Citations de Rosette Poletti (186)
Aujourd’hui, j’accepte ce qui est.
Aujourd’hui je fais confiance.
Aujourd’hui je me fais confiance.
Aujourd’hui je ne blâme personne.
Aujourd’hui je lâche prise d’une règle inutile.
Aujourd’hui je me concentre sur l’amour.
Aujourd’hui je pardonne.
Aujourd’hui je remercie quelqu’un.
Aujourd’hui, je m’ouvre à ce qui vient.
Aujourd’hui je me désencombre de l’inutile.
Aujourd’hui j’accepte d’être imparfait(e).
Aujourd’hui est un beau jour pour être vivant.
Aujourd’hui je lâche prise de mes résistances.
Aujourd’hui je lâche prise du doute.
Aujourd’hui je dis oui.
Aujourd’hui je me donne une liberté nouvelle.
Aujourd’hui, je donne sans rien attendre en retour.
Aujourd’hui c’est le seul jour qui compte.
L'expérience, ce n'est pas ce qui arrive à un homme c'est ce qu'un homme fait avec ce qu'il lui arrive.
Il n'y a personne qui soit né sous une mauvaise étoile, il n'y a que des gens qui ne savent pas lire le ciel.
Donner du sens à sa vie, c’est pour beaucoup, répondre à une vocation, accepter une mission, répondre à une aspiration profonde basée sur des valeurs.
L'impermanence de la vie demande cette capacité; une étude sur la notion d'espoir a mis en évidence que l'espoir est l'apanage de ceux qui peuvent changer de buts sans s'en vouloir, de ceux qui développent la capacité d'avancer tout en lâchant prise.
Vous-même autant que quiconque, méritez votre amour et votre respect.
C'est la résistance à ce qui est qui cause la souffrance.
On peut plaire à quelques personnes tout le temps, à tout le monde quelquefois, mais jamais à tout le monde tout le temps.
Avoir de la compassion pour soi-même, c'est se traiter comme on traiterait son meilleur ami en proie à la souffrance.
S'avancer mains ouvertes vers ce qui vient, faire confiance, être attentif à ses croyances limitantes, à ses dépendances, à ses certitudes, à ses jugements et s'en défaire, voilà le chemin qui conduit au cœur de la vie.
Le lâcher-prise, c'est un chemin de vie, c'est une aptitude à développer afin de pouvoir jouir pleinement de son existence. C'est ouvrir la porte de sa prison, c'est déposer son fardeau, c'est faire place à la joie, à la sérénité.
L'amour offert aux autres par une personne qui ne s'aime pas elle-même glisse bien vite dans la manipulation.
Tout chemin commence par une prise de conscience, une sorte de réveil. « Ce que je vis n’est pas un destin, c’est un chemin parmi des milliers d’autres. »
Rien n’est décidé d’avance. À n’importe quel moment de la vie et jusqu’au dernier jour, il existe la possibilité de vivre autrement, de vivre pleinement et cela n’a pas grand-chose à voir avec les circonstances extérieures. Le maître spirituel contemporain Anthony de Mello avait coutume de dire que la plupart des humains naissent endormis, vivent endormis et meurent endormis. Très peu d’entre eux se réveillent, malheureusement. Ils vivent sous le poids de leurs difficultés, enfermés dans leurs croyances et leurs programmations. Pourtant la liberté est possible ! La porte de la prison est ouverte ! Ils ne la voient pas, tout occupés qu’ils sont à décorer leur cellule pour la rendre plus vivable.
Première étape vers la sagesse, c’est tout d’abord sortir de ses programmations ! C’est repérer son scénario de vie. Si votre vie était une pièce de théâtre, en seriezvous le producteur ou seulement l’acteur principal ? Avez-vous posé les décors ou est-ce que vous jouez un rôle qu’on vous a attribué, dans des décors plantés par d’autres ? Ou, pire encore, êtes-vous une marionnette dont une autre personne tient les fils ?
La colère N'est en soi ni bonne ni mauvaise. C'est son expression et son utilisation qui font la différence.
Un des choix les plus fondamentaux de la vie est la décision de se considérer comme totalement responsable de sa vie – ou victime des événements.
Au-delà du lâcher-prise, on atteint le laisser-être. En tant que femme surtout, nous avons été « programmées » à devoir prendre soin des autres, à tenter de résoudre leurs problèmes, de les aider à trouver ou à retrouver le calme et le bien-être dans leur vie. Alors leurs difficultés deviennent les nôtres, on les prend en charge, on cherche des solutions pour eux, qui parfois ne sont pas du tout ce qu’ils désiraient. On peut s’épuiser à trouver des pistes, des issues. L’entourage nous dit : « Mais, lâche prise ! » et cela semble impossible ! Pourtant, c’est lorsqu’on écoute, qu’on est présent pour l’autre, qu’on l’accepte et qu’on l’encourage, qu’on lui fait confiance, qu’on lui apporte la plus grande aide. Pour vraiment « aider l’autre », il faut lui faire confiance, respecter son rythme, son désir profond.
Depuis William James, les connaissances scientifiques ont explosé : on sait maintenant que l’attention est indispensable pour percevoir quelque chose, pour mémoriser, pour résoudre les problèmes, qu’elle est composée d’une série de mécanismes qui en constituent chacun une composante spécifique. De nombreuses structures cérébrales sont en jeu dans la capacité d’attention et il existe aussi divers troubles de l’attention. De nombreux enfants manifestent ce qu’on nomme des troubles de l’attention qui les handicapent sur les plans scolaires, sociaux, familiaux.
Vivre
C'est aimer et partager,
C'est croire et espérer,
C'est connaître la souffrance et la joie,
C'est rechercher la paix,
C'est trouver sa vérité,
C'est s'accepter et accepter les autres,
C'est apprendre à lâcher prise,
C'est pardonner et faire confiance.
Quelle que soit l'approche choisie, la personne qui a traversé un drame a besoin d'être écoutée, acceptée, soutenue.
Elle a besoin de trouver des ressources en elle et dans son environnement.