Randi Fuglehaug

Premier tome d' une série policière norvégienne, avec comme enquêtrice, une journaliste.



Agnes Tveit est revenu dans la petite ville de son enfance avec son compagnon, Frederik, un chrirurgien plasticien. Ils ont quitté la grande ville, Oslo, pour avoir la chance d'habiter une maison et devenir une famille, mais le premier bébé ne vient pas et Agnes se met à douter. A douter de tout ... du déménagement, du choix de son compagnon, du journal où elle bosse et où elle n'a pas été accueillie en fanfare. Bref, lorsqu'on fait sa connaissance, Agnes est comme un hérisson, pleine de piquants, de rancoeurs, de petites jalousies, d'envies . Pas la plus sympathique des héroïnes de roman, me direz-vous ? Oui, mais c'est ça qui est bien ! Parce que, justement, elle est différente, et que ça fait du bien quand , comme moi, vous lisez beaucoup de romans policiers...

Pour l'heure , elle assiste à un festival, celui des sports extrêmes de Voss , et une parachutiste vient de s'écraser au sol. Cela s'avérera un meurtre. Agnes qui connaissait la victime (de loin, elles étaient dans le même lycée) , se sert de cette proximité pour aborder ses amies et enquêter pour son journal.

Voss est une petite ville où tout le monde se connait, de prés ou de loin, ce qui est pratique pour avoir accés à des interviews, mais c'est cette même promiscuité qui fait dijoncter Agnes, lui fait se poser mille questions sur ses décisions passées.

C'est une série qui prend le temps de cerner son personnage principal, l'auteure ne dévoile pas tout car, comme Agnes est pleine de doutes, on ne sait absolument pas quelles directions prendra sa vie dans les tomes suivants ; aussi bien, elle peut tout envoyer promener.

C'est une série qui fait "moitié personnages", "moitié enquête" , dans sa narration, cela peut gêner des lecteurs, moi, ça m'a plu. J'aime découvrir la vie des gens dans d'autres pays, par le biais des romans policiers.

Mais même si le suspens n'est pas présent, le coupable s'avére surprenant.

En bonne journalise, Agnes sait tirer parti de toutes les sources qui peuvent l'aider, et cela tombe bien pour elle, son meilleur ami d'enfance est policier, mais le choix de l'auteure est clair, ils ne formeront pas un duo d'enquêteurs.

Agnes n'est pas la plus sympathique des héroines, mais elle ne lâche rien. Obstinée, passionnée et courageuse, j'aurai plaisir à la retrouver dans d'autres aventures, à Voss , 15000 habitants ...

" Je suis blonde et charmante,

Ailée et transparente,

Sylphe, follet léger, je suis fille de l'air

Que puis-je avoir à craindre

Une nuit de m'éteindre ?

Qu'importe de mourir comme meurt un éclair! "



(" A Herminie", Jules Verne)



La fille de l'air s'appelle ici Veslemøy , elle fait partie d'un club de parachutisme norvégien et s'écrase au sol, lors d'une descente: on a saboté son matériel, c'est donc un crime.



Parallèlement à la police, dont son meilleur ami , Viktor, fait partie, l'enquête est menée par une journaliste, Agnès, revenue depuis peu à Voss, petite ville å l'Ouest de la Norvège. C'est son point de vue qui nous est livré tout au long de l'histoire.



La premiere moitié du roman m'a plu: Agnès est un personnage intéressant,complexe, on sent un mal-être à travers ses fringales , ses repas peu diététiques, ses hésitations face au désir d'enfant, mais aussi sa détermination å connaitre la vérité concernant l'assassin, quitte à se mettre en danger. Et l'environnement montagnard , les coutumes locales sont bien décrits.



Cependant mon enthousiasme s'est un peu émoussé ensuite, pour plusieurs raisons. D'abord, on sent que c'est un premier roman, l'auteur cherche encore son style , certains passages sont maladroits. Et surtout, on se lassse un peu de toutes ces envies culinaires bien grasses et sucrées d'Agnès. On a l'impression qu'elle ne pense qu'à manger! Et finalement, je ne l'ai pas trouvée très attachante, elle est agressive dans son comportement avec les autres, et assez injuste envers son compagnon.



La fin laisse supposer que d'autres aventures d'Agnès viendront. Je ne sais pas si je les suivrai. En tout cas, malgré mes réticences, voila un début dans le monde du polar prometteur! A vous de voir...

Marta Tverberg, donne un concert dans la ville où elle est née, après des tournées planétaires, des concerts au Royal Albert Hall et à l’Opéra de Sydney, elle qui avait joué devant des présidents et des têtes couronnées, ne s'était jamais produite et n'avais jamais composé pour Jazz à Voss. C’est la première fois qu’elle est invitée chez elle et a du mal à l’accepter. Mécontente, énervée, par les médisances sur son compte, qu'elle entend en coulisses, les spectateurs, ainsi que les élus étaient pour elle, une bande d’abrutis, un troupeau.



Assiste à son concert, La journaliste Agnès Tveit, qui vient de rompre avec son fiancé, pour adoucir son chagrin, elle dévore de la junk food et noie son chagrin dans l'alcool, tout en travaillant sur la biographie, de la grande saxophoniste, Marta Tverberg.



Agnès commence à s’ennuyer, lorsque l’artiste s’effondre sur scène, en plein festival, après les premiers émois, l’assassinat est retenu, le médecin qui essaie de la sauver, meurt aussi.



Choquée, Agnès, devient l'un des témoins clé, et décide d’enquêter sur l’entourage de la diva, aigrie et capricieuse, elle avait plus d’ennemis que d’amis.



Parviendra-t-elle à trouver le coupable ? Les musiciens, la famille, tout le monde est concerné.



Je n’ai pas détesté Fatal Tempo de Randi Fuglehaug, le début est un peu lent, cela s’anime avec la recherche du tueur, et les différentes enquêtes, mais ne vous attendez pas à une intrigue palpitante et haletante. Un policier sympathique pour l’été.

La journaliste Agnès Tveit quitte Oslo et un poste dans un grand journal pour revenir vivre avec son mari médecin dans son village d'origine où elle connaît tout le monde.

Elle couvre un événement sportif : la semaine des sports extrêmes qui débute par du saut en parachute,4 copines , qu'elle connaît de sa jeunesse, sautent ensemble pour ouvrir le festival Elles sont adeptes de ce sport qu 'elles pratiquent régulièrement , mais un parachute ne s'ouvre pas et l'une d'elles s'écrase au sol ! Une enquête est ouverte qui révèle que le parachute a été saboté .Agnès profite de son statut de journaliste pour fouiner,jouer les miss Marples et débusquer le meurtrier.

Un roman intéressant mais qui manque un peu de ressort.

Livre lu dans le cadre d'une masse critique privilégiée. Merci à Babelio de me l'avoir fait parvenir.

Ville de Voss, à l’ouest de la Norvège : c’est le festival du sport extrême qui attire de plus en plus de monde chaque année.

Et cette année, il fait beau ! De quoi ravir l’organisateur, les habitants et les participants qui viennent du monde entier.

Mais dès le premier jour, un accident mortel survient.

Agnes est journaliste pour le compte de la feuille de chou locale alors qu’elle a exercé pendant des années pour le journal le plus important de Norvège.

Elle a quitté Oslo depuis un an pour revenir s’installer dans sa région natale.

Parce qu’elle s’ennuie ferme, elle s’intéresse de près à cet accident qui s’avèrera rapidement être un meurtre.

C’est donc un polar norvégien avec une journaliste pour enquêtrice. L’ouvrage est présenté comme le premier d’une série, celle d’Agnes Tveit, la journaliste héroïne.

Cela explique sans doute que son personnage soit développé à l’extrême. Cela me laisse un peu perplexe sur ce que le lecteur aura à apprendre sur elle lors des opus suivants. Peut-être deviendra-t-elle un peu plus attachante ?

L’intrigue n’est pas révolutionnaire mais les descriptions de la région donnent fortement envie d’aller faire un tour à Voss et ses environs.

Agnes Tveit, journaliste revient à Voss, village de son enfance situé dans l'ouest de la Norvège, après avoir exercé pour un magazine à Oslo pendant des années. Lors du festival des sports extrêmes, l'une des parachutistes s'écrase violemment sous les yeux de public. Très vite les enquêteurs se rendent compte qu'il ne s'agit pas d'un simple accident. Aidée par son meilleur ami Viktor, membre de la police locale, Agnes va tenter de découvrir qui se cache derrière la chute mortelle de son ancienne camarade de classe. De son arrogant mari à l'organisateur du festival en passant par ses coéquipières, tout le monde sera soupçonné...



Dans ce petit village, en plein cœur des Fjords, où les habitants se connaissent depuis longtemps, Agnes revient en devant composer avec son nouveau boulot où elle est prise de haut et sa vie de couple chaotique. J'ai trouvé son personnage plutôt attachant, n'arrivant pas à tomber enceinte elle commence à s'interroger sur ce qu'elle veut vraiment. Parallèlement, elle renoue avec ses anciennes camarades, coéquipières de la victime, levant le voile sur leur passé, pour découvrir la vérité sur ce mystérieux assassinat. Le duo Agnes la journaliste et Viktor le flic qui lui refile des infos sous le manteau fonctionne plutôt bien. C'est frais, bien rythmé et très divertissant! Ce premier tome plante le décor de cette nouvelle saga norvégienne et je suis curieuse de découvrir la suite !

Bienvenu à Voss en Norvège.

Agnès est journaliste et elle s'ennuie ferme depuis son retour...

Mais voilà qu'un terrible accident va venir changer tout ça !

Lors de la semaine des sports extrêmes une participante va mourrir en parachute !

Accident ? Suicide ? Non un meurtre !!!

Évidemment en tant que journaliste Agnès va venir fouiller partout...



Pour un premier roman j'ai trouvé ça plutôt pas mal. J'ai aimé me retrouver un Norvège ! De plus j'apprécie particulièrement lorsque que c'est un journaliste, qui vient farfouiller partout. Ici le passé rattrape le présent, mensonges, trahisons, secrets sont au rendez vous... Tout ce que j'aime !

Le seul bémol c'est Agnès... j'ai eu du mal à m'attacher à ce personnage...

Malgré cela j'ai envie de poursuivre cette série, l'auteure à malgré tout réussi à éveiller une curiosité en moi, voir comment les différents protagonistes vont évolués.

Puis j'ai particulièrement aimé l'enquête dans ce décor !



Ps : joyeux noël à tous !

Une parachutiste de l’équipe féminine, qui ouvrait les festivités, s’écrase au sol à Voss (Norvège) lors du Festival Annuel des Sports Extrêmes. Agnès est en charge de l’affaire au journal local: en effet, de retour chez elle après avoir fait carrière dans un journal national, elle connait tous les protagonistes de l’affaire, qu’elle fréquentait au lycée. Quand il s’avère que l’accident n’en est pas un, que ses soucis conjugaux prennent des proportions stressantes et que son amitié pour l’adjoint au chef de l’enquête lui est reprochée, Agnès s’enlise un peu.

Et c’est le principal problème de ce policier, qui nous endort assez rapidement, aussi stimulant qu’un verre d’eau tiède. Tout y est lent et fade, l’intrigue pourrait être traitée avec plus de soin, de mystère et les personnages sont très peu intéressants:la plupart ont des problèmes de bébés dont on ne voit pas trop en quoi ça sert l’intrigue sauf à rajouter des pages et ralentir l’action.

Bref, ne pas trop s’y attarder.

C'est un flop pour moi malheureusement.

Je n'avais pas de grandes attentes mais j'espérais passer un moment sympa or j'ai vite compris que ça n'allait pas être pour moi.



Un peu trop cliché, un peu trop simple dans l'écriture et dans la manière dont tout s'imbrique.

J'adore cette ambiance à la "Princesse malgré elle" et c'est pour ça de base que je voulais le découvrir mais je n'ai pas vraiment retrouvé ce que j'étais venue chercher.





Pareil pour les thèmes abordés. Autant je n'ai pas vu venir certaines choses ce qui était plutôt sympa autant je trouve que ça manque de profondeur. C'est dommage car on sent qu'il y a un potentiel pour une chouette histoire mais ça reste trop en surface.



En bref, je n'ai pas été la cible je pense que je suis un poil trop vieille maintenant pour lire ce genre d'histoires et vraiment apprécier leur simplicité. Je suis quand même curieuse de découvrir l'adaptation en film/série qui sera faite !


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C’est un premier roman … et on le ressent à la lecture.

Parfois un peu maladroit, parfois un peu trop délayé, parfois un peu à côté de la plaque … tout n’est pas du même niveau.

Il ne nous est pas donné suffisamment de temps pour apprécier les différents personnages, on survole, on volète au dessus des uns et des autres, on ne se prend pas de sympathie, ni d’antipathie pour tous ces individus, les portraits ne sont pas approfondis.

L’intrigue est bien menée mais plus de 400 pages, ça fait beaucoup trop.

L’écriture est fluctuante, parfois elle accompagne bien le récit et d’autre fois tombe à côté.

Randi Fuglehaug est peut être une nouvelle voix du polar scandinave mais elle devra encore faire ses preuves

Les polars nordiques font partie de mes préférés et me permettent de découvrir à travers de macabres histoires, les paysages merveilleux de la Scandinavie. De l’Islande à la Suède en passant par le Danemark, certains romans m’ont donné de véritables sueurs froides en plus de m’inciter à approfondir mes connaissances sur les traditions et cultures nordiques. J’ai ainsi fait mon premier détour par la Norvège pour rencontrer la plume de Randi Fuglehaug avec son roman, « La Fille de l’air » aux éditions Albin Michel.



C'est au cours d’une belle journée ensoleillée dans la ville de Voss, dans l'ouest de la Norvège que la cérémonie d'ouverture de la semaine annuelle des sports extrêmes bat son plein. Le bonheur des participants et des spectateurs prend brusquement fin lorsque quelque chose s’approche en chute libre depuis le ciel. Ce quelque chose est une femme, parachutiste en costume national norvégien avec ses beaux cheveux blonds répartis sur l’herbe. Ce drame est-il la conséquence d’un malheureux accident ou est-ce un meurtre prémédité de sang froid ? Agnès, rédactrice locale, couvre l’événement où les secrets et les mensonges du passé s'avèrent suffisamment forts pour couper les lignes du parachute d’une femme afin de l’expédier six pieds sous terre.



Malgré un personnage principal légèrement antipathique, ce premier roman de l’autrice est très prometteur ! L’histoire est intéressante tout autant que le cadre dans lequel elle évolue. J’ai apprécié le fait d’exploiter le festival de sports extrêmes qui se tient véritablement à Voss depuis 1998, comme lieu d’intrigue et de lier le drame fictif à des trahisons personnelles autour de la pratique du parachutisme, mais pas que. J’ai soupçonné plusieurs personnages jusqu’au dénouement qui a réussi à me surprendre tout en étant très cohérent. Le coup de cœur ne s’est pas déclenché mais l’engouement norvégien le plaçant plusieurs mois sur leur liste des best-sellers est mérité ! J’espère ainsi que « La Fille de l’air » n’est que le premier tome d’une belle série au cœur des fjords.

Dans la petite bourgade de Voss, en Norvège, quatre meilleures amies d'enfance aiment braver le danger par passion. Cette passion pour le parachutisme, qui les unit depuis plusieurs années, est un sport célébré lors du festival des sports extrêmes de la commune.



Alors que la cérémonie d'ouverture bat son plein, un drame mortel survient lorsque l'une des quatre parachutistes s'écrase au sol.

Agnès Tveit, journaliste et originaire de Voss, venait d'obtenir une interview des quatre co-équipières. Elle se retrouve désormais témoin de la scène terrifiante qui vient de se dérouler sous les yeux des festivaliers.



Une enquête autour de la mort de Veslemoy Liland sera ouverte pour "assassinat", son parachute ayant été saboté. Agnès mènera l'enquête pour le journal local et sera épaulée par Viktor, son ami proche, qui n'est autre que le commissaire adjoint du coin.



Randi Fuglehaug a su m'embarquer dans son premier polar. Si vous aimez comme moi découvrir de nouveaux auteurs scandinaves, alors je vous le conseille. L'ambiance de cette enquête est menée telle un huis clos et nous délivre des personnages torturés par leur passé.



En bref, ce fut une bonne lecture avec une écriture fluide et du suspens autour de cette bourgade pleine de secrets où tout le monde se connait. Si une suite doit voir le jour, je pense que je me laisserais bien tenter.



Je remercie Babelio et Livre de Poche pour la découverte de ce polar dans le cadre de la masse critique Mauvais Genres.

Compte-tenu de mon attirance pour les polars scandinaves, je me suis laissé tenter par celui-ci. Qua dire? J'en ressors moyennement convaincue. L'intrigue est originale, la solution aussi, mais... Agnès est tellement antipathique que j'avais presque envie qu'elle se fasse zigouiller. Il n'y a d'ailleurs aucun personnage auquel j'aurais pu m'attacher. Par ailleurs, ça manque sérieusement de rythme par moments (on dirait un épisode de Derrick 😃 ). Si la lenteur des Islandais ne me dérange pas, car elle est générée par une ambiance très spéciale, ici, j'ai eu surtout l'impression d'un manque de savoir-faire de l'autrice (ce qui est logique, pour un premier roman). Bref, je donnerai probablement sa chance au deuxième roman de l'autrice, mais ce n'est pas un coup de cœur.

Lors du festival des sports extrêmes, organisé chaque année à Voss en Norvège, une parachutiste s’écrase au sol, son parachute ne s’est pas ouvert.

Agnès, journaliste qui revient s’établir à Voss après plusieurs années à Oslo et qui connaissait la victime, va fouiller dans le passé de la parachutiste et faire remonter des secrets qui concernent pas mal de monde dans cette petite communauté.



Ce premier opus de ce qui semble une saga en devenir, est une lecture sympathique. L’intrigue est simple mais on n’est pas toujours obligé de se prendre la tête. Les personnages principaux, notamment Agnès, mériteraient d’être un peu étoffés mais ont du potentiel. Et si je devais classer ce livre, je dirais « Cosy Mystery » à la norvégienne. Une lecture tranquille donc avec, en bonus, une petite ambiance nordique qui plaira à beaucoup.


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Quand le jazz est, quand le jazz est là…



Roman policier sans prétention et agréable à lire. Il est servi par une écriture simple et tonique, une intrigue stimulante et quelques rebondissements surprenants.



L'histoire débute au festival de jazz de Voss en Norvège : l'enfant du pays, une célèbre saxophoniste de jazz, s'effondre sur scène. Agnès, notre héroïne, chargée d'écrire une biographie sur l'artiste, démarre au quart de tour et se lance dans une enquête dont l'issue ne peut être trouvée qu'auprès de l'entourage de la Diva.



Nous participons donc à toutes les rencontres d'Agnès qui en profite pour nous faire découvrir quelques facettes de l'art de vivre norvégien. le charme du roman doit d'ailleurs beaucoup au personnage principal, une journaliste/ écrivain, célibataire, approchant la quarantaine, la tête un peu en pagaille, curieuse, impulsive, courageuse, entêtée, maladroite, fidèle en amitié mais peut-être pas en amour malgré ses tendances fleur bleue. De l'action, de la drôlerie, un peu de sexe (pas jusqu'à la pornographie, tout de même). Un bon shaker et l'histoire décolle.



Le tout, offert avec une simplicité souriante, assure un bon moment de détente.

Si le début est prometteur, le roman s'essouffle, pour reprendre vie vers la fin.

Les personnages sont au départ assez bien construit, pourtant certains sont tellement caricaturaux qu'ils peinent à convaincre. La journaliste qui ne prend pas soin d'elle et qui ne parvient pas à tomber enceinte en fait partie.

Pour autant ce roman n'est pas mauvais, mais je n'oserais pas dire qu'il soit excellent. J'ai toutefois passé un bon moment à Voss en Norvège ...

Après avoir lu le tome 1 qui m'avait plu, évidemment je suis allée lire ce deuxième tome.

Je ne m'attendais pas à ce que ce livre soit du point de vue d'un autre personnage, à savoir Margrethe, la princesse. Belle surprise.

C'est un personnage attachant. J'ai réussi à m'identifier à son parcours.

J'ai d'abord lu le livre et j'ai ensuite vu le film. Le film est plutôt fidèle au roman même s'il y a des modifications.

J'ai accroché avec l'intrigue. J'arrive bien à visualiser les personnages, même ceux qui sont secondaires (petite pensée pour Tess).

Je préfère la version livre que la version film.

Quand on referme le livre, on est un peu déçu. Ça commençait pourtant bien : un parachute ne s'ouvre pas lors d'un saut à l'occasion de la Semaine des sports extrêmes à Voss, en Norvège. La parachutiste est tuée. le parachute avait été saboté. C'est un assassinat. La police enquête. Une journaliste de la feuille de chou locale, Agnes Tveit, veut jouer au journaliste d'investigation, contre l'avis de son rédacteur en chef, et enquête également. Bon début. Mais le récit est trop long, l'intrigue compliquée et les protagonistes secondaires en retrait. Et donc, on a du mal à rentrer dans l'histoire, et on assiste de l'extérieur aux allées et venues d'Agnes, peu sûre d'elle même, et qui se démène dans un dédale mêlant le passé et le présent, l'amitié et la rancune, les mensonges et les secrets, l'étourderie et l'invraisemblance.





Il y a quand même de bonnes choses dans ce roman, dont il convient de profiter. D'abord, il y a le thème du retour à la ville de son enfance. Agnes a convaincu son compagnon, médecin, de quitter Oslo pour venir vivre à Voss, la ville où elle a fait ses études, et ce, parce que deux de ses amis d'enfance y sont revenus travailler. À Voss, Agnes et son compagnon vont pouvoir vivre en maison, ce qui est mieux pour l'enfant qu'ils envisagent d'avoir. Mais tout ne se passe pas comme Agnes le pensait. Quitter la capitale, son anonymat, ses jobs gratifiants et ses commodités, pour se retrouver dans une ville de 15.000 habitants au climat pluvieux, ce n'est pas gagné d'avance! Et l'auteur nous fait bien partager la déconvenue d'Agnes et ses incertitudes, tant professionnelles que sentimentales. Et puis, il y a la fin, plus rythmée, particulièrement bien écrite, surprenante et émouvante. Auteure à suivre.

Grâce aux éditions Hachette Romans, j'ai pu découvrir Royalteen, un livre dont je n'avais jamais entendu parler mais dont le résumé me faisait envie. Lena vient de déménager à Oslo et intègre un lycée prestigieux. Là-bas, elle va rencontrer Karl-Johan dit Kalle, le prince héritier de Norvège. Très vite ils vont nouer une relation, mais Lena cache de lourds secrets.



Si vous voulez vous détendre cet été sans prise de tête au bord de l'eau, Royalteen est fait pour vous ! C'est un livre léger sans prise de tête qui se lit tout seul. Ce livre nous propose en quelque sorte une histoire de princesse moderne où une petite roturière commence à côtoyer la royauté. Ce qui change dans ce livre, c'est que l'histoire se déroule en Norvège. J'ai bien aimé découvrir Oslo et la royauté norvégienne. J'ai bien aimé ce changement puisque très souvent ce genre d'histoire se déroule en Angleterre.



Malgré ces apparences légères, Royalteen est un livre qui fait passer des messages importants pour les jeunes. Les auteurs dénoncent notamment les méfaits des réseaux sociaux et soulignent qu'il est très facile de détruire la vie de quelqu'un via les réseaux.



Pour ce qui est des personnages, j'ai bien aimé suivre Lena l'héroïne même si je l'ai trouvé parfois agaçante à cause de certaines de ses réactions. Kalle, le prince héritier de Norvège est un personnage sympa qui mérite d'être découvert. Comme notre héroïne fricote avec la royauté, dans un lycée de jeunes privilégiés, elle s'est fait des amis très riches. Ce qui est bien, c'est que les auteurs se sont éloignés du cliché des riches qui se croient tout permis et sont imbuvables. Lena a la chance d'être tombée sur une bande d'amis bienveillants.



Pour conclure, Royalteen est une bonne lecture mais qui ne marquera peut-être pas mon esprit très longtemps. J'ai apprécié découvrir la Norvège à travers ce livre. Il aborde aussi des thèmes importants tels que les méfaits des réseaux sociaux grâce à Lena et Kalle, les héros de ce livre. Un qui servira de suite à ce livre va sortir sur Netflix et je serai curieuse de le regarder.
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