AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Michel Jeury (169)


Je décrirais une société égalitaire, tolérante et non violente, et cependant joyeuse, active, intense. Je raconterais une civilisation sans pouvoir, où rien, jamais, ne dépassait l'échelle humaine, car l'homme y était la mesure de tout. Je parlerais d'une technologie douce, tranquille, ni destructrice, ni dominatrice, vouée aux petites unités, à l'exploitation des énergies renouvelables : le soleil, le vent, la terre chaude.
Commenter  J’apprécie          00
une maison-bateau fonctionnait comme un véritable écosystème artificiel, utilisant l'énergie solaire et éolienne, recueillant l'eau de pluie, recyclant les déchets et les eaux usées, possédant son jardin potager et son bassin de pisciculture. C'était une habitation entièrement autonome pour une ou deux familles ou une petite communauté.
Commenter  J’apprécie          00
À Se Jonoem, on utilisait l'argent, ou ce qui en tenait lieu, seulement pour les transactions avec l'extérieur. Et dans le village, les dettes n'étaient même pas personnalisées. Les quelques verres que nous avions bus, c'est la communauté entière qui les devait à la fermenterie.
Commenter  J’apprécie          00
Je comprenais mieux l'origine de la "coutume", le fait et le mot. Ceux qui se montraient habiles à un métier et y prenaient goût avaient généralement pour habitude, pour coutume de le pratiquer régulièrement. Parfois, ils cessaient d'être des aides pour devenir Coutumiers. Alors ils s'en allaient pour rejoindre un groupe, un clan de même coutume.
On appelait "aides" au Yonk ceux qu'on nommait "sans-coutume" au Serellen.
Commenter  J’apprécie          00
Rue de Justice vivent les délinquants, les criminels, les pervers... Mais il y en a peu. Enfin, tous les gens qui ont été condamnés à une peine de résidence dans le Hall du fond. Il y a aussi ceux qui se sentent coupables d'une faute quelconque et qui veulent expier volontairement. Il y a ceux qui veulent aider les prisonniers en vivant avec eux. Il y a encore ceux qui ont à se plaindre de la société, qui s'estiment victimes ou menacés d'une injustice : alors, ils viennent habiter la Rue pour attirer l'attention du Hall.
Commenter  J’apprécie          00
une bonne part de la gêne provient de l'ignorance d'un métier pour les garçons et de l'in compétence des femmes qui ne savent ni coudre, ni raccommoder, ni tailler du neuf dans du vieux.
le monde à l'école

Femmes et jeunes filles, soyez toujours bien proprettes, Rien ne rebute comme une femme en loques, sordide
le monde à l'école

combien de jeunes femmes, par paresse de réfléchir, ne prévoient rien ! elles font cuire le déjeuner au dernier moment, et quand le mari arrive, la viande est crue à l'intérieur, quoique brûlée à la surface.
LE monde à l'école

que penseriez-vous d'une ménagère qui, dès la chute du jour, irait se coucher, comme les poules dont l'occupation en ce monde, est de manger, caqueter et dormir, dormir, caqueter et manger/
LE ménage de Madame Sylvain

;
Commenter  J’apprécie          00
- ... Ellen ?
- Rob.
- Comment vas-tu ?
- Je m’ennuie un peu. Tu t’offres un tour de piste et moi je reste à la maison...
- Ton rôle est très important, tu le sais.
- Oui. Et toi, comment ça va ?
- Chrono rapide, comme d’habitude. Toujours en avance aux rendez-vous...
Commenter  J’apprécie          00
Hier soir il est parti
Pour aller voir en l'autre monde
Ce qu'il faut croire en celui-ci.
Commenter  J’apprécie          00
Et les Terriens, s'ils le démasquaient, le condamneraient au châtiment suprême : la folie furieuse
Commenter  J’apprécie          00
En fin de compte, il s'était habitué au régime des Syndicats et il l'aimait bien. Ce système avait constitué un progrès par rapport au capitalisme et à l'étatisme.
Commenter  J’apprécie          00
C'est parce que j'ai connu l'enfer que je suis prêt à l'affronter de nouveau.
Commenter  J’apprécie          00
Claudine respire l'odeur de la terre humide et de l'herbe nouvelle, qui lui gonfle le cœur d'une bouffée d'enfance.
Commenter  J’apprécie          00
Un miracle. Mais les miracles n'arrivent qu'une seule fois.
Commenter  J’apprécie          00
(...), il prétendait avoir entendu les "voix de la source" qui lui avaient confié toutes sortes de secret. Je lui faisais rentrer ses mensonges dans la gorge à coups de ceinture.

Première partie. Chapitre 4
Commenter  J’apprécie          00
" Non., jamais je ne forcerai ma petite à vivre dans une maison où tant de sang à coulé. Une maison que les âmes du purgatoire continuent peut-être de hanter !"

Première partie. Chapitre 3
Commenter  J’apprécie          00
Ce n'est pas un château, plutôt une sorte de petit couvent perdu dans la campagne. Comme il en existait autrefois. La maison attire Constance par cet air de refuge hors du temps.

Première partie. Chapitre 1
Commenter  J’apprécie          00
Je suis pauvre comme Job et heureuse comme une reine.

Cinquième partie
Chapitre 3
Commenter  J’apprécie          00
Dans les histoires que racontaient mes parents et bien d'autres, les maisons tenaient une grande place. Les maisons hantées abondent dans les contes du Périgord ou du Limousin.

Dossier. La valse des héros
Commenter  J’apprécie          00
Sois l'instrument et laisse-toi jouer. Le chef d'orchestre, s'il y en a un, mène la danse bien loin d'ici.

Dossier. La musique du temps
Le mystère du don
Commenter  J’apprécie          00
La Grâce et le Venin m'a appris à me tenir aux aguets, à l'écoute des voix intérieures. Tout ce que tu as à dire, mon ami, est en toi. Cet acquis - de toute une vie, je le répète- est bien plus qu'un tas de matériaux à organiser. C'est un monde, et tu as la douce et rude tâche de l'interpréter, au sens musical du mot.

Dossier. La musique du temps
Le mystère du don
Commenter  J’apprécie          00



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Michel Jeury (1114)Voir plus

Quiz Voir plus

Lisons avec le cinéma de Jacques Dutronc

Roman de science-fiction post-apocalyptique de l'écrivain français Robert Merle, paru en 1972, il a été adapté au cinéma par Christian de Chalonges en 1981 (l'élection de François Mitterand n'a rien à voir avec cette sortie) j'y joue le rôle de Colin aux côtés de Jacques Villeret, Jean-Louis Trintigant et Michel Serrault. Comme celui du roman, le titre du film est :

Mâle ville
Malevil
La ville endormie
La ville maudite

10 questions
27 lecteurs ont répondu
Thème : Jacques DutroncCréer un quiz sur cet auteur

{* *}