et tous les gens ne possèdent pas obligatoirement ces qualités. Beaucoup de situations sont abordées, (le petit-enfant malade, le petit-enfant dont les parents se séparent, le petit-enfant en échec scolaire, le petit-enfant s'essayant au cannabis, le petit-enfant homosexuel, le petit-enfant adopté...) mais les thèmes sont traités sur un nombre de pages très restreint et donc pas assez développés à mon goût. Un peu déçue par cet ouvrage.

Commenter  J’apprécie          170
Détache-moi ! : Se séparer pour grandir

Lorsque nous naissons nous ne formons qu’un avec notre mère. C’est ce que la psychologie nomme le temps de la fusion. Puis nous grandissons et il faut nous séparer de la femme qui nous a donné la vie. A travers détache-moi : se séparer pour grandir, en étayant son propos grâce à ses patients, le docteur Marcel Rufo montre comme il est difficile de se séparer sans peine et pourquoi cette séparation fait naitre un nous un terrible sentiment d’abandon. La vie n’est qu’une suite de séparations et de pertes (animal de compagnie, personne de sa famille, moment de la vie, école…), à nous de saisir dans chacun de ces moments, une occasion pour grandir et en faire une force.



Pédopsychiatre, Marcel Rufo écrit, dans un style très fluide et très simple, un livre sur nos fragilités et nos blessures qu’il regarde avec empathie, bienveillance et amour, autant pour les parents que pour les enfants.



Un livre à lire absolument car il nous éclaire sur nos blessures d’enfants qui sont le résultat de nos comportements d’adultes. Un livre sur l’importance du détachement pour grandir sereinement.
Commenter  J’apprécie          30
Frères et soeurs, une maladie d'amour

1508
Commenter  J’apprécie          00
Frères et soeurs, une maladie d'amour

Voici un livre qui n'apporte pas grand chose à ses lecteurs. C'est un ramassis d'anecdotes des consultations de l'auteur suivies de ses commentaires. Il m'a semblé souvent enfoncer des portes ouvertes et je n'ai pas vu grande théorie ni même petite leçon à tirer de ses observations... Bref, je n'ai pas retenu grand chose de cette lecture occasionnelle que j'ai dû abandonner mais sans regret.
Commenter  J’apprécie          90
Tiens bon !

Un ouvrage qui n'a pas beaucoup d'intérêt tellement il survole chaque récit. Plutôt des considérations personnelles qu'un livre dans lequel on peut se reconnaître malgré ce qu'il nous écrit dès le départ... profondément déçue. Il a fait beaucoup mieux.
Commenter  J’apprécie          00
Passeurs de rugby

Aaaaaaaaaaaah ! Le Rrrrruby ! ( avec l'accent rocailleux du sud ouest, style Jean Lassalle, candidat à la présidentielle 2017 )

Christophe Schaeffer ( philosophe ) et Marcel Rufo ( pédopsy ) sont deux anciens joueurs qui dialoguent sur la philosophie du rugby, la "philovalie", et son évolution depuis sa création, quand en 1823, lors d'un match de foot, William Ellis prend la balle à la main, dans la ville de Rugby ( Angleterre )....

.

La culture rugbystique comporte ses légendes historiques, qui sont surnommés comme des héros d'enfance : Peter Pan, Dark Destroyer, le Mongol, Casque d'Or ( Rives )...

.

Mais l'ovalie est surtout une culture par son aspect moral collectif et généreux : "la passe", d'où le titre, son côté "respect" quasi religieux, son aspect jeu qui lutte contre le sérieux du monde de l'argent, et sa troisième mi-temps où "l'on refait le machhh " !

Au rugby, on met en avant l'aspect collectif, et le commentateur Roger Couderc, le "seizième homme de l'équipe de France" dont je me rappelle la voix, insistait :

"Allez les petits !" Ils étaient presque tous plus grands que lui !

Les auteurs ne font aucune comparaison avec le foot, mais insistent sur l'impératif de la passe, geste généreux, de l'essai qui est un mouvement collectif, dû à l'origine à la poussée du pack en mêlée pour la "conquêteuh du ballon", ce n'est pas un exploit individuel. La passe, c'est le don, la générosité... et celui qui ne comprend pas ça, qui essaie d'aller marquer seul dans l'en-but, comme incapable de se séparer de son doudou, se fait rappeler à l'ordre par toute l'équipe, et n'a plus qu'à aller se rhabiller ! Il doit grandir dans sa tête, et DONNER, PASSER après avoir fixé pour créer l'intervalle ! C'est surtout le geste technique qui compte : c'est tellement riche et divers au rugby : cadrage-débordement, passe vrillée, passe sautée, passe dans le dos, et les deux trucs que j'adore chez les All Blacks : passes après plaquage, et passes-volley-ball !

Il y a aussi l'aspect presque religieux dans cette philosophie rugbystique : on va au stade comme au temple, Twickenham est "le temple du rugby". En France, c'est Le Parc des Princes, et les auteurs le regrettent, accusant la froideur et la distanciation au Stade de France.

Religieux aussi, le respect de l'arbitre, quand les colosses qui ont un carton quittent le jeu la tête basse.

Religieuse, l'attitude du talonneur, comme un Christ martyr les bras en croix sur les épaules de ses piliers, qui doit talonner le ballon malgré le choc des 900 kg du pack adverse.

Enfin, le rugby est un jeu plus qu'un sport, et au coup de sifflet final, l'agressivité des "ogres" (piliers ), des "géants" ( deuxièmes et troisièmes lignes ), le talonneur, la "charnière", les trois quarts et l'arrière font la haie d'honneur aux adversaires, qu'ils aient perdu ou gagné.

Parce que c'est ça aussi, le rugby : comme dans la population, il y a des petits, des gros, des grands, des rapides, chacun a son poste, sa spécialité : tous sont complémentaires !

Et alors, la troisième mi-temps, c'est aussi le plus savoureux, et ça soude la "famille-rugby" : autour d'une bière, au bar du club, les joueurs et les supporters, on analyse, on décortique, on refait le match, on parle, on crée du lien social : parler, c'est créer du lien social !

A la fin du livre, les deux auteurs parlent des filles, ces warriors, mais trop peu à mon goût : )

.

Vous l'avez compris, j'aime l'ovalie. Comme pour nos deux auteurs, c'est mon père, la TV et Roger Couderc qui m'ont sensibilisé à la beauté de ce jeu. Narbonne aussi, où j'ai passé mon adolescence : un jour, je me suis retrouvé dans le centre-ville face aux quatre frères Spanghero : des armoires à glace ! Je me souviens aussi un jour à Narbonne, chez le coiffeur, à l'heure du match, il arrête de couper les cheveux, et on est tous plantés devant la TV !

Etudiant, j'avais peur du contact. Bien plus tard, je m'y suis remis, car ça ne vous lâche pas et "ils" sont tellement accueillants. J'ai joué dans les vétérans, et j'ai entraîné des jeunes.

Prof, j'ai appris aux filles à s'engager. celles qui ont compris sont étonnantes, n'ont pas peur des garçons, vont au contact, et vont même marquer. C'est, je pense, une école de la vie, et j'espère, grâce au rugby et aux sports de combats que je leur ai enseigné (combien ai-je eu d'élèves ? ), qu'elles ne feront pas partie des femmes battues...

Commenter  J’apprécie          256
Grands-parents : A vous de jouer

Le professeur Marcel Rufo est un personnage médiatique. Le grand public lit ses livres centrés sur la pédopsychiatrie. J'ai eu l'occasion d'en lire quelques-uns. Etant un grand-père impliqué dans l'éducation de ses petits-enfants, j'ai voulu lire cet ouvrage. J'en attendais une analyse fine et systématique du rôle que je suis amené à jouer. M. Rufo commence par décrire, en détails et avec affection, sa propre grand-mère, une femme qui était extraordinaire: cet élément autobiographique ne m'a rien apporté, à moi personnellement. Ensuite, l'auteur donne une série de conseils aux grands-parents à travers une correspondance imaginaire; mais je n'ai pas non plus été conquis par cette seconde partie, ce n'est pas ça que j'espérais. Grosse déception donc, mais M. Rufo a fait mieux par ailleurs.
Commenter  J’apprécie          80
Oedipe toi-même ! : Consultations d'un pédopsyc..

Ce livre répond à des questions que je me suis déjà posé : Faut-il dire toute la vérité aux enfants sur leurs origines ? Comment gérer l'aîné à l'arrivée du second enfant ? Comment se construit l'identité sexuelle ? A quoi servent les symptômes et faut-il les guérir à tout prix ?...

Marcel Rufo, fort de ses trente-cinq ans de pratique de la pédopsychiatrie nous livre des récits qui sans tomber dans une trop grande technicité nous édifient sur ces sujets délicats.
Commenter  J’apprécie          30
Détache-moi ! : Se séparer pour grandir

Marcel RUFO nous parle du lien d'attachement parents/enfants. Vaste sujet. Mais il le fait toujours de façon claire, compréhensible, avec bienveillance et sans culpabilisation des uns ou des autres. Très intéressant.
Commenter  J’apprécie          00
Frères et soeurs, une maladie d'amour

Marcel RUFO nous parle des liens de fratrie dans ce livre qui sont loin d'être simples ! Il le fait avec bienveillance et surtout sans culpabiliser personne. A conseiller aux parents. C'est une lecture éclairante.
Commenter  J’apprécie          10




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Marcel Rufo (976)Voir plus

Quiz Voir plus

La Boîte à Merveilles

Quel est le vrai nom de l'auteur ?

Ahmad Safrioui
Sidi Mohamed
Mouhsine Raissouni
Ahmed Sefrioui

30 questions
562 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}