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Critiques de Paul Virilio (11)
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La bombe informatique

Paul Virilio est un penseur des plus singuliers, l’écouter et le lire c’est prendre le risque de regarder et écouter et comprendre différemment le monde en devenir.

Cependant, ce livre m’a donné du fil à retordre même si j’avais déjà une idée de sa pensée pour avoir déjà visionné quelques vidéos sur les thèmes qui lui sont chers, les technosciences, l’accélération du monde et ses conséquences sur l’homme, l’économie, l’environnement, …. Car c’est un livre dense et je dirais complexe, à la mesure de la complexité de notre monde actuel.

Pour faire court, il s’agit d’une critique du cybermonde qui selon lui nous réserve nombre de conflits futurs (guerres de l’information), et tire la sonnette d’alarme sur les aliénations créées par les technosciences qui risquent de nous mener rien moins qu’à un nouveau Babel des savoirs.

Ce livre m’a beaucoup donné à réfléchir, mais comme nombre de notions et surtout leurs implications globales ne m’étaient pas familières, j’en referai une nouvelle lecture réfléchie car c’est passionnant.

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Esthétique de la disparition

Paul Virilio est mort le 10 septembre 2018. Avec lui disparaît l’un des premiers intellectuels avoir alerté il y a presque cinquante ans sur les dangers mortifères auxquels l’humanité est désormais confrontée avec la puissance destructrice de la technique, la vitesse de propagation des facteurs potentiels de désastre. On peut ne pas être d’accord avec l’ensemble des analyses de Virilio qui confinent à la fatalité d’un désastre chaotique pour l’humanité. La fin du monde de Virilio n’est pas la fin de l’univers dont la datation en centaine de millions d’années est possible. La fin du monde de Virilio est celle de nos sociétés. Il rejoint en ce sens Derrida et Girard (entre autres) qui en 1966 à l’université John Hopkins eurent le mérite de poser les limites de la théorie de la représentation de Platon qui est au cœur de la métaphysique occidentale et qui influe toujours sur notre perception du réel.

C’est dans cette dimension que les écrits de Virilio doivent être lus. Ils permettent de limiter nos biais cognitifs et nous forcent à nous interroger sur le fondement d’un modèle global. Si l’on prend un exemple récent, le krach financier provoqué par la faillite de Lehmann Brothers en 2008 qui a déstabilisé une partie de l’Amérique avec des dizaines de milliers de personnes ayant subi la saisie de leurs habitations - leur lieu de vie-, à la suite de la crise des subprimes. Le choc de la réalité de la crise est bien là et dépasse la dimension financière car les Etats ont été déstabilisés, même si tout a été fait pour limiter cette perception. La réponse à la crise de 2008 a été et continue d’être une ouverture gigantesque de crédits qui génère une non moins gigantesque dette dont le mérite est de servir d’amortisseur social et institutionnel. Il est aujourd’hui difficile de savoir si le remède ne provoquera pas une nouvelle crise encore plus forte que la précédente.

Dans Esthétique de la disparition publié en 1980, Virilio formulait une critique très intéressante de nos sociétés à travers le prisme de l’analyse de l’énergie cinétique. Trente ans après, avec les progrès considérables de la réalité augmentée une relecture de ce texte et des œuvres de Virilio me semble salutaire. Cette lecture est à faire avec pour objectif de prendre des décisions en toute connaissance de cause et non de remettre en cause le progrès des sciences et des techniques.

Ce qui se passe sous nos yeux est un bouleversement total de notre mode de perception avec un affaiblissement de notre perception de l’environnement. Paradoxalement nous sommes en train de nous habituer à percevoir les plus infimes détails tout en négligeant la perception d’une dimension globale. De plus en plus d’humains connectés sont déconnectés du réel avec une perception de la mort biaisée par sa représentation virtuelle. Tout cela ne peut qu’aboutir à une crise inégalée quand des centaines de millions d’humains seront confrontés à une réalité solide comme celle que livre Mallarmé en 1875 dans son poème en prose, Le spectacle interrompu, description d’un accident de cirque dont la brutalité vient subitement rompre l’engourdissement des sens des spectateurs provoqué par l’esthétique du spectacle. Là où le choc concernait quelques dizaines de spectateurs, il provoquera aujourd’hui une déstabilisation de dizaines, voire de centaines de millions de personnes par le biais de la mise en réseau de l’humanité.


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La fin du monde est un concept sans avenir:..

Paul Virilio fut d'abord peintre et créateur de vitraux, avant de devenir architecte et urbaniste, puis philosophe autodidacte (très informé de science, en particulier de physique relativiste et quantique) dans les années 80, après ses premiers écrits. Ses sujets de prédilection en arts plastiques étaient ce qu'il appelait des « Antiformes », qui apparentaient en apparence ses oeuvres à l'art abstrait mais qui n'en restaient pas moins figuratives à leur manière. Trouées de ciel et de lumière dans l'enchevêtrement de la ramure des arbres, bric-à-brac hétéroclite et aléatoire d'objets et d'ustensiles quelconques et indifférents qui fragmente de manière étrange l'espace (surface de la table ou pénombre du réduit) qui les rassemble, paysage à travers une fenêtre de wagon quand la vitesse du train déforme et efface les formes végétales et architecturales et fait surgir dans le flou des figures inédites… ce qui l'intéressait, c'étaient les interstices, les échancrures, les marges et les vides, les frontières, les à-côtés, les entre-deux, les « inter- » ou les « anti-formes », en tout cas les fonds plus que les formes. Il s'en explique en 1984, dans un très intéressant avant-propos à L'Horizon négatif. « Je décidai donc de partir à la chasse aux figures d'intervalles » : en changeant de perspective ou de vision ; en cherchant à oublier le contour nettement défini que les mots et le langage ont donné pour nous aux choses et le découpage du réel auquel ils nous ont habitués ; en s'efforçant de retrouver le flux primordial de sensations chaotiques et informes. « Il y avait pour moi deux évidences, l'évidence de l'explicite et l'évidence de l'implicite, cette dernière m'attirait irrésistiblement. » Il s'évertuait à fixer, par l'oeil et le dessin, ce moment instable et fugitif où la vision bascule, dans l'entre-deux, entre les formes et le fond et inversement. « Je devins donc un spécialiste du tropisme puisque je m'étais donné pour but de rendre visible l'invisible. » Chercher à voir double, ce pourrait être folie ou infirmité, ce fut la marque propre de son génie.



Car, rôdée dans les arts plastiques, la méthode s'étend ensuite dans sa pensée, dans sa façon de choisir et d'aborder les sujets auxquels il s'intéresse (par exemple la vitesse, dont il aime à rappeler constamment qu' "elle n'est pas un phénomène par elle-même, mais une relation entre les phénomènes"), et dans toute son oeuvre. Il est pour tous, en effet, le penseur de la vitesse et le créateur et spécialiste de la « dromologie » (du radical grec dromos qu'on retrouve dans hippo-drome, vélo-drome ou aéro-drome et qui désigne la course). La vitesse, justement, qui brouille les lignes et déforme et qui, par ailleurs, compose l'espace et le temps (" v = d [istance] x t [emps " des physiciens) et donc se retrouve, selon lui, au coeur des phénomènes de stratégie, militaire ou politique, ou de technologie (des transports, des transferts, flux monétaires ou informationnels, et des transplantations, organes ou prothèses) et même d'anthropologie, avec les incidences sur l'art et la vision par exemple, sur le confinement d'une Humanité qui est en train de se heurter aux limites du monde mondialisé ou encore sur l'instantanéité et l'ubiquité que réalisent aujourd'hui des télécommunications à la vitesse de la lumière. D'où aussi toute la thématique chère à notre auteur, qui brasse inlassablement, dans un réseau complexe de renvois articulé sur les deux notions-clés de temps et d'espace, des sujets aussi divers que la ville, l'État, la guerre et la bombe, l'économie et la finance, l'accident, le progrès, l'information et les écrans, l'image et la vision, la globalisation, la finitude de notre planète, l'écologie, etc. Tonalité critique, pessimiste et catastrophiste, évidemment, cela se laisse deviner au simple énoncé des thèmes.



Depuis le début donc, par l'image et par le texte, Paul Virilio veut parvenir et donner à voir l'invisible : au moyen d'un décalage ou d'un basculement du regard habitué, en cherchant délibérément la vue double (qui peut aussi s'avérer double vue) plutôt que l'accommodation. « Retourner comme un gant », dit-il souvent, subvertir les apparences, les croyances, les évidences, nager toujours entre deux eaux (eau trouble de surface, eau transparente des profondeurs) pour faire remonter des vérités échouées par le fond. de là, les deux caractères principaux, à mon avis, de son travail et de son oeuvre : visionnaire et prophétique. Visionnaire, pour les raisons susdites et pour la grande perspicacité de ses diagnostics et de ses alarmes. Prophétique, par le rôle et par le style. le rôle ? Comme les prophètes bibliques, il évolue entre deux mondes, et c'est au nom de valeurs intempestives et intemporelles qu'il se dresse contre les moeurs et les idoles de son temps et qu'il admoneste ses contemporains. Contre l'indifférence, le fourvoiement et l'aveuglement, il est la conscience qui dit non et qui ne cesse de répéter sur tous les tons ce qu'on ne veut ni voir ni entendre. le style : emporté, exalté, véhément, percutant, ramassé et elliptique, persuasif ou menaçant, imagé plus qu'analytique et rationnel, redondant et opiniâtre. Il tient plus de la harangue ou de la diatribe que de la démonstration méthodique, il veut faire réagir plus qu'expliquer, mobiliser plus qu'éclairer. Et des deux caractères à la fois, le propos de Virilio se trouve investi d'une sorte de pouvoir oraculaire, il étonne souvent par des anticipations et des prémonitions que le recul historique nous permet aujourd'hui de vérifier, alors qu'elles ont été écrites il y a vingt, trente ou quarante ans.



C'est donc une lecture décapante, révolutionnaire et « révélationnaire », comme dit (à un autre propos) notre auteur qui aime beaucoup jouer sur les mots. Il faudrait pouvoir aborder ses différentes thèses et le contenu de cette pensée aussi originale que salutaire, mais celle-ci est tellement riche et foisonnante qu'elle défie le résumé. Je vais donc me contenter de rassembler un florilège de citations. Mais cette lecture souvent passionnante reste aussi, on ne peut le nier, exigeante et difficile. Non pas tant du fait du langage, lequel a certes sa rugosité et ses obscurités (abusant par exemple d'abstractions et de néologismes) mais aussi souvent ses beautés froides et une certaine poésie de l'austérité, mais en raison justement de cette rhétorique prophétique. Virilio ne fait pas vraiment dans la pédagogie, son discours ne se déroule pas de manière rectiligne et bien liée mais procède plutôt par ellipses (au sens géométrique comme aussi au sens stylistique) et fulgurances. Il revient sans cesse sur des thèmes traités dans des livres antérieurs, reprend inlassablement des concepts analysés ailleurs, semble souvent tourner en rond, circule dans sa pensée et son univers intellectuel sans toujours faire les présentations qui s'imposeraient, et on peut se trouver souvent dérouté par toutes ces circonvolutions. Mais les éditions du Seuil ont eu la bonne idée de publier en un seul (très gros) volume son oeuvre quasi complète, vingt-deux ouvrages qui s'étalent sur plus de trois décennies (de 1976 à 2010), ce qui permet toujours et sans grand inconvénient de naviguer dans sa lecture et de prendre d'autres itinéraires que celui qui est proposé, lequel n'est d'ailleurs pas chronologique. Et, à force de retrouver les mêmes endroits pas des chemins différents, les mêmes concepts sous des angles différents, on finit par mieux comprendre ces lieux et ces objets nouveaux et par se familiariser avec ces paysages de la « dromosphère » dans laquelle il nous embarque.



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La fin du monde est un concept sans avenir:..

La publication en octobre 2023 par les éditions du Seuil des 22 essais écrits par Virilio entre 1976 et 2010 donne l'occasion de redécouvrir une oeuvre prémonitoire dont la tragique actualité que nous connaissons montre la pertinence.

Quarante ans après, Esthétique de la disparition, force est de constater que l'accélération du temps apportée par le développement exponentiel du numérique conduit inexorablement à un « effondrement des dimensions » pour reprendre une expression de Jean Richer, ancien élève de Virilio et auteur de l'édition critique de ses oeuvres.

Pour Virilio, notre déconnexion du réel va de pair avec une perception de la mort biaisée par sa représentation virtuelle. Tout cela ne peut qu'aboutir à une crise inégalée quand des centaines de millions d'humains seront confrontés à une réalité solide sur laquelle nos sociétés vont se fracasser.

Il est fort possible que le naufrage ait commencé et que le sauvetage soit rendu quasiment impossible tant la mise en réseau de l'humanité dope la puissance destructrice des moyens techniques dont nous disposons. Dans Essai sur l'insécurité du territoire, Virilio prédisait déjà que les démocraties ne survivraient pas au « flottement actuel de la légalité dans le monde » car son analyse était que la réalité palpable du pouvoir, sa « tangibilité », était sauvegardée par la simple existence des institutions mais que celles-ci étaient fragilisées par leur fonctionnement qui n'était plus en phase avec la réalité d'un monde confronté à la vitesse et dans lequel tout emplacement est sans emplacement.

Notre cadre traditionnel de réflexion qui supposait un avant, un arrière, un présent, un passé et un futur (In La dimension perdue dans L'espace critique / p 264 des oeuvres complètes). Dans La stratégie de l'au-delà, l'un des chapitres de L'horizon négatif nous pouvons lire (p 509 des oeuvres complètes) : Profession de foi, profession de feu, la guerre sainte semble revenue. Avec ses rites, ses sacrifices, la machine fanatique se remet en marche, en marche arrière vers la nuit des temps moyenâgeux où l'affrontement sanglant des croyances religieuses préludait à celui des idéologies politiques…on ne brandit pas depuis près d'un demi-siècle, la fin du monde sans réveiller la démonologie des origines.

Une autre analyse de Virilio portant sur l'effondrement de la fraternité prend tout son sens à la lumière de l'actualité. le ternaire républicain avait tout son sens et était porteur d'espoir car cette fraternité portait l'idée d'un bonheur et de la sécurité indissociablement liés à l'État qui en était garant. C'était une fraternité sociale réalisée dans l'État et par l'État et qui permet d'assumer les contradictions inhérentes aux deux autres termes que sont la liberté et l'égalité. Or la perte de la maitrise du territoire par nos États démocratiques et l'expansion d'un système médiatique faisant la part belle aux mensonges et aux outrances sans qu'une modération efficace s'interpose (elle ne le serait qu'au prix du sacrifice de la liberté d'expression) à défaut de pouvoir compter sur une vision partagée de la liberté et de l'égalité tempérée par une justice sociale garantissant le maintien de l'ordre public sans renoncer ni à l'une ni à l'autre. Cette vision n'est ni de droite, ni de gauche, elle est portée par une classe moyenne dont la force a été de s'unir selon les époques aux ouvriers ou à la bourgeoisie pour garantir une évolution en phase avec ce que l'on appelait l'intérêt général. C'est ce que l'on enseignait dans les années 70 en faculté de droit. Mais aujourd'hui la classe moyenne est très affaiblie et les institutions, faute d'être en phase avec la réalité sont à la peine…


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L'administration de la peur

Intéressant éclaircissement de la pensée parfois touffue de Virilio...



Architecte d'origine, devenu au fil des années penseur de la vitesse et de l'accélération, Paul Virilio livrait en 2010 ces 90 pages d'entretien avec Bertrand Richard, autour de trois axes : la terreur comme accomplissement de la loi du mouvement (Hannah Arendt), la création progressive d'une "dissuasion civile" visant à administrer la peur, et enfin l'apparition de nouvelles peurs avec celle de nouveaux combats.



"L'administration de la peur, cela signifie aussi que les États sont tentés de faire de la peur, de son orchestration, de sa gestion, une politique. La mondialisation ayant progressivement rogné les prérogatives traditionnelles des États (notamment celles de l'État providence), il leur reste à convaincre les citoyens qu'ils peuvent assurer leur sécurité corporelle. La double idéologie sanitaire et sécuritaire peut se mettre en place, faisant peser de réelles menaces sur la démocratie."



Passionnant et roboratif, cet entretien permet un intéressant éclaircissement de la pensée de Virilio, parfois touffue. En revanche, on pourra trouver plus convaincantes, in fine, les analyses de type sociologique de Thévenot, Boltanski et Chiapello, autour de la vitesse comme mouvement et connexion (et de ses conséquences), plutôt que l'éther philosophique qui semble par moments irriguer le propos... On peut y voir, sans doute, une limite "naturelle" des pensées "hautement analogiques", comme celles de Paul Virilio ou de Michel Serres, par rapport aux approches plus précises et plus prosaïques d'autres penseurs.

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L'administration de la peur

Un texte d𠆞ntretien court et percutant ô combien actuel dans ce contexte de crise qui nous pousse à tout accepter ou à tout rejeter, à tout ressentir et à s’isoler dans cette instantanéité émotionnelle qui nous empêche de réfléchir et d𠆞nvisager le long terme.

Une réflexion poignante et salutaire sur la question de la vitesse, de la peur, et de ce qu’être humain signifie et jusqu’où nous le serons nous encore.
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La fin du monde est un concept sans avenir:..

Cette somme fait mieux saisir la force d’une création conceptuelle originale. Elle fait aussi prendre la mesure de la pertinence, actuelle et à venir, des visions qu’elle déploie.
Lien : https://www.lemonde.fr/livre..
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La fin du monde est un concept sans avenir:..

Architecte et philosophe, théoricien de la vitesse et du turbo-capitalisme, Paul Virilio (1932-2018) anticipa bien des évolutions du monde contemporain. Les Éditions du Seuil mettent sa pensée à l’honneur en rassemblant vingt-deux de ses essais.
Lien : https://www.la-croix.com/cul..
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Le Grand Accélérateur

Livre sans aucune doute très interessant mais extrêment difficile à lire et, de fait, à comprendre.
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Bunker archéologie

Penser l’évolution de la guerre à partir des caractéristiques architecturales du mur de l’Atlantique



Sur mon blog : http://charybde2.wordpress.com/2016/05/07/note-de-lecture-bunker-archeologie-paul-virilio/
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La pensée exposée

La Pensée exposée met au jour l'acuité de la philosophie de Paul Virilio, sa vision de la réduction géographique que vit notre monde, au rythme même de son accélération […].
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
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