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Critiques de Michel Rostain (128)
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Le fils

Le drame de la mort de son fils ...regrets et remords de ne pas avoir assez profité des derniers instants de vie de son fils ... mais très vite, il y a la volonté de continuer à vivre avec lui ... un roman qui n'est vraiment pas larmoyant ou désespéré ... à la fin du roman, nous n'avons pas de compassion pour les parents de Lion mais de l'amitié
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Le fils

Un récit tout en émotion. Et le fait que l'auteur fait parlé son fils rajoute à l'émotion. Une très bonne lecture
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Le fils

Le narrateur est le fils décédé brutalement.



Il raconte comment son père a vécu, sans le savoir, les derniers jours de la vie de son fils.



Il décrit le très bel enterrement et la dispersion des cendres, duent au hasard d’une rencontre.



Les premiers temps, les parents pleurent, mais leur amour les uni et, ensemble, ils continuent de vivre chacun à leur façon dans le souvenir.



Un très bel hommage à un fils parti trop tôt.



L’image que je retiendrai :



Celle de la cérémonie au crematorium où chacun apporte sa pierre au souvenir de Lion.
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Le fils

C'est l'histoire d'une mort. Une mort atroce, injuste, indicible. La mort de son enfant qui pourtant fait entendre sa voix, souvent pleine d'humour, et la souffrance de ses parents, à travers tout le roman. Un roman audacieux, tout autant qu'éprouvant.
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Le fils

Témoignage très fort d’un père sur la mort de son fils, décédé brutalement en quelques heures d’un purpura fulminans à 21 ans ! Les pensées intimes, l’inévitable sentiment de culpabilité, la recherche du « sens caché » de cette mort sont au cœur de ce récit forcément émouvant… mais formidablement bien écrit : l’auteur, le père donc, a réussi à trouver le ton juste pour ce texte chargé d’émotion mais qui ne donne pas au lecteur le mauvais rôle de « voyeur ».

Dans ce livre, le fils s’adresse directement au papa désenfanté, qui nous fait part de ses sentiments… tout en réussissant à se mettre à distance, à se moquer gentiment de ses propres « pensées magiques » ou réflexions. Beau livre sur un thème si difficile et intime !

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Le fils

Un père subit le décès de son fils. J’avoue, avant d’ouvrir le livre j’ai pu craindre un thème trop difficile, qu’il aurait été naturel d’aborder de façon larmoyante. Il n’en est rien. Dès les premiers mots, j’ai été saisie.



Ce texte est magnifique de lucidité, d’intelligence. Le regard du fils sur le deuil du père est d’une justesse rare. Quel recul ! Qui plus est, l’écriture est belle, raffinée.



J’ai ri, j’ai pleuré avec cet homme désemparé, vrai, bon. Comment ne pas succomber devant un tel ouvrage ? Un vrai moment de lecture, émouvant, passionnant, enthousiasmant que je n’oublierai pas de si tôt.

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Le fils

Ce n'est pas un roman, mais un récit sur un sujet difficile : la mort d'un enfant.

Le 25 octobre 2003, Michel Rostain a perdu son fils Lion, âgé de 21 ans, emporté par une méningite foudroyante.

Sept ans plus tard, l'auteur raconte ce terrible événement du point de vue de son fils mort. En effet, c'est la voix tendre et ironique du fils qui raconte la détresse de son père et de sa mère. Il raconte le jour de la mort, les lendemains avec le marketing des pompes funèbres, la cérémonie des obsèques... Il se moque de son père qui pleure comme une madeleine, qui se pose des questions sur l'inconscient de son fils...

[...]

C'est un livre qui nous fait pleurer et rire à la fois.

J'ai été profondément touchée et émue à la lecture de ce livre qui est aussi une belle leçon de vie et d'amour, et la conclusion du livre se veut optimiste : il n'y a pas de remède à la douleur, mais « On peut vivre avec ça. »
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Le fils

Petit livre de 150 pages... Bien écrit. Traitant d'un sujet lourd, qu'est la mort d'un fils... Emouvant, touchant, parfois traversé de quelques passages quelque peu rocambolesques. Malgré le fait que ce soit un goncourt, d'un point de vue "histoire", je n'ai pas été totalement emballée par cet ouvrage... Mais je vous laisse juge :-)
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Le fils

Le thème de ce livre est tragique, la mort d’un enfant, chagrin insurmontable, deuil impossible, le pire drame d’une vie de parent. Comment réussir à vivre après "ça" ?



Je ne suis pas fan des livres témoignages en général, pas par manque de compassion mais ces lectures ne m’apportent rien d’autre qu’un profond malaise + une période d’insomnie + une grande tristesse. Donc parfaitement inutile ! C’est vraiment le genre de sujet que je fuis.



Sauf que dans ‘Le Fils’ de Rostain, le narrateur, ce n’est pas le parent abattu de douleur qui crie, qui pleure, qui ne comprend pas, qui se demande pourquoi, qui se bat ou au contraire baisse les bras et avec lequel on souffre, impuissants.



Ici celui qui raconte c’est Lion, le fils perdu, emporté à 21 ans par une méningite foudroyante. C’est lui qui raconte les circonstances, la douleur, le chagrin, les questions, les regrets, la culpabilité, le combat pour ne pas sombrer.



Il observe son père, commente ses faits et gestes, ses émotions sans pathos, avec clairvoyance, ironie, un peu de cruauté parfois mais il y met tellement d’amour, de tendresse et d’humour. Parce qu’il est taquin Lion, il se moque gentiment de son père qui s’accroche ; comme pour la couette qu’il doit apporter à la teinturerie, (c’est un déchirement, on comprend, elle porte l’odeur de Lion), dans laquelle il enfouit encore son nez pour sentir son fils une dernière fois. Et aussi, quand ses parents voient en l’éruption du volcan islandais Eyjafjöll (vous vous souvenez en 2010), un signe de leur fils puisque c’est à ses pieds qu’ils ont dispersé les cendres de Lion.



L’abominable est raconté par un jeune homme de 21 ans alors le ton est spontané, détaché, le style actuel, moderne et plein de vie, d’énergie ; Rostain évite ainsi tous les écueils. En imaginant ce qu’aurait pensé son fils, il nous livre un témoignage poignant mais jamais larmoyant, où règne l’optimisme.



Le message est clair "la mort fait partie de la vie", "la vie continue", c’est terrifiant mais c’est ainsi…



Alors évidemment il a attendu 7 ans avant de nous livrer cet écrit et on imagine que ce délai était nécessaire, que le temps qui est passé a apaisé pour finalement permettre de faire de ce récit du deuil de son fils unique, un hymne à la vie.
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Le fils

Lion, 21 ans souffre d'une forte fièvre. D'abord ses parents pensent à une grippe, mais son état s'aggrave. Malgré un transport d'urgence à l'hôpital, leurs fils décède d'une méningite fulminante. Le père est en deuil. Il est triste pour chaque instant qu'il n'a pas passé avec son fils. Il repasse en revue la dernière semaine de son fils et se fait des reproches pour chaque acte, pour chaque petite décision qu'il croit avoir du faire autrement et mieux. "La mort, c'est une machine à regrets."

Le récit est raconté du point de vue du fils, décédé. On écoute une sorte de dialogue entre Lion et son père que le père, malheureusement pour lui, ne peut pas entendre.

Le fils observe, commente, analyse son père et les actes de son père sans pitié de façon ironique. "Il se dit qu'il renifle mon odeur. En fait, ça pue, je ne les avais jamais fait laver ces draps ni cette couette."

Néanmoins, "Le fils" reste un roman plutôt triste, encore plus, si on sais que le livre a été écrit après la mort du fils de l'auteur. C'est la biographie, la manière de surmonter sa douleur d'un homme qui a un talent de récit incroyable. Le plus important n'est pas la douleur du père, pas son deuil mais toujours l'amour vers son fils.

Michel Rostain a écrit un livre très émouvant et très triste qui donne du courage et qui montre que malgré tout, la vie va continuer.
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Le fils

En 2003, Michel Rostain perd son fils, Lion, d’une méningite foudroyante à l’âge de 21 ans.

Inspiré de ce fait réel, le roman fait parler le fils décédé qui regarde affectueusement son papa anéanti par le deuil. Il évoque les jours qui ont précédé la tragédie jusqu’aux obsèques.



Ce roman aurait pu prendre un style autobiographique sous forme de témoignage exhibant la souffrance d’un père. Cela aurait pu être complaisant, larmoyant, voyeur… Eh bien, non. L’auteur évite tous ces écueils en choisissant avant tout comme technique narrative la voix du fils.

Celui-ci évoque certes le chagrin de ses parents et le bouleversement que représente sa mort, mais c’est de manière pudique, directe, et souvent ironique.

Il parle également de la culpabilité du père qui va par exemple faire des courses alors que son fils vit ses derniers instants ou qui regrette de ne pas avoir fait ou dit telle chose…. Il évoque les souvenirs heureux, ceux qui le sont moins, ou ceux qui ne survivront pas au deuil...

Ce roman émeut en réalité parce qu’il évoque tout aussi bien des moments tendres que des moments absurdes comme les angoisses pathétiques du père ou l’épisode de l’enterrement et de la crémation, avec même quelques touches d’humour : « Je n'ai rien à dire : un mort ça ferme sa gueule. D'ailleurs, un mort, ça n'a pas de gueule ».

Ce roman touche finalement par la force de son style, percutant, rythmé et même saccadé, comme ci ces soubresauts rendaient mieux compte de la douleur que les mots eux-mêmes.

Par son style et en relatant, par la voix de son fils, la brutalité du deuil, l’auteur fait passer le message suivant : le seul remède à la souffrance, c’est de continuer à vivre.
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Le fils

Les premières phrases du roman annoncent tout de suite la couleur: « Papa fait des découvertes. Par exemple ne pas passer une journée sans pleurer pendant 5 minutes, ou trois fois 10 minutes, ou une heure entière. C’est nouveau. (…) Le onzième jour après ma mort, Papa est allé porter ma couette à la teinturerie ». De fait, c’est un jeune homme récemment décédé, prénommé Lion, qui va s’exprimer sur le deuil de ses parents, et plus spécialement de son père.

Donc, le jeune mort raconte lui-même sa brève maladie, son décès, son incinération et, surtout, les affres de douleur et d’incompréhension de son père. Il le fait avec détachement, humour, à la limite de la "mise en boite". En fait, son père est à la fois sentimental et provocateur, hyper-rationnel et intuitif, impulsif et porté aux regrets. Les parents improvisent des belles obsèques empreintes de folie et choisissent pour Lion un cimetière marin. Ils conservent les cendres pour les disperser sur les pentes d’un volcan islandais - celui-là même dont l’éruption perturbera le trafic aérien quelques années plus tard.



J’ai trouvé que ce roman véhicule une énorme émotion, qui fait vibrer le lecteur, généralement sans sombrer dans le pathos. Le lecteur compatit, il sourit douloureusement, il accompagne le père éploré (qui refuse sa pitié), il note avec indulgence ses réactions… parfois saugrenues ou déplacées. Tout simplement parce que ce héros malgré lui est humain, comme nous tous.

J’oserai une critique, la voici. Dans sa vie professionnelle, Michel Rostain est un homme de théâtre. De fait, par la bouche de son fils décédé, le papa se "met en scène"; j’ai quelques réserves devant cet étalage de sentiments douloureux. Par exemple, aux obsèques le père manifeste un manque de pudeur qui est rapporté fidèlement et qui me gêne un peu. Ou encore le réflexe de « paparazzi » du père, consistant à emporter son appareil photo pour aller « mitrailler » le cadavre de son fils aussitôt après son décès.

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Le fils

C'est le récit d'un deuil, un des plus difficiles je pense celui de son enfant, dans ce livre celui de son fils, terrassé par une méningite foudroyante à 20 ans.

L'auteur raconte les faits les plus marquants du jour tragique au semaines qui suivent.

Ce qui que j'ai bien aimé c'est le fait que ce soit le fils qui parle au père ce qui permet de prendre du recul et ne pas tomber dans le larmoyant.
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L'étoile et la vieille

Malgré un sujet peu attractif, je me suis laissée mener avec douceur par la tendresse des sentiments que veut nous transmettre l'auteur, bien qu'il ne soit pas qu'élogieux envers notre vieille étoile.

Par la finesse de sa plume M. Rostain nous livre à nouveau (après Le fils) sa délicatesse. Rare chez un homme.

L'effet est contradictoire. L'ouvrage est peu passionnant, mais un certain panache découle de ce roman (en grande partie auto-fiction à mon sens).
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Le fils

déchirant, pas si optimiste que cela
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L'étoile et la vieille

Un livre tout en paradoxes: un "metteur" (dieu que j'ai détesté cette appelation)en scène est chargé de mettre au point le dernier spectacle d'Odette, gloire française de l'accordéon. L'auteur trace deux portraits avec le style employé:

- pour le metteur-en scène, phrases qui montent et retombent assez brutalement, symbolisant je pense l'artiste bobo-chic-avant-gardiste-un brin intello mais pas reconnu à mesure de son talent ou de ce qu'il voudrait;

- Odette partagée entre la vieille dame qui cache ou ignore les signes de l'âge et son personnage de monument de l'accordéon, dont elle parle à la 3ème personne avec une grandiloquence en décalage avec la réalité.



Ce livre est le récit d'une catastrophe annoncée. Séduit par le personnage, le metteur en scène accepte donc ce spectacle. Passée la découverte mutuelle tout va de mal en pis car les étoiles du spectacle ne sont que des êtres humains. Culpabilité aussi de détromper ceux pour qui l'étoile brille encore.



L'auteur nous laisse entendre qu'il s'agit là de la version romancée, revue et corrigée, d'une expérience proche avec Yvette Horner. Il ne manque pas d'audace et d'autodérision dans la manière dont il présente son propre personnage. Le traitement du personnage d'Odette me laisse plus dubitative j'y vois plus l'ironie que la tendresse annoncée.



Pas de coup de foudre, mais une rencontre littéraire intéressante qui me donne envie de lire d'autres ouvrages de l'auteur (le fils).
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L'étoile et la vieille

J'avais adoré "le fils" de Michel Rostain, j'étais donc impatiente de lire son second livre.

Autant le dire tout de suite : j'ai été déçue.



Si l'on retrouve dans "l'étoile et la vieille" une écriture fluide et agréable, le sujet est traité de façon discutable. Dans "le fils", Michel Rostain réussit à parler de la mort de ce fils jeune adulte d'une façon décalée, pas larmoyante du tout, c'est ce qui rend la lecture si agréable et si émouvante.

Dans "l'étoile et la vieille", l'étoile est montrée sous un angle bien peu flatteur : elle ressasse sa gloire passée, manipule ou essaie de manipuler tout son entourage, parle d'elle à la troisième personne... bref, elle est insupportable.

Alors quand elle perd la tête, ne s'y retrouve plus dans sa musique, n'arrive plus à maîtriser les boutons et branchements de son accordéon, on ne ressent pas d'empathie pour elle. Du moins, c'est ce que j'ai éprouvé, et c'est ce qui m'a gênée dans toute cette lecture.



Un micro-chapitre qui tombe comme un cheveu sur la soupe après une cinquantaine de pages, nous indique que " cette Odette ressemble à bien des égards à la grande Yvette Horner..." : le lecteur l'avait compris depuis le début, et la description terrible de la déchéance de l'étoile désormais nommée devient vraiment cruelle. L'auteur a beau clamer "Yvette Horner, ma chère Yvette, si tu lis ces pages, je veux te dire que c'est comme une lettre d'amour", je n'aimerais pas recevoir une telle missive.
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Le fils

Un très beau roman, passionnant, émouvant et poignant, avec un sujet difficile à aborder...la perte d'un enfant. Tout au long du livre, on retrouve un hymne à la vie malgré une histoire portée autour du deuil et de la mort. En lisant ce récit, on "découvre" comment vivre avec la disparition d'un être cher, la complexité des différents sentiments ressentis ("papa pleure chaque fois qu’il pense à moi. Papa n’est heureux que quand il pense à moi. Papa est donc heureux chaque fois qu’il pleure."),pourquoi à la fois du "bonheur" et de la tristesse. Ce livre est poignant. quand on voit l'amour entre les parents et leur fils... et puis aussi la culpabilité qui ronge principalement le père, lui qui se demande si son fils aurait laissé la maladie le tuer, pourquoi allait-il voir un psychologue, et si au lieu d'avoir pris son temps à la pharmacie il avait été la pour son fils...etc. Un livre qui met des mots sur des sentiments et des ressentis indicibles.... à lire!
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Le fils

Le sujet de ce livre est assez difficile, puisqu'il est question de la mort d'un enfant, d'un fils. Michel Rostain décide de donner la parole à ce fils, puisqu'il est le seul narrateur de cette histoire. Le ressenti à la lecture est ainsi totalement différent. C'est la douleur d'une famille à travers les yeux de la personne disparue, c'est la vision de ce fils sur les sentiments de ses parents, de ses proches. Il nous emmène dans sa vie d'avant le drame, dans celle de sa famille, nous fait découvrir l'apparition de sa maladie, terrible et rapide, puis de sa mort et avec elle l'apparition de la douleur de la perte. C'est pour cette raison, il me semble, que le récit ne tombe jamais dans le pathos, dans les bons sentiments. Ce fils, à qui l'auteur donne la parole, n'est ni plaintif ni en colère, il donne surtout l'impression de regarder la vie de ce père à travers une vitre teintée, de le suivre tout au long de deuil, de l'accompagner dans l'ombre...
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L'étoile et la vieille

Quand visiblement le corps n'en peut plus, qu'est ce qui pousse ces vedettes à monter encore et toujours sur scène? Odette est de celle-là. Annuler son concert, c'est la tuer. Selon Fiescher-Dieskau, dit l'auteur, les musiciens meurent deux fois... la première est la plus terrible, quand ils ne peuvent plus jouer ou chanter...

Et puis au delà de cet aspect du roman, il y a aussi la musique, et la rencontre et les connexions improbables entre un metteur en scène féru du lyrique et l'accordéoniste des musiques populaires. De nombreux refrains reviennent au fil des pages, comme une bande sonore d'une vie.

Et puis il y a Yvette Horner. L'auteur explique qu'il s'est inspiré d'un spectacle qu'il avait préparé en 2002 avec elle, et que bien que l'histoire soit fiction... une part d'ancrage est réelle, tout comme le personnage de la femme du metteur en scène, de son fils, ou de la "fée du théâtre".

Le rapport également metteur en scène - artiste,. l'histoire d'une rencontre, d'un magnétisme dégagé....



Une nouvelle belle découverte
Lien : http://lecture-spectacle.blo..
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