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Critiques de Maria Ernestam (378)
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Toujours avec toi

des secrets, le vent qui souffle sur une île suédoise, des rosiers ...
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Toujours avec toi

Maria Ernestam entraîne son lecteur dans ce récit captivant de deux suédoises à deux époques différentes sur fond de secret de famille. Un livre original et touchant.
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Les oreilles de Buster

Récit intimiste. Passionnant et très beau.
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Les oreilles de Buster

Je dois l'avouer, pour moi, cette lecture, que j'avais hâte de commencer, fut quelque peu décevante et elle n'a pas été à la hauteur de mes espérances. J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire, cependant ce n'était pas complètement inintéressant à mon sens puisque je n'ai pas pu m’empêcher d'aller jusqu'au bout pour connaitre la fin. Les révélations distribuées tout au long du roman y étant très certainement pour quelque chose... Ma plus grosse difficulté a, je pense, été le style de l'auteur, mais je ne saurais vous dire pourquoi exactement, je n'ai tout simplement pas adhéré.

Sur le fond, comme je le disais, nous sommes face à un roman plutôt intéressant qui aborde essentiellement une relation mère-fille débordante à la fois de haine et d'amour. Le lecteur se trouve plongé dans l'histoire personnelle d’Éva qui fut assez traumatisante, plongé dans un récit à la fois bouleversant et remplit de cynisme, mais aussi parfois drôle. En bref, je ne le déconseille pas, mais pour moi, ce ne fut pas une réelle partie de plaisir.
Lien : http://desflaneriesetdesmots..
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Le Peigne de Cléopâtre

Ca commence comme une farce : les trois amis montent une boîte Le Peigne de Cléopâtre, en vague référence à une antiquité du British Museum, avec l'idée d'aider les gens à résoudre tous leurs problèmes. Jusqu'au jour où la farce tourne vinaigre, quand une cliente entend par "tous problèmes" l'assassinat de son mari, harceleur et maltraitant. A partir de là, tout dérape et la farce tourne au thriller.



L'intrigue est très bien ficelée pour nous balader, nous faire croire que "youpi, on a tout compris !" Eh bien, pas du tout... Maria Ernestam nous piège, nous fait suivre de fausses pistes, tout en mettant à jour les blessures que la vie a infligées aux trois héros. Finalement, les uns et les autres ne savaient pas grand chose de leurs amis et ce n'est que dans le dernier tiers du roman que les visages se dévoilent. J'ai beaucoup aimé être ainsi surprise et entraînée là où je ne pensais pas aller !



C'est bien écrit, suffisamment addictif pour qu'on ne lâche le livre sous aucun prétexte -cuisine, boulot et autres menus détails du quotidien !!! Un roman que je recommande chaudement.
Lien : http://la-clef-des-mots-e.mo..
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Les oreilles de Buster

Un récit captivant dans le fond mais la forme lasse dans une certaine mesure par une trop grande description des lieux et de la nourriture! on a compris le thé et les tartines...
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Les oreilles de Buster

Un récit captivant dans le fond mais la forme lasse dans une certaine mesure par une trop grande description des lieux et de la nourriture! on a compris le thé et les tartines...
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Le Peigne de Cléopâtre

Le talent de Maria Ernestam : savoir surprendre en permanence le lecteur mais en toute amitié, sans jamais s'en moquer. Dans le plus grand respect.
Lien : http://www.actualitte.com/cr..
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Le Peigne de Cléopâtre

Le Peigne de Cléopâtre, cet objet ayant appartenu à Cléopâtre, mais une Cléopâtre qui n’était pas la reine d’Egypte. Ce peigne fascine chaque visiteur, mais si l’on prend le temps de lire la notice, la vérité éclate et la fascination avec. Il est dit p.35 "Il suffit d’un coup de pouce pour que les choses retrouvent des proportions raisonnables. Dans le cas du peigne une notice explicative. Quant aux problèmes des gens, à nous de faire en sorte que l’impossible ou, si vous voulez, qu’un phénomène magique, perde sa fascination et redevienne réaliste". Tout le livre repose sur cette idée que les apparences sont trompeuses, comme ce fut le cas du peigne au premier abord, et l’auteur joue de cela à merveille. Cela s’applique aussi bien à la résolution des requêtes qu’on leur soumet, qu’à ce qui lie nos trois associés. En effet, Anna, Mari et Fredrick sont très proches, mais paradoxalement ne se connaissent pas. Chacun cachent une part d’ombre, chacun garde ses secrets d’enfance, et si chacun s’interroge de ce fait, ils restent secret malgré tout. Mais nous, lecteurs, nous sommes spectateurs, nous observons et apprenons à les connaitre. Et nous sommes face à des personnages torturés, blessés, que les différentes affaires vont mettre à rude épreuve moralement.

Que dire de plus, si ce n’est que j’ai passé un très bon moment avec ce livre. J’ai notamment aimé le jeu de faux-semblant, la manière dont l’auteure façonnent ses personnages avec leur part d’ombre et de lumière.
Lien : http://aucafelitterairedecel..
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Les oreilles de Buster

Bien que dès le départ, la narratrice plante le décor et avoue avoir tué sa mère, on ne lâche pas le livre tant que la dernière page ne soit en vue...
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Les oreilles de Buster

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Les oreilles de Buster

Eva est constante dans sa détermination, à tous les âges de sa vie, à 7 ans, à 17 ans et jusqu'à 56 ans, quand elle écrit son journal. Elle cherche sa vie, une vie à elle, où elle peut éprouver des sentiments qui lui apportent du bonheur. Elle est en révolte contre sa mère lunatique, dérangeante, dérangée... et pourtant, elle craque pour elle, malgré les critiques constantes à son égard. Sa mère la rabaisse dès qu'elle le peut. Par jalousie ou par égocentrisme ? Quelques fenêtres s'ouvrent à Eva qui croit alors atteindre cette maman qui lui manque tant. A genoux devant elle, en pleurs, elle la supplie. Mais rien n'y fait.

Ce livre m'a beaucoup plu. Je le trouve très bien écrit, il se déroule d'une manière régulière, l'histoire est très originale, la plupart des personnages très attachants. Tout y devient une évidence.

J'ai bien envie de lire le premier ouvrage de Maria Ernestam.
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Les oreilles de Buster

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Les oreilles de Buster

ce roman laisse un étrange sentiment......... à la fois l'étroite relation/compréhension d'une grand'mère avec sa petite fille et le malaise né d'un retour sur sa vie qui explique/justifie un(des) assassinat(s) et le comportement qui va avec...Avec, sans en dévoiler la fin......un "compagnon" de route pour le moins surprenant !

Le tout dans un style sans fioritures et agréablement écrit.

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Les oreilles de Buster

Un livre émouvant mais déstabilisant à certains égards.
Lien : http://www.actualitte.com/do..
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Toujours avec toi

Qui nous amène à réfléchir sur la droiture des personnages... J'ai adoré être la confidente de tous ces personnages !
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Toujours avec toi

Histoires croisées de famille, de deuil mais d'amoir avant tout.



Un roman qui nous tient et laisse un beau sentiment.



Une construction tres originale avec en fil rouge la seconde guerre mondiale du pont de vue suedois.
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Toujours avec toi

Inga est une photographe de talent reconnue. Elle a Peter, son fils de vingt-ans, qui fait des études de médecine. Elle a un mari Mårten, lui aussi parfait : il l'aime, il la rassure et la réconforte. On est dans un roman donc tout va basculer.



Izabella, sa galeriste, lui dit que ses photos sont peut être un peu trop parfaites, qu'elle manque de naïveté et de spontanéité. Inga s'apprête déjà à en parler à Mårten pour qu'il puisse situer ce petit malheur dans les grands malheurs du monde. Elle rentre donc chez elle où arrive un pasteur. Il vient lui apprendre la mort de Mårten par une crise cardiaque.



Inga va mettre deux ans à vouloir se reconstruire (j'ai aimé cette idée car cela m'a semblé réaliste. On ne comprend un décès qu'après une période de flottement à mon avis, une période où l'on veut agir pour ne pas voir). Pendant deux ans, elle travaille moins mais toujours, fait des photos, des expositions ... Mais ensuite elle s'effondre et se réfugie dans la maison familiale de Marstand, rendue accueillante par Nikklas un ami d'enfance (qui a une fiancée). Elle décide de faire du rangement dans la remise après quelques jours de repos. Elle trouve un dossier où il y a des articles de presse sur la première guerre mondiale et en particulier la bataille du Jutland. On découvre en particulier que cette bataille a envoyé plein de cadavres de soldats morts sur les plages d'Europe du Nord. Il y a aussi une lettre adressée à la grand-mère d'Inga, Rakel, par une missionnaire en Afrique, faisant allusion à une nuit où elles se seraient substituées à Dieu. Commence alors pour Inga une recherche pour comprendre fameux secret, qui elle le pense va l'aider à se reconstruire.



La narration se fait alternativement par Inga, en 2007, et Rakel, en 1959 (sur son lit de mort : elle est morte d'une leucémie une semaine avant la naissance d'Inga). Ainsi, on a l'enquête d'Inga mais aussi la jeunesse heureuse dans une ferme (le premier étage étant une salle de prière) et la vie de jeune femme de Rakel : son amitié avec Léa, ses relations amoureuse avec Anton, qui est en fuite permanente à la faute d'un meurtre, avec Jakob, qui travaille pour payer à sa sœur une chaise roulante. On fait aussi la connaissance de la famille Otto, la famille dans laquelle Rakel sera bonne avec Léa.



J'ai beaucoup aimé ce livre pour deux raisons : l'originalité et la bonne construction de l'intrigue mais aussi pour le ton reposant du livre. En effet, pour ce qui est de l'intrigue, aucun personnage, aucun détail n'est superflu. Le thème de la Première Guerre mondiale, vu de l'arrière et d'un pays neutre, est rarement abordé : c'est ce qui rend à mon avis ce livre si particulier. Pour le ton, c'est simple : vous suivez l'intrigue sans que l'on cherche à vous faire ressentir des émotions. On vous raconte c'est tout. Cela donne un livre qui n'a rien de calculer et qui est profondément original.
Lien : http://cecile.ch-baudry.com/..
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