Citations de Odile Bouhier (38)
Une république qui maintiendra les femmes dans une condition d’infériorité ne pourra pas faire des hommes égaux !
Je ne voulais faire de mal à personne...
Ca commence toujours comme ça.
Jusqu'au jour où on tue quelqu'un.
Et puis on ne se regarde plus jamais pareil.
La vie dort à tombeau ouvert.
Je préfère demander pardon que la permission
Interviewée le matin même dans le Figaro, Bianca Serraggio n'avait pas hésité à mettre en doute la culpabilité du Tricoteur dans le meurtre de la vieille soyeuse aveugle, études à l'appui, Kolvair avait remarqué puis lu l'article car le titre "le sang d'un bistanclaque" l'avait largement intrigué.
Poétique, quoique surréaliste, voilà ce qu'il en avait pensé.
Cette éternité commençait à ressembler à l'enfer.
Elle n'aimait pas se l'avouer et resta sur ses gardes: c'est quand tout va bien que les ennuis commencent.
En acceptant qu'Anthèlme Frachant se fasse soigner par Bianca Serraggio les semaines précédant la reconstitution, l'homme de loi donnait un alibi flamboyant à sa prochaine sentence. Elle tomberait comme la nuit. In extremis.
L’intelligence et la créativité humaines ne l’avait jamais déçu, surtout quand elles se mettaient au service du crime.
Les derniers mets qu’Achille avait dégustés conjuguaient au plus-que-parfait et au passé décomposé des recettes de grand-mère, dynamitant tradition et modernité.
On laisse les gens inventer qui nous sommes, se disait en réalité le yakuza en son for intérieur. On garde la vérité pour nous
Radioactif. Nucléaire. Des mots qui cognent.
– Sans émotion, cuisine ou littérature ne compte pas.
... Ce qui étonna Simmeo fut le sérieux du monsieur : concentré sur sa partie, il n'accorda pas un seul regard à une escort-girl qui tentait de le débaucher.
- Vous ne comprenez pas que vous êtes en train de mourir ?
Sanzo avait parfaitement compris. Simplement la valeur de la vie - la sienne y compris - était pour lui toute relative.
On laisse les gens inventer qui nous sommes, se disait en réalité le yakuza en son for intérieur. On garde la vérité pour nous.
6 mai 1897, 15h50.
Quarante-sept heures et trente minutes après l'explosion.
- Je sais qui tu es..., murmura une petite voix.
Rose ouvrit les yeux. Les doses de morphine duminuaient au fur et à mesure que ses plaies cicatrisaient, elle se sentait chaque jour un peu plus alerte.
Jusqu'au bout, il était resté maître de sa destinée, yakuza de son territoire secret.
On laisse les gens inventer qui nous sommes, se disait en réalité le yakuza en son for intérieur. On garde la vérité pour nous.
Les derniers mets qu'Achille avait dégustés conjuguaient au plus-que-parfait et au passé décomposé des recettes de grand-mère, dynamitant tradition et modernité.
CONCENTRATION, HUMILITÉ, MAÎTRISE DU GESTE, RÉPÉTITION ET PRÉCISION.
L’intelligence et la créativité humaines ne l'avait jamais déçu, surtout quand elles se mettaient au service du crime.