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Critiques de Marie-Laure Hubert Nasser (64)
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La carapace de la tortue

J'ai vraiment eu l'impression de lire un vrai plagiat de l'Élégance du Hérisson de Muriel Barbery, le style de Barbery en moins.

Le titre m'avait déjà évoqué l'Élégance du Hérisson, mais la quatrième de couv' semblait annoncer quelque-chose de tout de même un peu différent. Et pourtant :



- même cadre : un immeuble cossu au 7 d'une rue huppée (Bordeaux ici, Paris pour l'Élégance),



- même héroïne disgracieuse qui n'a pas fait d'étude mais lit beaucoup, est très cultivée, et surtout cherche à vivre cachée du monde,



- même histoire : la rencontre de cette héroïne avec deux êtres vont la faire sortir de sa bulle et l'aider à s'épanouir : Claudie et Richard ici, Paloma et Kakuro Ozu pour l'Élégance.



- même final :



- même épilogue d'espoir :



Je met une étoile et demie parce que je n'ai pas lu ce livre sans déplaisir, mais j'ai vraiment été gênée tout au long de ma lecture et de plus en plus au fur et à mesure que j'avançais par la similitude des deux histoires. Je ne cessais de me dire qu'à un moment on allait bifurquer, mais non, pas de bifurcation, au contraire, plus on avance, et plus ça se ressemble.



Et il faut quand même reconnaître qu'on ne retrouve pas ici une grande partie de ce qui fait la beauté de l'Élégance du Hérisson : le merveilleux style de Muriel Barbery et son amour pour la langue française.



Pour résumer, si vous n'avez jamais lu l'Élégance, c'est une petite histoire sympathique, pas désagréable à lire. Si vous avez lu l'Élégance, je vous conseille plutôt de passer votre chemin.

















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On rêve, on vit, on aime

On tourne la dernière page à regret, espérant passer quelques heures encore en leur compagnie. Des personnages attachants, imparfaits, mais qui se rencontrent vraiment, qui savent, peut-être par leur âge, que s'observer c'est déjà s'aimer. Une écriture vive, percutante, qui met en lumière les liens amicaux, amoureux, le regard que l'on porte sur soi, les autres, sans concession, avec une étonnante lucidité, comme si l'auteure savait décrypter l'humain dans ce qu'il a de plus profond, de plus beau et parfois aussi d'inavouable... Un livre qui réconcilie, avec une humanité sensible et touchante, faisant partie d'un grand tout.
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Semblant sortir du noir

Semblant sortir du noir de Marie-Laure Hubert Nasser est un livre composé de quatre nouvelles.

Tout d'abord un vrai coup de cœur pour la couverture que je trouve très belle. Elle est apaisante, reposante avec une sensation de légèreté.

Puis en ouvrant le livre, ce n'est pas un mais deux marque-pages que je trouve dont un qui reproduit la couverture ce qui est une très bonne idée.

Lorsque je commence à lire le livre, je suis surprise par la présentation du texte qui n'occupe pas forcément toute la page surtout pour la première nouvelle.

Dans ce livre, l'auteure nous raconte la vie de personnes différentes dont la destinée n'est pas celle à laquelle elles s'attendaient. Des personnes que nous pourrions avoir dans notre entourage. Les thèmes abordés ne laissent pas indifférents et portent à réfléchir.

J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce livre de lecture facile. Je me suis laissée emportée par l'histoire de chaque nouvelle.

Un livre que je recommande!


Lien : http://scoobydu41.over-blog...
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Spleen Machine

D'un côté, une mère carriériste emportée dans une folle course à la réussite professionnelle.

De l'autre, une adolescente délaissée emportée dans une folle course à la mort.

Une compétition qui ne fait que des perdants.

Deux destins qui se frôlent sans presque jamais se toucher.

Deux âmes qui passent à côté de leur vie.

Un roman remarquable sur les difficultés de l'amour filial.

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Spleen Machine

J'ai offert ce livre à ma fille ado (16 ans bientôt) et elle a tout de suite, avant même la lecture, été séduite par les références musicales en marge des pages. Musiques qu'elle connaissait pour la plupart et qu'elle a adoré ré-écouter en lisant les chapitres concernés. Elle m'a expliqué avoir aimé cette interactivité. Le fait que les musiques lui permettaient de mieux cerner le personnage principal d'Alix, de mieux rentrer dans son monde, qui est aussi le sien.

L'autre chose qu'elle a souligné, est le fait que l'héroïne, loin d'un stéréotype, fait bel et bien partie de ces ados qu'elle côtoie tous les jours au lycée. Ces "popu" que tout le monde admire et à qui tous aimeraient ressembler. Elle a immédiatement identifié autour d'elle les "Alix".

Preuve que l'auteur s'est parfaitement approprié les codes de cette jeunesse, ma fille m'a demandé "tu es sûre que ce livre a été écrit par un adulte ?", ce qui dans sa bouche, sonne comme un compliment.

Bref, elle arrive au bout de sa lecture, et elle l'a déjà tellement partagée avec moi, que d'une part j'ai très envie à mon tour de découvrir ce roman, et d'autre part je ne peux que remercier l'auteur d'avoir jeté entre ma fille et moi ce pont, cette passerelle à un âge où tout est matière à disputes et reproches. Ce livre nous a déjà permis de jolis moment d'échanges avec mon ado rebelle, et pour moi cela n'a pas de prix. Merci.
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Spleen Machine

Comment dire... Un livre qui vous prend, vous embarque à une vitesse folle celle de la vie des personnages, de deux destins, de la vie des adolescents d'aujourd'hui et des parents de cette génération... Un livre puissant, fort qui nous pousse à notre propre analyse... Et si...si c'était moi...

Un livre qui possède un rythme fou, mais toujours juste, des mots " cash", des phrases qui pourraient effectivement sortir de la bouche d'ados mais bien choisies...pas de lourdeur...boloss est un de leus mots mais bien d'autres encore que nous peinons à comprendre parfois queque soit notre milieu social...

Des références musicales que nous ne connaissons pas forcément mais à chacun dy mettre ses propres notes musicales, le tout étant d'entendre une musique et ça fonctionne... A découvrir... Un livre d'aujourd'hui .... Bravo!!!
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La carapace de la tortue

J’ai voulu lire ce livre car sa couverture m’attirait et qu’il était à donner dans une cabane à livre.

Je ne m’attendais pas à une lecture très palpitante mais qui me ferai passer un bon moment. Quoi de mieux qu’un livre relatant la vie d’une jeune femme pour ça ?

Malheureusement je n’ai pas réussi à accrocher à ce roman et je l’ai abandonnée à la moitié.



L’auteure accentue sur le fait que la protagoniste, Clotilde, soit grosse, disgracieuse, mal-aimée etc… mais n’a jamais (ou du moins jusqu’où je suis arrivée…) décrit ses cheveux, ses yeux ou bien encore sa taille. Cela donne l’impression que la jeune femme est simplement en surpoids…



Le fait que les « 2 S » commencent par un S (logique me direz vous) et que leur prénom soit de même longueur (Sarah- Sophie) m’a fait les confondre. Peut-être que cela ne tient qu’à moi car je ne lis pas les prénoms en entier…



Certaines phrases étaient bizarrement faites, sans pronom au début. (exemple inventé mais du style: Clotilde s’allongea. Etait fatiguée de sa journée. )

C’est peut-être qu’un détail, mais accumulé au reste c’est épuisant…



Cependant, si vous faites abstraction de ses détails, je pense réellement que ce livre peut être agréable.
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La carapace de la tortue

Pardon de ne pas partager l'enthousiasme des autres lecteurs, mais ce roman est une vraie déception. On aurait pu espérer une sorte de Pot Bouille moderne, en suivant les problématiques de toutes ces familles partageant la même cage d'escalier, avec la lente ascension de cette pauvre fille mal aimée, mais il n'en est rien.

L'intrigue est navrante, l'auteur n'a, de toute évidence, pas su quoi faire de ses personnages, visiblement trop compliqués pour elle. Rien n'est abouti, aucun d'entre eux ne va jusqu'au bout . Quant à la fin... Elle se passe de tout commentaire. Cela me fait penser à une rédaction d'élève de collège : ne sachant quoi faire d'un personnage qui lui reste sur les bras, l'auteur la sacrifie pour... Quelle raison au juste ? Quelle morale dans tout ça ? Que doit-on retenir ?

Rien visiblement ...

Enfin, je le déconseille à toute personne en surpoids: je n'ai jamais rien lu de plus déplaisant et méprisant que ce livre. A croire que l'obésité ne peut être que synonyme de douleur et de dégoût de soi. Merci pour ça ...
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La carapace de la tortue

J'ai été très déçue par cette lecture. J'imaginais quelque chose de plus léger, de plus chaleureux que je n'ai à aucun moment trouvé dans La carapace de la tortue.Je n'ai pas aimé la façon dont l'auteur représente ses personnages, de manière presque caricaturale, sans compter la vision extrêmement négative qu'elle donne de son héroïne. D'ailleurs une fois qu'on arrive au journal de Clotilde, on perd de vue la plupart des personnages évoqués dans la première partie du roman. Et le dénouement... pouah ! Je n'en dirai pas plus pour ne pas gâcher le plaisir des futurs lecteurs (la grande majorité des critiques sur Internet sont élogieuses, alors je suppose que c'est juste moi qui ne suis pas le bon public pour cette histoire).Et pour ne rien arranger, le style de Marie-Laurence Hubert Nasser, syncopé et trop bavard, n'était pas à mon goût non plus.J'avoue que, dépitée, j'ai lu la seconde moitié de La carapace de la tortue en diagonale, pressée de passer à autre chose. C'est dommage car à la lecture de la quatrième de couverture, j'imaginais ce roman parfait pour moi...
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La carapace de la tortue

Alors voilà... c'est vrai qu'au début, ça a le goût d'une friandise, puis, au fur et à mesure des pages, d'une gourmandise, ensuite... ensuite, c'est un délice mais, pardonnez-moi si je ne vous dis rien de la fin, j'ai refermé le livre il y a environ trois heures et. Et, je me remets. J'ai aimé. Beaucoup. Ce livre ressemble à la vie de façon cruelle en mettant en avant tout ce qu'elle a de plus absurde.... difficile de se remettre après. Joies, injustices, tristesse et colère m'ont ramenée au dérisoire de ce pour quoi on tente en vain de respirer au bon rythme! Et j'y ai retrouvé aussi une relation ténue à la trahison, terrible. Merci encore pour cette tortue qui, je le comprends mieux à présent, manque à tous ceux qui l'ont approchée.

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La carapace de la tortue

Un ouvrage assez inclassable, tres original et plein de surprises crees par l'imagination de l'auteur.On va decpages en pages avec le plaisir de la decouverte et de la lecture et l'ouvrage se devore avec gourmandise comme une petite friandise.Un livre qui mérite le detour !
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On rêve, on vit, on aime



L’intrigue se déroule à Bordeaux, Rive Droite principalement et dans les Landes. Marianne, une veuve septuagénaire, mère de trois enfants, perd peu à peu le goût de vivre. Pas de façon spectaculaire. Elle n’est pas suicidaire. Mais elle ne s’amuse plus vraiment et se contente de regarder les jours passer dans un monde où elle ne trouve plus tellement sa place. Marianne est une bourgeoise pure crue bordelaise. Belle, aisée, sans aucun problème apparent, même ses trois enfants ont brillamment réussi et l’adorent tous les trois. Mais de quoi se plaint-elle alors ? De rien, justement. Mais elle s’endort petit à petit, il ne reste plus qu’à attendre, comme le dit l’auteure, que la poussière lui tombe dessus et la recouvre pour en faire un fossile. Eh bien, c’est sans compter sur la présence de Margot, sa meilleure amie, qui refuse de laisser la poussière tomber. Loin de là. Elle va proposer à son amie un grand ménage dans sa vie, un bouleversement, un changement radical pour renaitre et vivre ce qui leur reste de bonheur. Une maison de vie à trois. Sur la Rive Droite. Dans un endroit paradisiaque que je tairai pour vous le laisser découvrir au fil des pages. Et Marianne petit à petit retrouve goût à la vie, à l’amour aussi qu’elle avait parfaitement oublié. Le roman se termine sur une scène originale qui donne un zeste de suspens pour terminer cette jolie histoire, tout en nuance et en subtilité.



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La carapace de la tortue

Ce roman raconte l’histoire d’une jeune femme obèse qui revient dans sa région natale après quelques années passées à Paris. Elle est perdue, maladroite et s’efface devant les autres. Elle a toujours été celle dont on ne veut pas. Elle atterrit dans un des appartements de l’immeuble que détient sa tante. Cette dernière, aidée des voisines, va lui redonner goût à la vie. Elle va se prendre en main, trouver un travail, se mettre au sport… bref apprendre à vivre avec plus de confiance, le mot assurance ne pouvant pas encore être employé.

C’est d’abord sa couverture acidulée qui m’a attirée, puis le résumé et l’enthousiasme avec lequel m’en parlait la libraire. Le début était prometteur, la farandole de personnages entraînante mais bien vite les maladresses ont pris le dessus. J’ai trouvé qu’il y avait beaucoup de facilités d’écriture, que ce soit dans le style, les personnages ou l’histoire. Le dénouement final a porté le coup de grâce. J’ai tenté de me dire, que l’écriture correspondait au personnage, un peu pâteuse, bancale, sensible… Mais cela n’a pas suffi. Il s’agit d’un premier roman et l’histoire était prometteuse. Dommage.
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La carapace de la tortue

très déçue par ce livre. Je le trouve d'une banalité affligeante. Quelques belles pages mais il applique les recettes qui marchent sans réussir à être original (je pense à "ensemble c'est tout"par ex où on trouvait aussi des personnages qui cohabitent avec leurs problèmes et s'aident à aller mieux mais avec ô combien plus de sensibilité et des dialogues crédibles!) et j'imagine l'éditeur dire: "c'est la mode des noms d'animaux dans les titres de romans pour bonnes femmes, allons y pour la tortue!"

Finalement l'idée de l'auteur, très conformiste, c'est que pour se sentir mieux, et bien il faut maigrir, faire du sport, trouver un travail et s'habiller mieux! Pas besoin de lire, n'importe quelle émission de télé réalité vous dira la même chose... l'héroïne maladroite, timide et en surpoids qui aurait pu progresser grâce à sa sensibilité avec les enfants se fait finalement massacrer. Elle n'a surement pas assez maigri pour avoir droit au bonheur...

les personnages sont caricaturaux au possible: la petite bourgeoise désoeuvrée qui partage son temps entre la gym et ses amants (on a même droit à une liste)/ la vieille obèse et désagréable, mais pas tant, qui ne quitte plus son lit/ la bimbo stupide qui se laisse sauter par tous les hommes et se plaint qu'ils voient son cul pas pas son QI/ le beau black si sexy/ la business woman qui n'a pas de vie personnelle... aucune profondeur, aucune psychologie.

fin affligeante aussi: l'idée du gentil surveillant qui a protégé l'héroïne quand on l'embêtait dans la cour de récré et qui revient dans le rôle du gentil sauveur, bof... L'auteur essaie une chute pour nous surprendre à la fin mais ça ne me convainc pas du tout...
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La carapace de la tortue

si La carapace de la tortue sonne au début comme un roman feel good, féminin, mignonnet et léger, sachez que la suite est riche en surprises. loin d’être un roman superficiel, ce texte de Marie-Laure Hubert Nasser, sans prendre pour autant le chemin d’un récit profond et complexe, se révèle au final plus nuancé et bien loin des caricatures que les portraits du début laissent imaginer. J’ai beaucoup aimé le cheminement du livre, sa bonne humeur, la coté positif du début et le tournant à 180°. Ce grand écart lui donne une force et un coup de fouet qui le rendent presque inoubliable.



On saisit évidement d’emblée la critique du jugement primitif par les apparences, mais beaucoup plus de thèmes se profilent : confiance en soi, intolérance, couple à la dérive…. Marie-Laure Hubert Nasser aurait pu choisir la facilité du roman réconfortant, mais non. Et c’est tant mieux. La carapace de la tortue, un petit roman poche à glisser dans votre panier lors de votre prochain achat livre !...............................................
Lien : http://libre-r-et-associes-s..
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La carapace de la tortue

À peine entamé, on se dit : voilà un livre que je vais aimer. Et quelques pages plus loin, c’est confirmé. Une belle découverte.

Revenons à l’histoire de la pauvre Clotilde : mal aimée, grosse, empotée et qui a honte d’elle même. Lassée des méchancetés de ses parents, elle s’enfuit pour se retrouver bonne ou plutôt esclave dans une famille riche. À peine mieux. Ensuite, première bonne idée : téléphoner à sa tante pour lui demander l’hospitalité. La métamorphose va débuter.

Happée par l’histoire, j’ai aimé les personnages comme la tante acariâtre, la jeune femme sexy, les deux copines qui deviennent coach de Clotilde. On ne s’ennuie pas dans cet immeuble : une vraie ruche ! Clotilde se sent très proche du petit Léo, le dernier d’une fratrie de trois, isolé du reste de la tribu, il reste souvent coincé entre deux étages. Il aime le contact de Clotilde qui s’attache de plus en plus à cet enfant. Nous découvrirons son histoire au fil des pages.

Notre héroïne a du caractère et un cœur tendre. Excelle dans le rôle de confidente, dotée d’empathie, chacun a envie de se confier. Indispensable et appréciée de tous, la métamorphose pourra s’opérer progressivement. Pas d’inquiétude, il vous reste encore bien des éléments à découvrir dans cette histoire. Bien écrit, des pointes d’humour et une narration qui alterne entre récit et journal intime : un bon rythme qui accroche jusqu’à la fin.



Je vous encourage à lire ce texte touchant, qui questionne et continue de nous rester en mémoire après l’avoir refermé.
Lien : http://www.despagesetdesiles..
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Spleen Machine

« Glisser mon casque sur les oreilles, me perdre dans mes musiques* *Breezeblocks-Alt j »

Cette histoire m’a surprise car elle est très réaliste, forte en émotions et pas banale. Elle raconte l’histoire d’Alix, 17 ans, une jeune fille populaire qui en a assez du quotidien et de sa mère Anna qui a gravit très vite les échelons de son travail.

Ce n’est pas du tout le style de livre que je lis d’habitude mais ce livre est poignant fort ce qui fait que le suspens nous tient jusqu’au bout ! Et quand arrive la dernière phrase, on se dit que ce n’est pas possible que ça s’arrête là on veut savoir la suite... En plus, l'auteur a mis des musiques qui reflètent bien l'humeur d'Alix.

Je conseillerai à des adolescentes ou de jeunes adultes.

Un livre fort, merci Babelio pour cette découverte !
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Spleen Machine

Marie-Laure, votre livre est juste, je n'ai même pas les mots. J'ai vraiment adoré, aimé ! Votre façon d'écrire est certe spéciale mais je l'aime tellement. Étant adolescente de 17 ans j'estime que pour la partie ado vous êtes dans le vrai et pour la partie adulte vous nous faites découvrir des sensations que l'on ne connaît pas. Vous m'avez emporté dans votre histoire très touchante, j'ai eu beaucoup de mal à lâcher votre livre pour bosser et dormir ! Cette histoire est tellement forte en émotions que ça m'en a mis les larmes aux yeux et même pleurer ! Honnêtement j'ai vraiment mais réellement ADORÉ votre livre. Je le relirai a plusieurs reprise mais je me créerai une playlist pour éviter de chercher les musiques dans mon téléphone au fur et a mesure de la lecture. D'ailleurs j'ai trouvé que les musiques ont apporté un fait qui nous fait encore plus rentrer dans ce monde et dans l'univers d'Alix et ses amis. Dans les personnages j'ai en quelques sortes retrouvé mon univers à moi. Merci pour cet agréable moment riche en émotions de lecture.
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Spleen Machine

J’ai était plutôt déçue par cette lecture, même si je m’attendais à un livre pour les ados je ne pensais pas que ça serais à ce point. L’écriture m’a un peu déranger avec des termes qu’on emploi plus à l’oral comme « boloss », une façon d’écrire pour intéresser aux plus jeunes mais qui pour moi n’a pas sa place dans un livre. De plus je trouve que ça manque un peu de profondeur, le sujet, les personnages auraient pu être plus développés, travaillés… Les personnages sont également très stéréotypés, même parfois un peu trop, et j’ai parfois eu du mal à faire le rapprochement entre la musique cité et le passage du livre. Bref, je m’attendais à mieux.
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La carapace de la tortue

A mi-chemin entre Amélie Poulain et « L’élégance du hérisson », Marie-Laure Hubert Nasser explore l’âme humaine et les petits travers de chacun dans une écriture tonique et sans outrecuidance. (La vie économique - novembre 2013)
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