AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Nicolas Baverez (14)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
(Re)constructions

S’appuyant sur des données sanitaires et économiques solides, Nicolas Baverez dresse le tableau du monde au lendemain de l’épidémie COVID-19, établit un diagnostic sans concession de l’état des principaux blocs politico-économiques, et rappelle les axes d’une reconstruction.



Rapport brutal, que d’aucuns jugeront pessimistes, mais qui éclaire singulièrement les choix politiques à venir.



Les pandémies font l’histoire et l’auteur rappelle ce que furent la peste d’Athènes (-429 à - 427), la peste de Justinien (541 à 610), la peste noire du XIV (1347 à 1351), le choc microbien lors de la découverte des Amériques et la grippe espagnole en 1918. Il souligne que le SRAS en 2003, le virus Ebola, ont été observés par les dirigeants occidentaux qui n’en ont tiré aucune leçon par manque de courage plus que de lucidité.



Les dégâts humains, économiques sont très lourds ; les atteintes aux libertés individuelles et publiques probablement irréversibles dans un monde où les démocratures remplacent progressivement nombre de démocraties.



La France figure parmi les principaux perdants. Elle est entrée dans cette crise affaiblie par les conséquences du krach de 2008, elle a été durement touchée par les attentats djihadistes, les «gilets jaunes» et les grèves contre le projet de réforme des retraites. Elle se trouve aujourd’hui déclassée, cumulant la pire récession du monde développé avec une baisse de 12 % du PIB, le retour d’un chômage de masse touchant et une dette publique pesant 120% du PIB fin 2020. C’est un juin 1940 sanitaire et économique que nous subissons.



L’Europe s’est divisée face à la crise et l’écart entre une Allemagne industrielle, laborieuse, aux comptes équilibrés, gouvernée par une coalition, et une France, au pouvoir autoritaire et impuissant face à la drogue et à l’immigration, qui s’enfonce chaque jour dans le déficit et l’endettement.



L’occident recule devant l’orient et les menaces du djihadisme, des dictatures et d’une course aux armements qui vise l’espace, les pôles le cybermonde.



Comment reconstruire la démocratie, le système économique, l’Europe et la France ?

L’auteur promeut une politique inclusive axée sur trois piliers, l’éducation, le travail et la citoyenneté active mobilisant la protection sociale vers celles et ceux qui acceptent de se former pour accéder à l’emploi, ou d’exercer une activité sociale d’intérêt général.



Il conclut en appelant au courage de la vérité, car le déclin du courage est le moteur du déclin de la démocratie. Rester immobile ou regarder vers le passé, est l’assurance d’être ruiné.



Tocqueville au XIX, Raymond Aron au XX, sont deux guides dont Nicolas Baverez s’inspire pour élaborer ce projet de reconstruction aussi ambitieux que nécessaire.



Malgré l’aridité du sujet, cet ouvrage est d’une lecture aisée et agréable grâce à la clarté de l’écrivain et peut donc être largement recommandé.
Commenter  J’apprécie          7710
La France qui tombe

Ce petit essai de l'un des éditorialistes à l'hebdomadaire "Le Point" qui date de 2003 reste hélas toujours d'actualité mais aussi d'une réelle lucidité et clairvoyance sur les faiblesses et les défis qui affectent notre cher pays .. à 6 mois de l'élection présidentielle.
Commenter  J’apprécie          280
La France qui tombe

« La France qui tombe », un petit essai bien dans la lignée de la production de Nicolas Baverez…



Une première partie qui dresse un tableau, hélas peu ragoutant, d'une France en déclin, mais surtout, qui présente le vote du 21 avril 2002 qui vit JM Le Pen au second tour de la présidentielle comme l’expression d’un ras le bol généralisé et une demande d'action immédiate à la future majorité, en vue de mettre un terme à une dérive qui commence à toucher les porte-monnaie.



Une deuxième partie, celle du bilan, un an après le 21 avril 2002, soit après un an « d'action » d’un gouvernement disposant de tous les atouts pour agir… il est à peu près nul, si l’on en croit l’auteur : aucun projet sérieux de réforme de l'Etat et de ses institutions, aucune vision décelable de grand projet de redressement… Celle du bilan, en même temps que celle du questionnement : « n’y aurait-il vraiment, en France, que la voie de la révolution, par nature violente pour réformer le pays ? »

Les français aiment à se faire peur…



Un ouvrage à lire absolument, par les temps qui courent…

Commenter  J’apprécie          130
Raymond Aron

Une biographie dense et détaillée, pour lecteurs motivés ou pour universitaires. XXème siècle, âge des extrêmes, avait dit Hobsbawm. Idéologies et régimes extrêmes. Spectateur engagé de son temps, Raymond Aron a été particulièrement critique face aux idéologies.



Cette biographie très documentée pèche par un manque de vivacité. Austérité, égalité de ton, exigence d'objectivité. Cependant l'objectivité n'est pas toujours au rendez-vous - un exemple pour illustrer une excessive générosité : « Dans son activité et ses livres, Aron fut à partir de 1955 professeur avant tout, le plus talentueux et le plus prestigieux de la France de l'après-guerre. » p373



Revenons aux choses sérieuses : « L'évènement qui pesa de manière décisive sur la vie d'Aron fut évidemment sa brouille avec Jean-Paul Sartre » (p303), une brouille qui s'étale sur trois décennies.

Autre élément fondateur dans la bio d'Aron, le séjour en Allemagne de 1930 à 1933, années de l'ascension d'Hitler. Témoin de l'histoire, Aron avait 25 ans, il a bien ouvert les yeux, il a tendu l'oreille, désormais il était vacciné.

« Aron disposait de plusieurs longueurs d'avance dans la compréhension du siècle. Face à la vieille Sorbonne positiviste, qui n'avait que Kant et Comte à opposer à Hitler, il disposait d'une intelligence de la situation qui le poussa, parmi les premiers, à faire le choix de Londres. Face aux intellectuels de l'après-guerre, fascinés par Marx et le soviétisme, il disposait d'une réfutation complète et irrécusable des idéologies fondées sur le sens de l'histoire. » P 184



Beaucoup plus tard, en 1981, lorsque l'histoire a confirmé une partie des arguments formulés par Aron, deux jeunes essayistes lui consacrent un long entretien pour la télé. Un bref extrait de la présentation : « Pour notre génération, celle qui est née à la politique en mai 1968, la pensée de Raymond Aron a représenté une sorte de ‘pôle négatif'. Quand nous avons étudié à l'université, elle était cataloguée sous le label ‘réactionnaire'. Elle était moins entendue en tant que telle que perçue au travers d'un filtre idéologique. Bref, c'était intelligent, mais de droite ! » p 643, extrait du texte de J-L Missika et D Wolton pour le dossier de presse du Spectateur engagé, Antenne 2, 1981. Justement, le livre le Spectateur engagé qui reprend ces entretiens reste une excellente alternative à la présente biographie : c'est bref, vivant et complet, il permet de comprendre la trajectoire et les engagements de Raymond Aron.



Un mot de Max Gallo, dans une lettre à Aron de 1980 : « Mais je m'interrogeais. Faut-il donc que notre besoin d'irresponsabilité et d'irrationalité soit grand pour que Sartre – au-delà de ses immenses talents et de son génie – ait suscité une telle fascination ? le discours responsable et raisonnable, cette austérité font-ils à ce point peur ? » p640.

Commenter  J’apprécie          90
Réveillez-vous !

La carte de visite de Nicolas Baverez le qualifie pour porter un avis sur la situation économique et politique de la France, de l'Europe et du monde. Avec "Réveillez-vous"(2012), huit ans déjà après "La France qui tombe", l'économiste français maintient le cap et prévient que la grave crise économique de la mondialisation reste devant nous. L'attitude irréaliste des responsables politiques, français en particulier, contribuerait à l'imminence d'une grande dépression.

[...]

Quatre leviers pour sortir de la crise :

- Générer des gains de productivité en améliorant le capital humain par l'éducation et l'innovation

- S'adapter et réinventer des modèles : au nord, priorité à l'investissement productif et refonte des États-providence ; au sud, priorité à la consommation, à l'ouverture des marchés et progrès de l'État de droit.

- Limiter les risques globaux en créant une vraie coopération des pôles de la mondialisation et de leur banques centrales (enlisement de la coopération purement étatique, des ONU, G20,...)

- Rétablir la confiance dans les politiques, les institutions publiques et l'entreprise.

[...]

Le livre de Nicolas Baverez évite la langue de bois. Il cible les investissements publics (services, agents) au plan national et les structures politico-financières au plan européen. Bien que lourd de redites, manifestement porté par l'envie d'enfoncer le clou, l'essai est clair et à la portée d'un néophyte que ces questions intéressent. Il faudra quand même approfondir quelques notions d'économie afin d'en mesurer la portée.



Un essai autorise la réflexion, il n'apporte ni certitude ni recette magique. Pour autant que l'on entende et entérine les recommandations de l'économiste français, inverser la vapeur par l'activation des quatre leviers du début de cet article semble relever d'une dynamique fortuite, conditionnée par un nombre considérable de dispositions propices mais aussi de réticences. Il appartient néanmoins à la politique d'ouvrir des perspectives et de rendre espoir
Lien : https://christianwery.blogsp..
Commenter  J’apprécie          60
Démocraties contre empires autoritaires

Nos démocraties contre la russie/chine/Iran et Turquie pourrait on baptiser l ouvrage . L'auteur nous explique les problématiques, les erreurs, les manquements et les fautifs des démocraties face aux empires totalitaires , en premier lieu les chinois ( qui mène la danse aussi bien qu'economique que militaire ) et les Russes . Mais grâce peut être à l'agression de l'Ukraine par Poutine , un sursaut de l'Europe ( crise énergétique, crise alimentaire , crise démocratique) qui se rearme ( la France à un

plan de 400 milliards d'euro et une augmentation du budget alloué aux armées, d autres pays d Europe ont planifié un budget de 3 % de leur pib à leurs armées), la résurgence de l'OTAN qu'on disait à l'agonie , le retour des américains ( qui pour le coup sont fautifs sur tous les points ) . Bientôt une nouvelle guerre ?
Commenter  J’apprécie          50
Réveillez-vous !

Un mauvais diagnostic argumenté à coup d'affirmations non fondées et caricaturales. Pour l'auteur, la France va mal à cause des 35h, du retour à la retraite à 60 ans, de ses dépenses faramineuses et de ses entreprises surtaxées. Qu'est-ce qu'une surtaxe par rapport à une taxe ? C'est une des nombreuses considérations digne de l'économie de comptoir dont le Point, journal où officie Nicolas Baverez s'est fait une spécialité.

Et les solutions mises en avant ne valent pas mieux que l'analyse étirées sur 150 pages (sur 200) de pourquoi la France est en mauvaise posture par rapport à l'Allemagne (ce qui est à nuancer très sérieusement) ou la Chine, pays exemplaire à tout point de vue. Ces solutions consistent donc à mettre l'accent sur l'innovation et aller chercher des marchés dans les émergents. Innover pour sortir de l'impasse comme le préconiserait un imbécile heureux sorti des années 60 pour qui le progrès va forcément nous tirer d'affaire, et chercher des marchés en Chine (qui c'est bien connu, ne pratique ô grand jamais le protectionnisme) comme l'imaginerait un libéral heureux qui imagine que les échanges économiques cimentent les bonnes relations des peuples (ce que laissent sous-entendre l'auteur).

Perte de temps : "réveillez-vous" n'est pas l'injonction appropriée devant ce livre, "fuyez" serait plus adapté.
Commenter  J’apprécie          40
Danser sur un volcan : Espoirs et risques d..

Un ouvrage brillant et remuant.
Lien : http://www.lepoint.fr/econom..
Commenter  J’apprécie          20
Après le déluge. La grande crise de la mondiali..

Non je ne vais pas vous présenter le dernier roman post-ap' sorti en librairie, comme le titre pourrait le laisser entendre, mais bien le dernier bouquin de Nicolas Baverez, le célèbre économiste français.



Après le déluge nous parle de la crise économique actuelle, de ses causes, de ses conséquences, des pistes de solution, en faisant un tour dans l'histoire de l'économie.



Soyons honnête, je ne pense pas avoir compris le quart de la moitié de ce livre. En effet, je n'y connais pas grand chose en économie et aie des connaissances à propos de la crise économique semblables au commun des mortels. Or ce livre, de part sa complexité et son vocabulaire, s'adresse clairement à des connaisseurs ou tout au moins des personnes qui ont des bases en économie.



Par contre l'effort est louable de ne pas vouloir simplifier la question, simplifications qui mènent bien souvent à détourner la vérité et de ne pas vouloir cacher la gravité de la situation derrière un optimisme débordant. Je pense sincèrement que c'est un bouquin de qualité mais qui aurait gagné à être adapté à un plus large public.



De ce que j'en ai compris, l'heure est grave et nous ne pouvons continuer sur la voie que nous avons empruntée. Et il semblerait que la France soit particulièrement mal barrée ...
Lien : http://ledragongalactique.bl..
Commenter  J’apprécie          20
L'alerte démocratique

Lecteur du Figaro (personne n'est parfait), j'ai souvent apprécié les chroniques et articles écrits par Nicolas Baverez. Les articles de cet auteur se remarquent par leur qualité. Ils émanent d’une plume intelligente et d’un cerveau pouvant aborder les multiples facettes d’une problématique. Cela sans doute grâce à la formation de N.Baverez, qui est un ancien élève de l'école nationale supérieure. De l'école nationale d'administration. Et aussi docteur en histoire et diplômé en sciences sociales. Les deux penseurs dont il se réclame le plus sont Raymond Aron et Alexis de Tocqueville. Cela l'inscrit dans le courant du libéralisme économique et politique.

Dans son livre l'Alerte démocratique, son penchant pour les démocraties libérales est manifeste, manifeste, Il y défend ce régime ainsi que l'Union européenne. Face aux risques multiples. Qui émerge et le menace. Notamment les démocratures. et le populisme . Ce livre a été écrit en 2020, L'auteur dresse un argumentaire fourni pour aboutir à un constat : l'Union européenne n'a que 10 ans pour réagir face à ces menaces sous peine de disparaître. Il évoque que le tournant historique a été enclenché avec la chute du mur de Berlin en 1989, ainsi que l'inscription de la Chine dans un schéma de domination et d’autoritarisme enclenché la même année en réaction au ‘printemps de Pékin’ la même année. L'Europe est restée dans un schéma post 1945. C'est-à-dire de se placer dans un monde bipolaire, protégée par les Etats-Unis, et s’émolliant dans le confort et la consommation plutôt que de faire face aux défis qui émergent avec l’émergence des BRICs, l’impérialisme chinois et russes, mais aussi la défiance des Européens envers des institutions de l’UE qui n’ont pas sur tenir leurs promesses de partage de la croissance et d’une trajectoire placée hors d’un déclin inéluctable.

Je connais bien le sujet abordé par Nicolas Baverez. Ayant lu de nombreux livres à ce sujet. Notamment de Ramon Aron et Alexis Tocqueville. Adepte du souverainisme, j’espère faire preuve de clairvoyance face aux défis qu'évoque l'auteur. Cependant, l'argumentaire de Nicolas Baverez me paraît trop souvent outrancier et subjectif. Parfois il frise l’idéologie ultra-libérale et pro-mondialiste, en occultant les excès de cette axe de développement économique. R Nicolas Baverez c'est par exemple complètement planté sur l'avenir de la Russie annonçant en 2020 qu'elle allait forcément s'écrouler. Deux ans plus tard, elle mène une guerre contre l’Ukraine, tient tête à l’UE et affiche un taux de croissance de 7%, alors que l’UE plafonne à 1% En fait, la plupart de son argumentaire contre les régimes populistes peut être utilisé également contre le régime dit démocratique actuel qui ont en commun de mépriser le peuple, et de constituer une oligarchie.

Pour conclure, seule la conclusion de ce livre m'a paru juste. Pourtant, elle n'apporte aucune solution novatrice mais se contente de rappeler ce qui est évident pour tous quant à la survie de l'Union européenne. Je déplore un certain mépris des classes moyennes de Nicolas Baverez. Sans doute, est-ce sa déformation d'économiste et d’énarque qui tend à considérer l'individu davantage comme une valeur économique qu'un être humain à part entière. On peut déplorer aussi beaucoup de redites. Au fil des pages. Au final, un concentré d'une cinquantaine de pages aura été bien plus instructif et mieux noté ;-).

Commenter  J’apprécie          10
Que faire ? : Agenda 2007

Un catalogue / programme en matière économique publié en 2007. Très orienté politiquement.
Commenter  J’apprécie          10
Après le déluge. La grande crise de la mondiali..

Les éditions Perrin m’ont offert ce livre grâce à l’opération Masse Critique de Babelio du mois de novembre 2009.



J’entends souvent Nicolas Baverez à la radio, je le comprends, je le trouve clair et précis et non dépourvu d’humour.



Je me suis donc portée candidate, pour faire une critique de son livre, avec cette idée en tête : est-ce qu’une réfractaire à la compréhension des phénomènes économiques, comme je le suis, peut mieux comprendre la crise que nous venons de vivre, grâce au livre de Nicolas Baverez . En d’autres termes, ce livre est-il grand public ?



La réponse est : oui et non !



Oui, j’ai mieux compris.

Non, ce n’est pas un livre très accessible : j’ai dû ramer comme une malade pour en comprendre à peu près un tiers. C’est grâce à ce tiers que je comprends mieux la crise.



Certains petits détails seraient vraiment faciles à changer et cela aiderait beaucoup la compréhension : l’explication des sigles FED , BRIC, BCE,OMC …, des notes en bas de page sur des noms qui parlent aux économistes mais pas à moi : Breton Woods, Yuan renminbi, Smoot-Hawley ..

Le mécanisme de la bulle financière est bien expliqué, on se demande si les krachs sont évitables.



Ce n’est pas un livre optimiste car il décrit une France très affaiblie par la dette publique, et les protections sociales qui ne servent qu’à masquer la réalité de la crise.





Je ne recommande cet ouvrage qu'à ceux et celles qui s'y connaissent un peu en économie .




Lien : http://luocine.over-blog.com/
Commenter  J’apprécie          10
Le monde selon Tocqueville

En 2020, le prix de l’essai décerné chaque année par l’Académie française revient à celui consacré à Alexis de Tocqueville de Nicolas Baverez.





Bon essai qui parcourt bien la pensée de Tocqueville, nous montre ses prises de positions politiques, son idéologie et ses idéaux.

Longue introduction qui résume un peu trop le reste du livre. Du coup, on a une forte impression de répétition (en plus détaillé tout de même).

Autre réserve pour ma part : le manque d’analyse, de critique de l’oeuvre de Tocqueville. Il y a bien quelques comparaisons avec notre époque mais ces dernières sont assez superficielles.

Finalement, la majorité de l’ouvrage se limite à de nombreuses citations de l’homme politique du XIXème siècle divisées à l’intérieur de thèmes. Un peu facile selon moi mais cela reste intéressant.





Pas un essai « coup de coeur » pour ma part mais une bonne introduction à l’oeuvre et au personnage d’Alexis de Tocqueville.
Commenter  J’apprécie          00
Chroniques du déni français

L’économiste libéral complète son tableau d’une France en crise, dont l’élection de 2017 représenterait la dernière chance de redressement.
Lien : http://www.lejdd.fr/Culture/..
Commenter  J’apprécie          00


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Nicolas Baverez (148)Voir plus

Quiz Voir plus

Molière

Qui est l’auteur de cette pièce de théâtre ?

Molière
Jean-Jacques
Michelle
Gertrude

25 questions
29 lecteurs ont répondu
Thème : Le Bourgeois Gentilhomme de MolièreCréer un quiz sur cet auteur

{* *}