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Critiques de Peter May (1940)
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Les disparues de Shanghai

J'ai beaucoup aimé cette série avec des personnages originaux : un inspecteur chinois et une médecin légiste américaine.



les Disparues de Shanghaï est un thriller passionnant qui aborde le problème des trafics d’organes, de la corruption, et celui des avortements auxquels la politique de l’enfant unique pousse de nombreuses Chinoises.
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Le quatrième sacrifice

Dans ce second volet, on retrouve l'inspecteur Li-Yan et Margaret Campbell qui vont devoir comprendre pourquoi 4 crimes semblables se produisent en peu de temps à Pékin. Chaque fois, la victime a été droguée et décapitée.



L'épisode sanglant de la révolution culturelle chinoise sert de toile de fond à ce roman passionnant.
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Meurtres à Pékin

L'originalité de cette série est la relation entre une américaine et un chinois et la confrontation de deux cultures si différentes.

Les deux mondes vont devoir s'unir devant la complexité d'une affaire qui cache un secret monstrueux.

L'enquête est très bien menée et l'auteur nous donne une vision très intéressante de la Chine.
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L'île au rébus

Le livre faisait partie d'une de mes piles. Roman trouvé dans la boîte à livres de mon quartier. Il y a peu, je le pioche. Je ne connaissais pas l'auteur. Plus je lis, plus je me dis que j'ai déjà dû commencé à le lire il y a longtemps, sans pour autant pouvoir me souvenir du dénouement. Est-ce que j'avais laissé tomber ? Surement, parce que dès cette deuxième lecture, j'ai trouvé le bouquin tellement ennuyeux. Un véritable ennui. J'ai tenu jusqu'à la moitié du roman. J'ai ensuite lu en diagonale ("Mais bon sang ! Qui est le coupable !!?). Ce n'est pas l'intrigue qui est ennuyeuse mais l'écriture. Bien entendu, "on" peut apprécier parce qu'il en faut pour toutes les sensibilités. J'ai trouvé l'écriture "lourdingue" (oui, bon, je fais ce que je peux). Les interrogatoires que mène le personnage principal sur l'ile sont dignes de la méthode d'un inspecteur Gadget. Ses interrogations perso sur sa vie et ses questionnements sur la paternité (je ne veux pas spolier) sont désarmantes de simplicité et semblent être des cheveux dans la soupe. En bref : "Soupe" semble être le meilleur mot que je peux utiliser pour ce roman.
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L'île du serment

Sur l’île des Entrées, au Canada, il n’y a jamais eu, de mémoire d’homme, de meurtre. Pourtant James Cowell est retrouvé poignardé à mort, sa femme à ses côtés. Elle affirme qu’un homme masqué à tué son mari, mais est-ce bien vrai alors qu’il n’y a jamais eu de soucis sur l’île et qu’elle-même était en froid avec son époux ?



Les îles balayées par le vent sont le cadre d'un serment tragique : "jusqu'à ce que le jour se lève et que les ombres s'enfuient".
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L'île des chasseurs d'oiseaux

Fin Mc Leod est à un tournant de sa vie. Il vient de perdre son fils Robbie et de se séparer de son épouse Mona. Il est flic. On lui demande de reprendre le boulot et de se rendre dans l’île de son enfance où Ange Macristie – frère d’un copain d’enfance – a été retrouvé assassiné. Le modus operandi est le même que dans une autre affaire dont il avait la charge.



Sur fond de traditions ancestrales d'une cruauté absolue, Peter May nous plonge au coeur de l'histoire personnelle de son enquêteur Fin Macleod.



Il tient le lecteur en haleine jusqu'à la dernière page.
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L'Homme de Lewis

Dans ce second volet, on retrouve un enquêteur indécis à la croisée des chemins, tenté de construire son avenir sur les cendres du passé.

Fin a démissionné de la police et a décidé de revenir s’installer sur l’île de Lewis en restaurant la maison de son enfance.

Un corps momifié est découvert enterré dans les tourbières. Il s’agit d’un meurtre remontant à plus de cinquante ans.





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Un chemin sans pardon

Une oeuvre de jeunesse de Peter May, retravaillée avant sa nouvelle publication , qui nous plonge dans l'enfer du Cambodge sous la dictature effroyable des khmers rouges.

Condamné pour des exactions lorsqu'il était officier, Jack Elliot a quitté l'armé et est devenu mercenaire. Sa femme ayant divorcé, changé de nom et refusé de le revoir, sa fille Lisa est persuadée que son père est mort jusqu'à ce que sa mère décède et que la jeune fille découvre la vérité dans ses papiers. Apprenti-journaliste, elle parvient à retrouver la trace d'un de ses compagnons dans l'armée, qui lui révèle que son père est parti en Thaïlande. Jack a en effet été recruté par un riche cambodgien exilé pour tenter de récupérer sa femme et ses deux enfants, restés au Cambodge aux mains des khmers rouges. Sans aucune idée de ce qu'elle va trouver comme situation là-bas, Lise décide de partir pour Bangkok.

J'ai adoré la trilogie écossaise et les autres romans en liens avec l'Écosse, la série chinoise, un peu moins mais quand même beaucoup ceux qui se passent en France, et c'est avec appétence que j'ai ouvert celui-ci, pensant y découvrir une nouvelle culture. Mais la magie n'a pas opéré. Alors que je n'arrivais pas à décrocher des précédents, j'ai eu du mal à entrer dans cette histoire et ne me suis pas vraiment attachée aux personnages principaux, sauf à la famille cambodgienne. Ce n'est pas que le livre soit mauvais, mais pour moi ce n'est pas un Peter May. J'ai eu l'impression de me replonger dans les romans à suspense en vogue dans les années 1980, mélange dosé de combats, d'exotisme et de sexe dans des situations propres à alimenter certains fantasmes. Je crois sans aucun mal l'auteur quand il dit qu'il a été soulagé de supprimer des scènes qu'il était déjà gêné à écrire mais qui lui avaient été imposées. J'ai trouvé Lisa agaçante, stérotype de l'innocente qui va se trouver plongée dans la luxure, que l'auteur n'arrive pas à doter d'une vraie personnalité alors même que son histoire le justifierait. le procédé d'annonce de la bombe finale m'a semblé aussi manquer de subtilité. Il n'en reste pas moins que les descriptions du Cambodge aux mains des khmers rouges sont aussi terrifiantes que bien documentées et le rappel du sort terrible des boat-peoples a des résonances cruelles dans l'actualité. Serey, Ny et Hau sont émouvants et leur histoire aurait pu faire un livre aussi haletant que poignant si elle n'avait été polluée par les mêlée aux péripéties peu convaincantes de Lisa.
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L'île des chasseurs d'oiseaux

Il s'agit du premier tome de la trilogie Écossaise de Peter May. Après la série chinoise que j'avais bien aimé, j'ai décidé d'enchaîner avec cette trilogie qui a fait l'objet de nombreuses éloges.



On a ici, à faire à un policier d'Edimbourg, Fin Macleod, qui va revenir sur l'île de Lewis au large de l’Écosse, son île natale. Il va être confronté au cadavre d'un homme avec qui il a passé une partie de son enfance, et qui était la terreur des autres gamins à l'école. On se retrouve plongé dans les souvenirs d'enfance de Fin Macleod dont certains sont et doivent restés enfouis à tout jamais.



L'auteur nous livre un récit tout en noirceur dans l'atmosphère venteuse et pluvieuse de cette petite île au Nord de l’Écosse. Il va nous décrire le paysage et l'atmosphère de manière très détaillés afin de s'en imprégner. Je pense que ça peut, ne pas plaire à tout le monde, mais pour ma part, j'ai beaucoup aimé. J'ai toujours aimé les histoires qui prennent leur temps, qui installe bien les protagoniste. L'atmosphère et le récit sont très prenants et addictifs et on a du mal à lâcher le roman. On peut, malgré tout, regretter que le récit soit un peu trop linéaire et manque de rebondissement.

L'auteur, pour nous replonger dans l'enfance de Fin Macleod utilise la double temporalité. Pour les chapitres qui racontent l'enfance du héros, il utilise la 1ère personne alors que le reste du récit et à la 3ème personne. C'est plutôt réussi : on n'est jamais perdu, et on rentre d'autant plus dans l'intimité du personnage principal.

Les personnages sont très attachants, l'auteur leur donne beaucoup de densité. C'est un récit très noir avec une fin réussie que je n'ai pas vu venir.



J'ai passé un très bon moment avec ce roman très noir et je vais m'empresser de lire la suite.
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L'île des chasseurs d'oiseaux

De très belles descriptions de l'île Lewis en Ecosse mais beaucoup trop longues et trop présentes le long du livre! Si vous connaissez les lieux où la côte nord de l'Écosse ça doit être super a lire...Très peu d'intrigue, trop long pour moi. Je ne lirai pas les 2 autres tomes.
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Les disparus du phare

Cela fait quelques années que je me promets de lire la trilogie écossaise de l'auteur. Finalement, je découvre son univers avec un autre livre, mais l'Ecosse y est présente aussi.



Deux éléments m'ont beaucoup plu. En premier lieu, ces merveilleuses descriptions de l'île de Lewis et Harris. On sent tout l'amour de Peter May pour ces lieux. Les notations, presque picturales, des changements de lumière, des brusques mouvements des nuages, sont tellement justes et poétiques. J'ai retrouvé mon émerveillement devant la nature écossaise si sauvage , aux mille nuances.



Ensuite, le fait que le personnage principal soit devenu amnésique, après ce qu'il suppose être un choc traumatique, m'a particulièrement intéressée. L'amnésie m'a toujours passionnée, sans que je sache vraiment pourquoi. Et il y a trois ans, j'ai moi-même connu un épisode amnésique, une demi journée dont je ne me souviens absolument pas . Je comprends donc bien, l'auteur l'analyse avec beaucoup de finesse, la perturbation que cela provoque chez celui qui pense au départ s'appeler Mac Neal.



Je ne révèlerai rien de l'enquête, officielle , suite à la découverte d'un corps, et menée aussi par Mac Neal, pour connaître sa véritable identité. Il est question d'écologie, d'abeilles. Mais c'est cet aspect, tout attractif soit-il, auquel j'ai le moins adhéré. Les situations m'ont semblé souvent peu vraisemblables, ainsi que les comportements des personnages.



En tout cas, ce roman m'a encore plus convaincue de poursuivre avec la trilogie écossaise !
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L'île des chasseurs d'oiseaux

Le fond : sollicité pour élucider un meurtre rappelant étrangement celui sur lequel il enquête à Edimbourg, l’inspecteur Fin MacLeod retourne sur son île natale, Lewis, où les hommes vivent en vase clos et ne sortent que deux semaines dans l’année pour débusquer des oiseaux nicheurs sur l’ilot lointain et inhospitalier d’An Sgeir, perpétuant une tradition séculaire. De retour à Lewis, les fantômes du passé de Fin et de ceux qu’il a brusquement laissés 18 ans plus tôt ressurgissent.

La forme : une écriture fluide, des mots bien choisis et des dialogues bien sentis. La description de la partie de chasse aux oiseaux sur l’ilot est une pièce d’anthologie.

Pour conclure, un magnifique huis-clos à ciel ouvert sur les rouages de la destinée.

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L'île des chasseurs d'oiseaux

Abandonné sur mon étagère, je l’ai repris en main. C’est étonnant car depuis tout ce temps, presqu’un an, je n’avais rien oublié de tout ce qui s’était déroulé malgré la complexité de l’intrigue. Cette fois-ci, je ne l’ai pas lâché. Je n’ai pas été déçue. Je suis retournée sur l’île de Lewis avec grand plaisir. J’ai été happée. J’adore cette écriture tout en finesse et précision. Aucun détail n’est laissé au hasard sans s’appesantir sur des choses inutiles. C’est ce que j’apprécie énormément chez les auteurs écossais.
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A Winter Grave

Est-ce que la marque de vêtements hors de prix ''The North Face'' est à l'origine d'une commande passée pour la publication de ce livre ? J'ai compté 5 occurrences de ce nom propre, rien que ça, en 300 pages. C'est horrible. Le livre décrit - aussi- un drame écologique en 2051, ce qui pouvait tout à fait constituer un thème rudement intéressant mais ce faisant, il patauge dans ce placement de produit très ''années 2020'', âge d'or des influenceurs à vocation mercantile. Promu par Amazon, vendu comme une super occaz à 0,99€ en Kindle, je me suis fait avoir. J'ai rien contre ''The North Face'' , c'est trop cher pour moi de toutes façons : il faut bien financer ces nouveaux canaux de publicité, c'est sûr.
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Quarantaine

Ce polar efficace construit autour d'une épidémie imaginaire de grippe avaiaire qui décime la population londonienne confrontée aux affres du confinement, aux destructions et pillages divers, seuls quelques privilégiés non contaminés étant à l'abris ur l'Ile aux chiens, se déroule en moins de 24 heures, avec un suspense soigné, des rebondissements et un dénouement plutôt ouvert.



L'enquêteur, MacNeil est donc très vite confronté à l'horreur à partir de la découverte d'un sac d'ossements qui vont mener scientifiques et policiers vers la recherche de leur origine qui ne peut être que liée à l'épidémie qui sévit sur la capitale anglaise.



Peter May a inséré un peu de mélo avec des amours contrariées, qu'elles soient hétérosexuelles ou homosexuelles, des visions apocalyptiques de ce qu'est devenue Londres au fil des jours, des données médicales intéressantes et même des informations précises sur le London Eye, attraction du troisième millénaire londonien, où il situe la scène finale.



L'enquête de MacNeil revêt les invraisemblances et les facilités acceptables quand la tension monte suffisamment fort pour que le lecteur reste concentré sur l'action qui ne tarit jamais. Les morts aussi se succèdent, pas seulement ceux victimes de la pandémie, mais bien d'autres, gentils ou méchants, liquidés en trois mots et, souvent trois trous au milieu du thorax.



J'ai trouvé l'intrigue assez originale, le style de Peter May allant à l'essentiel, certains personnages ne manquant pas d'un humour qui ne tombe pas à plat malgré le drame vécu tant par l'enquêteur que ses partenaires et l'ensemble de la population. L'ambiance d'une épidémie non maîtrisée et ses conséquences atroces ajoute à la tonalité morbide de cette enquête et donne un polar que j'ai trouvé réussi, sans atteindre bien sûr le niveau de la célèbre trilogie écossaise du même auteur.
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L'Homme de Lewis

Peter May nous gâte avec ses romans. J’ai bien aimé celui-ci qui raconte une histoire policière soutenue. Il nous fait vivre beaucoup d’émotions humaines, un drame familial, de l’amour et l’amour filial. Il nous fait rencontrer des personnages qui ont eu une vie difficile au départ, des orphelins et la vision d’une fin de vie difficile quand on sait que l’on perd nos facultés. On entre dans cet environnement froid, humide, venteux, tout est bien ressenti autour de personnages vraiment attachants et d’autres franchement moins. Un petit peu de lenteur au milieu mais qui est bien rattrapé par la suite et la fin.L’ambiance est dure et violente mais laisse place à de belles émotions et de la tendresse. Un très bon récit.
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Rendez-vous à Gibraltar

Mon premier contact avec Peter May date de 2017 au Salon du livre Paris. J'ai tout de suite été conquise par le style de ses romans policiers. Son plus grand succès est la trilogie écossaise.

"Rende-vous à Gibraltar " est le 11eme livre que je découvre . Contrairement à la plupart de ses ouvrages situés Écosse l'histoire se déroule dans le sud de l'Espagne, région de Malaga.

John Mackenzie, policier écossais, est chargé d'aller récupérer en Espagne Cleland, le fugitif le plus recherché par l' agence britannique NCA pour trafic de stupéfiants et meurtre d'un policier. Dés son arrivée en Espagne Mackenzie apprend que Cleland s'est échappé durant son transfert vers l'aéroport. Précédemment, pendant une intervention de la police à son domicile, Cleland a tué accidentellement sa compagne. Accusant la policière Christina d'en être responsable, il la menace de mort.

Les pages se tournent très vite. Elles racontent le versant professionnel de Christina, ses rapports avec Jefe , le patron du commissariat, la traque avec Mackenzie, sous un soleil implacable, de Cleland, et le versant vie privée, Lucas son petit garçon, Antonio son mari, Nuri sa sœur sous chimio, Paco son collègue et beau-frère, Ana sa tante sourde et aveugle.



Les personnages sont intéressants, bien caractérisés, particulièrement John Mackenzie et Ana.



Écriture fluide, pas de temps mort dans le récit, de la violence, du suspense, de l'angoisse, de la peur et même de la tristesse.
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Un chemin sans pardon

J'ai véritablement aimé ce livre. Peter May est un scénariste confirmé avec des histoires d'action. Avec un scénario digne des romans avec Jason Bourne et des synopsis de Taken, des thématiques ressemblantes au film The Foreigners avec l'acteur charismatique Pierce Brosnan, le roman propose un scénario haletant entre les problèmes irlandais et ceux également des Khmers Rouges.

Ce sympathique mélange reste coordonner sans partir en bouilli grâce à une intrigue forte.

Envie d'un bon polar ?
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Les fugueurs de Glasgow

Ce livre m’avait été conseillé par un libraire car je recherchais un polar écossais. Alors pour le coup, c’est raté. Ce n’est pas vraiment un polar et le livre se déroule à Londres… Une fois passée cette surprise, j’ai plutôt apprécié ce roman.

Dans le livre, nous suivons les personnages à deux moments de leur vie : leur adolescence et leur fin de vie. Dans ces deux parties, les amis décident de fuguer. Alors, une fuite d’adolescents, c’est assez classique, mais une fuite de petits vieux, c’est beaucoup plus original.

Dans la partie « adolescence », nous suivons ces amis un peu naïfs, remplis de rêves, d’envie de liberté. L’amitié, l’amour et la musique ont une place forte dans cette partie du récit.

Dans la partie « vieillesse », l’auteur se concentre sur les remords et les regrets qui habitent les protagonistes. Et s’ils avaient effectué des choix différents… Dans cette partie, le thème de la famille est plus présent. L’amitié reste également un élément central.

Une enquête est également présente en toile de fond, mais ce n’est pas le sujet principal.

J’ai bien apprécié cette lecture, mais je pense que je ne suis pas encore à la bonne étape de vie pour pouvoir m’identifier aux personnages. Je pense que ce livre aura un autre relief si je le relis dans 30-40 ans.

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L'île des chasseurs d'oiseaux

Un policier ayant perdu son fils un mois auparavant est obligé de revenir sur l'île de son enfance pour enquêter sur un meurtre récent. Il y a évidemment l'enquête, mais surtout un retour aux sources et les souvenirs qui resurgissent…



J'ai apprécié le fait de retourner dans le passé pour mieux comprendre le présent. C'est un peu déstabilisant au début, mais plus on avance dans l'ouvrage, plus on veut en savoir davantage.



C'est la première fois que je lis un roman de cet auteur. J'ai réalisé un peu tardivement que c'était le premier tome d'une saga en trois tomes. Je vais donc poursuivre cette série et envisager par la suite si je continue à lire cet auteur…



bonne lecture !
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