La vivacité de la littérature américaine est encore démontrée dans ce livre où Nathan Hill tente tout presque toujours avec réussite.
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Roman un peu long mais très explicite sur la société americaine ,
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Les fantômes du vieux pays, c'est 700 pages ! Il aurait pu n'y en avoir que 400 pour nous conter l'histoire de Samuel, professeur de littérature, accro aux jeux vidéos et un peu mal dans sa peau. Et celle de sa mère ancienne hippie qui l'a abandonné quand il avait 7 ans.
Il la retrouve alors qu'elle fait la une des médias pour avoir jeté des cailloux sur un gouverneur républicain.
C'est le prétexte pour suivre ces 2 vies en alternance et retracer l'histoire d'une certaine Amérique des 50 dernières années.
C'est une lecture ou l'on s'ennuie parfois, mais pas assez pour l'abandonner.
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Cette révélation étrangère de l'année 2017 fut pour moi une véritable révélation en 2018. Quelle richesse, quel humour, quelle analyse caustique de la société américaine contemporaine!!!Vivement un deuxième roman de Nathan Hill, jeune auteur plein de promesses … en espérant qu'il ne mette pas cette fois 8 ans pour l'écrire ...
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Histoire prenante qui vous fait traverser les époques en allant des grèves étudiandes de 68 jusqu'à nos jours. Le roman expose un drame familiale mêlant plusieurs générations à travers l'Amérique du Nord et la scandinavie.
J'ai apprécié le livre bien que je suis resté sur ma faim une fois celui ci terminé.
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Un gros pavé que dont j'ai dévoré rapidement, avec beaucoup de plaisir, les 400 premières pages. Personnage attachant, belle écriture pleine d'humour. Et puis je me suis un peu lassé. J'ai survolé rapidement les 300 dernières pages, pour connaître la fin. Beaucoup de longueurs, notamment à propos de ces joueurs de jeu en ligne...
Ce roman me fait penser à l'affaire Harry Quebert de Dicker, mais avec un style plus enlevé.
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Ce roman n'a malheureusement pas su capter mon attention. A force de longueurs, on se lasse et les personnages peu attachants et sans profondeur m'ont laissé de marbre...Peut-être suis-je passée à côté mais je n'ai pas pu le terminer.
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L’histoire démarre sur des graviers lancés sur un gouverneur conservateur, candidat à l’élection présidentielle. Bon exemple de la théorie des dominos : ces quelques graviers vont conduire à un fils qui retrouve sa mère et découvre des secrets bien cachés, à cette même mère de connaître enfin la vérité sur les fantômes que son père, d’origine norvégienne, avait emmenés avec lui lorsqu’il a émigré aux Etats-Unis.
C’est le genre de roman qui entremêle différents destins : celui de Samuel, professeur dans une université de seconde zone et écrivain raté, Faye dont la vie semble n’avoir été faite que de frustrations, Béthany, violoniste de renom mais qui souffre de la mort de son frère jumeau, Bishop, le frère de Bethany, qui semble ne s’être jamais remis d’un traumatisme durant l’enfance… J’ai employé le mot « destin » et non « vie », comme si chacun de ses personnages avait une destinée et que, quels que soient les choix qu’il fait, il se retrouve toujours renvoyé à elle. L’auteur fait d’ailleurs un parallèle entre la vraie vie et celle imaginaire dont on fait l’expérience dans les jeux vidéo ou les petits livres « histoires dont vous êtes le héros ». A certains croisements de votre vie, vous devez faire des choix et, seulement après, vous savez si c’est le bon choix ou pas. Pour certains, ils font systématiquement le mauvais choix et leur vie aurait pu être tout à fait autre si ils avaient fait des choix différents.
Le roman nous plonge également dans les émeutes de Chicago en 1968. Il nous raconte la vie des étudiants sur le campus, les aspirations de chacun, les réunions de groupe. Il nous ramène à une époque où l’on enseignait encore aux jeunes filles à être de bonnes épouses, ce qui devait être le seul but de leur vie. Pourquoi vouloir aller à l’université ? L’ancienne génération ne comprend pas ces jeunes aux cheveux longs qui se droguent et prônent l’amour libre. Nous subissons de plein fouet les violences policières.
J’aurais en revanche bien aimé en savoir plus sur la vie de Faye. C’est pour moi le personnage principal du roman. Nous apprenons petit à petit qu’elle est allée à l’université, pourquoi elle est rentrée épouser Henry pour finalement quitter sa famille quelques années après et comment tout cela a pu l’amener à, un jour, jeter de petits graviers. Mais j’aurais aimé savoir ce qu’elle a fait de sa vie, ce qu’elle a vécu. Il y a une grand blanc d’une vingtaine d’années qui j’aurais bien aimé voir comblé. C’est probablement ce que je reprocherais à ce roman.
Je crois savoir que c’est le premier roman de cet auteur qui me semble très prometteur.
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Des personnages complexes et passionnants,
un héros lancé dans une enquête familiale et une quête de vérité, qui nous plonge dans l'Amérique des années 60 jusqu'à nos jours
Une belle écriture qui m'a fait enchaîner les pages et oublier la longueur du roman !
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J'ai honte de l'avouer car cela ne m'arrive jamais mais je n'y arrive pas ! j'ai très péniblement lu les 100 premières pages , insisté sur les 100 suivantes mais après avoir lu plusieurs autres livres en parallèle, je dois me rendre à l'évidence et poser celui ci.
C'est trop lent, certaines descriptions trop longues et selon moi inintéressantes (le jeu vidéo!).
Peut être le reprendrais je un jour ....
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Dans une petite ville américaine, un beau matin, une mère abandonne mari et fils de onze ans en confiant au garçon de se donner tous les moyens de devenir ce qu'il veut devenir. Mais cette fuite fragilisera beaucoup l'enfant déjà vulnérable et hypersensible.
,Plus tard, le petit garçon est devenu ,pendant les heures de cours,un professeur peu motivé et malmené par ses élèves puis, les cours terminés, un elfe dans un jeu vidéo"elfscape".
C'est en apprenant que sa mère ( non revue depuis l'age de 11 ans) a agressé un candidat à la présidentielle que sa vie va basculer : il sera amené à la rencontrer, mais elle refuse de parler. Il cherchera alors à savoir qui elle est et la raison de tous ses actes.
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700pages qui se lisent facilement, dans un style plus ironique et sarcastique qu'humoristique. Critique de notre société avec toutes ses erreurs, et excès. Difficile de ne pas sourire dans ces passages.
un des grands thèmes de ce livre concerne les choix que nous devons faire sur le chemin de notre vie : le héros et sa mère n'ont jamais fait les bon choix
En lisant ce roman , on partage trois époques de la vie de ce garçon et de sa mère: 1968,1988, 2011, mais l'auteur commence son livre en 20011. Quant aux fantômes, ils viennent de norvège, des histoires que lui racontaient son grand-p§re maternel qui lui aussi, cache un lourd secret.
la lecture reste un plaisir avec ce livre.
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