Michel Plessix

Le jeune Sid habite un bourg oriental, il préfère de loin suivre les fourmis plutôt que d'aller à l'école et découvrir l'endroit où elles se rendent. Un jour les yeux rivés au sol il percute presque un vieil homme barbu qui se présente comme son grand-père, Saïd suit son grand-père au-delà des enceintes de la ville jusqu'à un troupeau de



chèvre. Son grand-père lui apprend qu'avec l'accord de sa mère il est dorénavant berger, devra vivre dans cette steppe désertique à surveiller le troupeau et sera ravitaillé une fois par semaine par son oncle Kahil. L'ennui et la peur le guette mais un beau jour la doyenne des chèvres se met à lui parler, la vieille Zakia va aider Saïd à surmonter sa peur et dialoguera longuement avec lui sur des questions très ... philosophique. Mais ce joli conte ne s'arrête pas là puisque la convoitise rôde.



BD Jeunesse, conte oriental et moral aux dessins adaptés au jeune lectorat à voir la belle bouille de Saïd et les traits très amusants de la vieille chèvre on a juste envie de se plonger dans cette "aventure". Beaucoup de bavardage entre ces deux là et assez d'humour pour tenir la distance, il est sûr que l'intrigue n'est pas très recherchée mais la lecture est agréable notamment grâce aux paysages que nous offre le dessinateur.
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Saïd est un petit garçon un peu rêveur, fasciné par les fourmis qu'il passe des heures à suivre. Jusqu'au jour où un mystérieux homme l'emmène dans le désert pour garder un troupeau de chèvres, dont la savante Zakia, vieille chèvre acariâtre et tête de mule (sans jeu de mots !). Ensemble, ils vont affronter l'horrible Zoubayini, suivre les fourmis jusqu'à la mer et même en apprendre plus sur la jeunesse de Zakia.

Une jolie bande dessinée qui mêle l'aventure et le conte oriental, la magie et la philosophie. J'espère que nos jeunes lecteurs seront séduits !

La grenouille qui veut faire aussi grosse que le boeuf.



C'est une grenouille qui voit un boeuf et décide de se faire aussi grosse qu'elle. Alors elle se gonfle et finit par exploser. Dans cette fable, Ça raconte qu'il ne faut pas faire tout le temps comme les autres, exemple ne pas faire comme les riches alors qu'on est pauvre.



Critique : J'ai bien aimé ce poème.



Le lièvre et la tortue.



Le Lièvre et la Tortue décides de faire une course. Le lièvre dit "à c'est trop facile je vais prendre tout mon temps". Sauf que à la fin c'est la tortue qui gagne!



Critique: Ce n'est pas parce qu'on est lent qu'on ne peut pas gagnée.



Le loup et la cigogne.



Le loup a quelque-chose de coincé dans son gosier donc il appelle de l'aide. La cigogne met son bec dans son ventre. Après l'avoir retiré, la cigogne demanda de la l'argent. Mais le loup refusa.



Critique: C'est assez bien comme poème.



Le loup et la cigogne.



Le loup a quelque-chose de coincé dans son gosier donc il appelle de l'aide. La cigogne met son bec dans son ventre. Après l'avoir retiré, la cigogne demanda de la l'argent. Mais le loup refusa.



Critique: C'est assez bien comme poème.

Un album que je conseille aux plus jeunes, ou en lecture accompagnée, histoire de bien profiter de cette histoire.


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Une formidable histoire d'amitié dans un décor des plus bucolique... c'est délicieux !

C'est par ce livre que se clot l'épopée de Rat, Taupe et Crapaud en Orient. Si Michel Plessix a échangé les bois et la campagne pour les dunes de sables, la rivière pour les rues bondées de la medina, il a gardé son âme de poète. Ses textes sont toujours aussi beaux et pleins de sagesse. Une belle leçon de vie pour les enfants aussi bien que pour les adultes qui les ont souvent oubliés!

Et bien entendu toujours calambours et actions burlesques : vive Crapaud et ses fantaises !!!



Quand aux dessins... Que dire de cette foule de détail et de ses jolies couleurs à la fois chaudes et douces. C'est dans ces moments qu'il fait bon être myope! On peut se coller au papier et se remplir les yeux de la moindre expression en arrière plan. Il ne faut pas qu'une mouche nous échappe!

Mais combien de temps peut bien passer l'auteur à dessiner tout ça?



Un voyage sans quitter son fauteuil!

[ Le vent dans les saules T2 ]

Adaption du roman du même de nom de Kenneth Grahame, Le vent dans les Saules est une série de Bd très plaisante pour les jeunes lecteurs : personnages truculents, dessins doux et couleurs chatoyantes.

★☆★ Une énième édition des fables de La Fontaine. Mais cette fois-ci illustrées par une belle brochettes de dessinateurs. Autant certains dessins m'étaient familiers car adepte de certains illustrateurs, autant d'autres dessins m'ont surpris, séduite ou rebutés.

Une BD à ne pas mettre dans toutes les mains car certaines fables sont dans un français d'époque peu compréhensible (oui, même pour moi).

Mais une manière originale de les remettre au goût du jour. ★☆★



Note : 2/3
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Crapaud ? C’est son ami Rat qui en parle le mieux : « Bien sûr, il n’est pas très intelligent, plutôt vantard et trouillard, soupe au lait, naïf, orgueilleux et un peu lâche. Mais il a aussi des qualités. » Le problème de Crapaud, c’est qu’il n’arrête pas de changer de lubie. Sa dernière en date ? Le voyage : « se laisser aller au gré des chemins, chausser des semelles de vent, se réveiller chaque matin dans un nouveau décor, manger chaque soir dans de nouvelles auberges, aller de verts bocages en cités perdues, parcourir des contrées inconnues, belles et dangereuses, se laisser porter par l’échine du monde… ». Il parvient à convaincre Rat et Taupe de l’accompagner dans une expédition en roulotte mais les choses ne se passent pas comme prévu. Malheureusement, leur route croise celle d’une voiture. Pour Crapaud, c'est une révélation. Hypnotisé par le fabuleux spectacle de cette incroyable machine, le batracien fait de l’automobile sa nouvelle passion. Une passion dévorante qui coutera cher à ce piètre conducteur…



Au moment où commence ce troisième tome, Crapaud croupit dans une cellule sordide. Inculpé de vol de voiture, délit de fuite et outrage à agent, il a été condamné à 20 ans de prison. Son calvaire ne durera heureusement pas longtemps. Grâce à la bienveillance de la fille du geôlier et à un astucieux stratagème, le prisonnier parvient à s’échapper. Le retour dans son douillet manoir ne sera pas pour autant une partie de plaisir.



La suite, cest ici : http://litterature-a-blog.blogspot.com/2011/11/le-vent-dans-les-saules-t3-lechappee.html
Lien : http://litterature-a-blog.bl..

Quel plaisir de découvrir cette Bande dessinée directement adaptée du roman de Kenneth Grahame!

Je n'ai pas eu l'occasion de lire le roman mais c'est prévu !



Coup de ❤️ ! J'ai vraiment adoré cette lecture tout douce, bienveillante et réconfortante !

Une lecture idéale pour la saison je trouve !

Et Les illustrations sont très belles !



Taupe et Rat, tout récemment amis, organisent un pique nique au bord de la rivière.

Un lieu idyllique en cette belle journée de printemps..mais le calme va être de courte durée avec l'arrivée de Monsieur Crapaud, un personnage haut en couleurs aux humeurs changeantes..et aux lubies farfelues!

Les péripéties vont alors s'enchaîner...



Une histoire d'animaux...mais bien plus profonde que cela...l'amitié est mis en lumière ici mais pas seulement..😉

Tous ceux qui ont aimé l'adaptation assez fidèle du "Vent dans les saules" de Kenneth Grahame, devraient trouver leur bonheur dans la suite librement inspirée : "Le vent dans les sables".



1er chapitre

Nous retrouvons les personnages de Crapaud, Rat, Taupe, Blaireau...au pays de Bois Sauvage.



Rat fait l'apologie du "Home Sweet Home" dans cette campagne apaisante et accueillante (où l'on s'allongerait volontiers à l'ombre d'un saule).



Mais sa belle certitude vacille quand il croise un congénère marin qui lui raconte sa vie de voyages qui l'a conduit de Malte à l'Irlande à la recherche des ses origines (oui, Plessis adresse un gros clin d'œil à Hugo Pratt et son Corto Maltese !).



Ce récit trouble Rat dont l'imagination gambade elle aussi, vers ces pays lointains : et si la vie était ailleurs ?



2ème chapitre

Ses amis à qui il rapporte cette discussion, ne partagent pas cet esprit d’aventure : "Nous sommes pareils à des graines. Certaines sont emportées par le vent, d’autres tombent là où elles sont nées. Mais toutes germent".

Fin de l'aventure ?



C’est compter sans un Crapaud toujours aussi imprévisible, imprudent et impétueux. Il décide d'aller explorer le monde et va entraîner ses amis à sa poursuite, jusqu'au port le plus proche. Là, ils vont se retrouver pris au piège d’un bateau qui les emporte dans sa cale.



On pourrait penser à ce moment, que ce 1er tome s'arrête là. Or, le récit se poursuit.



3ème chapitre : le voyage démarre vraiment, avec le proche orient en ligne d'émir et les délices d’un trajet en tant que passagers clandestins.



Encore une fois, la poésie, la tendresse, la description d'un monde où règne l'équilibre et l'amitié sont toujours dominants, de même que ce discret humour qu'on retrouve tout du long (une mouche qui cherche désespérément son compagnon Raymond, englouti par une hirondelle, les récitatifs plus ou moins fantaisistes, le mal de mer de taupe…). L'histoire est également une belle réflexion sur l'attrait de l'ailleurs qui pousse les "Marius" à aller voir de l'autre côté de la mer alors que tout incite à rester au chaud, au "Bar de la Marine".



Mais bien entendu, c’est surtout l’'incroyable qualité du dessin de Michel Plessix qui retient l’attention.



Son trait est très fin, juste et précis et offre une abondance de détails proprement hallucinante. Au point que les cases s'avèrent trop petites pour rendre vraiment justice à cette qualité graphique. Du coup, j'ai trouvé que la mise en couleurs pourtant réussie, gênait parfois la lisibilité.



Mais ce ne sont que des détails.

Une grande bande dessinée pour grands et petits.

Un magnifique graphisme.



Cette BD m’a fait de l’œil à Emmaus.

Je ne regrette absolument pas.

L’histoire est issue du roman de Kenneth Grahame, Le vent dans les saules, publié dans les 30.



Cette BD est un merveilleux hommage ce roman, le travail d’illustration est incroyable, magnifique !

Un joli tome sur le thème hivernal, de jolies illustrations si douces, qu'on a hâte de lire le tome 3.

On découvre la vie sous terre dans le terrier de Blaireau et où nos amis se lient d'amitié, les aventures de ces quatre animaux : M.Rat M.Taupe M.Blaireau M. Crapaud

on ne s'en lasse pas.

On sent un Michel Plessix totalement libéré dans ce dernier tome du cycle. S’il avait commencé la série en se concentrant sur la délicate narration d’un charmant conte pour enfants, dans ce 4ième tome il prend plaisir à divertir avec humour et finesse et à interagir avec le lecteur, lui proposant même de tourner l’une des pages.



Si le tome précédent mélangeait encore la quiétude de la vie dans la nature aux aventures rocambolesques de Crapaud, ce tome ci sera quasi entièrement voué à l’action. Crapaud est de retour parmi ses amis et met tout en œuvre pour récupérer son domaine, provisoirement squatté par des hermines et furets.



Le dessin reste extraordinaire, détaillé et léger et la scène d’action où l’acte de propriété passe d’un animal à l’autre, telle une scène de Tom & Jerry, est plus que réussi.



Personnellement, la quiétude, la lenteur et la sensibilité du récit, que Plessix m’avait fait découvrir dans les tomes précédents, m’ont manqué dans ce tome de grande qualité, axé sur l’aventure du vaniteux Baron Tétard, mais moins contemplatif que les autres.

Que dire de ce début d’album, passé sur cette petite île, à l’heure où la nuit se transforme en bleu, où tout est silence avant que l’aube nous entoure de sa douce lumière? Après nous avoir fait humer la nature dans les tomes précédents, Plessix parvient à nous la faire écouter ! Tout bonnement magique !



Comparé aux tomes précédents, nous quittons la quiétude de la forêt pour nous aventurer parmi les humains et du coup le scénario s’accélère, notre batracien favori est en cavale, se lance dans une (més)aventure rocambolesque et affronte tous les dangers et les risques.



Le dessin de Plessix atteint ici son apogée, le scénario et plus dense, l’humour encore plus présent, les dialogues plus succulents, tout en gardant cette poésie qui nous charme depuis le premier tome.



Fabuleux !
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Ce deuxième tome nous fait passer de la balade printanière au réconfort d’un bon repas au chaud pendant la période de Noël.



Le dessin, toujours aussi fabuleux, nous fait savourer les petits plats que Blaireaux prépare pour ses amis égarés, nous fait apprécier ce petit coin de bonheur bien au chaud, alors qu’on a failli se faire ensevelir par la neige et le froid hivernal.



Et que dire du réveillon de Noël, simple, mais tellement chaleureux, passé dans le logis dépoussiéré de Taupe. Mais tout ce bonheur se gâte un peu en fin de tome car Crapaud, toujours aussi irresponsable et mégalomane, à commis une grosse bêtise et est condamné à 20 ans de prison ...

Ce premier tome, une balade printanière avec nos amis Taupe, Rat, Crapaud, Loutre et Blaireaux, nous fait découvrir les adorables personnages de cette série, leurs caractères et surtout leur environnement.



Le dessin, extrêmement détaillé, mais quand même très léger, est merveilleux. Il nous projette dans cette nature, nous fait humer la forêt, nous fait ruisseler avec la rivière.



Le scénario peut paraître un peu lent, mais pourquoi courir quand on peut profiter de la nature qui nous entoure? Un agréable plongeon dans la nature et l’univers animalier de Plessix.

La famille Passiflore occupera toujours une place particulière dans mon cœur car elle a fait partie de mon enfance. J'ai grandi avec Dentdelion ! Même tant d'années plus tard, j'apprécie toujours autant l'univers de Loïc Jouannigot, inventif, drôle et tendre.

Un très beau tome 1 poétique. Les illustrations sont magnifiques. Ca donne envie de rester dans cette belle forêt.

J'ai acheté cet album pour mon fils de 6 ans. Ce dernier avait les yeux qui pétillaient rien qu'à découvrir la couverture. Les illustrations sont superbes et le scénario est à la fois riche et poétique. On suit avec grand enthousiasme les aventures de Saïd et de la chèvre parlante sur les sentiers à poursuite des colonnes de fourmis.



Cet album est un pur bonheur pour les enfants, mais également pour les parents. Il aborde des sujets philosophiques et comporte bon nombre d'enchantements pour émerveiller les petits.



Mon fils a adoré et moi aussi. A noter, un petit hommage à Blake et Mortimer que la première planche... Cet auteur a de bonnes références..