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Critiques de Michel Robert (III) (268)
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Largo Callahan - Six petites gouttes de san..

Bon, mauvaise pioche en ce qui me concerne !



On est donc chez les cow-boys, avec une bande d'affreux au leader charismatique : Largo Callahan, une brute assoiffée de vengeance pour son père assassiné des années plus tôt. Mais il est bien occupé, ce pauvre homme, entre ses comparses à la loyauté parfois douteuse et des guérillas dans tous les sens où l'on tire avant de réfléchir. Du coup, il tourne un peu en rond et en oublie la vengeance qui était pourtant son principal moteur !



Pour l'aspect western, on y est, pas de doute, on sent tout l'amour de l'auteur pour ce genre (il regardait sûrement La Dernière Séance quand il était petit, lui aussi !). C'est très esthétique, hyper visuel, au point que cela fatigue un peu à la longue, surtout que notre ami Largo est vraiment trop doué pour passer entre les balles, mais passons... Au bout d'un long long long moment (300 pages), il finit par tomber sur une comtesse qui lui donne une nouvelle mission. Mais euh... et la vengeance ? Non ? Non.



Voilà que notre cow-boy se transforme en Indiana Jones et que mon intérêt s'éveille enfin sauf que... Ah ben c'est fini, suite au prochain numéro !

Le western, c'est bien, mais tout un bouquin à voir des mecs plein de testostérone se tirer dessus, ben non en fait, pas pour moi.
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La fille des clans, tome 2 : Revanche de sang

Une fois de plus, ce roman m'a fait profiter de la fantasy distrayante de cette saga de Michel Robert ! C'est avec un plaisir non feint que j'ai retrouvé cette ambiance un peu à la World of Warcraft, et les nombreuses races que l'on a appris à aimer dans les mondes fantasy : Elfes, Nains, Trolls, Centaures et autres être fantastiques !



Ce tome est la suite directe du premier, qui suit le même modèle. On a affaire à une fantasy directe, rythmée, épique, ornée de propos souvent très "cash" (Malken ne s'embarrasse pas de poésie, il faut dire...). Sans doute est-on loin des intrigues politiques subtiles et complexes que l'ont peut retrouver dans d'autres sagas et chez d'autres auteurs... Mais en ce qui me concerne, qu'est-ce que ça fait du bien ! J'aime alterner mon type de lecture, et cette saga de Michel Robert me permet d'assouvir mes envies d'action et d'aventure sans avoir à me torturer le cerveau !



J'aime toujours autant cet univers et ces personnages. Les relations tissées entre les protagonistes sont affinées dans ce tome, et je n'ai pas boudé mon plaisir. Si je devait retenir un seul petit bémol, ce serait que finalement on a la sensation que tout se joue toujours dans un mouchoir de poche. Même à des lieues de distance, initialement, il semble que tous les personnages finissent toujours par se tomber dessus au moment opportun, comme s'ils étaient équipés de la meilleure boussole et d'un sens du timing en pur scénarium ! En soi, j'avoue ne jamais avoir tremblé pour les enjeux, car j'ai toujours eu l'impression que cela ne pouvait que bien finir pour les personnages... Peut-être à tort, qui sait ? L'histoire n'est pas encore finie !



En tout cas, j'ai hâte de mettre la main sur la suite de cette saga, surtout après les révélations des dernières pages qui ont largement titillé ma curiosité !
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Largo Callahan - Six petites gouttes de san..

Encore un livre, ou plutôt un pavé, reçu à l’occasion du Mois de l’imaginaire… Six petites gouttes de sang est l’occasion pour moi de découvrir Michel Robert, alors qu’avouons-le clairement son genre de prédilection n’est pas du tout dans mes lectures favorites. Hormis Glen Cook (La Compagnie noire, Les Instrumentalités de la Nuit) et le cycle de Malazan, la dark fantasy classique manque certainement de charmes à mes yeux. Heureusement Six petites gouttes de sang n’est pas de la fantasy, mais… Du western. Mâtiné juste ce qu’il faut de sorcellerie (indienne ou européenne) et de gros monstres pour satisfaire les amateurs de fantastique.

Un Européen peut-il faire un bon western ? Sergio Leone nous en avait apporté la preuve en film, Michel Robert s’en charge en livres. Même si personnellement je trouve ses personnages plus proches de la série des Trinita que de la Trilogie du dollar. Nous suivons donc dans Six petites gouttes de sang, Largo Callahan mi-Apache, mi-Irlandais alors qu’il est à la tête d’un gang de voleurs. Celui-ci, voulant mener une vengeance contre les assassins de son père et trouver sa place dans cet Ouest sauvage où les métis ont une position bancale, se retrouve embauché par une comtesse italienne pour retrouver de mystérieux objets dans des missions de plus en plus lucratives, mais également de plus en plus étranges et sanglantes.

Pendant presque tout le premier volume, le fantastique est quasiment absent de l’histoire : les personnages sont introduits, on explore un peu le côté vengeance, etc. Les premiers éléments fantastiques arrivent dans le dernier quart du livre. Ils se développeront dans le deuxième volume, mais sans jamais prendre l’ascendant par rapport à l’aspect western du roman. Autrement dit, pour arriver au bout de Six petites gouttes de sang, mieux vaut vous passionner pour les histoires de cowboys et d’Indiens et aimer faire parler la poudre…

Et que ce soit dans l’aspect western, comme dans l’aspect fantastique, n’ayez pas peur des bains de sang ni de la crasse. Il n’y a certes pas de la violence à toutes les pages, mais quand Michel Robert décide d’en mettre, il ne s’embarrasse pas d’euphémisme. Notons que le style d’écriture est dans le même ton : il s’agit d’aller au plus efficace, au plus percutant, pas du tout de faire de belles phrases ou de suggérer une atmosphère avec sa plume. Si Six petites gouttes de sang est dans la collection Outrefleuve, il ne dépareillerait pas non plus dans la collection sœur Fleuve noir. Le seul gros reproche que je ferais à ce livre est son découpage. En effet, il a été scindé en deux volumes (sortis avec plusieurs mois d’écart en grand format) et le premier s’arrête au beau milieu d’une scène d’action. J’ai eu la chance de les lire l’un derrière l’autre, mais du coup, je me retrouve avec deux formats différents pour une même histoire… Assez peu pratique, vous en conviendrez.
Lien : https://www.outrelivres.fr/s..
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L'agent des ombres, tome 4 : Hors-destin

Un tome exquis qui se dévore sans pitié. Enfin les protagonistes du Chaos : Estrée et Cellendhyll se retrouvent à devoir agir de concert. Les relations qui se créaient entre les Spectres sont touchantes. La jalousie, bien heureusement, est peu présente bien que là. Comme tous les tomes -d'après mes souvenirs- ce dernier est en deux parties bien distinctes : une première de cavale et une seconde de "vacances de quelques jours". Au final, ni l'une ni l'autre est supérieure, c'est une suite logique, sans essoufflements de l'histoire.



Mais qui est Maurice ?!?

Il n'y a de personnage plus mystérieux que Maurice, jusqu'à son prénom "classique". Facilité scénaristique ? Je ne pense pas. Plutôt le Destin omniprésent. Il intrigue, certes, mais on est bien heureux à chaque apparition : allait-on connaître son rôle cette fois-ci ? Mais l'auteur vous le rend toujours plus imprenable à chaque fois qu'il le fait parler. C'est le Tom Bombadil de Michel Robert.



Le point fort de ce tome, et bien que les combats soient aussi bien décrit pour qui en est friand, ce sont les sentiments très humains qui ont débordé de ce tome ! Le désir évidemment (c'est le Chaos quand même), mais aussi la nuance entre le désir de la chaire et de l'âme. Puis l'idée du sevrage magique -loin d'être simple- et du ressenti du drogué (honte, souffrance...) vient titiller nos âmes. [spoiler]Et encore plus que tout ça, la perte d'amis et de sa famille. Une perte complexe ressentie de différentes façons :[/spoiler] colère, abandon de la vie, mutisme...

Ce que je retiendrait sans le vouloir c'est cet immense désespoir, un gouffre de tristesse.
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Largo Callahan - Six petites gouttes de san..

Quelle lecture intéressante ! Nous voilà plongés dans le Far West aux côtés de Largo Callahan, métis Irlandais-Apache tiraillé entre ces deux mondes.

Ayant choisi la voie du banditisme, il est le chef d'une bande de voyous aux profils bien différents. Toujours à la recherche d'un coup pouvant leur rapporter gros, Largo va se retrouver cette fois-ci embarqué dans une histoire qui le dépasse.



On sent que l'auteur a bien travaillé pour écrire ce roman. Il est extrêmement précis et apporte une grande attention aux détails. Au début un peu perturbantes, on s'habitue vite aux descriptions des vêtements et des armes. Il nous offre aussi beaucoup de contexte historique en nous parlant de grandes figures américaines ou amérindiennes de l'époque. Il nous explique un peu ce qu'ils ont fait et ce qu'ils font au moment où se déroule l'intrigue. C'est très intéressant.



Dans la quatrième de couverture, on nous vend de la sorcellerie et du surnaturel, clairement ce n'est pas dans ce tome-là qu'on va en trouver. Les trois quart de l'ouvrage en sont totalement absent, et la fin n'effleure qu'à peine ce domaine. Je pense que ce sera bien plus développé dans le deuxième livre.

Ce premier opus est plus un tome d'introduction, mettant du contexte, de l'Histoire, faisant découvrir au lecteur toute la rudesse du sud des États-Unis et sa richesse historique à l'époque du Far West.



J'ai clairement apprécié cette lecture et je n'ai qu'une hâte : mettre la main sur la deuxième partie dès sa sortie en poche !
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La fille des Clans, tome 1 : Balafrée

Balafrée est une lecture divertissante, qui a pleinement répondu à mes attentes. Connaissant déjà la plume de Michel Robert pour L'ange du chaos et La Malerune, je m'attendais à tomber sur un roman de fantasy nerveux et bourré d'action. J'avoue ne pas avoir été déçue !



Le personnage principal, Malken dite Balafrée, est une femme de caractère qu'il est plutôt plaisant de suivre. Son côté guerrière renfrognée la rend particulièrement intéressante, d'autant qu'elle n'est pas exempte de défauts. Cela change agréablement du traitement des personnages féminins dans beaucoup de romans.



Dans ce récit, il n'y a que peu de temps pour tout mettre en place et se laisser aller à la contemplation. Tout bouge très vite et les actions s'enchaînent. L'univers est à la fois bien contextualisé et très riche, et il a été plaisant de retrouver de très nombreuses races, et pas uniquement des humains comme on y a souvent droit !



Je vais donc m'attaquer à la suite avec plaisir.
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Largo Callahan - Six petites gouttes de san..

Pas toujours facile de reprendre en main une histoire après plusieurs mois d’attente, le tome 2 est enfin entre mes mains. Je me suis rendu compte que je n’avais rien oublié des aventures de Largo Callahan. J’étais curieuse de voir la suite qu’avait imaginée l’auteur et je n’ai pas été déçu. On reste toujours dans le genre Western avec Cow-boys et Indiens mais en plus, l’auteur développe la touche fantastique qu’il avait semée dans le tome 1. Je me suis laissé emporter par le rythme soutenu, l’action, les combats et toutes les manipulations bien tordues auxquelles doit faire face notre héros. Le style et la qualité d’écriture est indéniable et que cela fait du bien de changer de genre. C’était rafraîchissant et les pages ont défilé sans m’en rendre compte. Une saga dans le Far West au début du XXème siècle, avec un héros charismatique qui joui de deux âmes pour sa seule personne, l’Irlandaise et l’Indienne. Un héros atypique, qui n’a jamais peur et suit toujours son instinct même si celui-ci l’entraîne dans des situations périlleuses. J’ai apprécié retrouvé la Contessa dont le personnage prend plus d’ampleur. Maintenant que l’univers de Largo Callahan est bien en place , l’auteur laisse un peu le côté western au profit d’un récit plus empreint d’éléments fantastiques, pour ceux qui aime le mélange des genres, c’est parfait . On en oublierait presque la recherche du coupable du meurtre de son père le général Lomax. J’ai regretté qu’il n’y ait pas eu une immersion plus poussée dans les tribus indiennes, c’est quand même le charme des westerns. Mais questions combats, nouvelles armes en ce début de siècle, on est gâté et puis le thème de la vengeance reste inépuisable. La couverture toujours superbe, reprend les codes du tome 1 avec ses motifs mexicains et toute l’importance d’un nouveau et mystérieux corbeau. En arrivant à la fin de ce tome, j’en conclu que l’histoire laisse une ouverture pour un troisième tome. Pfff encore quelques mois de patience, je serai au rendez-vous. Bonne lecture.
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La Malerune, tome 2 : Le dire des Sylfes

Ce second tome de la série est signé non plus par Pierre Grimbert, mais par Michel Robert. Ce dernier a donc eu le défi de s’approprier le monde mis en place par un autre, avec ses particularités et ses personnages et d’en continuer l’aventure. Dans ce contexte, le lecteur était en droit de craindre un certain décalage par rapport au premier tome.



Crainte qui s’avère fortement justifiée : ne s’improvise définitivement pas Grimbert qui veut. Michel Robert apporte ses couleurs particulières à l’histoire… qui ne sont pas nécessairement garantes de succès. On le voit ainsi introduire à plusieurs reprises des perversions sexuelles chez les personnages secondaires. Dans la foulée, on liste des allusions à un «paiement nature» par extorsion ainsi qu’à la pédophilie et différentes tentatives de viol envers Lucia, un des personnages principaux. Qu’on attribue ce genre de dépravation chez les créatures venant du Maune (le côté sombre de cet univers) n’est pas si surprenant, mais qu’à cela s’ajoute les attouchements sexuels de la part d’un nain allié manque d’éthique.



Qui plus est, cela se fait dans un contexte irréaliste pour plusieurs raisons : Lucia côtoyait le nain en question régulièrement depuis une semaine dans un contexte paisible et celui-ci n’a pas fait mine de mauvaises manières durant tout ce temps. Par contre, au moment où une urgence se présente, il prend subitement le temps de la traiter à la légère et de lui mettre la main aux fesses (l’air d’y trouver une mystérieuse source d’amusement). Autre élément incohérent, Lucia, qui jusque-là a toujours été présentée comme un personnage au fort caractère, farouche, indépendante et très fière, se laisse tripoter sans même une réplique acerbe et ce, à plusieurs reprises. S’il est vrai qu’en réalité, ce genre d’homme grossier existe sans doute depuis la nuit des temps, caractériser ainsi un allié de passage est un choix douteux qui n’apporte aucune profondeur à l’histoire.



Outre les tendances à connotations sexuelles que Michel Robert apporte dans ce présent tome, on ne peut manquer de remarquer que sa façon de raconter les événements manque de saveur et ce, durant les trois premiers quarts du livre. Bien qu’employant par moment un vocabulaire riche et recherché, l’auteur a tendance à répéter les mêmes mots plusieurs phrases de suite au lieu d’employer des synonymes, ce qui rend la lecture redondante et agaçante.



De plus, les descriptions sont faites sans éclat et les discours manquent de réalisme (à noter que toutes les créatures s’expriment de la même manière : humain, arbre mythique, lycante ou autre). Fait aussi irritant qu’irréaliste, l’auteur, définitivement mal à l’aise avec les intrigues, fait détailler toutes les manigances à ses personnages sombres dès que les personnages principaux subissent un revers de situation.



Autant dire que pour le lecteur, l’ennui règne. Aucune émotion ne traverse entre la plume de Michel Robert et l’œil du récepteur, qui n’arrive pas du tout à ressentir les aventures des personnages. Heureusement, cela s’améliore dans le dernier quart du tome et justifie l’envie d’amorcer le troisième livre de la série. Ce qui ne signifie pas pour autant que cette partie du livre soit spectaculaire pour autant, car s’y trouve plusieurs faux pas au niveau des idées sans compter les incursions dans le domaine du cliché (ex. : Lucia fait perdre tous les moyens aux hommes si elle détache ses cheveux ou si elle se drape d’une belle robe).



Je ne ferai pas ici la liste de tous les faux pas remarqués (trop long, trop d’informations à révéler sur l’histoire), mais je résume en disant que la plupart de celles-ci sont au niveau de la réaction des personnages : elles ne cadrent pas soit avec la personnalité de ceux-ci (initialement décrite par Pierre Grimbert), soit dans le contexte. L’auteur aurait donc intérêt à mieux approfondir la psychologie des personnages pour les faire parler et agir de façon plus crédible.



Dans ses remerciements publiés en fin de tome, Michel Robert écrit « Mille mercis à toi Pierre (…) Ta collaboration, tes critiques, ton enthousiasme ont été lumineux »… dommage que Pierre Grimbert n’ait pas su, dans ce cas, mieux "éclairer" l’auteur et lui éviter les écueils cités tant dans cette présente critique que dans celles des autres lecteurs...

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L'agent des ombres, tome 1 : L'ange du chaos

Un de mes meilleurs livres de fantaisie que j'ai lu. Un héros hors du commun avec ses qualité et ses défaut et ben sur ce qui fait son charme j'ai trouvé son caractère de cochon, voici Cellendhyl de Cortovar. On suit ce personnages dix ans après qu'il a était trahi part ses compagnons d'écoles pour devenir apprenti lige de l'empereur de la Lumière t recueillit par le chaos ou il va être formé a devenir une ombre une sorte d'agent secret.

Dans ce tome il va enfin découvrir l'occasion de ce venger.

Comme je le disait au début on a un personnage trahit qui cherche vengeance avec un caractère de cochon, un peu misanthrope avec ses relation avec les autres et n'accorde pas sa confiance facilement.

Dans ce livre l'auteur a dès bin su construire un univers original divisé en trois plans, le plan de la lumière, du chaos et le plan des ténèbres. Un livre avec beaucoup d'action et de violence, les scènes de combats très bien écrite, un personnage original après entière dans ce monde et dans la fantaisie. Pour les amateurs de ce genre allez y foncez le lire.
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L'agent des ombres, tome 1 : L'ange du chaos

Etant une inconditionnelle du jeu vidéo "Heroes of Might and Magic", j'avoue avoir particulièrement apprécié ce roman qui m'a donné l'impression de lire une version enfin correctement scénarisée d'une des campagnes du jeu. En soi, rien de fantasmagorique, on tombe même assez rapidement dans de gros clichés du style fantastique, mais malgré tout, je trouve que les personnages et l'histoire ont un petit je ne sais quoi qui font qu'on y prend goût. Les personnages quoiqu'assez stéréotypés sont plus attachants qu'on pourrait s'y attendre aux premiers chapitres et l'histoire est assez riche en rebondissements pour donner envie d'avancer dedans.

Somme toute, un roman assez classique de la dark fantasy pas trop dark quand même mais plaisante.
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La fille des clans, tome 2 : Revanche de sang

Dans ce deuxième tome La Fille des Clans, l'on suit Malken dans une mission confiée par les Prêtresses de l'Ombre, puis l'auteur alterne entre les missions confiées aux Bannis mais également celles confiées à l'Elfe de Soleil.



A travers ces missions, l'auteur continue à développer son univers en nous présentant de nouvelles ethnies, mais également plusieurs nouveaux endroits du Troisième Continent. Des lieux diversifiés mais que l'on ne peut malheureusement pas situer géographiquement par rapport a ceux déjà connus les déplacements s'effectuant par la voie des airs. Il est vraiment dommage que l'auteur ne nous permette pas, du fait de l'absence de carte de s'imprégner de son monde.



Il est également regrettable qu'avec le tournant qu'a pris la romance engagée au premier tome entre l'héroïne et l'Elfe de Soleil que l'auteur se sente obligé de devoir infliger à ses lecteurs des scènes de sexe détaillées. D'une part cela n'a pas grand intérêt pour l'histoire principale en elle même et d'autre part cela gâche le roman. Le lecteur a fait le choix de lire une fantasy non un roman X.



Hormis ce gros point noir, l'histoire alterne de manière dynamique entre rebondissements en cascade, combats visuels de groupes ou individuels. Si le rythme de lecture s'avère un peu plus posé qu'au tome précédent, l'on n'échappe pas à la trop grande facilité pour le groupe à se sortir des situations fâcheuses.



Les personnages, notamment les grands méchants ne parviennent toujours pas à se sortir du manichéisme trop marqué du premier opus. Leurs apparitions ne sont pas assez régulières pour que l'on puisse les intégrer au récit, ils existent, on les sait à l’affût... mais l'on ne connaît en fait que très peu de chose la Cabale. Les personnages principaux continuent d'évoluer, mais si les inter-actions et les dialogues sont de qualité, l'auteur à plus de mal en ce qui concerne leurs psychologies. L'héroïne présente un aspect moins puéril qu'au premier tome mais ce n'est malheureusement que sa seule progression.



Au final, l'on se trouve dans un récit plutôt décevant, l'auteur ne parvenant pas a concrétiser la bonne impression laissé par le premier tome introductif. Le fond du récit principal est certes intéressant mais n'occupe pas une place assez importante pas rapport au style de l'auteur qui s'attache plus aux détails annexes. Le seul point positif de ce roman restent les scènes d'actions mais la romance prend malheureusement le dessus ce qui ne nous permet pas de poursuivre une série qui se présentait de prime abord épique.







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La fille des Clans, tome 1 : Balafrée

Alors qu'elle est rattrapée et que ses poursuivants s’apprêtent à la violer, Malken une jeune fille des Clans qui s'était enfuie d'un camp d’internement de l'Empire de Lumière, est sauvée par un guerrier d'élite des clans. Ayant sauvée une Elfe de Lune agressée par des assassins de l'Empire, elle est envoyée dans une congrégation secrète qui forme des guerrières d'élite. Mais d'un caractère trop rebelle elle se voit envoyer sur un continent pour intégrer une formation de Bannis.



Avec pour postulat de départ la vengeance et comme toile de fond une guerre une guerre entre un Empire qui veut conquérir ou soumettre les peuples à son autorité, cette fantasy s'avère somme toute assez classique. Une thématique qui n'est pas sans rappeler l'extension de l'Empire Romain sur la Gaule et sur la Bretagne, avec pour opposants des tribus Celtes... et autres indépendantes les unes des autres. Quand a la Cabale, qui veut imposer sa vision des choses, elle n'est pas sans rappeler l’Inquisition, les pouvoirs magiques en plus.



Dans le synopsis de l'auteur on retrouve des analogies avec un certain MMORPG, tant dans la forme du récit que dans le nombre important d'ethnies proposées, de personnages quelque peu manichéens. Mais l'influence ne se fait tout de même pas trop ressentir. Certes les combats sont très visuels et le lecteur se croirait presque faire partie intégrante des mêlées tant la tension et la violence crue sont poussées presque à leur paroxysme comme dans les jeux vidéos. Même si l'intrigue au départ peut paraître des plus basiques, l'auteur lui apporte des voies subsidiaires qui lui donne un aspect plus complet. L' histoire s'avère certes simple mais très divertissante car les nombreux combats, les retournements de situation multiple entraînent le lecteur dans un récit à la dynamique excellente et l'histoire avec ce côté épique n'en est que plus attractive.



L'univers de l'auteur avec ses nombreuses ethnies, avec parfois des alliances peu vraisemblables entre-elles, se veut riche et très coloré. Si le monde géographique et géopolitique n'est pas assez approfondi, les descriptions très détaillées de la faune et de la flore permettent de bien s'immerger dans cet univers très coloré, ainsi que dans les scènes plus actives. La magie occupe tout de même une place intéressante dans l'histoire même si l'on peut regretter dans ce premier opus les Arts Étranges ne nous soient pas encore explicités. Mais l'on suppose qu'avec le développement initiatique de la jeune héroïne que ceux-ci nous seront plus explicités dans les tomes suivants.



Le passé difficile de l'héroïne, de dilemmes, de rencontres déstabilisantes aurait pu faire que l'on s'y attache mais sa manière d'être qui colle trop à la mentalité de cour de lycée ne permet pas, au moins dans ce présent tome, de ressentir une empathie profonde avec ce personnage. Les personnages des Bannis dans son ensemble s'avère très intéressants dans leurs inter-actions, et sont assez bien campés malgré une approche parfois trop manichéenne. Certains des membres du groupe se révèlent soit par un côté un peu trop mystérieux ou pour l'un d'entre eux un peu inconséquent par rapport au reste du groupe.Il est également dommage que leurs antagonistes ne sont pas eux-mêmes plus nuancés, mais on a tout de même hâte de découvrir le côté machiavélique des membres de la Cabale plus en profondeur.Le personnage le plus prometteur s'avère être l'Elfe du Soleil tiraillé entre sa fascination pour Malken et son devoir envers l'Empire que lui impose sa hiérarchie. On aimerait malgré le mystère qu'elles doivent préserver voit les Prêtresses de l'Ombre plus présentes.



Le style direct, incisif de l'auteur colle de de très belles manières avec ce type de récit qui se veut à la fois épique et entraînant, même si certaines scènes peuvent rebuter certains lecteurs un peu délicats.



Un premier tome introductif au récit simple qui ne pousse pas le lecteur à réfléchir, mais qui lui laissera une impression d'agréable divertissement. Une lecture qui aurait pu convenir à un lectorat plus jeune si certaines scènes n'étaient pas trop crues ou osées. Ce qui est dommage car pour les lecteurs aguerris du genre elle manque toutefois de profondeur, en espérant que cette attente soit comblée par la suite.
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L'agent des ombres, tome 1 : L'ange du chaos

Ce livre, c'est une amie qui me l'a donnée car elle allait s'en débarrasser avec plein d'autres que j'ai récupéré. C'est avec appréhension et curiosité que je l'ai lu. J'avais peur des gros clichés sur les démons (ou du moins ce qui s'en rapporte), surtout dans la première partie.

L'univers assez sombre est intéressant. Ce "monde" ou plutôt devrais-je dire "ces mondes" car ils sont découpés en Plans d’existence me semblent très originaux et me questionnent. Ce n'est hélas pas la pseudo petite annexe très succincte à la fin du roman qui va nous les décrire dans leurs complexités. Donc j'imagine, que l'univers sera mieux expliqué et mieux dépeint dans les autres tomes. Mais néanmoins il manque quelque chose pour m'y faire adhérer clairement.

Le héros au nom sonnant étrangement elfique " Cellendyll" mais qui n'a rien d'un sylvain proche de la nature, est plutôt intéressant malgré de gros clichés. J'aime particulièrement qu'il n'est rien du preux chevalier blanc aux grands idéaux, ce qu'il fut par le passé néanmoins.

Les autres personnages sont soient assez caricaturaux, je pense à Estrée hélas qui ne me parle pas du tout et qui se rapproche plus de la succube nympho BDSM. Heureusement qu'elle est censée être intelligente et brillante parce que sinon on se poserait des questions.

Rathe et Reydorn sont clairement les personnages que je préfère sûrement pour leur humour, leur humanité bien spécifique qui leur donne un charisme qui n'est pas basé juste sur leur physique plus qu'avantageux ( ce qui n'est pas leur cas) et sur leur niveau de "badasserie".

Les personnages féminins sont insipides si je puis parler d'Estrée, qui elle semble trop "gouteuse" XD.

La seule que je trouvais intéressante et ayant un background intrigant et à découvrir, Nérine, s'efface vite alors qu'elle semblait être importante dans la trame principale. J'ai bien rigolé quand elle a "violé" le héro pendant qu'elle le soignait et qu'il était dans les vapes car bien amoché. Plus tard, elle s'amourache d'un gars de la forêt au bout d'une semaine et s'en va l'épouser fissa façon princesse Disney... okay.... Je veux bien que t'ai vécu des horreurs et tout, que tu aspires à autre chose et à ne plus être seule mais bon...

Kell et Marg... alors je n'ai absolument pas accroché. Ce n'est pas le fait qu'elles soient en couple, ni le fait qu'elles se qualifient libres d'aller voir ailleurs qui me dérange. C'est... je ne sais pas. Kell qui apparait un peu comme une sorte de "Reine des elfes" et Marg en guerrière impulsive sans trop de cervelle, elles semblent aussi ne pas sortir tant que ça du lot.

L'histoire de vengeance on la voit venir tour de même, et je dirais que cela met beaucoup de temps à se mettre en place une fois qu'on a compris plus ou moins comment fonctionne Cellendyll. Cette histoire de complots entre les Ténèbres, le Chaos, la Lumière et les Territoires-Francs, reste à découvrir ainsi que cette prophétie (parce qu'il en faut bien une). Tout cela se met par contre, plus en place vers la toute fin du livre.

D'ailleurs ce côté forces du mal contre force du bien et force "neutre" me semblent un peu bateau et manichéen. Mais l'ensemble parait assez sombre et donc m'interpelle car je suis curieuse de voir où tout cela peut bien mener mis à par la conquête du pouvoir et patati et patata.

Pour conclure, je dirais que c'est un bon divertissement mais qu'il n'y a pas de quoi casser trois pattes à un canard. Je pense que ce tome 1 sert surtout d'introduction, de construction, de mise en place de l'univers et de l'histoire et je n'ai pas envie de m'arrêter à ça. Je lirai je pense, le tome 2 pour voir si cela devient plus accrocheur. Pour le moment je suis "ferrée" juste à 45 %
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L'agent des ombres, tome 1 : L'ange du chaos

Je me suis demandée au Prologue si l'auteur avait bien toute sa tête car il n'est pas du tout engageant entre scènes sous la ceinture et volonté de faire d'une femme une "chose". Seulement ce n'était qu'une mauvaise impression et dès le début de l'histoire on rencontre Cellendhyll avec sa quête de vengeance mêlée à sa mission. J'ai aimé l'univers aux multiples races, l'action des combats, le changement d'état d'esprit du héro et les amitiés qu'il a pu nouer. J'ai hâte de lire la suite qui s'achève sur un gros suspens !
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L'agent des ombres, tome 4 : Hors-destin

On continue de suivre l'escadron dirigé par Cellendhyll de Cortavar, l'Ange du Chaos. Ceux ci sont projetés dans le Plan du peuple des Sang-Pitié, et pris en chasse par le nouveau seigneur des Conquêtes Troghöl. Avec Estrée, princesse du chaos, toujours sous l'emprise de la drogue, cette terrible course de poursuite permettra de lever le masque sur certains de ces combattants...



C'est un épisode de cette saga qui m'a beaucoup plu car avec des retournements de situations surprenants. Je ne révelerais pas la fin mais j'ai été agréablement surprise du dénouement. C'est vraiment original!!! Quelques moments de longueurs mais c'est bien à l'image de cette intrigue qui est surtout un jeu de patience entre chasseurs et chassés. Estrée d'Eoth se revèle plus complexe que dans les autres tomes et sa relation avec l'Ange du Chaos prend un autre tournant.

C'est toujours ecrit avec efficacité, précision et dynamisme. les scènes de combat sont incroyables: on s'y croirait.

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L'agent des ombres, tome 1 : L'ange du chaos

Quelle incroyable découverte que ce premier tome du cycle L’Agent des Ombres de Michel Robert! Le roman se dévore même s’il faut bien l’avouer, s’attacher à Cellendhyll semble impossible au départ.



Personnage sombre, patibulaire et sans émotion, l’Ange du Chaos est un survivant torturé qui ne rêve que de vengeance. Mais peu à peu, on apprend à connaître le bonhomme et tout n’est pas si blanc ou noir. Et c’est là où réside toute la qualité du roman! Car tout en utilisant les notions de Lumière, Chaos et Ténèbres, Michel Robert réussit à sortir du manichéisme habituel pour nous livrer finalement de vrais débats sous-jacents sur la religion, la guerre et la politique.



Du coup, notre cher Ange du Chaos devient un protagoniste très attachant dont on a envie de suivre les aventures; dont on a envie de voir sa vengeance s’assouvir.



Si l’on peut parfois être rebuté par certaines scènes assez violentes, elles servent sans contexte l’action et ne sont jamais gratuites même si elles peuvent nous mettre mal à l’aise. Le style de l’auteur est à la fois fluide et soutenu ce qui donne un roman extrêmement bien écrit avec une vraie plume littéraire tout en n’oubliant pas le divertissement que la Fantasy doit logiquement procurer.



Les deux personnages gravitant autour de Cellendhyll qui m’ont le plus marqué sont la Gitane et Reydorn le mage. Entre une femme à la fois forte et romantique, et un mage débonnaire, mais puissant, Michel Robert propose des personnages secondaires qui ont du coffre! On est assez loin de la Fantasy traditionnelle: à part les différentes castes et créatures du monde, l’auteur a travaillé autre chose qu’une quête du héros.



CONCLUSION

Le premier tome de L’Agent des Ombres est un superbe roman qui se lit rapidement. On peut rajouter que le choix de chapitres courts permet de ne pas se lasser dans la lecture et d’avancer plus vite. On a envie de continuer à suivre Cellendhyll, mais surtout de découvrir les plans des puissants chefs de la Lumière, du Chaos et des Ténèbres…
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L'agent des ombres, tome 1 : L'ange du chaos

Rythmé, bien écrit tout en restant très classique, un personnage charismatique, sombre et intriguant ! Cela aurait pu me happer, mais je n'ai pas été emballée par l'ensemble. Trop « classique », justement, trop « déjà vu », même si le héros est ici Ténébreux (si j'ose dire). Et surtout, les tentatives d'humour ne m'ont pas fait sourire...



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L'agent des ombres, tome 7 : Chiens de guerre

L'Agent des Ombres, Tome 7 : Chiens de Guerre de Michel Robert des éditions Fleuve Noir.



Que dire de ce deuxième opus de la saison 2 de l’ange du chaos.



Déjà je l’ai trouvé mieux réussi que le précédent. Il y a dans ce volume une entrée dans l’action qui attise la curiosité. J’ai trouvé également que l’equipe, le groupe des chiens de guerre sont plutot bien reussi. On s’y attache, sauf bien sur un personnage détestable qui est celui de Danseur, mais qui n’en ait pas moins essentiel et intéressant.



La partie sur l’idyle catastrophique entre Constance et notre Héro est parfois un peu lourde surtout pour un personnage de la trampe de Cellendhyll. D’ailleur ce fut assez surprenant dans le tome précédent. En effet, j’ai trouvé qu’il s’était facilement laissé remit avec une femme pour quelqu’un qui était censé faire un trait sur les histoires amoureuses depuis Estrée.



Concernant les combats de Cellendhyll ont peut dire qu’on est toujours attiré par celle ci. Il a des techniques de combat rapprochées assez incroyables que l’on ne trouve pas vraiment chez d’autres auteurs du même genre.



Mise à part qu’ici j’aurais aimé qu’il développe ces techniques d’adeptes qui ont l’air d’être très interessantes.



Sinon ce qui est toujours agréable chez Michel Robert c’est qu’il y a toujours une vrai fin à chaque tome. Bien sur il ouvre suffisament sur la suite pour donner envie d’avoir la suite, mais cela fait plaisir d’avoir de vrais fins.



Pour ma part j’ai passé un très agréable moment à lire ce roman. Vivement que la suite sorte.



Ma note : 4/5
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Victimes et bourreaux

Des découvertes intéressantes (Charlotte Bousquet, Justine Niogret, Sam Nell, Michel Robert), des retrouvailles saisissantes (Maïa Mazaurette, Lionel Davoust, Nathalie Dau et Pierre Bordage) qui m’ont donné envie, malgré quelques déceptions (Jeanne-A. Debats, Xavier Mauméjean, Paul Beorn, J.-P. Jaworsky) d’en découvrir un peu plus sur les univers et les livres de tout ce beau monde de la fantasy française!
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L'agent des ombres, tome 3 : Sang-Pitié

Comme dans le précédent (L'Agent des ombres, Tome 2 : Coeur de Loki) Estrée d'Eodh, la soeur de Morion, continue à lutter pour ne pas être complètement submergée par la bleu-songe, ce qui revient à dire être à la solde de Leprin et des ténèbres. Pendant ce temps, Morion a donné à Cellendhyll de Cortavar la possibilité de créer et d'entraîner un escadron d'élite, avec l'aide de l'inénarrable Gheritarish. Et son escadron va devoir rapidement se mettre à l'oeuvre pour contrarier les plans des plus redoutables représentants de la lumière. Mais alors que notre agent des ombres est on ne peut plus satisfait de leur comportement dans cette première mission, une seconde, bien plus dangereuse, va leur tomber dessus.



Dans la droite ligne des deux premiers tomes, bourré d'action et de sang, on ne s'ennuie pas une minute. Les principaux personnages prennent régulièrement de l'épaisseur et l'intrigue principale de la série se dévoile un peu plus. Reste les scènes de sexe toujours aussi crues et finalement un peu lassante, mais on passe finalement rapidement dessus pour ce replonger avec plaisir sur les pas du tourbillon que représente notre impitoyable agent des ombres. Et vu comment se termine la dernière scène, autant dire que l'enchainement avec le tome 4 "Hors-Destin" est automatique.
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