AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Pierre Alary (349)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Gone with the wind, tome 1

Une fois n'est pas coutume...BD.

Ce choix car le sujet abordé m'intéresse depuis des années : autant en emporte le vent. Un film culte et de référence que j'ai regardé nombre de fois.

Et bien grosse déception, que se soit dans les traits (grossiers et déplaisants), dans le choix des couleurs (par moment monochrome ou ocre et gris), dans l'histoire et les dialogues...bref peu de choses m'ont plus.

Peut-être en attendais-je trop, mais pour le coup la bande dessinée n'étant pas ma lecture référence, je vais m'y reprendre à 2 fois avant d'en relire une.
Commenter  J’apprécie          40
Gone with the wind, tome 1

Cette BD est l'adaptation du roman Autant en emporte le vent écrit par Margaret Mitchell.



Je dois avouer que je n'ai jamais lu le livre, ni le film donc je n'ai aucun point de comparaison.



J'ai été assez déçue. L'objet livre est magnifique et j'ai bien aimé les illustrations. La couleur un peu marron, ocre, donne un aspect nostalgique mais aussi automnal à la BD, je trouve que ça reflète bien les sentiments évoqués dans le texte.

Néanmoins, je regrette le fait d'avoir parfois confondu les personnages féminins qui avaient tendance à se ressembler.



Au niveau du récit, j'ai beaucoup apprécié l'aspect historique relatant la guerre de Sécession. On y voit aussi les femmes reprendre les rênes, travailler, afin de suppléer les maris partis en guerre. Malheureusement, ce sont les seuls points intéressants.



L'histoire d'amour, que j'attendais, est finalement inexistante, dans ce premier tome. On voit une Scarlett courir après l'amour, de façon désespérante... D'ailleurs, beaucoup trouveront Scarlett indépendante, forte ou je ne sais quoi. Personnellement, je l'ai trouvée égoïste, un peu niaise et parfois méchante. Je ne l'ai pas du tout appréciée, ce qui est dommage pour le personnage principal.

Commenter  J’apprécie          10
Moby Dick (BD)

Lu en 2020. Cette bande-dessinée de 122 pages est une libre adaptation du roman de Herman Melville (que je n'ai pas lu).

Un récit d'une portée philosophique probante, qui parle de vengeance, de folie, d'orgueil, d'amitié, de sagesse et de sacrifice. J'ai particulièrement été touchée par le lien qui unit Ishmaël et Queequeg... Une iconographie soignée et très réaliste. (Dès 12 ans)
Commenter  J’apprécie          00
Gone with the wind, tome 1

1861, État de Géorgie, États-Unis, la famille O'Hara vit paisiblement et confortablement à Tara au milieu de ses plantations de cotons. Scarlett, qui n'avait d'autre ambition que d'épouser un jour Ashley, tombe de haut lorsque ce dernier annonce se marier avec Mélanie et s'installer avec elle à Atlanta. Jeune homme instruit, épris de culture et de loisirs, il préfère choisir Mélanie et Atlanta, à Scarlett qui, à ses yeux, n'a pour elle que sa beauté.

Le coup est rude mais Scarlett, fière et entêtée, ne s'avoue pas vaincue et projette sa reconquête.

C'est sans compter sur la folie des hommes et l'arrivée de la guerre de sécession.

Cet épisode va profondément marquer les américains et les familles sudistes. Les O'Hara et Scarlett n'y échapperont pas. N'ayant à l'esprit que ses objectifs personnels, Scarlett va être obligée de se confronter à la réalité, à la fin d'une époque aux allures de fin du monde. Un destin qui va révéler une femme forte et déterminée.



Si on a peu de clémence au départ pour cette jeune fille superficielle, on s'attache peu à peu à Scarlett qui évolue au fur et à mesure des coups successifs portés par le destin.



Le roman de Margaret Mitchell est ici adapté par Pierre Alary.

Hormis au départ quelques difficultés à s'y retrouver parmi les personnages, le dessin semi-réaliste de Pierre Alary est agréable et alterne plans serrés et plans larges dans un découpage réussi. La colorisation m'a beaucoup plu. Tantôt sepia, tantôt ocre, elle accompagne parfaitement le récit et nous plonge dans l'ambiance des lieux et des événements de l'époque.

Le rythme est bien géré et s'emballe en même temps que l'histoire qui nous tient en haleine. Une première partie réussie, on a hâte de lire la suite.



Grand format, dos toilé, papier épais, signet, l'objet est beau.

Un petit reproche peut-être. Dans ce bel écrin, Rue de Sèvres et l'auteur auraient pu prévoir quelques lignes en annexes pour présenter brièvement le contexte historique. La guerre de sécession est une actrice à part entière et c'est un épisode probablement peu connu de la plupart des lecteurs. J'ai dû pour ma part aller lire un peu par ailleurs pour mieux comprendre les raisons et enjeux de cette guerre et le sort malheureux des états concernés et d'Atlanta en particulier.
Commenter  J’apprécie          00
Gone with the wind, tome 1

Club N°53 : BD sélectionnée ❤️

------------------------------------



Réticent avant de lire cette remarquable adaptation (je dois l'avouer), on se laisse embarquer et séduire par ce premier tome.



Dialogues, couleurs chaudes, narration, Pierre Alardy a rendu une excellente copie.



Wild57

------------------------------------



Adaptation réussie d'un livre et surtout d'un film très connu.



Cette 1ère partie est très rythmée et la romance décrite qui se passe au moment de la guerre de sécession révèle très bien la cruauté de cette époque (État du sud esclavagiste, regard supérieur des confédérés vis à vis des unionistes, exploitation de la guerre à des fins mercantiles, etc…).



Superbe mise en couleur de l'auteur.



Vivement la suite !



David

------------------------------------



Belle adaptation du roman.



Le personnage de Scarlett est aussi agaçant et étonnant.



On attend la suite avec impatience !



Virginie

------------------------------------



C'est bien fait, le ton est juste.



Morgane R.

------------------------------------



Une belle adaptation du roman.



Je n'ai pas lu le livre mais vu le film.



Dommage qu'il n'y ai pas les scènes de guerre, les combats.



Aaricia

------------------------------------


Lien : https://mediatheque.lannion...
Commenter  J’apprécie          610
Gone with the wind, tome 1

J'admets avoir du regarder le film pour un cours d'anglais de fac... et je me suis lamentablement endormie devant. C'était long, et clairement, je ne me suis pas passionnée pour le sujet. L'an passé, j'ai entendu Pierre Alary, l'auteur de cette adaptation BD, en parler lors de la foire du livre de Bruxelles et il a vraiment su titiller ma curiosité. Alors, lorsque j'ai pu l'emprunter à la médiathèque, je n'ai pas hésité. Et wow ! Pour le coup, c'est avec beaucoup de dynamisme qu'il nous plonge dans les Etats-Unis historiques. Ceux du Sud, qui ont perdu la guerre. Je m'attendais à ce que l'on parle de libération d'esclaves (rappelons que je me suis endormie pendant 2h de film, je ne savais donc pas grand chose), eh bien pas vraiment. Nous observons surtout deux protagonistes qui voient leur monde privilégié partir en cendres, et s'y adaptent. L'histoire m'a suivie encore quelques jours après, et je suis très curieuse de la suite. Elle n'est pas encore parue, mais lorsque ce sera le cas, aucun doute que je la lirai !
Lien : https://sorbetkiwi.fr/index...
Commenter  J’apprécie          40
Mon traître (BD)

C'est sur la pointe des pieds que j'ai ouvert Mon traître. Cela faisait un bail que je souhaitais découvrir le roman de Sorj Chalandon mais je l'avoue humblement je n'en avais pas eu le courage ...



En découvrant à la bibliothèque l'adaptation graphique de Pierre Alary je n'ai pas hésité. Et je n'ai aucun regret !!!

Pierre Alary "avait envie de raconter une belle histoire comme ça, mais, surtout en conserver les mots, et toute la douleur. M'approprier son émotion et la raconter en dessin... Je voulais avoir la fierté de mettre ses mots sur mes images. J'y mettrais du "moi" par le découpage, le rythme, le montage.. " Voilà ce qu'il nous dit de son travail.

Sorj Chalandon lui a fait confiance, ils se sont regardés, se sont serré la main . Tout était dit..



Quant à l'histoire nul doute que vous la connaissez bien , très bien . Une histoire d'amitié trahie, une histoire où la colère explose, où l'Irlande se dévoile , où le frère trahit mais reste le frère ...



Immense coup de coeur.
Commenter  J’apprécie          262
Retour à Killybegs (BD)

Le retour à Killybegs est celui de Tyrone Meehan, le traître à la cause irlandaise. À la fin de Mon traître, plein de questions restaient en suspend. Pourquoi Tyrone avait-il trahi après avoir été un héros ? Pourquoi les anglais l'avaient-ils dénoncé et donner en pâture à l'IRA ? Tyrone avait-il toujours menti et était-ce un véritable salaud ?



C'est Tyrone lui-même qui va écrire son histoire et nous faire découvrir les drames de sa vie. Il est revenu dans le village de son enfance Killybegs où il a grandi comme toute sa famille. Tyrone est revenu sur la terre de ses pères mais il est revenu seul, sans Sheila, sa femme, sans Jack son fils . Mais a t'il le droit d'avoir encore une femme et un fils ?



Tyrone nous retrace son parcours et apporte son éclairage, sa vérité. On retrouve des moments et des événements décrits dans Mon traître et on comprend mieux certaines réactions de Tyrone. Il raconte sans détour, et donne sa vérité.



Pierre Alary prête ses traits et ses couleurs à cette vérité. On découvre la complexité de cette intrigue mais aussi la complexité de la vie et de l'engagement de Tyrone. C'est un homme d'honneur qui a croisé des hommes d'honneur dans les deux camps. C'est aussi un homme de cœur et il le montrera. Il ne faut pas toujours se fier aux apparences.



Sorj Chalandon et Pierre Alary nous entraînent dans les méandres de la détresse humaine et d l'horreur des combats. Qui a le droit de juger ?Qui eput juger ? Jusqu'où peut-on aller ? Quel sacrifice peut-on faire ?



C'est une très belle histoire, très touchante. Une histoire d'un homme qui sera rattrapé par son destin et qui fera passer la cause nationale avant sa propre vie. C'est aussi une histoire de solitude, la solitude des êtres d'exception. À travers le Retour à Killybegs, nous saurons alors que les proches de Tyrone n'ont pas su.



Grâce à ces deux romans graphiques, j'ai pu parfaire mes connaissances sur l'Irlande et la lutte de l'IRA. J'étais déjà passionné par la verte Erin, je le suis encore plus. Je vais chercher d'autres romans de Sorj Chalandon et d'autres BD de Pierre Alary, car leurs univers m'ont conquis.

Commenter  J’apprécie          100
Mon traître (BD)

Antoine est un luthier parisien. En décembre 2006, un article de journal sur un traître irlandais va le replonger dans son histoire personnelle et dans celle de l'Irlande du XXème siècle.



Antoine a découvert l'Irlande et les Irlandais en 1977. Il a été accueilli à bras ouvert pour découvrir ce pays et ces habitants de l'intérieur. Ces nouveaux amis vont le sensibilise à l'histoire de l'Irlande mais aussi sur leurs coutumes, croyances, valeurs et quête de la liberté. Grâce à eux, il rencontrera une légende de la lutte pour la liberté, Tyrone Meehan.



Au fil du temps, des années qui passent et vistes régulières en Irlande, Antoine va se construire une identité irlandaise. Il se sent proche de la lutte de ses nouveaux amis. Il adopté leurs valeurs, leur mode de vie. Mais Antoine se retrouve en décalage avec ses amis français qui sont très loin des préoccupations des irlandais pourtant si proches dans l'espace.



Antoine vit au rythme des événements en Irlande et en Grande-Bretagne. Il nous permet de redécouvrir la lutte des irlandais sous toutes ses formes, de nous resituer dans cette histoire pas si lointaine. Je me rappelle de Bobby Sands et de sa mort après une grève de la fin, celle-ci avait eu des répercussions au delà des frontières de l'Irlande. je me souviens des actualités télévisées des années quatre-vingt et des images des soldats anglais en arme sur le sol irlandais.



Pierre Alary met en images le roman de Sorj Chalandon, il donne des visages à ses personnages, il s'empare de l'histoire de ce traître. Sous ses traits, il nous montre l'(amitié qui unit Antoine à ses amis de la verte Irlande. Il met en évidence la fascination que certains ont exercé sur lui. On sent une véritable histoire d'amour filial entre Antoine et Tyrone, cet homme énigmatique au passé glorieux.



Pierre Alary reprend les personnages de Sorj Chalandon, leur donne une consistance. Comment et pourquoi devient-on un traître après avoir été un héros ? Qu'est-ce qu'un traître ressent quand il est lui-même trahi ? Comment se remettre quand tous les idéaux d'une vie sont battus en brèche ? Voilà les questions posées et pour lesquelles nous devrons trouver des réponses au fond de notre conscience.



J'ai adoré le graphisme de Pierre Alary, le travail sur les visages, mais aussi les plans sur des détails, comme des mains. La composition graphique est très intéressante et donne le rythme au récit. Le choix des couleurs, de l'unicité de la couleur pour certaines parties permet de se concentrer sur le récit et sur le graphisme.



Ce roman graphique m'a donné deux envies : connaître la suite (donc je vais lire dans la foulée, Retour à Killybegs), mais aussi lire le roman original de Sorj Chalandon.
Commenter  J’apprécie          90
Gone with the wind, tome 1

Seul un bédéiste/scénariste aussi talentueux que Pierre Alary pouvait oser s'attaquer à un classique aussi mythique qu'Autant en emporte le vent » sans courir le risque de se voir fustiger par les critiques.



Le titre en anglais Gone with the wind de Margaret Mitchell a été conservé en version originale pour des questions de droit d'utilisation mais on pourrait presque y voir une volonté de perpétuer dans sa langue d'origine un « patrimoine » qui a une forte connotation dans l'histoire américaine et dans l'esprit des américains.



Une histoire aussi puissante et universelle demandait forcément un trait fort, intense et vigoureux.

L'univers graphique du bédéiste français, toujours aussi cohérent mais aussi novateur, colle parfaitement à l'atmosphère, donnant vie aux obsessions de l'héroïne principale et à la complexité des situations.



En magicien du crayon mais aussi du scénario, Pierre Alary donne des couleurs aux mots, trace des contours d'une interprétation pour en garder l'essentiel et s'aventure volontiers dans des points d'entrée afin de retenir ce qu'il souhaite exprimer à travers cette adaptation.

Il embrasse l'idée d'aborder un monde en transition qui affecte toutes les relations entre les hommes et où il est question d'adaptation, de courage et de résilience pour pouvoir survivre.



Alary parvient à donner de l'air à son histoire grâce à une mise en page qui alterne des plans larges qui évoquent les grands espaces mais qui servent également à faire ressortir les moments phares d'espoir ou de désolation



La dominance des jaunes et oranges, évoquant le sable prédominant dans la région, érode les émotions des personnages, tournant des camaïeux sombres dans les moments tragiques à des pastels lumineux lorsque l'espoir refait surface.



Un énorme coup de coeur de par sa densité, la qualité de l'écriture et son dessin implacable!

Deux ans ont été nécessaires à la préparation de ce premier tome et deux autres pour la suite, que j'ai hâte de découvrir!



Le premier tome de Gone with the wind est brillant de mille feux et frappe autant les yeux que l'esprit.



Commenter  J’apprécie          340
Mon traître (BD)

Une histoire d’amitié sur fond du conflit entre IRA et les forces britanniques. « Mon traitre » est l’adaptation du roman éponyme de Sorj Chalandon que je n’ai pas lu.



Pas le coup de coeur attendu. J’ai trouvé l’ensemble un peu trop froid et le récit souffre de quelques longueurs. Mais ça reste une bonne bande dessinée qui nous ouvre une fenêtre sur cette page de l’histoire et sur ce conflit assez peu connu par chez nous. Une histoire à taille humaine aussi avec ces liens d’amitié entre deux hommes a priori très différents.

Pas un grand fan non plus du coup de crayon malgré une bonne colorisation.



Une BD sympathique mais qui n’a pas la puissance émotionnelle attendue.
Commenter  J’apprécie          20
Silas Corey, Le réseau Aquila, tome 2

Quel secret va révéler le timbre que tout le monde s'arrache? On a Silas Corey mandaté par Clémenceau, qui espère évincer le Président Caillaux. Les Allemands, via leur chef le mystérieux Aquila, balancent du plomb pour récupérer le timbre. La Comtesse Zarkoff mange à tous les râteliers et vend des armes à tous les camps. Le Colonel Ledoux envoie le 2è Bureau aux basques de Corey. Marthe, veuve d'un ami proche de Corey, fait partie du lot envoyé par Ledoux. Les rapports entre Corey et Marthe sont un peu troubles. Femme forte, résolument ancrée dans son époque, fermement attachée à la libération des contraintes à l'encontre des femmes, Marthe est un personnage très attachant. N'oublions pas Nam, le serviteur de Silas Corey (un peu comme l'inspecteur Clouseau avec Kato dans la Panthère Rose).



Ce second tome du diptyque Le Réseau Aquila est en tous points semblable au premier tome. Toutes les promesses du tome 1 sont tenues. La scène dans les Galeries Lafayette en pleine alerte au gaz est splendide. Le duel aérien également.



Fabien Nury, en bon pédagogue, veille à ce que l'intrigue soit bien expliquée à plusieurs reprises, sous plusieurs angles, et comprise. Pas de prise de tête de ce côté-là. L'intrigue rappelle ce que l'on a dans la littérature de genre, façon John Buchan dans les 39 Marches, entre autres. Les personnages sont fouillés, pas exempts de stéréotypes, mais cela reste fort raisonnable, pas trop caricatural quand même. Le scénario maintient le rythme. Et le dessin est vraiment plaisant. Le lecteur est assuré de passer un agréable moment de lecture.
Commenter  J’apprécie          60
Silas Corey, Le réseau Aquila, tome 1

Avril 1917. Le Tigre Clémenceau cherche un moyen d'abattre son rival, le président Caillaux, qu'il soupçonne de comploter avec l'ennemi.Sur le front, la France n'en mène pas large. Beaucoup d'entreprises vendent aux Français et aux Allemands, comme la Comtesse Zarkoff.



Mais au centre de toute cette constellation, on trouve Silas Corey. Ancien soldat réformé, reconverti en détective privé, il va manger à tous les rateliers pour débrouiller cette affaire d'espionnage en pleine 1ère guerre mondiale. L'idée est de mettre fin à un espion qui se fait appeler Aquila...



Superbement scénarisée, magnifiquement mise en images, cette BD est une réussite. Silas Corey en dandy cynique et matérialiste est proche de la perfection. A la fois héros et anti-héros, il incarne tout ce que l'on admire et que l'on hait à la fois.



Une série à suivre.
Commenter  J’apprécie          80
Gone with the wind, tome 1

Cette adaptation est une vraie réussite! J'avais été attirée par nostalgie et par les bonnes critiques mais en lisant les premières pages, je me suis dit que je n'avais finalement pas envie de replonger dans cette histoire sentimentale. Mais ça n'a pas duré et j'ai été vite prise par l'histoire à laquelle Pierre Amaury donne un vrai souffle de modernité. La BD est à la fois fidèle au roman et au film tout en ayant sa patte personnelle qui me fait largement préférer cette version. Les scènes du siège d'Atlanta et du retour des soldats sont parmi mes préférées. L'ambiance d'apocalypse et l'émotion y sont parfaitement présentes. J'attends le tome 2 avec impatience!
Commenter  J’apprécie          80
Silas Corey, Le réseau Aquila, tome 4 : Le Te..

Deuxième tome du deuxième cycle qui conclu les histoires de Silas Corey à la fin de la première guerre mondiale. On sent déjà l entre 2 guerres s installer avec l émergence du communisme et l anti semitisme de plus en plus présent.

Ce dernier est peut-être un thème un peu trop simple et assez réducteur de la période, mais c'est assez bien mené quand même. Je vous laisse découvrir la toute dernière page qui met en avant un passage de ce deuxième tome.

Graphiquement le tout est assez cohérent et plutôt agréable à la lecture
Commenter  J’apprécie          20
Silas Corey, Le réseau Aquila, tome 3 : Le te..

Nouveau cycle avec ce premier tome, le testament zarkoff de Silas Corey se situant à l armistice de la première guerre mondiale, qui dévoile la complexité de la descendance et de l héritage d une énorme fortune, celle de Madame Zarkoff mourante. On apprend qu elle a descendant direct, son fils qui a disparu et que de nombreux prétendant à l héritage veulent faire disparaître. Cette enquête tombe dans les mains de l incroyable Silas.

J aime beaucoup ce genre de mise en page, très dynamique et cinématographique. On n a pas le temps de s ennuyer avec ce genre, cette fois-ci nous avons plus de scènes de nuit, peut-être un peu plus dures à déchiffrer.
Commenter  J’apprécie          20
Gone with the wind, tome 1

Scarlett O'Hara est amoureuse, un peu frivole, mais déterminée. Jusqu'à ce que la Guerre de Sécession l'oblige à devenir plus mature et plus forte.





C'est le premier tome d'une adaptation du roman "Autant en emporte le vent" de Margaret Mitchell. Je n'ai pas lu le dit roman ni vu de film donc j'avais un regard tout neuf sur l'histoire.



Et, ma foi, j'ai trouvé ça bien. Le personnage de Scarlett évolue de façon convaincante, le contexte historique et sociologique est digne d'intérêt, les illustrations sont superbes. Je n'ai pas grand chose à redire même si l'histoire d'amour a un aspect mélodramatique dont je ne suis pas friande. Pierre Alary signe un bon début de série avec un travail d'édition de qualité.



J'ai hâte de lire le deuxième tome.
Commenter  J’apprécie          100
Silas Corey, Le réseau Aquila, tome 2

Suite et fin de cet épisode de Silas Corey et du réseau aquila, où Silas à réussi à démasquer aquila, espoir au solde de l armee allemande. Un scénario toujours aussi dynamique avec des rebondissements qui donnent vie à cette histoire. Le personnage de Silas est haut en couleur mais reste très patriotique.

Les prises de vues et le cadrage sont plutôt bien étudiés pour que cette série reste intéressante. Les dessins sont caricaturaux mais permettent une multitude d expressions chez les personnages.
Commenter  J’apprécie          30
Silas Corey, Le réseau Aquila, tome 1

[critique pour les 4 premiers tomes]



Un excellent personnage, drôle et détestable à souhait, anti-héros au grand cœur qui fait son bout de chemin dans l'Europe du début du siècle, bordélique et remplie de conspiration et de conflits en tout genre.



On s'amuse, ça explose de partout, les dialogues sont pleins d'humour et de réparties.

Le dessin dessert bien le scénario. Un trait identifiable, net, qui donne un bon rythme et des décors agréables.
Commenter  J’apprécie          40
Silas Corey, Le réseau Aquila, tome 1

Silas Corey est un ancien combattant de la preguerre mondiale qui a été renvoyé dans son foyer sûrement pour blessures. Il endosse alors le rôle de détective pour Clemenceau en étant à la recherche d un timbre. Dans ce scénario la trahison n est jamais très loin et Clemenceau mise sur Silas pour son intégrité.

La mise en page et le dessin sont assez dynamique et l action est presque omniprésente, le style franco belge est vraiment dépoussiéré et cela grâce aux techniques des mangas, comics et longs métrages.
Commenter  J’apprécie          10




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Pierre Alary (1105)Voir plus

Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3201 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur cet auteur

{* *}