Robert Pobi

Autant j'ai adoré City of Windows du même auteur autant cette suite ne m'a pas convaincue. En premier lieu l'intrigue se met en place avec la description d'un attentat au musée Guggenheim de New-York faisant de nombreuses victimes, puis d'autres bombes explosent et Page par son don de tout voir, tout mémoriser va être sorti de sa retraite contrainte pour aider à nouveau le FBI, lui le professeur émérite.



Sauf que voilà, les premiers chapitres étaient intrigants puis j'ai de plus en plus décroché. J'ai trouvé qu'il n'y avait pas beaucoup de rebondissements aptes à me captiver, la lecture m'a donc été ennuyeuse et laborieuse. Beaucoup de personnages dont le rôle ne m'a pas été assez clair, une enquête alambiquée, bref je me suis perdue... Quelle déception !

On va suivre Jake Cole, qui revient dans sa ville d’enfance qu’il a quittée il y a 30 ans. Ce jour-là il a laissé derrière lui sa maison familiale et son père, peintre célèbre, alcoolique dont les rapports sont coupés depuis le meurtre de sa mère qu’il tient pour responsable.

De retour afin de s’occuper de son père suite à un accident domestique dû à son Alzheimer.

En parallèle, Il sera appelé sur une enquête, étant profiler au FBI, pour traquer un meurtrier qui écorche encore à vif ses victimes, de la même manière dont sa mère est morte.

Jake va alors se rendre compte que son père peint toujours et pas n’importe quoi, il peint le portrait du meurtrier.

Entre ouragans, meurtre et enquête vous allez frémir !



Quel suspense ! J’ai adoré et je l’ai dévorée ! Tellement additif que les pages défilent et l’avantage des chapitres très courts c’est qu’on a du mal à s’arrêter !

Un thriller génial, on sent monter la pression au même rythme que l’ouragan c’est vraiment impressionnant cette monter en puissance du roman. À aucun moment l’histoire s’essouffle.

J’ai soupçonné quasiment tout le monde et à aucun moment je me suis douté et jusqu’à la dernière page !

Bref régalade assurer ! 🔥

Un thriller implacable et glaçant que nous livre #robertpobi

Il nous entraîne sur les pas des morts dans une ambiance de fin du monde. L'arrivée de l'ouragan de classe 5 ajoute une notion d'urgence supplémentaire. Découvrir le monstre humain avant qu'un monstre naturel n'efface Southampton devient une course contre la montre.

suite des aventures pour le moins explosives dans cet opus de Lucas Page, astrophysicien de génie, mathématicien hors pair, père de famille inquiet, et surtout asocial parfait. le voilà donc de nouveau impliqué dans une histoire d attentat , de bombes et de bêtises humaines …

ce second volet de ces enquêtes pour la FBI est dans la lignée du premier : rythmé, documenté et fort distrayant.

j attends la troisième aventure avec intérêt…

Ayant adorée "City of Windws", j'avais hâte de commencer "L'invisible".

Cela a été une vraie déception. Je me suis forcée a terminer le livre car cela tirait en longueur. De plus, il y avait trop de trop de violence gratuite à mon goût et beaucoup de details inutiles.

J'étais ravie de retrouver le Docteur Luka Page qui m'avait plu dans city of windows.



Cette fois-ci, nous sommes dans une histoire d'attentats de haute voltige d'abord une explosion sur une masse de personnes puis des explosions plus ciblées.. Le FBI patauge, difficile de comprendre qui est derrière tout ça...



Le dénouement se fait dans les dernières pages, OK...



J'ai trouvé l'histoire intéressante, ravie de retrouver Luka mais il y a quand même beaucoup de miracles heureux.



J'aime beaucoup la plume de l'auteur et l'humour qu'il instille dans ses bouquins donc je continuerai à le lire avec grand plaisir !

première rencontre avec M. POBI. C est efficace rythme intéressant un bon roman policier qui se lit bien mais qui ne révolutionne pas le genre du triller .

quelques réflexions bien senties sur la société américaine et notamment les milices chrétiennes , les anti gouvernementaux … à l adresse sans doute plus des américains que des Europe end mais ça fait bien de lire des choses nuancées …

Quel dommage ! un livre bien écrit, haletant, avec un attachement pour les personnages. Une mise en bouche un peu longue à certains moments, ou plutôt redondante avant que l’enquête ne prenne une vraie cadence .. [SPOIL] mais alors quelle déception : La fin et la chute manque cruellement de réalisme .. a un moment donné si on veut jouer avec les héros et leur faire prendre des risques, il faut aller au bout .. sinon, selon moi, il manque l’émotion complémentaire du thriller .. du coup pour moi, en refermant le livre, je trouve la synthèse assez fade.

Je relirai l’autre roman de R. POBI mais je n’en fait pas une top lecture ..

 Un bon roman, agréable, mais que j'ai trouvé un ton en dessous de City of Windows. Je regrette surtout quelques temps morts et le mobile du coupable. En effet, j'ai du mal à imaginer que pour ce mobile, on puisse organiser autant d'attentats. Le roman n'en reste pas moins efficace.

Jake Cole est un profiler hors-norme pour le FBI. Son père, qui souffre de la maladie d’Alzheimer, vient de se brûler gravement et a été hospitalisé. A contrecœur, Jake revient au pays pour s’occuper de lui. Mais pendant ce temps, un homme mystérieux entreprend une série de meurtres horribles : il dépèce puis tue ses victimes. Comme Jake est dans le coin, le shérif va faire appel à lui. Commence une enquête longue et besogneuse alors qu’un ouragan se prépare, d’une puissance inédite, et que les meurtres s’accumulent.



« L’Invisible » est le premier roman de Robert Pobi et s’inscrit dans la même veine gore que « Le Silence des agneaux » de Thomas Harris.



L’atmosphère est asphyxiante dès le départ, asphyxiante et bien trash. Avant même d’entrer dans les lieux où les meurtres ont eu lieu, on sait que la scène de crime va être sordide : les policiers sont blêmes, voire verdâtres, en tous cas prêts à rendre leurs tripes… Les sévices infligés aux victimes sont décrits par le menu et l’auteur nous convie à nous les représenter par le biais d’images mais aussi d’odeurs et de goûts… dégoût assuré.



Une atmosphère asphyxiante également car l’intrigue est saturée par les réflexions et raisonnements de Jake, profiler hors-catégorie, aux procédures atypiques. Au fil des pages, on se rend compte que l’enquête n’avance guère, voire pas du tout, tandis que la liste des victimes s’allonge. Dès lors, « L’Invisible » donne le sentiment de traîner en longueur, s’éterniser, sans qu’on n’aperçoive d’issue possible.



D’asphyxiante, l’atmosphère devient houleuse puis déchaînée, à la faveur de Dylan, ouragan bien nommé dont la puissance va surpasser toutes celles que la région avait pu connaître jusque-là. Tandis que l’enquête patine, l’ouragan donne à l’intrigue des couleurs de fin du monde, les éclairs, les vents tonitruants et les vagues dantesques pulvérisant tout sur leur passage, tout… sauf le meurtrier qui continue sa folle cavalcade.



Jusqu’au final où l’auteur va user d’un ressort classique qui m’a semblé ici un peu plaqué. En résumé, « L’Invisible » est un thriller prenant, mais enlisé dans des longueurs qui viennent desservir l’intrigue. L’auteur fait couler beaucoup de sang pour un final un peu raté. Pour autant, les descriptions des ravages de l’ouragan ajoutent une touche originale qui n’est pas pour déplaire.

J’adore ce personnage : Lucas Page. J’attendais avec impatience ce deuxième tome de la série. Et aucune déception.

Pour certains, peut être le personnage et l’intrigue (une vague d’attentat à NY, peuvent paraître « trop » ou plutôt pas assez réaliste. Mais moi, je trouve qu’au contraire, le talent de Robert Pobi est de rendre ceci possible à nos yeux et même rendre ce surdoué de l’analyse attachant à nos yeux, alors qu’il est censé être un personnage plutôt dénoué de sens relationnel.

Dans ce deuxième opus, tout commence par une explosion au musée Gugenheim. Qui peut vouloir faire exploser 700 personnes et pourquoi ?



Mais vivement un troisième tome….

Un roman très rythmé que j'ai beaucoup aimé. Alors, certes, tout n'est pas parfait, à commencer par le scénario qui est très (trop ?) classique mais on ne s'ennuie pas une seconde et Pobi a donné le jour à de très bons personnages, à commencer par Lucas Page que j'aurais plaisir à retrouver.

Un thriller très efficace.

Un engin explosif secoue le célèbre musée Guggenheim de New-York, expédiant ad patres la bagatelle des 702 convives invités lors d'une réception. Face à l'ampleur de l'attentat, le FBI est mandaté. Pour optimiser leurs chances de réussite, les dirigeants s'adjoignent les services de Lucas Page, un ancien agent spécialiste en matière d'explosifs ; spécialiste et atteint d'une forme d'autisme qui lui confère des capacités hors-normes. Car il en faudra pour retrouver le détraqué qui sévit et qui va réitérer ses méfaits…



« Serial bomber » est un thriller captivant écrit par Robert Pobi et qui met en scène Lucas Page dans une nouvelle enquête. L'auteur rend ce personnage atypique, tant physiquement que psychiquement, attachant. le lecteur sait que l'enquête ne pourra être résolue que par son soutien. Toutefois, il va falloir un peu de temps – et beaucoup de nouvelles explosions – avant que l'intrigue ne se dénoue.



Sur le plan de la forme, l'intrigue est bien construite, l'écriture soignée : la plume de Pobi est incisive, caustique à l'occasion, ce qui contribue à alléger une atmosphère le plus souvent glauque, voire morbide. C'est que l'auteur ne fait pas dans la demi-mesure : les meurtres sont à la hauteur des dispositifs imaginés pour les mettre en oeuvre - dantesques, en somme – et les dégâts considérables. Il n'y a pas de temps morts (si l'on peut dire), les actions s'enchaînent et le suspense ne faiblit jamais. Pour autant, à mesure que les explosions s'accumulent (bon, on a à faire à un serial bomber, on l'avait bien compris), l'intérêt du lecteur s'effrite quelque peu, tandis que le désarroi des enquêteurs s'amplifie. Les pistes de résolution qu'ils esquissent ne sont jamais les bonnes et le mystère s'épaissit. Pour autant, une piste va se dégager et nous emmener vers une clôture pour le moins explosive.



En résumé, on passe un bon moment avec un récit bien construit, caustique, même si des longueurs ont tendance à déliter çà et là l'intérêt du lecteur. Pour autant, quand on commence à entrer dans l’intrigue, on ne peut plus la lâcher : « Serial bomber » est un sacré page-turner !

Alors que New York est sous la neige, paralysée par le froid, un sniper commence à faire ses premières victimes. Un agent du FBI est tué d’une balle dans la tête alors qu’il se trouvait dans sa voiture. Dès le début la dextérité du tireur étonne : comment réussir un tel coup sur une cible en mouvement par une météo aussi peu clémente ?

Le FBI est sur les dents et les victimes s’enchaînent, toutes tuées dans des conditions de tir particulièrement ardues.

Les enquêteurs font appel à Lucas Page, un professeur d’université et ancien collaborateur du FBI. Mais l’homme, qui a perdu un œil, une jambe et un bras il y a dix ans, est un homme devenu bourru, renfermé et sarcastique. Il n’accepte que du bout des lèvres de rempiler et s’il accepte in fine, ce n’est que pour une simple raison : son ancien co-équipier est la première victime du sniper. Il se doit de trouver l’identité de ce tireur fou.

Les meurtres se succèdent, tout comme les pistes envisagées. Les suspects sont nombreux, les mobiles variés. L’enquête est menée tambour battant, de New York au Wyoming où toute cette folie semble trouver son originine… Il n’y a pas de répit, pas de temps morts.

Robert Pobi livre un polar haletant où l’on tourne les pages avec frénésie pour connaître le fin mot de l’histoire. Le suspens demeure jusqu’au bout et le héros, Lucas, va être mis à dure épreuve. Un très bon moment de lecture.

Bonne lecture, je découvre cet auteur que je vais suivre de près dorénavant.



New York, pleine tempête de neige, un agent du FBI est tué au volant de sa voiture par un sniper. Incapable de comprendre d’où le tir est parti, Brett Kehoe se tourne vers le seul qui pourrait l’aider, Lucas Page.



Lucas Page est un personnage à part entière. Il est ancien enquêteur du FBI, il a 3 prothèses, à le syndrome d’Asperger et c’est le meilleur dans son domaine.



Il faut se dépêcher d’autant plus que ce meurtre s’avère être le premier d’une longue série.

Un livre où on ne s’ennuie pas, je n’avais pas du tout vu venir qui était le fameux snipper. Beaucoup aimé le personnage de Lucas, personnage aimant de sa famille, qui donne tout pour les autres même si il est un peu grincheux.

C'est le premier livre de cet auteur que je lis et franchement je n'ai pas du tout été déçue.



On suit Lucas Page et l'agent du FBI Whitaker lancés sur la piste d'un sniper qui tue des agents du FBI. L'enquête est dangereuse et ardue.



On notera qu'à travers de cette histoire, l'auteur s'en prend au lobby des armes, aux supremacistes blancs et aux complotistes.

Bof bof ! Je n'ai pas grand chose à dire. C'est pas mauvais mais pas aussi excellent que ce à quoi je m'attendais. J'ai bien aimé le début, mais après j'ai trouvé la lecture assez fastidieuse avec des tas de redites qui m'ont coupé l'envie de le lire d'une traite. Le dénouement aurait pu être original s'il avait été mieux amené et plus crédible.

Ce n’est pas souvent que j’aime lire un roman où le personnage principal est hautement antipathique ; eh bien à l’image de Sheldon Cooper, dans la série télé « The Big Bang Theory », qu’on adore détester, nous avons ici Lucas Page, ancien agent du FBI génial qui, suite à une affaire qui a mal tourné s’est retrouvé bourré de prothèses de la tête au pied et est devenu professeur d’astrophysique. Il fait une sorte d’allergie à la bêtise et la rencontre malheureusement souvent chez ses concitoyens, il est donc très sélectif dans le choix de ses « amis ». Contrairement à Sheldon Cooper, Page est ultra sarcastique et ses répliques sont froides et cinglantes, et aussi géniales que son don, qui est de visualiser son environnement de manière mathématique, très pratique pour savoir d’où a été tirée une balle de nuit, dans le blizzard, en pleine ville, sur une voiture en marche par exemple. Et c’est pour ça que son ancien collègue, Kehoe, fait appel à lui sur une affaire de snipper qui semble s’en prendre aux agents du FBI…

C’est un roman aux dialogues et à la psychologie des personnages bien recherchés, un roman intelligent aussi car il balaie d’un revers de main en inox les clichés. Racisme, sexisme, religion, imbécillité en prennent pour leur grade et ça fait du bien !

Ce roman est le premier opus d’une série avec le personnage de Lucas Page, et je pense me prendre Serial Bomber, le 2ème, quand il sortira en format de poche.

Une découverte que ce Robert Pobi ! En tout cas cet opus ne m’a pas laissé indifférent, bien au contraire :* déjà le personnage principal n’est pas banal ; imaginez qu’il a perdu un bras, une jambe et un œil, et qu’il a été rafistolé genre bionique. De plus c’est un autiste, type Asperger. Difficile de s’imaginer dans sa peau ; difficile encore davantage en regard de ses qualités intellectuelles !

* Le cadre : New York, sous la neige, dans le froid, et sous des tempêtes ; j’ai pu imaginer en voyant l’actualité.

* Des chapitres brefs, qui donnent un style nerveux au récit

* Des passages d’action assez intenses

* Rapports mari/femme pas faciles, à cause du métier de Lucas

* Vues sarcastiques sur ses étudiants, et sur les gens en général : « La plupart de ses étudiants étaient accros à leur téléphone, à leurs applications et à toutes ces conneries numériques qui leur donnaient l’illusion d’être intéressants. Le problème majeur, c’était que leur obsession pour la technologie n’était pas employée pour remédier à leur terrifiante ignorance. »

* Critique de la société américaine, et en particulier le culte des armes : « Leçon d’ironie : se faire flinguer par un taré juste après être passé à la télé pour défendre le droit des tarés à se balader avec des flingues. »



* Dans tout le roman, bien qu’il soit de tonalité dramatique, il est des remarques humoristiques « La façade ornée de gargouilles noircies, de fleurs et de frontons sculptés était un exemple typique de style néo-Renaissance. Au-dessus de la porte se découpaient les mots Dempsey Headstones. Toutes les fenêtres du bâtiment étaient obstruées, y compris celles des étages supérieurs.

« Très chic, commenta Lucas, dans le genre hybride du Corbusier et de la famille Adams. »

* Des retours en arrière, l’un qui explique comment Lucas a subi ses blessures, et un autre qui nous ramène à ses cinq ans, lorsque sont découvertes ses capacités intellectuelles.



Un roman qui utilise des moyens techniques divers, et qui joue sur les sentiments : j’ai beaucoup aimé !

En finissant ce livre je suis retrouvée en mode WTF. Je me suis laissée embarquer, balader par cette histoire. Je n'ai rien vu venir malgré le fait que je ne comprenais pas la façon dont était utilisé l'un des indices trouvés, c'était pas cohérent pour moi mais une fois qu'on sait la fin cela devient évident. Je me suis dit mais oui pourquoi tu ne l'as pas vu avant 🤦🏻‍♀️🤷🏻‍♀️.

Ce thriller ne laisse pas indifférent tout comme l'agent du FBI Jake Cole.

C'est un coup de coeur même si il me manque certaines explications concernant le coupable.