AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Mark Haskell Smith (120)


 À ton avis, c’est quoi le secret, pour être un bon amant ? »
Amado lui lança un regard.
« Le secret ? Tu ne sais pas ?
— J’ai jamais eu la prétention d’être une bête de sexe… »
Amado bloqua le volant entre ses genoux tandis qu’il s’allumait une cigarette.
« Y’en a pas, de secret, Roberto. Y’a qu’une chose qui puisse faire de toi un bon amant.
— Quoi ? »
Amado se tourna vers Bob, l’œil étincelant.
« L’enthousiasme.
— L’enthousiasme ?
— Sí, Roberto. L’enthousiasme. 
Commenter  J’apprécie          71
- L'argent ne rend pas heureux, marmonna-t-elle.
- Les gens qui n'en ont pas ne sont pas au courant, répondit Piet en lui tapotant la main.
Commenter  J’apprécie          70
- Comment ça, il vous a esquivée ?
- En faisant une putain d'esquive. Vous connaissez d'autres techniques ?
Commenter  J’apprécie          70
Vincent fixait le Hollandais assis en face de lui. Qu'est-ce qu'ils ont, ces Européens ? Ils débarquent à LA habillés pour l'enterrement d'un type branché : T-shirt noir, sweat gris, veste en cuir noir, jean noir, bottes noires et visage rouge luisant. Ce type avait l'air d'un homard déguisé en Lou Reed.
Commenter  J’apprécie          70
Une bibliothèque en disait long sur une personne ; celle-ci disait que LeBlanc n'aimait pas lire.
Commenter  J’apprécie          70
Il s'assit sur un rocher et essaya d'arracher un bout de son short. Il parvint à en déchirer un morceau assez conséquent pour se donner le look loqueteux d'un Robinson Crusoé. Il ne put s'empêcher de rire. Il avait l'air d'un participant à Survivor, l'une des seules émissions de téléréalité qui ne lui avait jamais fait envie. Qui veut aller crever de faim dans une jungle quand on peut passer ses journées à baiser dans un jacuzzi ?
Commenter  J’apprécie          60
Guus commençait à se faire une mauvaise image des Etats-Unis. D'où venait cette obsession pour les armes à feu ?
Commenter  J’apprécie          50
- L'argent ne rend pas heureux, marmonna-t-elle.
- Les gens qui n'en ont pas ne sont pas au courant, répondit Piet en lui tapotant la main.
Commenter  J’apprécie          50
Ses problèmes ne s'arrêtaient pas là. La police le recherchait. Des gens avaient été assassinés. Ce genre de choses avait le chic pour ruiner des vacances.
Commenter  J’apprécie          40
Piet avait une relation unique avec le derrière des femmes. Il n' était pas uniquement un fin connaisseur du culo, un aficionado des fesses, il avait l' impression que les culs lui parlaient, par signes, comme des sémaphores. Ils lui envoyaient des messages, ils lui donnaient des instructions, ils l' informaient sur la manière dont ils aimaient être caressés ou rudoyés. Ils le taquinaient, ils l' invitaient, ils lui racontaient leurs chagrins, leurs douleurs, leurs extases, leurs envies.
Sa capacité à lire un cul n' avait rien d' un superpouvoir : c' était une compétence développée à force d' attention.
Commenter  J’apprécie          40
" Je déteste les hôpitaux"
Commenter  J’apprécie          30
La contrefaçon, la prostitution, l'extorsion et le trafic d'êtres humains n'offraient que des revenus limités. Les drogues étaient une véritable usine à fric. Sans elles, le monde du crime perdait de son attrait. Plus de bijoux, plus de grosses bagnoles, plus de bouteilles de champagne ou de pétasses sexy. Les gangbangers avaient raison : y a que le fric qui compte. Enlevez l'argent de l'équation et la société devient vite beaucoup plus civile.
Commenter  J’apprécie          30
Shamus aurait pu sortir son flingue et le descendre sans sommation, là, devant chez lui, sur sa pelouse.Mais il aurait été obligé de déménager alors qu'il commençait tout juste à décorer son appartement.
Commenter  J’apprécie          30
Damon sortit son bandana et s'essuya le viasge. Suivre des voitures de flics ne faisait pas partie de ses activités favorites. En réalité, son objectif était de faire tout le contraire : rester le plus loin possible de la police.
Commenter  J’apprécie          30
Ils n'avaient aucune vie sociale, aucun ami en dehors du travail. Ils surfaient sur l'algorithme, ils chevauchaient les marchés pour exécuter des combines toujours plus complexes afin d'extraire le lucre du système et d'engraisser leur employeur.

Ils oubliaient de dormir et enchaînaient les nuits blanches . Ils gonflaient les résultats. Ils bouffaient des chiffres. Et une fois qu'ils étaient rassasiés et qu'ils avaient savouré leur victoire, ils allaient prendre une douche dans la salle de sport.

Ils étaient les héros de l'économie libérale, les marines du capitalisme, les heureux élus, si fiers et totalement imbus d'eux-mêmes. Les vecteurs de la culture d'entreprise dispensée par les gros bonnets d'InerFund.
Commenter  J’apprécie          30
Comme l’avait si bien dit Pablo Picasso : ‟L’art lave notre âme de la poussière du quotidien”. Tant mieux. Il aurait besoin de beaucoup d’art, car son âme allait accumuler pas mal de poussière.
Commenter  J’apprécie          30
Comme l’avait si bien dit Pablo Picasso : « L’art lave notre âme de la poussière du quotidien. »
Commenter  J’apprécie          30
- Les chiffres ne mentent jamais. Des millions de gens regardent des émissions de téléréalité. Il n’y a pas autant qui vont au cinéma ou qui lisent des livres. Comment dire… c’est notre nouveau Testament.
Commenter  J’apprécie          30
La minuscule ampoule fichée dans les tréfonds de son cerveau de Playmobil s'illumina subitement.
"J'ai un plan."
Commenter  J’apprécie          30
On ne peut pas étudier une culture à distance, il faut s’immerger pour atteindre une véritable compréhension.
Commenter  J’apprécie          30



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Mark Haskell Smith (398)Voir plus


{* *}