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Critiques de Marion Ruggieri (312)
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Ginette Kolinka, survivante du camp de Birk..





Un des plus beaux témoignages lus à ce jour. Un vrai bouleversement mais une telle force d’écriture. Une réelle leçon de vie. J’encourage tout le monde à le lire. Personnellement, jamais je ne l’oublierai. Profitons de chaque instant !
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Le journal de Yalda

Il s'agit là d'un magnifique témoignage qui m'a appris énormément de chose sur le pays que sont l'Afghanistan et ses alentours.

Je peux par avance dire que la couverture de ce livre est neutre, la photo de l'auteur nous permet d'apprendre à la connaître avant même de lire ses écrits, je trouve ça plutôt bien.



Concernant la mise en page du roman, celle-ci, étant un journal intime avant tout, journal que Yalda avait reçu de sa famille, la mise en page m'a plu, car j'ai toujours aimé les journaux intimes, même si moi-même je n'en ai jamais eu. Après tout, je n'ai jamais eu une vie aussi trépidante que notre petite Yalda !

Yalda est une jeune Afghane qui vit à Islamabad et qui,, suite aux nombreux problèmes de son pays, a eu la chance, grâce à sa mère est sa tante, Chekeba, de partir faire des études à Paris afin d'échapper au destin des femmes de son pays.



Nous suivons tout simplement la vie « pas tout à fait ordinaire » de cette jeune adolescente qui, au fil de son voyage, ne sait plus si elle est afghane ou Parisienne. Elle a deux coutumes, deux manières de vivre, de familles qu'elle aime énormément. Mais également des choses qu'elle n'aime pas dans les deux pays, comme le chat de sa famille à Paris, ou le fait d'être toujours seule, et en Afghanistan, Yalda n'aime pas les hommes et leurs manières, comment les femmes doivent se conduire, les guerres et les attentats...

Bref, grâce à se livre-j'i appris à connaître les coutumes des Afghans, comme comment se passe un mariage, et comment son placé les hommes et les femmes dans la société.



Bon, ok, étant une féministe et complètement POUR l'égalité des femmes, j'ai parfois été plus que choquées et révoltées de voir comment les femmes étaient considéré dans ce pays. J'ai parfois eu envie de hurler sur ce roman et sur la passivité des femmes du pays, qui ne voit pas du tout le problème ! C'est aberrant mais bon.



J'ai également beaucoup apprécié les petits mots touchant et le regard de Yalda concernant la France. Elle a fini par aimer la liberté que propose ce pays. J'ai aimé quand elle parlait des « gays » ou des manières de manger, qui, en regardant bien, est marrant car on sait tous que les Français sont obnubilés par les régimes ; enfin plein de petites choses qui font sourire et qui font que nous adorons notre petite Yalda.

Je ne tiens pas spécialement à donner mon point de vue sur le thème du livre, mais c'est avec des romans comme celui-ci que j'aime mon pays, et que, malgré ses défauts, permets à tout un chacun d'être ce qu'il est, comme il est.



Je trouve que c'est un livre à lire, qui permettraient déjà de calmer les crises du moment qui se passe notamment concernant le racisme et les conflits d'idéaux. C'est un livre qui nous apprend des choses, qui nous apprend à nous regarder dans une glace et qui nous montre qu'être indulgent et la clé de la liberté et du bonheur.
Lien : http://magie-litteraire.skyr..
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Le journal de Yalda

Livre très facile à lire qui nous apprend tant de choses sur la condition de la femme afghane.

Un autre point de vue après les cerfs volants de Kaboul.
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Le journal de Yalda

La vision touchante d'une jeune afghane prise entre deux cultures si éloignées suite à son séjour en France. Ce livre donne à réfléchir sur la grande distance entre culture et donc la difficulté à se comprendre. Il ne suffit pas de vouloir le bien de quelqu'un si il ne le partage pas.
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Le journal de Yalda

Je m’appelle Yalda est un livre autobiographique. Yalda Rahimi, jeune afghane de 17 ans y raconte son arrivée et sa nouvelle vie en France.

Sa famille fuit l’Afghanistan et la guerre qui y fait rage alors qu’elle est tout juste âgée de 5ans, pour aller s’installer au Pakistan.

Grâce à l’une de ses tantes qui travaille pour une ONG Franco-Afghane, Yalda se voit offrir l’opportunité d’aller étudier en France.

Chose rare, sa famille accepte de l’y envoyer au lieu de la marier, comme les traditions le veulent dans son pays.

C’est une Yalda qui n’a connu que la guerre et une vie sommaire entourée de sa famille qui débarque, « seule », à Paris.



Dans ce journal, elle raconte ses découvertes les plus drôles telles que les ascenseurs, les parkings, les escalators… toute cette technologie, tous ces aménagements propres à la culture occidentale.

Ces découvertes et la façon, honnête, dont elle nous en fait part sont attendrissantes et pareilles à celles qu’aurait pu avoir un enfant qui découvre cela pour la première fois.



Beaucoup de situations sont cocasses, comme lorsqu’elle apprend à faire du vélo ou à skier.

Dans tous ces apprentissages occidentaux, Yalda démontre une vraie force de caractère et l’on prend plaisir à la voir évoluer.

Il est aussi très intéressant de voir cette dualité qui repose en elle.

Elle vit la vie dont elle a toujours rêvé en France, mais sa famille et ses racines sont en Afghanistan. Elle se pose la question que toute personne vivant à l’étranger s’est posée au moins un jour « dois-je rester ou dois-je rentrer ? ». Le cheminement de sa réponse et de son choix est fascinant. Yalda se livre avec beaucoup de sincérité et ne cache rien de ses doutes, ses peurs, ses envies et ses rêves.



Chose que j’ai beaucoup aimé, tout le long de son journal Yalda compare les situations qu’elle vit en France à ce qu’elles sont en Afghanistan. Ainsi nous avons une comparaison du mode de vie occidental et oriental. Tout y passe, des mariages à la vie de famille, de la garde-robe aux voyages… Elle compare tout, ce qui nous permet d’avoir une compréhension encore plus grande du fossé qui sépare ses deux vies et de la complexité que peut être notre vie à nous, pour des personnes comme elle.

C’est un journal très agréable à lire. Yalda m’a fait rire et m’a émue aussi.

J’en garde un excellent souvenir, plusieurs semaines après avoir tourné la dernière page, et ça, ce n’est pas rien !

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Pas ce soir, je dîne avec mon père

au début de ma lecture, je me suis dit que les critiques étaient bien sévères. il y avait quelques phrases qui claquaient bien. Au final beaucoup de digressions,et pas moyen de lui dire de revenir à son sujet... sujet....sujet....quel est le sujet ? Elle et son père feraient la joie de Sigmund,le père se tape une minette plus jeune que sa fille, fille qu'il force à être confidente de ses exploits sexuels,la fille a un amant né le même jour, même mois, même année que son père,suivi d'un deuxième amant qui porte le prénom de papa... Tout ça est dit de façon rigolarde, on ne se fait pas une entorse au cerveau en lisant ce livre,rien que ça mérite la moyenne, ça fait du bien de ne pas se faire du mal....Mais quand même,je vais aller derechef reposer cet ouvrage dans la boîte à livres où je l'avais trouvé.Merci c'est tout ce que j'ai à en dire.
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

Je ne sais pas quoi en penser. Il y a de bonnes choses, une écriture vive qui laisse des choses en suspens et qui demande une certaine attention, ou bien il faut juste laisser flotter. Et il y a les pires choses du monde de la littérature. Beaucoup de clichés qu'on ne veut plus lire. Que je ne veux plus lire. Alors certes, il faut sans doute encore et toujours dénoncer les afflictions tributaires du patriarcat, mais bon, franchement parfois la jouer tacite c'est bien aussi.

C'est ça le truc du livre, c'est qu'à la fois il fait une certaine confiance dans la capacité, la mémoire et l'intelligence de son lecteur, et puis parfois c'est tout l'inverse, et c'en est presque insultant.

J'oublierai ce livre demain, mais en attendant, voici mon avis : si vous le trouvez, pourquoi ne pas le lire, mais si vous ne le trouvez pas, ne l'achetez pas.





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Pas ce soir, je dîne avec mon père

Merci beaucoup à marlene50 & zabeth55 de m'avoir conseillé ce livre!



"L'homme qui ne veut pas mourir", c'est totalement mon style. Peut-on vraiment leur en vouloir de désirer rester jeunes?? Ce livre défonce l'hypocrisie en général. Le prononcé est cash et très osé tout en restant correct, pas d'inceste, pas de viol, etc...



Un bouquin qui suscite beaucoup d'intérêt! Très original! Je suis retournée plusieurs fois en arrière. Je vais le relire je pense... Tout est tellement honnête et cash!



Il faut lire attentivement la page 34 sinon on peut croire à une éloge de la zoophilie !! et ce serait trop dommage car ça aurait tout gâché.



La voilà, la femme-enfant de Nietzche! Jusqu'au bout c'est une pépite !! j'avais l'impression de connaître l'auteure.

Jusqu'à la fin elle me possède xd...



La folie du temps qui passe... Le Madame Bovary du XXIe siècle. Et si vous trouvez ça tabou vous êtes un sans doute un peu réac!

(Un ptit clic sur le lien pour soutenir mon projet?? Merci...)
Lien : https://fr.ulule.com/charles..
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

Lecture franchement bizarre. Elle change énormément de mes habitues et mine de rien, ça a fait du bien. Marion est une fille de 30 ans plus que perdu. Entre son père qui veut rester jeune et n'a jamais vraiment eu le rôle de père et son fiance qui à l'âge de son père et qui agit comme un père. Marion nous raconte sa vie au travers d'un dîner pour l'anniversaire de son père, qui se révèle être aussi celui de son fiancé. Les déboires de son père plus exactement. Le texte est assez plombant, j'ai eu du mal à accrocher et pourtant, j'ai fini par m'attacher à Marion et à lire sans problème le livre. Elle parle d'une façon crue et franche sans vraiment de retenue. Et nous détaille tous. Après je n'ai pas trop compris le pourquoi de se livre. J'ai juste compris que Marion finissait par se réveiller et par réagir sur le fait qu'elle n'a pas vraiment vécu sa vie. Il a fallu une gamine de 17 ans, la copine de son père, pour qu'elle sorte en quelque sort de ses gongs et décide de changer. En même temps difficile de se créer lorsque les gens de 50 ans veulent être des gens de 20 ans.



En conclusion, une lecture plutôt bizarre et pas forcement attirante. L'ambiance du livre est plus que bizarre. En lisant le résumé, je m'imaginais autre chose que ce que j'ai lu.
Lien : http://petitemyu01.blogspot...
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

Un livre qui nous parle du conflit des génération ou comment réussir a s'en sortir quand on a un père qui refuse de vieillir!
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

Big a 30 ans, un père de 55 ans, assez encombrant, un fiancé né jour le même jour, le même mois et la même année que son père, et un amant qu'elle fait littéralement tourner en bourrique. Mais le principal homme de sa vie (et du roman) c'est son père; qui lui raconte ses aventures, partage sa sexualité avec elle, ne fait preuve d'aucune pudeur... Un père-copain plus qu'un père "classique". Un père qui lui présente sa petite amie d'à peine 18 ans le soir de son anniversaire.



Le sujet choisi par Marion Ruggieri est intéressant. Elle aborde des thèmes qui sont dans l'air du temps: les vieux qui refusent le temps qui passe, les trentenaires qui jouent aux ados, la dictature de la maternité pour les femmes à partir de trente ans, le choix d'un compagnon, la référence au père, la construction de soi par rapport à ses parents. Loin de se prétendre une oeuvre sociologique (l'ensemble n'est pas prétentieux) on est pourtant bien dans les années 2000 et ses travers. L'auteur ne tombe pas non plus, me semble t-il, dans un déballage personnel de questions existentielles. L'ensemble a donc plutôt bon fond. Par contre, ce qui est peu moins pertinent, c'est la forme. Beaucoup de souvenirs de l'enfance de la narratrice viennent à mon goût parasiter le fil du récit. Les allers retours entre passé et présent sont perturbants. On comprend bien qu'elle essaye, en nous montrant l'enfance de Big, d'éclairer son présent, sa relation aux hommes et à son père, mais cela n'est pas toujours probant.



Un premier roman prometteur donc, qui ne laissera pas forcément une trace indélébile dans ma mémoire, mais qui offre des pistes de réflexion pertinentes sur la société actuelle. Je lirais certainement le second roman de cette jeune femme, en l'espérant plus abouti et structuré que son premier essai....



http://manoulivres.canalblog.com/archives/2013/01/10/26103338.html
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

Je n'ai pas vraiment accroché avec ce petit livre, dans lequel pourtant j'ai trouvé au début quelques phrases qui m'ont fait croire que j'aimerais le ton un peu acide et au second degré de la relation vraiment particulière entre ce père et sa fille. Peut-être mon éducation a-t-elle été trop traditionnelle, ou mes relations avec mon bien-aimé papa trop conventionnelles ? Toujours est-il que j'ai rapidement trouvé ce père trop malsain envers sa fille, et les personnages peu attachants, leur coté un peu névrosé et pervers ressortant malheureusement plus que leur originalité et leur personnalité pourtant bien assise.



suite sur :
Lien : http://liliba.canalblog.com
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

Un roman pas vraiment prenant, je n'ai malheureusement pas trouvé l'intérêt de ces 200 pages.

C'est l'histoire d'un femme (ado) de trente ans qui donne l'impression de ne pas avoir tout compris de la vie.

J'ai du mal a comprendre son attitude et son point de vu. Se faire moche pour ne pas être le genre de femme que son père collectionne mais pour autant avoir comme fiancée un homme de l'âge de son père. . . ouai, c'est un peu léger, et tordu.

J'avais plus envie qu'elle se réveille qu'autre chose et la fin, décevante, courte.

Disons que si ce livre vous passe entre les mains pendant les vacances avec vos enfants qui crapahutent partout et vous empêche de réellement vous concentrer sur un roman. . . lisez le, mais si vous cherchez à lire un bon livre. . . no way.
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

Marion à la trentaine. Elle est très proche de son père, un cinquantenaire qui refuse de vieillir et qui multiplie les conquêtes avec plus ou moins de bon goût. Marion jette un regard critique sur cette génération de parents qui se veut plus jeune que ses enfants. Elle passe aussi au crible ses aventures amoureuses et ses échecs relationnels.



Pouah! Je ne suis pas contre un peu de vulgarité quand c'est justifié. Mais là, y'a de l'abus! Tout n'est que turpitude et grivoiserie! Et la finesse a été bien ouvertement abandonnée au profit du sensationnel et de la psychologie de bas étage! Pouah pouah pouah!
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

La couverture et le titre m'avait séduite. De plus les commentaires élogieux sur la quatrième de couverture m'avait conforté dans mon choix. Je dois tombé de haut en le lisant. J'ai trouvé l'histoire décousue et j'ai vraiment été déçue.
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

C'est censé être un roman sur l'âge : les vieux qui s'accrochent pathétiquement à la jeunesse, les jeunes qui ne trouvent pas leur place. Alors le père couche avec une mineure et la fille avec un homme qui pourrait être son père. Pourquoi pas ? Mais pour me plaire, il aurait fallu que les personnages soient crédibles (peut-être le sont-ils dans un petit monde parisien que je ne connais pas...) et/ou touchants. L'accumulation de clichés m'a seulement exaspérée. J'ai tenu jusqu'à la dernière page, espérant une fin qui rattraperait... raté !
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

Big a trente ans.

Elle vit avec un homme de l'âge de son père.

Père qui refuse de vieillir et multiplie les aventure avec des jeunettes.

La relation entre Big et son père est des plus ambiguës.

En quatrième de couverture il est écrit que c'est un roman « tendre et pudique »

Je l'ai trouvé plutôt malsain et indécent.

Le côté post soixante-huitard et parisianisme est indigeste.

J'ai eu la sensation de perdre mon temps à le lire alors que tant d'autres livres m'attendent.

Après coup, j'ai découvert que Marion est la fille d'Eve Ruggieri.

J'ose juste espérer qu'il n'y a rien d’autobiographique dans tout ça, ce qui rendrait ce roman pire encore que ce que j'ai ressenti .
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

Trouvé dans une boîte à livres, le titre m'avait intriguée et le nom de l'autrice me parlait (sans que je me rappelle vraiment pourquoi), j'ai donc eu envie de l'emprunter. Lu pendant mes vacances, ce livre m'a un peu laissée sur ma faim. Si j'ai trouvé qu'il se lisait facilement, je n'ai pas bien saisi où voulait en venir l'autrice, quel était l'objectif de ce roman. Son père qui ne veut pas vieillir, qui se confie beaucoup trop à elle, notamment sur sa vie sexuelle... Sa relation avec un homme de l'âge de son père... Ses souvenirs d'ado... Je n'ai pas compris l'objectif, quel était son propos. le fait que le personnage principale porte le même nom et prénom que l'autrice brouille les pistes : il est bien indiqué qu'il s'agit d'un roman, est-ce une forme d'autofiction ? J'ai été assez intriguée par cet aspect. En fin de compte, je ne sais pas trop quoi penser de ce livre qui me laisse perplexe même si j'en ai trouvé la lecture relativement divertissante.
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

La Société, ces cinquantenaires qui ne veulent pas vieillir, ces trentenaires qui se comportent comme des ados.



La maladie du Siècle, le jeunisme .



L'auteure parle sans retenue de son enfance, des rapports entre adultes, des rapports parents/enfants, de l'importance des parents pour se construire.



Elle mélange un peu tout, un peu comme un "Gloubiboulga" !!! (mélange de saveurs saucisses, chocolat .......)



Ces mots sont justes, simples, elle dit la mocheté, la tristesse, parfois c'est cliché mais n'en est il pas ainsi bien souvent, dans la vie.



Petit livre trouvé en boîtes à livres,



Finalement il vaut la peine d'être lu , même si comme le cactus il pique un peu ; mais la liberté d'écriture et son esprit critique font que c'est un livre qui se lit bien et qui interroge.
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Pas ce soir, je dîne avec mon père

Je ne sais pas trop...

La plume est bonne. J'ai adoré le style, les phrases qui percutent, la description de la psychologie des personnages est si jsute.

Mais je n'ai pas aimé cette lecture.



Le complexe d'Oedipe y prend trop de place. Il m'a dérangée.

Je suis choquée par ce père si cru devant sa fillette.

Je suis gênée par cette trentenaire qui pousse beaucoup trop loin son Oedipe. L'expression "chercher son père" est poussée a l'extrême.

J'y vois un souhait d'inceste.



Je suis peut-être passée à côté mais je reste avec une gêne jusqu'à la dernière ligne.

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