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Citations de Philippe Thirault (74)


N’oubliez jamais que la science répand la lumière, et que la lumière engendre la justice.
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- Votre exploit, c'est être le plus jeune directeur à avoir été nommé par l'administration terrienne à la tête du barrage. Cette nomination n'a naturellement rien à voir avec le fait que vous avez dénoncé le trafic de venin de supérieur du poste des Naggiars...
- Je n'aime pas vos insinuations, Van Beneker. Cela n'a rien à voir, en effet. Et Jeff Kurtz contrevenait gravement au règlement. Il fallait bien que quelqu'un ait le courage de l'arrêter.
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Dès que son mari regarde ailleurs , la Holmes me zieute torride en passant sa lngue sur ses lèvrec pleines du gras du rôti . Deux ans qu'elle y pense , à enfourner mon machin dans son truc , deux ans qu'elle mouille sans que ça sèche , sûr qu'il ya du plancton dessus.
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Le Colorado : il y avait plus de vaches que d'habitants. A croire que ça poussait dans les champs ces machins-là !
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- Dis, t'as une idée de comment on se rend jusqu'en Californie ?
- En brûlant le dur !
- En brûlant Tape-Dur ?
- Hein ?... Non !! "Brûler le dur", "Faire le trimard", c'est des expressions qu'emploient les Hobos, les vagabonds du rail quand ils prennent le train sans payer ! Ils voyagent sur le toit des wagons quand il fait beau et dessous quand il pleut.
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« C’est un bar, comment dire, c’est un bar glauque, on dit ça. Pas très bien fréquenté. Moi j’aime ça, j’aime que ça, les endroits plus vrais, sales, puants, que les endroits propres, nets, qui sentent bon les fleurs des prés. T’en foutrais des fleurs des prés! Ches Lumière, c’est plutôt un envers qu’un endroit, ça sent la rousse. Tiens, elle est rousse, Abricot! Ça m’est venu comme ça, comme la littérature qui vient comme ça, les histoires qui viennent à coup de piston. Faut être pistonné pour sortir des ornières du gars qui écrit; on m’a raconté que des filles écrivaient aussi. Reprenons: ça sentait la rousse et, curieusement, la poussière. Et puis, la bière, les coins, les p’tits coins.

Moi, je fréquente. J’aime. Alors la fille, elle a des yeux abricots, elle est rousse. Je décris. Je l’oublie aussi au passage en frôlant une tulipe. Un parfum venu de nulle part, presque rien, un brin de fraîcheur envolée. Enfin j’arrive au comptoir. C’était un soir de semaine, déjà tard le soir, un soir à bandonéon, un soir pour se rincer, pour se finir, pour être triste, entièrement triste. » (p. 6-7)
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On dirait que l’homme perd complètement la notion de prévoyance lorsqu’il se trouve devant la richesse. Alors il parait subir un vertige qui le mène à la destruction radicale des choses, car il n’y a aucun produit de la nature qui puisse survire aux entreprises irréfléchies de l’industrie humaine.
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C'est Jackal. Il me donne un coup de main. Papa a des ennuis.
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Très bonne histoire. Tout commence par un décès, puis un retour au pays avec son fils et là c'est le pire qui arrive. L'enlèvement! ! Une sorte de TAKEN en bd. Le seul bémol c'est le dessin qui n'est pas extraordinaire mais vite masqué par l'histoire très prenante. A découvrir
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Superbe... les histoires de coeur prennent juste un peu de place à mon goût.
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