Pierre Boisserie

Un BD très sombre sur le monde de la finance et les scandales qui peuvent éclater. Un éclairage pour nous, pauvres ignorants qui ne faisons pas partie du milieu. Une histoire qui met très mal à l'aise, des personnages troubles et apparemment duplices ... Dommage qu'il ne s'agisse que du tome 1 car tous les éléments se mettent en place, la présentation des personnages avant l'histoire, dans une sorte de "préface" est bien construite, le drame arrive et ... la suite au prochain numéro ! J'espère avoir l'occasion de le lire !

L’intrigue de cette BD, inspirée du Comte de Monte-Christo d’Alexandre Dumas, est bien ficelé! On voit Alexandre se faire piéger pour devenir le seul responsable de la chute de sa banque, mais on réalise juste à la fin à quel point le stratagème était plus grand que ce que l’on imaginait. Les dessins et couleurs sont agréables à regarder sans être wow non plus.



C’est un style de BD avec des terme techniques à propos de la finance. Je ne vous le conseille pas pour de jeunes enfants, mais ça reste votre choix.
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Suite des aventures de Guillaume Montbrun, parvenu en 1825, en dépit de son caractère emporté et de ses gaffes jusqu'en Sibérie. Il est toujours poursuivi par l'agent anglais, de moins en moins discret, et par l'armée russe, et devient de plus en plus l'enjeu d'une lutte d'influence entre Philippine de Tallard et Roshâne. Les deux jeunes filles ont manifestement des projets avec lui. Et l'anglais, un seul objectif : entraver l'avenir de Guillaume. Tout cela en pleine Sibérie, où un départ de déportés déclenche chez le bouillant Guillaume une nouvelle poussée d'énervement.

Le personnage de Guillaume est toujours aussi attachant, mais le lecteur est maintenant un peu pressé d'en arriver au cœur de l'intrigue. Ce qui ne devrait pas tarder vu les dernières planches.

Après Paris, Guillaume se retrouve à Saint Pétersbourg, où en moins d'une journée, il provoque catastrophe sur catastrophe. Paul Sudrie le protège comme il peu, mais pour l'aider dans sa progression dans la Russie vers la Sibérie qui lui a été fixée comme but, il peut compter sur une charmante russe Roshâne, qui préfère continuer à feindre de parler russe que de devoir supporter la conversation, pardon le verbillage, de Guillaume. Désormais Guillaume est poursuivi par l'espion britannique qui ne le quitte pas depuis la Bretagne, les militaires russes qu'il a provoqués, et accompagné par une noble française Philippine de Tallard, ce qui provoque des étincelles entre Roshâne et Philippine. Pourquoi tout le monde s'intéresse tant à Guillaume ?

Pour tout vous dire, le suspense est éventé dés ce tome si on suit bien l'intrigue et les propos sibyllins de l'espion anglais. Mais le cheminement dans les steppes russes de cet héros improbable est vraiment plaisant. Une bonne BD rigolote.

Une BD assez sympathique. Au départ, je m'imaginais une série historique classique, ancrée dans le dix neuvième siècle, mais, dès les premières cases, il est clair le dessin est moins réaliste et plus distancié que dans les productions habituelles de ce genre. Eastern tient plutôt de la série d'aventures historiques à connotation humoristique. Tout le côté décalé étant amené par le personnage principal, Guillaume Montbrun, un grand hurluberlu, candide, fantasque, qui n’obéit qu'à son instinct et s'emporte au quart de tour. De duels provoqués pour des peccadilles en fuite peu discrète devant des ennemis inconnus, Guillaume n'arrête pas. N'arrête pas de parler, de tout et n'importe comment. N'arrête pas de se battre, pour tout et n'importe quoi. Heureusement qu'il est gardé avec soin en Bretagne d'abord, par Honorin, puis à Paris après sa fuite par les frères Sudrie. Pourquoi tant de considération pour cet écervelé ?

J'ai pris cette BD vraiment par hasard, et je la trouve finalement très originale.

Une très belle surprise. Un one-shot qui nous fait regretter de ne pas retrouver ces deux enquêteurs spécialisés dans de nouvelles affaires.
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Le second tome est tout aussi amusant que le premier.

Le jeune Guillaume Montbrun, impétueux , impertinent, gaffeur....parcourt la Russie : direction le lac Baïkal....

Il a à ses trousses , le dangereux Rutherford.

Et il a comme allié un mystérieux général....

Une russe répondant au nom de Roshane accepte de l'emmener en Sibérie....

Il s'ensuit de délicieux monologue de Guillaume, qui ne sait pas que Roshane parle français !!!!

Toujours aussi bien documenté, l’album suit la ligne du précédent opus, avec uniquement un changement de dessinateur, indispensable pour suivre le rythme et la qualité exigée.
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J'ai bien aime cette Bande dessiné qui s'appelle la croix Cazenac de Pierre Boisserie. Je trouve que les images sont très belles et que ça retrace bien l'histoire des personnage avant et pendant la guerre. Il y a une histoire de croix qui est très intéressante.

Maïtasun conclut en beauté ce diptyque. Patxi Babel tient donc toutes ses promesses et s'avère être une très bonne lecture qui vous entrainera dans de beaux endroits !
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J'ai été moins séduite par ce deuxième tome qui centre son intrigue sur le devenir de la fratrie Saint-Hubert. Ceux-ci se déchirent désormais et c'est à celui qui nuira le plus à l'autre.



J'ai retrouvé le côté histoire économique qui m'avait bien plu dans le premier opus. Le dessin est toujours aussi agréable mais dans l'ensemble je me suis plutôt ennuyée à la lecture de cette bd.
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Le scénario de ce premier cycle s'étale ainsi sur plus de trente ans, de 1815 et Waterloo à 1848. Cet étalement permet à l'histoire d'avoir le temps de prendre son temps et de ne pas accumuler les rebondissements trop rapidement. Parce que des rebondissements, foutrechien, il y en a des caisses. Retournements de vestes, trahisons, enrichissements, ruines, etc., rien n'est épargné mais tout a un sens au regard de l'histoire. Ainsi, les scénaristes se servent par exemple de Waterloo ou du développement du transport ferroviaire pour y fixer les bases de leur histoire, trépidante au demeurant. A noter également un petit cahier final où les scénaristes apportent des compléments historiques. Toujours bien vu, ces petits cahiers de fin, un vrai bonus utile.



Côté dessin, on retrouve Julien Maffre, déjà croisé sur le très bon Tombeau d'Alexandre. Si on peut parfois reprocher des fonds de cases un peu trop uniformes, le trait n'en est pas moins vif et les personnages expressifs. Le défi du vieillissement des personnages est également réussi même si le frère Saint-Hubert, qui prend un peu cher avec l'âge, ne sera pas très tendre avec son créateur. Au final, La Banque s'avère être une série plutôt bien foutue, intéressante, au scénario bien ficelé et qui permet d'appréhender le monde économique du 19è siècle sur le fond d'une histoire de famille à rebondissements.
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Ce premier opus est fort bien raconté. L'intrigue nous captive dès les premières pages jusqu'à la dernière. [...] Les dessins de La Malédiction sont confiés à Régis Penet. Ce dernier réalise un travail remarquable. Il donne de la force à son graphisme pour que le lecteur soit pris dans le récit. Il y a de très beaux passages et d'autres plus spectaculaires.
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Le rythme est soutenu et les péripéties et catastrophes s'accumulent pour aller jusqu'où... Le lecteur aura tout le loisir de le découvrir sous les traits du dessinateur Régis Penet qui a accompli un remarquable travail, à l'image du scénario. Dans un album qui s'apparente particulièrement aux meilleurs péplums que le cinéma ait pu créer, on notera de surcroit un dynamisme de bon aloi, tant au scénario qu'au dessin.
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Une BD où on s'attache aux personnages.

Et bien sur, tout particulièrement à la famille Cazenac.

Dans ce tome, de multiples rebondissements, imprévus et la fin du chamanisme ?

Un excellent tome, où tout se mêle : espionnage, chamanisme, amour, ....

De plus, les planches sont très belles, avec tout particulièrement de beaux visages.

A lire, sans modération....

De belles planches, de beaux dessins , de beaux personnages, une bonne intrigue.

Une BD caractérisée par l'envie que l'on a de lire la suite.

Dans ce tome, Etienne Cazenac va recroiser la Baron, un autre chaman.

Il continue également une relation passionnée avec Louise....

Dernier tome de cette saga familiale, sur fonds de chamanisme et d’espionnage.

Un série vraiment très homogène, avec de très beaux dessins, une belle histoire, des personnages attachants, et qui sait se terminer sans trainer en longueur....

Une série à lire, bien sur.... !

Dès la première page de cet album, le narrateur nous explique comment il prépare son cigare avant de le déguster. Pas n'importe lequel, un Flor de Luna. Et l'histoire peut commencer…

Dans un immeuble cossu de Genève un homme jeune se présente - Antoine Chatel - et parle avec son patron - Charles Porter - qui ne l'écoute pas attentivement, et pour cause, il git sur son lit, abattu d'une balle en plein cœur… Chatel fouille sa chambre et découvre ce qu'il était venu chercher, une clef USB, comprenant toute l'histoire de Porter, dernier nabab du tabac…

Flashback : 1825, un bateau naviguer vers le nouveau monde, avec sa cargaison de “bois d'ébène”. Très vite la tension monte entre les différents groupes de passagers… L'équipage d'abord qui commence à se mutiner, le commandement qui ne peut croire à une telle rébellion, quelques voyageurs divers, qui commencent à s'inquiéter, et les autres “passagers” à fond de cale.

La suite nous la découvrons très vite et elle ne manque pas d'intérêt.



Un très bel album dessiné à quatre mains par Stalner et Lambert, scénarisé également à quatre mains par Boisserie et Stalner. Il fallait bien tous ces talents réunis pour nous entraîner dans une saga dont on découvre le premier tome et qui par définition, pose plus de questions qu'il ne donne de réponses. Car la mise en scène du récit et la présentation des différents personnages prend certes du temps mais avec application, et les contours d'une sombre histoire de jalousies, de trahisons et d'amours contrariées, se dessinent dans un décor très riche en couleurs et apparemment bien documenté.

À suivre donc…

Ce tome est plus intéressant que le premier. L'histoire est toujours aussi intrigante et je commence à mieux comprendre l'histoire. Tout cela est bon signe car j'ai envie de continuer à lire cette série.