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Citations de Mary Higgins Clark (1048)


A neuf heures, Emily se réveilla d'un sommeil agité où elle était tombée comme dans un trou après avoir pris soin de fermer les fenêtres afin d'étouffer les bruits venant de l'extérieur.
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In my business I've observed that having one good friend can beat having a passel of relatives.
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« Le livre est terminé. Que l’auteur se réjouisse. »
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« Il y a des montagnes qui accouchent d’une souris, et d’autres qui accouchent d’un volcan. »
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« L’ambition prend aux petites âmes plus facilement qu’aux grandes, comme le feu prend plus aisément à
la paille, aux chaumières qu’aux palais. »
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"On ne sait jamais pourquoi on tombe amoureux de quelqu'un : c'est même à cela qu'on reconnaît
qu'on aime." [ Francis de Croisset ]
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Il y avait à peine dix minutes, la petite Laurie Kenyon, une enfant de quatre ans, était assise par terre en tailleur, dans le petit salon où elle jouait à placer et déplacer les meubles dans sa maison de poupée.
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Laurie franchit le vestibule sur la pointe des pieds et jeta un coup d'oeil dans la salle à manger. Maman et ses amies étaient encore en train de bavarder et de rire.
Elles ne jetérent même pas un regard à Laurie. Elles aussi étaient méchantes. La jolie boîte à musique était posée sur la table. Laurie s'en empara. La porte d'entrée était distante de quelques pas à peine. Elle l'ouvrit sans bruit, traversa la véranda en courant et s'elança le long de l'allée vers la route.
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Est-ce que tu as parlé de la fin du monde ?
Oui, et je t'ai dit que nous étions morts tous les deux. Mais t'inquiète pas, nous sommes encore en vie et la fin du monde a été annulée.
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"Nous ne pouvons pas laisser mourir cette gosse. Nos sommes des individus peu recommandables, c'est vrai, mais nous ne sommes pas des tueurs."
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Enfant, je m'amusais souvent à dessiner le genre de maison que j'aurais aimé habiter. Dans mon imagination, un de mes endroits favoris était une pièce où je passerais mes après-midi à lire. Elle contenait toujours une cheminée et une bibliothèque. Ou un canapé confortable au creux duquel je me pelotonnais, un livre à la main...
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Si chaque mot échangé durant une réunion mondaine devait être pesé et mesuré, le monde se noierait dans les banalités "
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Kerry ne mettait pas en doute ce que Smith avait écrit-la plupart des gens ne mentent pas lorsqu'ils ont décidé de se suicider
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Il y avait quelque chose de réellement effrayant chez cet homme. Ses yeux, étincelants de colère et de haine, semblaient la transpercer. S'il avait une arme à la main en ce moment, je parie qu'il l'utiliserait, se dit-elle.
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Il se souvint qu’un jour où il se plaignait de sa taille, son père lui avait conseillé sèchement : « Alors, tiens-toi droit. Rien ne vaut un maintien militaire pour donner l’impression d’être plus grand. »
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Il eut brusquement la bouche sèche et se passa la langue sur les lèvres.Elle semblait très jeune aujourd'hui avec ses cheveux tirés en arrière. Ils étaient teints en brun foncé.On l'aurait sûrement reconnue si elle avait gardé sa couleur naturelle d'un blond vénitien. Elle allait avoir trente-deux ans demain. Elle ne paraissait toujours pas son âge.Elle avait l'air incroyablement jeune, douce et fraîche et soyeuse.
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Il fut un temps où j'espérais que la suppression de la peine de mort dans notre pays pourrait devenir définitive.Mais, comme vous venez de le faire remarquer,bien avant la tragédie qui a frappé ma propre famille,j'en étais venu à la conclusion que si nous voulions protéger le droit le plus fondamental de l'homme...la liberté d'aller et de venir sans crainte, la liberté d'être en sécurité dans nos foyers,nous devrions arrêter les auteurs de violences.Malheureusement, il semble n'y avoir qu'une seule manière d'arrêter des meurtriers potentiels:les traiter avec l'implacabilité dont ils font preuve à l'égard de leurs victimes.
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les coups de klaxon impatients des voitures derrières elle l'obligèrent à se décider. Elle appuya à fond sur l'accélérateur. La voiture franchit les voies d'un bond. Puis elle dut freiner pour éviter d'emboutir la voiture qui se trouvait devant elle. " Oh, mon Dieu, aidez-moi, je vous en supplie", pria-t-elle. Hannah rebondit sur le siège ett se mit à pleurer.
Menley se dirigea vers le parking d'un restaurant et alla jusqu'à l'emplacement le plus éloigné. Elle se gara,sortit de la voiture et alla prendre Hannah dans son siège à l'arrière. Elle la tint serrée dans ses bras et elles pleurèrent ensemble.
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Les yeux brillant de larmes contenues, elle ajouta : "Je me rappelle les légendes que me racontait ma grand-mère sur les émeraudes. Elle disait que les émeraudes retournent toujours à leur propriétaire."
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Elle roulait sur cette route de campagne peu familière, Bobby sur le siège arrière. C'était une belle journée ensoleillée. Elle se sentait heureuse. Elle chantait pour Bobby à pleine voix ; Bobby l'accompagnait. Le passage à niveau non gardé. La sensation que le sol vibrait. La vision à travers la fenêtre. Le visage hagard du mécanicien. Le rugissement du train, le crissement des freins tandis que la locomotive arrivait sur eux. Bobby qui hurlait : « Maman, maman ! » Elle appuyait à fond sur l'accélérateur. Le fracas au moment où le train percutait la portière arrière au niveau de Bobby. Le train qui entraînait la voiture. Bobby qui sanglotait: « Maman, maman ! » Puis ses yeux qui se fermaient. La certitude qu'il était mort. Elle le berçait dans ses bras. Hurlait, hurlait : « Bobby, je veux Bobby ! Bobbyyyyy ! »
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