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Critiques de Michel Rostain (128)
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Le fils

Formidable ode à la mémoire de ce fils disparu. Un récit comme on voudrait pouvoir le faire - quand touchée aussi par la disparition brutale d'un fils - avec cette transcription de notre comparable douleur, il nous " allège " un peu de son poids, par l'embellie de la vie rompue mais qui se perpétue...
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Le fils

Court roman, mais une tellement belle histoire. Un gamin, de 21 ans à peine succombe d'une méningite. C'est le drame pour les parents qui n'avaient qu'un seul enfant.

Pour guérir de son immense chagrin, le père, Michel Rostain, a écrit ce récit, comme raconté par son fils décédé. Une leçon de courage, d'amour et de tendresse.

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Le fils

Le Fils est le premier roman de Michel Rostain, un metteur en scènes d'opéra qui a dirigé la Scène Nationale de Quimper de 1995 à 2008. C'est pendant cette période qu'il a perdu son fils âgé d'une vingtaine d'années, expérience à l'origine de ce roman sur le deuil des parents face à la disparition de leur enfant adulte.



Le onzième jour après ma mort, Papa est allé porter ma couette à la teinturerie. Monter la rue du Couédic, les bras chargés de ma literie, le nez dedans. Il se dit qu'il renifle mon odeur. En fait, ça pue, je ne les avais jamais fait laver ces draps ni cette couette. Ça ne le choque plus. Au contraire : subsiste encore quelque chose de moi dans les replis blancs qu'il porte à la teinturerie comme on porterait le saint sacrement. Papa pleure le nez dans le coton. Il profite. Il sniffe encore un coup la couette, et il pousse enfin la porte du magasin.



Papa ne peut plus traîner. Condoléances, etc. Le teinturier – re-condoléances, etc. – débarrasse papa de la couette. Papa aurait voulu que ça dure, une file d'attente, une livraison, une tempête, juste que ça dure le temps de respirer encore un peu plus des bribes de mon odeur. Papa se dépouille, il perd, il perd.





Cet extrait, en quatrième de couverture, résume bien le style et le ton de l'ensemble du roman : c'est tendre, émouvant et plein de détails du quotidien qui apportent du « réel » au récit et montrent à quel point ce roman est auto-biographique. Auto-biographique pour l'auteur, car le narrateur a la particularité d'être mort : Michel Rostain a en effet fait le choix – dangereux mais réussi ici – de faire parler le fils décédé. C'est le même procédé que celui qu'avait utilisé Philippe Besson dans Un garçon d'Italie, mais l'effet ici m'a beaucoup plus convaincu.



Au fil des cent soixante-dix pages du roman, Michel Rostain nous raconte les derniers jours du fils, ses dernières heures, et les mois de deuil qui ont suivi l'événement tragique. Difficile de ne pas être touché par ce récit simple et plein de tendresse. La vraie réussite de ce roman, c'est son sens de la nuance : le texte est en effet réaliste et poignant sans être oppressant. Il finit même sur une note optimiste, presque d'enthousiasme, comme pour donner raison aux paroles maintes répétées par le père : « Vive la vie ! ».



« Vive la vie ! » résume d'ailleurs parfaitement ce roman, qui constitue un très beau témoignage sur la vie de deux parents frappés par le drame et qui continuent à vivre, car « on peut vivre avec ça ».
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Le fils

Un roman poignant sur la perte d'un enfant. Le récit du chemin du père raconté par le fils...

C'est une lecture extrêmement émouvante et personnelle sans faire étalage de la douleur... On y pleure, on y sourit, on y respire
Lien : http://www.agoaye.com/mes-le..
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Le fils

Michel Rostain a eu la meilleur façon de faire son deuil. Avec les mots. Ces mots qui nous saisissent tout naturellement! Et la narration est tout autant émouvante, elle brinqueballe comme si les mots se happaient dans la bouche du mort, quelle manière de rendre vivant un souvenir, un instant de vie, un adieu parfait. Étant moi-même enfant unique, chaque page m'a beaucoup ému, je m'identifiais au narrateur et je me trouvais en train de raconter les troubles de mon père ou de ma mère si, seulement si j'étais morte à vingt et un ans...c'est dire que le livre ne m'a pas du tout fait pleurer mais il a rempli mon esprit, et je suppose qu'il va y rester pour longtemps!
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Le fils

Livre hommage / témoignage d'un père à son fils trop tôt disparu de maladie.



Ne fuis pas futur lecteur, ce livre n'est pas triste !



Il s'agit d'un livre d'amour, celui d'un père plein d'amour, plein d'espoir, à la recherche de l'acceptation de cette épreuve trop douloureuse, un livre thérapie ? - sans doute aussi -, un livre de souvenirs : ceux des moments heureux que l'on ne veut pas oublier.





Bien entendu, ce livre est plein d'émotions, mais écrit avec une certaine pudeur, comme avec de la délicatesse,

vous serez probablement "pris aux tripes" par cette belle histoire mais heureux de cette découverte.



Magnifique histoire

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Le fils

Une écriture sensible qui fait mouche



Commençons par l'évidence : ce livre m'a fait pleurer. Pas un peu. Pas non plus en sur-dramatisant la mort de l'enfant, déjà bien assez triste sans artifices. L'écriture de Michel Rostain est sensible, aux sens français et anglais du terme : on y trouve à la fois une richesse de sentiments et de sensations à fleur de peau, et une distanciation jamais plus cruelle que nécessaire, jamais cynique.



Difficile de mettre une note à ce type de récit : que du positif pour le style et pour le message apaisant qu'il délivre. Mais une hésitation, ou pour tout dire un questionnement personnel, quant aux motivations profondes qui m'ont fait acheter et aussitôt dévorer ce livre, dont je ne sors ni totalement indemne ni profondément bouleversé ; j'ai davantage l'impression d'une empreinte, douce, laissée dans ma mémoire en vue de jours plus sombres.
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Le fils

J'ai lu ce livre de Michel Rostain, paru à la mi janvier 2011, en deux soirées.

L'auteur, né en 1942, est metteur en scène d'opéras. Il a dirigé la Scène nationale de Quimper- Théâtres de Cornouaille - de 1995 à 2008 et surtout il a vécu ce drame -la perte d'un fils- dont il nous parle de manière si émouvante.



Le narrateur, Lion, jeune homme de 20 ans, vient de mourir d'une méningite fulgurante et nous raconte, avec humour et tendresse, le deuil de son père. Il nous dit tout, du plus bouleversant au plus absurde, sur les jours et les semaines qui ont précédé et suivi la mort : les jours d'avant où l'on ne savait pas que tout allait basculer, où l'on gaspille du temps si précieux à faire les courses au super marché, et les jours d'après où il faut tout organiser : funérailles, succession...

L'auteur nous dit aussi le chaos et la solitude qui suivent l'enterrement, quand l'absence commence véritablement, et que la vie, pourtant, reprend peu à peu le dessus... Les questions, les regrets, les incompréhensions fusent dans la tête du père.





La mère est là aussi, accablée par cette mort subite, mais dans l'ombre car ce livre met surtout en lumière l'amour du père pour son fils et sa détresse.
Lien : http://www.unebonnenouvellep..
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Le fils

Ce livre est atrocement joli. Dans une des critiques, on lit qu'en découvrant ce récit, on peut très bien rire comme pleurer. Et c'est tout à fait ça. J'ai passé une soirée dessus, sans pouvoir m'arrêter. Je trouve que la façon dont est racontée l'histoire, du point de vue de Lion, donne un effet très spécial lors de la lecture. On a l'impression d'être avec lui, d'observer ses parents dans un coin, de contempler leur douleur et leur tristesse, mais aussi leur progression pour s'en sortir et recommencer à vivre. Ce livre m'a beaucoup touchée.
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Le fils

Le sujet est vraiment dur, le cheminement se fait pas à pas et l'auteur éclaire le lecteur sur une part souvent indicible... la lecture peut mettre mal à l'aise et donc je ne la conseillerai pas à tout le monde. Ce livre reste un très beau récit, au cœur de la Bretagne.
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Le fils

La perte d'un enfant, un sujet bien douloureux et difficile à traiter. Ce père a choisi la voie de l'écriture pour exorciser son chagrin. Il décrit la douleur, la culpabilité, et utilise un mode de narration assez original puisque c'est le fils disparu qui raconte...... Du coup j'ai éprouvé quelques difficultés à ressentir de l'empathie..... La construction du roman est un peu brouillon, avec quelques longueurs. Avis très mitigé......
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Le fils

L'auteur a perdu son fils de 20 ans, Lion, mort en deux jours d'une méningite foudroyante. Il conte dans ce livre, vu par les yeux de son fils après sa mort, les derniers jours de celui-ci, tous les détails qui auraient pu lui faire penser que son fils allait mourir, les regrets aussi de n'avoir pas profité de chaque instant avec lui, au lieu d'aller faire les courses au supermarché. On passe ensuite à la période de deuil et au message final d'espoir qui est que l'on peut, malgré tout, vivre avec ça.

Au delà du thème qui est très personnel, on peut reprocher à ce livre son style télégraphique sans grande recherche et son absence de descriptions et d'anecdotes en dehors de tout ce qui touche au décès du fils. Je ne suis pas sûre que le fait de faire parler le fils apporte beaucoup au récit, ce d'autant que la mère apparaît très absente dans les pensées de son fils; cette construction paraît ainsi artificielle. En outre, les réactions des parents et des proches m'ont parues beaucoup trop théâtrales, à tel point que cela en devient agaçant, au lieu d'être touchant. Enfin, le dernier chapitre est comme un condensé de tout ce qui n'a pas pu être placé avant, des anecdotes en relation avec le fils sans véritable lien entre elles. Par rapport aux Vies imaginaires d'Eugène, par exemple, je trouve qu'il y a finalement peu de matière originale pour en faire un roman intéressant. L'impression générale est que l`auteur cherche surtout à faire passer un message d'espoir, non à faire une oeuvre littéraire.

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Le fils

Je n'ai qu'une chose à dire de ce roman ... il faut le lire.
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Le fils

Michel Rostain utilise les yeux de son fils décédé pour revenir sur cet évènement et prendre du recul sur ses réactions après le drame. Il semble se servir de cet écrit pour pouvoir tourner la page sur cette triste période de sa vie familiale, tenter d'effacer son sentiment de culpabilité et ainsi continuer à vivre avec.

C'est un roman empli de larmes, qui nous prend aux tripes. Quelques petites touches d'humour sont parsemées dans le récit, mais ne permettent pas de monter le niveau de notre moral à la sortie de cette expérience. En père endeuillé, l'auteur ne retient que les bons souvenirs de son fils et nous tire un portrait peut-être un peu trop idéalisé pour notre oeil extérieur.

L'écriture originale offre une lecture plaisante. Seulement cet ouvrage paraît être finalement plus indispensable à son auteur qu'à ses lecteurs.
Lien : https://leslivresdek79.wordp..
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Jules, etc.

« D’un geste précis du bras droit, le torero de quatre-vingts ans resserre ensuite son tempo. Il ramène l’étoffe contre lui et l’arrête net. Le taureau fait un brusque demi-tour. Il s’immobilise à deux mètre … ».



Et voilà, le décor planté, un livre sur un sujet à polémiques, la tauromachie. Je viens (et je vis) du sud-ouest et j’ai grandi avec les férias, l’auteur à choisi Nimes comme décor à cette histoire mais le combat reste le même, la corrida est un sujet qui divise !



Michel Rostain est un fervent défenseur des traditions et il nous livre là un livre sur la religion, la tauromachie … et la transmission des valeurs, qu’elles soient religieuses ou familiales mais qui sont toujours très personnelles et souvent secrètes ! Sans être une afficionada, c’est un art que je connais et donc rien ne m’a déroutée ni dérangée dans ce livre et je suis très vite rentrée dans l’histoire (Ceci dit, je doute que tous les lecteurs ait le même ressenti que moi).



Le fil rouge en est « Généroso », une petite figurine, porte-bonheur en bronze représentant au taureau que les membres d’une même famille se transmettent les uns au autres. Nous découvrons Généroso en 1835 et l’histoire s’achève en 2014.



Cela se lit vite, le livre est agréable, l’écriture simple mais pas niaise, il y a de l’émotion … mais c’est aussi là que le livre pêche puisque ces émotions restent superficielles et les thèmes abordés filent les uns après les autres, comme si les frontières des secrets empêchaient le lecteur de rentrer davantage dans l’intimité de ces personnages.



Voilà un avis mitigé sur ce roman lu dans le cadre de l'opération Masse Critique. Je remercie Babelio et les éditions Kero pour cet envoi.
Lien : http://www.instantanesfutile..
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Le fils

A rapprocher de Martin cet été, de Bernard Chambaz
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Jules, etc.

Dans le cadre de l’opération Masse Critique, j’ai eu la chance de lire Jules, etc. le dernier roman de Jules Rostain. Je remercie Babelio et les éditions Kero pour cet envoi.



Michel Rostain a obtenu le Goncourt du premier roman en 2011 avec le Fils. Jules, etc. est son 3ème roman.



Autant le dire d’emblée, le sujet de cet opus ne plaira pas à tout le monde ! En effet, le thème central du livre tourne autour de la corrida. S’il donne dans une partie au travers des yeux de Camille, nordiste, la parole aux anti-corridas présentés comme des pacifistes (« la torTure n’est pas notre culTure » leur fait il chanter face à la violence brutale des pro-corridas), Michel Rostain nous livre un véritable plaidoyer en faveur de la corrida.



L’auteur s’y connait et a l’air fan, on retrouve tout le vocabulaire inhérent à ce spectacle ? Art ? Tradition ? Boucherie ? Torture ? (J’ai mon avis bien tranchée sur la question mais je vous laisse juge ;) ) tout au long du roman. Des noms des différents actes en passant par les caractéristiques des toros, les passes, vous aurez une vraie initiation au déroulement d’une corrida.



Pour ceux qui connaissent, c’est un réel plaisir. Il se dégage une vraie tendresse dans les paroles de Jules, de Eugène, de Claude, de Hugo, toutes ces différentes générations initiées par les anciens et amoureux de cette tradition. Avec deux points communs récurrents : la musique (pasodoble par ex.) et la présence de Generoso, petit bijou porte-bonheur transmis de génération en génération. Originaire de Dax, comme Jules, etc. j’ai baigné très jeune dans l’ambiance des ferias et vu beaucoup de corridas. J’ai ressenti beaucoup d'émotions et eu des frissons en lisant certains passages.



« Les noms des notes me sont donc venus comme les mots de l’arène, les do, les ré, les bémols, les dièses, les clefs et les mesures à la façon des veronicas et des muletazos ».



Pour ceux qui ne connaissent pas, cela est rapidement déroutant. En effet, même si l’auteur y adjoint des explications qu’il espère le plus claire possible, aucun des termes (ou presque) espagnols n’est traduit en Français. Je peux aisément imaginer que le lecteur novice se retrouve noyé, perdu aux milieux de mots incompréhensibles et ait du mal à rentrer dans le roman.



Il en est de même avec les locutions latines des cérémonies religieuses : pas de traduction. Au lecteur de comprendre et d’accepter. Nous sommes dans un livre à l’éducation très vieux jeu, traditionnelle, à l’ancienne (l’auteur le précise d’ailleurs par l’intermédiaire d’un de ces personnages)



« Vient ensuite un long dialogue en latin entre maman et le curé. Ils lisent dans leurs missels : - Fides, qui tibi proestat ? – Vitam oeternam. – Si igitur vis… Et caetera. Je ne comprends rien à cette voix ni à ce qu’elle marmonne.»



Car oui la religion, la corrida, … tout est et doit rester secret vis-à-vis du reste de la famille. Ne surtout pas dire aux parents que le bon-père Eugène m’amène voir des corridas, ne surtout pas révéler que maman m’a emmené à l’église, etc… Le culte du secret est omniprésent, chacun cherchant à transmettre ses propres valeurs à l'enfant.



Mais ce roman est avant tout un roman sur la transmission des valeurs de génération en génération. Michel Rostain use et abuse des traditions sudistes pour créer une atmosphère, une ambiance joyeuse et musicale servant à former et forger le caractère des plus jeunes. Amour, musique, chaleurs, découverte de son corps (masturbation et autres premières fois), traditions et corridas sont les thèmes récurrents tout au l ong des pages.



« Jules a organisé ce goûter et cette promenade pour cela, pour donner ; les enfants se construisent avec un don. »



« Sur la piste, me dit bon-papa, c’est une affaire de bonne distance entre le toro et le torero. […] Dans la vie, tu sais, c’est pareil ; il y a des frontières, il faut les deviner. Si on parvient à rester à la bonne distance, pas loin et même le plus près possible, alors on est juste. »



Ça se lit vite, ça se lit bien et c’est relativement agréable. Le style est simple, très dynamique car basé quasi uniquement sur des dialogues entre les deux interlocuteurs. On dévore les pages sans s’en apercevoir et on arrive à la fin du livre très rapidement.



« les microbes tauromachiques sont au travail. »



En ce qui me concerne, j’ai passé un bon moment en compagnie de Jules et sa descendance. Mais je ne peux le conseiller à tous vu le sujet abordé. C’est un roman de niche, il sera adulé ou détesté.



4/5




Lien : http://alombredunoyer.com/20..
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Jules, etc.

J’ai lu les deux précédents romans de l’auteur que j’avais particulièrement aimé surtout le fils. C’est donc en toute confiance que j’ai lu celui-ci, même si à priori il allait moins me plaire car je suis farouchement anti-corrida. Je confirme il m’a nettement moins plus. C’est dommage car habituellement j’aime les romans qui parlent de transmission et de la famille.



Un roman qui parle de valeurs importantes comme la transmission familiale, l’amour de l’art, de la musique en particulier. Mais, il me manquait un petit je ne sais quoi pour que j’aime vraiment. Je n’ai pas retrouvé ce qui me plaisait dans les précédents romans de l’auteur. Je l’ai lu entièrement mais pas avec l’impatience de celle qui veut connaître absolument la suite.



Heureusement, l’écriture de l’auteur donne du style et de la profondeur à une histoire à laquelle j’ai eu bien du mal à m’attacher.



VERDICT



Un avis mitigé sur ce roman qui ravira les fanas de tauromachie et d’histoires familiales. Je suis restée sur le quai mais je lirais volontiers le prochain de l’auteur.
Lien : https://revezlivres.wordpres..
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Jules, etc.

Je remercie Babelio et les éditions KERO qui m’ont permis de découvrir ce roman par le biais de la Masse Critique.



On ne peut pas dire que je sois fan de ce roman. Je n’ai pas adhéré du tout. Il m’a laissé de marbre. Vraiment désolée.



Michel ROSTAIN nous fait faire des bons en avant, de génération en génération, mais reste très évasif. Le seul lien est que chaque génération à un membre de la famille qui va adhérer à la tauromachie, contrairement au reste de la famille, et à chaque fois ce sera un secret.



Bof…

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Le fils

Chacun fait comme il peut pour survivre après le décès brutal d'un enfant.

Ce père a eu besoin d'écrire, et son écriture est à la fois poétique, émouvante, brutale et percutante. Elle m'a laissée sonnée éberluée par cette quantité d'amour et cette effroyable douleur.

Un magnifique récit lucide et intense.

(lu 2013)
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