Robert Pobi

Cela ressemble assez à City windows.....on pourrait d'ailleurs que cela y ressemble un peu trop sur la construction de l'histoire et sur le jeu entre le héros et les autres protagonistes ( sa famille qui ne veut pas le voir partir mais qui n'a pas le choix, le héros qui part mais qui le regrette après, mais finalement non,....) mais soyons honnête, c'est prenant , rapide, vif et riche en rebondissement et c'est bien ce que l'on demande à ce genre de livres, non? alors on savoure et on en redemande!

Un très bon thriller que cet Invisible de Robert Pobi.



Je me suis laissé emporter par la lecture à l’image de tous les objets pris par la tempête violente qui s’abat, dans ce roman, sur ce bout de l’état de New York où se déroule des crimes des plus atroces.



Personnage surprenant et original que ce Jake, agent du FBI, créé par Pobi, qui a la faculté de reconstituer le déroulement des meurtres en captant par mémoire photographique tous les détails de la scène de crime.



L’intrigue se met en place lentement, ou du moins l’auteur nous le fait croire. Car Pobi joue avec nous comme le meurtrier joue avec Jake. Le romancier nous mène vers un final des plus surprenants qui m’a pris au dépourvu.



Malgré des incohérences dans l’intrigue, cela a été un très bon moment de lecture.

Depuis que j'ai lu City of Windows et Serial Bomber, j'ai envie de lire tout Pobi. J'ai donc lu celui-ci que j'avais dans ma PàL depuis fort fort longtemps, et je n'ai pas été déçue !

Le personnage principal, Jake Cole, est agent du FBI et pendant qu'il est de retour dans sa ville natale à cause de son père (qu'il déteste), il est appelé sur une affaire de meurtres dans les environs. le problème c'est qu'un ouragan très violent est en approche, et qu'il faut résoudre cette enquête très vite avant que tout ne soit dévasté. Jake est tiraillé entre l'état de son père, artiste mondialement célèbre, atteint d'Alzheimer, ses souvenirs d'enfance, cet ouragan qui pourrait mettre sa famille en danger et cette enquête où le nombre de victimes ne fait qu'augmenter.

Si au début j'étais mitigée, l'auteur a su ensuite me happer dans l'intrigue grâce aux multiples rebondissements et au dynamisme marqué par l'arrivé de l'ouragan

Le personnage de Jake m'a beaucoup fait penser à Lucas Page car lui aussi a un don : en observant une scène de crime, il est capable de raconter les derniers instants de la victime, et donc de trouver pas mal d'indices.

Bref, j'ai beaucoup aimé ce thriller qui lève voile sur voile pour dénicher un secret bien enfoui !

Un sniper opère depuis des toits de New-York et en pleine tempête. Il vise des membres des forces de l'ordre sans liens apparents.

Pour tenter de trouver d'où partent les tirs, le FBI fait appel à Lucas Page, ancien agent, maltraité dans sa chair, et qui s'est reconverti en prof.

Hésitant, Lucas se voit contraint de coopérer. Il pense ne le faire qu'une fois, mais l'affaire prend une tournure inattendue.

Thriller plein de rebondissements, d'action et de personnages auxquels on s'attache facilement.

À commencer par Whitaker, agente du FBI, seule personne avec qui Lucas souhaite travailler et qui semble lire dans ses pensées.

Erin, l'épouse de Lucas et ses enfants adoptés ou recueillis.

Lucas, personnage mi-homme, mi-robot.

Et même Kehoe, responsable de l'enquête.

Jake Cole revient dans la petite ville de son enfance, après une longue absence, car son père a été victime d'un accident et présente des signes de démence.



Voilà qu'il se retrouve confronté à un meurtre : une femme et un enfant ont été écorchés vifs. Ce crime ressemble au meurtre dont avait été victime sa mère



Le meurtrier est-il le même ? A cette situation horrible, s'ajoute l'annonce d'un ouragan dévastateur.



Ce roman violent, cru, ne laisse pas une minute de répit au lecteur et il est assurément excellent ! Attention, la fin n'est pas du tout ce à quoi l'on pouvait s'attendre.

Dans les temps confinés, les bons thrillers étaient une valeur refuge et une saine alternative au binge-watching de séries tv.

City of Windows du canadien Robert Pobi fait partie de ces page-turner captivants, capables de vous prendre la tête plusieurs heures d’affilée.

L’intrigue est menée à vive allure, d’une écriture sèche à l’ironie mordante : un sniper d’élite se met à faire des cartons longue distance sur les flics de New-York.

Une balle, une tête. À 900 mètres de là.

❤️ Mais ce sont les personnages chargés de l’enquête qui vont vraiment emporter le lecteur : à commencer par le héros Lucas, prof d’astrophysique (tendance Asperger, à cinq ans il décodait le mouvement des étoiles avec une vieille paire de jumelles et une carte d’astrologie, pas d’astronomie) capable de décoder l’agencement mathématique du monde et donc aujourd’hui de calculer où était posté le sniper à plusieurs centaines de mètres de là.

Je ne suis pas sûr que ‘les Aspies’ soient très heureux de se voir utiliser à toutes les sauces médiatiques depuis celle du fameux Homard mais il faut bien reconnaître que la caricature de leurs super talents extraterrestres et de leur asociabilité sauvage fait d’eux de très très bons personnages de romans.

Au-delà des ses personnages, l’autre intérêt de ce bouquin c’est la fenêtre qu’il ouvre à notre regard sur les États-Unis, un regard cynique et désabusé sur les suprémacistes blancs adeptes des armes à feu (l’air est connu mais la mise en perspectives par Pobi plutôt vivifiante).

Pour celles et ceux qui n'aiment pas les armes à feu.
Lien : http://bmr-mam.blogspot.com/..

Polar très efficace, bien construit, bien écrit. Avec en prime, une démolition en règle bien argumentée de la vente des armes aux Etats-Unis. Une tempête de neige n'est pas forcément le pire ennemi de l'homme, mais ça je le savais déjà ;-)))



Nettement meilleur, à mon goût, que Les Innocents.

Jack Cole revient dans la maison de son enfance quand son père est hospitalisé suite à des crises de démence liées à la maladie d'Alzheimer.

Le shérif local lui demande son aide pour un double assassinat, crime qui s'avère être en lien avec son propre passé.

Et c'est sans compter que la ville est menacée par un terrible ouragan.





C'est un roman qui à la base avait tout pour me plaire : une intrigue noire, du sang, de la violence, de la mémoire eidetique, des personnages complexes.



Certes, l'atmosphère est lourde et pesante mais j'ai trouvé l'écriture froide qui m'a laissé à distance des personnages.



L'intrigue tarde aussi à se mettre en place. Il faut bien compter un tiers du roman avant que l'intrigue ne démarre réellement.



J'ai trouvé que dans la résolution de l'intrigue, il y avait des incohérences, des invraisemblances, des éléments dissonants avec certains éléments de l'histoire.



Finalement, la ressemblance avec le thriller Les visages était tel que j'ai compris où l'auteur nous amenait et que je n'ai pu m'empêcher de faire le parallèle entre les deux.

Ce second tome tient la route, aucun doute. On y apprend à mieux connaître Lucas Page et ses prédispositions. Ma question, à l'issue de ce tome aussi endiablé que le premier, City of windows est la suivante : après avoir dit maintes et maintes fois qu'on ne l'y reprendrai plus, comment Robert Pobi va t'il persuader son personnage de collaborer encore une fois avec le FBI sans passer pour un type qui ne sait pas ce qu'il veut ? Pour y avoir longuement réfléchi, je ne vois qu'une raison qui pousserait le personnage principal à reprendre du flambeau, mais cette option me fait froid dans le dos. Vivement la suite !

De bonnes idées, un début prometteur et entraînant mais au final que ce fut long !



Tout est fait dès le départ pour nous mettre dans le bain: un double meurtre atroce, un agent du FBI peu conventionnel, Jake Cole, qui décrypte littéralement les scènes de crimes grâce à sa mémoire photographique exceptionnelle et un mystère lié au passé de son père peintre.



Mais malgré ça, le soufflet retombe assez vite car... Il ne se passe rien. Jake décrit en long en large et en travers les scènes de crimes ainsi que les victimes mais n'en déduit rien. Il n'y a tout simplement pas d'enquête. L'auteur se perd dans les digressions de ses personnages, ce qui donne à la fin un sentiment d'ennui. Moi, je voulais avancer dans l'enquête, voir les découvertes faîtes. Mais rien.



De même, malgré une fin qui rehausse un peu le tout, il y a trop de zones d'ombre pour ne pas finir frustré à la fin de ce roman. À aucun moment on ne saura les motivations de l'assassin.

Certaines révélations tombent complètement à plat car Robert Pobi ne nous donne, là encore, aucune explication.



Bref, vous l'aurez compris, j'ai été très déçue par ce roman qui commence fort mais qui passe complètement à côté de l'intrigue.
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Sacrément bien monté ! Cette histoire de sniper est accrocheuse à souhait et fait froid dans le dos .....Sur un fond de complotisme, on voit l'Amérique armée à l'action....mais également les erreurs que le FBI peut ( et doit ) avoir engendrées. Le héros est habilement construit, loin justement des justiciers américains gros bras et experts de la gâchette! Cela le rend attachant et comme il gagne à la fin, ce n'est que du bonheur!

✒️ Dans ce nouveau roman psychologique j'ai rencontré le Shérif Hauser en charge d'une enquête morbide, mais aussi Jack Cole, membre du FBI, travaillant indépendamment en tant qu'expert en analyse de scène de crime.



J'ai connu énormément d'experts et d'inspecteurs, à travers tout ces thrillers mais aussi des profilers, petit clin d'œil à RJ Scanlon et Joshua Brolin. Mais ici, nous avançons près d'un homme totalement différent.

A l'inverse des profilers, Jack ne va pas rentrer dans la tête du tueur, non, il va rentrer dans la scène de crime pour revivre les événements. Il va se déconnecter de la réalité pour s'imprégner au détails prêt de la tragédie qui s'est déroulée devant lui. Il déterminera par la suite ce qui a plus ou moins pu se passer. De plus, doté d'une mémoire absolue, même à mille lieux de la scène de crime et par des flashes par intermittence, Jack saurais trouver des détails infimes que personnes n'aurait pu voir. Un don unique à faire froid dans le dos. C'était fascinant !



Tout débute par la mort d'une mère et de son enfant, tous deux écorchés vifs. Impossible de les identifier tant leur visages sont bousillés. A présent le temps est compté depuis que l'annonce de l'ouragan Dylan a été prononcé. Comment le Shérif Hauser et Jack vont s'y prendre alors que d'autres corps écorchés vifs les attendent tout près d'ici ?



J'ai adoré cette lecture et pourtant il se ne passait absolument rien ! La plume de l'auteur était atrocement séduisante. On nous raconte le passé trouble de Jack avec son père, un grand peintre reconnu et l'assassinat de sa mère. Une passé tragique que j'ai adoré suivre.



La chute était incroyable ! Même si je l'ai plus ou moins deviné car à force de lire que des thrillers on tombe de temps à autres sur du déjà vu. Mais cela n'enlève en rien au suspens et à la surprise du dénouement. Car on veut savoir comment Robert Pobi va clôturer son roman. Plusieurs fois l'auteur nous rendait fou avec des passages incompréhensibles. Mais quand la vérité arrive enfin, on comprend tout et c'est tellement satisfaisant. Magnifique !



Jack va énormément me manquer !

Fini à l'instant ! Et pfioooou il était vraiment bien.



Juste avant, j'ai lu L'invisible du même auteur. Je l'avais apprécié sans pour autant avoir un coup de cœur. Le roman souffrait à mon goût de quelques longueurs.



Mais celui-ci, malgré ses presque 480 pages s'est révélé beaucoup plus qualitatif.



L'intrigue est prenante et addictive. Le duo d'enquêteurs est détonnant ! Et j'ai adoré les pointes d'humour.

Il y a une chose aussi à relever. C'est que je n'ai pas su deviner qui était le/la meurtrier(e). Jusqu'à la toute fin, je pensais à la mauvaise personne.



En bref, si vous ne connaissez pas cet auteur, laissez-vous tenter. Les innocents est un petit bijou !

Un excellent pageturner, mais Robert Pobi a quand même tendance à faire subir le pire à son héros. Un peu sadique ? Avec nous aussi dans ce cas, qui nous malmène. Il ne nous lâche pas d'explosion en explosif en oubliant pas de tuer quelques innocents sur le chemin. Un peu déçue par la fin, j'avoue.

Après tant de polars lus, des plus classiques aux plus horrifiants, je ne pensais plus être kidnappée.

Ce n'est pas un scandinave.

Ce n'est pas un islandais.

Justement.

Le blizzard souffle.

Les fenêtres épient.

Les balles anonymes abattent.

Bienvenue dans un enfer noir comme la neige.

« Grandiose et captivant, empreint d'un humour dévastateur, ce roman se lit sans temps mort »



J’ai découvert avec ce thriller un nouvel auteur que je vais désormais suivre de près ! Il a a priori écrit déjà deux romans à succès que je ne connais absolument pas : « l’invisible » puis « les innocents ». Celui ci semble être le début d’une série avec l’incroyable Lucas Page.



Incroyable parce que cet homme atteint du syndrome d’Asperger est capable de décrypter une scène de crime avec les angles et trajectoires de tir. Professeur d’université, ancien agent du FBI, Lucas a tout arrêté après « l’incident » de trop où il a perdu un bras, une jambe et un œil.

Mais un sniper qui semble viser des agents de l’Etat mais dont le FBI peine à faire le lien entre eux va lui faire reprendre du service. Mais ira-t-il jusqu’à mettre sa famille en danger alors même qu’il avait promis à Erin son épouse de s’en occuper ?



A ses côtés l’Agent Spécial Whitaker tout aussi originale parce qu’elle semble avoir un 6eme sens pour deviner et anticiper les réponses aux questions que Page va lui poser 😳. J’ai adoré ce duo de choc aux caractères marqués et à l’humour débordant.



Tous les ingrédients de ce thriller/polar sont là pour faire de cette intrigue une parfaite réussite, un livre difficile à lâcher ! De l’action, des rebondissements, du suspense, des frayeurs, un rythme haletant, du sang, une écriture très visuelle dans des décors new-yorkais, vous l’aurez compris je vous le conseille vivement !

Page, son nom est Page.

Un attentat spectaculaire cause la mort de centaines de personnes au musée Guggenheim de New York, et le FBI se voit contraint de recourir, une fois encore, aux talents singuliers de Lucas Page pour trouver un début de piste. Et l'affaire se complique quand d'autres bombes explosent un peu partout dans la Grosse Pomme au nom de la lutte contre le progrès technologique, et que des illuminés applaudissent...



Après "City of windows", c'est avec une grande joie que j'ai retrouvé mon homme bionique préféré, Lucas Page, astrophysicien un peu (beaucoup) Asperger, partiellement constitué de prothèses, et doté d'un cerveau plus rapide et performant qu'un microprocesseur. Malgré son relationnel épouvantable, Page est fascinant, et surtout atypique dans l'univers du polar : il ne boit pas, il n'est pas dépressif, il est marié et proche de ses cinq enfants, et j'aime la façon dont Robert Pobi prend le temps de raconter sa vie familiale et de le rendre ainsi profondément humain et attachant.

Quant à l'enquête, elle est menée à un rythme haletant (après un début qui m'a cependant paru un peu lent), sur fond de fake news, de théories complotistes façon QAnon, et d'élans luddites. On sent que l'auteur se fait plaisir en dressant un tableau peu flatteur de la société occidentale actuelle, abrutie par les chaines d'info continue et les réseaux sociaux. Toutefois, l'intrigue part parfois un peu en vrille, et certains rebondissements sont un peu... exagérés -mais comme devant un bon James Bond, je suis d'accord pour tout croire et accepter, tant le plaisir de lecture est grand.



C'est bien écrit, c'est ingénieux, il y a de l'humour, de l'action et de l'émotion : que demander de plus pour passer un bon moment avec un bouquin ?

(des chocolats et un chat, peut-être...)

Ça fait longtemps que je n'ai pas lu un aussi bo Polar avec un personnage très improbable, mais extrêmement

drôle je trouve. C'est très bien construit, certainement bien traduit et intelligent.

Je le trouve même meilleur que son premier opus mettant en scène Lucas Page : cities of Windows. On est loin de la noirceur de Menkel, très au-dessus de la médiocrité de Cohen. Je crois que les Américains appelle ça un page Turner.

J'avais beaucoup aimé City of Windows, et je crois que j'ai encore plus aimé la suite, Serial Bomber. On y retrouve Lucas Page, ex-agent du FBI qui, suite à un « incident » (euphémisme) s'est retrouvé avec un oeil de verre, un cyber bras et une prothèse à la jambe ; il est aussi devenu astrophysicien et professeur d'université. C'est un génie Asperger qui peut voir le monde sous forme de chiffres, de mesures, d'angles, de trajectoires, etc.

Lorsqu'un grand musée newyorkais explose en plein gala, le FBI fait appelle à lui pour tenter de trouver le ou les coupables, car la somme de données à traiter est colossale : il faudrait soit plus de ressources informatiques, soit Lucas Page. Celui-ci accepte un peu à contrecoeur car sa famille et lui ont déjà assez souffert à cause de ses enquêtes.

C'est un thriller explosif (c'est le cas de le dire), où les personnages s'en prennent littéralement plein la tête. J'adore le personnage de Lucas Page, mégalo à raison, cultivé et intelligent et, malgré son caractère impossible, attachant. Ses réparties et punch-lines sont vraiment excellentes, implacables, drôles et grinçantes. C'est un délice !

Je vais essayer de me trouver les précédents Robert Pobi car j'aime beaucoup sa façon de formuler les phrases et ses intrigues tout feu tout flamme !

Ravie de retrouver ce personnage auquel je me suis attachée dans le premier opus (rien que pour ses réparties!).

Une enquête prometteuse mais qui s'emmêle un peu, prenant une direction inattendue. Beaucoup de critiques dans cet opus, l'auteur semble en colère, peut-être trop, ça part un peu dans tous les sens.

En dessous du premier, oui, mais loin d'être mauvais. J'attends le troisième !